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L'expérience éthique : essai pour une critique phénoménologique de l'éthique comme illustration du vivre-ensemble

Lapointe, Francis January 2008 (has links) (PDF)
En fait, nous pouvons résumer l'objectif général de cette méditation comme une exploration philosophique de trois questions précises: i-pourquoi avons-nous, dans notre vie quotidienne, à prendre position concernant une multitude de sujets (notre régime alimentaire, nos types d'amitié, nos choix politiques etc.)? ii- comment vivons-nous, au-dedans de nous-mêmes, cette prise de position? iii- est-ce que cette expérience que nous faisons quotidiennement de l'éthique ne pourrait pas illustrer aussi la façon par laquelle nous nous regroupons en communauté? Ces trois questions ont été réfléchies et explorées par l'entremise de philosophes tels que Friedrich Nietzsche, Martin Heidegger, Emmanuel Kant, Michel Foucault, Gilles Deleuze et Georg Wilhelm Friedrich Hegel à propos respectivement de la vérité comme erreur nécessaire, du souci, de la faculté de juger, de l'esthétisme de l'existence, de la visagéité et du savoir absolu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Éthique, Expérience, Deleuze, Hegel, Heidegger, Disposition, Affect, Dialectique, Vérité, Temporalité, Différence, Unité.
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L'appropriation de la mémoire collective dans deux romans des Amériques : Le premier jardin, d'Anne Hébert et Los Niños se despiden, de Pablo Armando Fernández

Archambault, Héloïse January 2009 (has links) (PDF)
Ce travail consiste en une étude comparative de deux romans des Amériques, Le premier jardin, d'Anne Hébert, et Los niños se despiden, de Pablo Armando Fernández, sur la problématique de l'appropriation de la mémoire collective chez les protagonistes. L'objectif du travail est d'analyser les différentes stratégies narratives employées par les auteurs pour mettre en scène l'imaginaire collectif et sa fonction dans l'oeuvre québécoise et dans l'oeuvre cubaine. Le premier chapitre aborde la mémoire sous les angles historique, sociologique, et littéraire. D'une part, l'étude porte sur les formes générales, d'appropriation de la mémoire collective chez les nations québécoise et cubaine, ce qui constitue la mémoire d'un peuple. D'autre part, le travail porte sur l'intertextualité et son traitement, ce qui relève de la mémoire du texte. Ces deux formes de mémoire mettent en lumière l'importance du temps-zéro chez Fernández et de l'inscription dans la tradition européenne chez Hébert. Comme la mémoire collective s'articule selon des composantes spatiales et temporelles, le deuxième chapitre est entièrement consacré à l'étude de ces paramètres. Le recours à la notion de chronotope sert à établir les liens pertinents entre temps et espace, entre mémoire personnelle et mémoire collective. Les systèmes chronotopiques diffèrent pour chaque oeuvre, mais indiquent chaque fois une dynamique particulière des forces mnémoniques en présence et contribuent à dégager les manifestations et les fonctions particulières de la mémoire. L'étude de l'ailleurs au troisième chapitre complète le travail amorcé sur les relations entre spatialité et temporalité. L'exil hébertien et l'utopie fernandienne constituent deux modalités de l'ailleurs. Bien que ces hors-temps et hors-lieux se déploient différemment dans les deux romans, ils témoignent chaque fois de l'importance que les protagonistes accordent à la mémoire de leur collectivité. L'étude de l'intertextualité, des formes d'appropriation de l'imaginaire collectif, de la spatio-temporalité et de l'ailleurs confirment une constante qui se dégage de l'étude de ce corpus multiculturel : un même désir des protagonistes de s'approprier l'imaginaire de leur collectivité, mais dans un dessein différent. Chez Hébert, le désir d'inscription dans une longue généalogie justifie le recours à une histoire peuplée de femmes glorieuses; chez Fernández, construire des assises solides à une nouvelle société plus équitable nécessite une appropriation massive d'éléments constitutifs d'une mémoire collective. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Américanité, Anne Hébert, Chronotope, Cuba, Exil, Intertextualité, Mémoire, Mémoire collective, Pablo Armando Fernandez, Québec, Utopie.
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Le moment décisif dans l'oeuvre romanesque de Dostoïevski

Racine-Poulin, François 02 1900 (has links) (PDF)
Dans le présent mémoire, nous tentons de démontrer que la poétique de Dostoïevski, dans sa période de l'après-bagne, s'articule essentiellement autour du concept-clé de « moment décisif ». Celui-ci renvoie notamment à l'ensemble des procédés narratifs inspirés du mélodrame auquel l'auteur a recours lors des scènes de rencontres extraordinaires et théâtrales qui foisonnent dans son œuvre et que nous qualifions de « conclaves polyphoniques ». Ces passages d'une importance cruciale rassemblent toutes les caractéristiques du moment décisif : le temps y devient élastique, les événements s'enchaînent de façon incohérente et imprévisible, et les personnages, souvent malades ou délirants, s'y trouvent livrés à des forces inconnues qui marqueront pour toujours la fracture de leur destinée en un avant et un après. Du point de vue formel, ces passages sont caractérisés par une dynamique de rupture, de fracas et d'incohérence, modalité propre au moment décisif. Ce dernier tient également lieu de complexe situationnel dont dépend tant la mise en intrigue que la caractérisation des personnages. En effet, l'intrigue dostoïevskienne se joue à coups de brisure, et les héros y passent d'une crise à une autre, ce qui mène à la redéfinition complète de leur conscience de soi. Ces accès d'extrême lucidité qui leur permettent de poser un regard nouveau non seulement sur eux-mêmes, mais sur leurs semblables et sur le monde, sont accompagnés d'une altération des sens ou sont carrément causés par la maladie. Cette dernière joue d'ailleurs un rôle d'une importance capitale dans le discours de certains des personnages les plus marquants de l'œuvre de Dostoïevski. Comme l'auteur, ils ont connu le moment décisif de la révélation par le biais de la maladie; ils ont vacillé sur le seuil entre deux mondes et, comme le condamné à mort ayant survécu à l'exécution (ce qu'a également connu l'auteur), ils ressentent le besoin d'en livrer un témoignage à leurs semblables. Le moment décisif représente ainsi beaucoup plus qu'un simple motif thématique ou encore qu'un strict procédé formel. Chez Dostoïevski, il est à la base même du discours philosophico-religieux qui sous-tend toute son œuvre de l'après-bagne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dostoïevski, Crime et châtiment, Le Joueur, L'Idiot, Les Démons, Les Frères Karamazov, temporalité, polyphonie
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Raum und Zeit in der evangelischen Theologie : zur Behandlung und Verhältnisbestimmung beider Begriffe bei Wolfhart Pannenberg, Jürgen Moltmann und Christian Link /

Lozano-Gotor Perona, José Manuel. January 2007 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Frankfurt-am-Main--Philosophisch-Theologische Hochschule Sankt Georgen, 2007. / Bibliogr. p. 627-663.
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Figures, traces, énonciation dans La bête faramineuse, Le premier mot et Le chevron de Pierre Bergounioux

Fortin, Mylène January 2009 (has links) (PDF)
La démarche de Pierre Bergounioux, écrivain français contemporain (1949-), témoigne d'une obsession: dire d'où vient ce « je » qui parle, sent et voit; retrouver d'où lui vient cette manière de dire, de sentir, de voir; comme s'il s'agissait chaque fois d'inventer la mémoire du commencement. Cette écriture parait se structurer à partir de failles qui correspondent manifestement à l'origine, zones d'« ombre », angles morts, points aveugles où un réel échappe, demeure en reste de la symbolisation, du langage. Ces rouages de l'écriture construiraient et constitueraient le sujet de l'énonciation tout en témoignant de son surgissement. Afin de porter au jour ce sujet, ce mémoire s'intéresse aux dispositifs de la représentation: Il s'agit de se mettre à l'écoute non pas de ce que les textes disent, mais de ce qu'ils font. Dans la première partie intitulée Mémoire de l'origine, les phénomènes particuliers, les figures ainsi que les motifs récurrents ont été repérés en suivant l'ordre de leur surgissement dans chacun des trois textes à l'étude: La Bête faramineuse (1986), Le Chevron (1996) et Le Premier mot (2001). L'analyse des modes d'articulation des deux deuils présentés dans La Bête... -deuils d'un aïeul et de l'innocence -, a contribué à la mise en évidence du travail de l'imaginaire. Par la suite, la structure particulière du Chevron a permis de voir que l'écriture de Bergounioux est aux prises avec un désir de dire l'origine dont la satisfaction est à la fois nécessaire et impossible, créant une dynamique inépuisable à l'image de celle relative au paysage décrit dans le récit. Enfin, dans Le Premier mot, nous nous sommes intéressés aux effets suscités par la volonté de s'arracher aux déterminismes inhérents à la condition du sujet d'emblée soumis à l'image et au désir d'un autre qui le précède. Les trois ouvrages mettent donc de l'avant un sujet principalement travaillé, voire déterminé par l'imaginaire (La Bête... ), l'espace géographique (Le Chevron) et les ancêtres, les parents (Le Premier mot). L'analyse de ce sujet toujours déjà étranger à lui-même, subordonné aux lois d'un curieux désir qui l'inscrit dans une lignée et l'arrime à l'espèce a permis de dégager des similitudes avec certains phénomènes observés par Freud puis Lacan et qui régissent la vie psychique de l'être parlant. Ces caractéristiques témoignent dirait-on d'un corps particulier qui se trouve construit par et dans l'écriture. Dans la deuxième partie intitulée La trace, ce mémoire cherche à révéler les rouages de ce corps d'écriture, corps invisible, étranger et soumis aux lois du langage, du désir et du temps. Chacun des ouvrages étudiés présente une énonciation qui joue à sa façon de l'inscription temporelle du sujet. Puisqu'il se trouve stratifié, le temps qui s'inscrit dans la conscience donne lieu à des effets particuliers. Par exemple, le travail de mémoire de cette écriture s'accompagne de motifs récurrents, ainsi que de métaphores redondantes qui créent une espèce d'orbite autour de ce qui cherche à se dire. Il nous a semblé que cette dynamique de répétition s'inscrit à la place d'une trace suscitée par l'absence radicale correspondant à l'origine qui, à la fois irréductible et immémoriale, instaure une béance au coeur du sujet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pierre Bergounioux, Mémoire, Origine, Langage, Désir, Psychanalyse, Énonciation, Temps, Trace mnésique.
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La théorie du Kairos chez Paul Tillich : contextes historique et doctrinal

Beya, Émile K. N. 21 January 2022 (has links)
Ce mémoire a pour objet l’étude des contextes historique et doctrinal de la théorie du kairos. Il explore le lieu de germination et de déploiement de cette théorie afin d’en extraire les éléments problématiques qui font respectivement de la crise de la culture et celle de la théologie le cadre expérienciel et conceptuel du kairos. Ces éléments montrent que, en énonçant sa théorie du kairos en terme de la théorie de la causalité historique consciente de la transcendance, Paul Tillich posait la question du sens de l’histoire à partir de celle de l’immanence. Or cette dernière relève de l’objet même de la théologie de la culture, dont l’« idée » découle de l’expérience du kairos, une expérience d’un temps de grâce dans l’histoire. Nous voulons par là tirer des conclusions quant à la contextualité de la théologie de la culture et à la dimension transformative du paradigme du kairos, ainsi qu’à leur commune pertinence face à une question théologique de notre contexte de la mondialisation de l’idéologie néo-libérale, celle du rapport du salut et de la libération.
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L'histoire au coeur de la subjectivité: la confrontation de Heidegger avec Dilthey

Fagniez, Guillaume 04 April 2014 (has links)
La thèse interroge le sens et la portée de l’historicité de l’existence à partir de l’œuvre de Dilthey et de sa lecture par Heidegger :qu’est-ce qu’être historique et quelles sont les conséquences d’une telle historicité pour la pensée philosophique ?L’approche diltheyenne d’une telle question repose sur une « psychologie concrète » qui en tentant de saisir la vie dans sa Faktizität s’engage sur la voie d’une anthropologie historique. L’interrogation psychologique et historique de Dilthey est radicalisée par Heidegger, qui reprend la question de l’historicité à partir de son enracinement dans l’« être » de l’existence, c’est-à-dire également à l’horizon d’une pensée renouvelée de la temporalité. Cette dernière conduit au seuil d’une conception de l’« événementialité » de la vie qui, tout en rompant avec Dilthey, permet de réviser les grands thèmes de ce dernier. Le travail de recherche se penche notamment sur le passage d’une herméneutique philosophique à une philosophie herméneutique intégrant l’historicité de l’existence jusque dans la dimension première du sens. Est également examiné le réinvestissement, par cette herméneutique repensée à l’aune d’un concept radicalisé d’historicité, de certains thèmes et concepts de l’herméneutique diltheyenne. La question de savoir comment la philosophie doit assumer sa propre historicité peut dès lors être reprise. Tandis que Dilthey répond à la mise en cause de la possibilité de la métaphysique par l’histoire à travers l’élaboration d’une doctrine de la vision du monde, Heidegger procède à une radicalisation transcendantale du concept d’histoire – cette dernière étant toutefois appelée à être renversée au bénéfice de l’événement.<p><p>The Dissertation investigates the historicity of existence, its meaning and impact, from Wilhelm Dilthey’s Works and Heidegger’s reading of it: What does being historical mean, and what are the consequences of this historicity on philosophical thought? Dilthey’s approach to this problem is based on a “concrete psychology” which, by developing the implications of the facticity of life, leads to an historical anthropology. Heidegger radicalizes this psychological and historical Diltheyan questioning by reconsidering the problem of historicity from the point of view of the “being” of existence, which also involves a renewed conception of temporality. The latter leads to the threshold of a conception of life as “eventiality” which means both a break with Dilthey and the possibility of taking over an improved version of Dilthey’s major issues. The research examines in particular the transition from a philosophical hermeneutics to a hermeneutic philosophy based on the acknowledgment of the radical historicity of life. Heidegger’s appropriation of Diltheyan themes and concepts in the context of this transition is analyzed in a detailed manner. Finally, the question is raised how philosophy has to deal with its historicity. Dilthey’s response to the historical undermining of the very possibility of metaphysics consists in the development of a doctrine of worldviews. Heidegger carries out a transcendental radicalization of the concept of history – the latter however being soon anew reversed for the benefit of the “event”.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Raison et création : le constructivisme et l’institutionnalisme postmétaphysiques de Cornelius Castoriadis / Reason and creation : castoriadis’ postmetaphysical constructivism and institutionalism

Tranchant, Thibault 05 July 2019 (has links)
L'objet de cette thèse doctorale est la réponse poïétique et institutionnaliste offerte par Castoriadis au problème de la constitution d'une universalité pratique dans un contexte post-métaphysique. La thèse s'ouvre sur une définition de la philosophie politique comme projet d'objectivation institutionnelle de la raison et sur l'exposition du problème, pour cette discipline, engendré par la critique de la métaphysique et l'émergence d'une conception procédurale de la raison lors de la modernité. La thèse est ensuite divisée en deux parties. La première porte sur la philosophie de Castoriadis, c'est-à-dire sur sa critique de la pensée métaphysique, son ontologie et sa théorie de la connaissance. Nous y défendons la thèse interprétative que sa philosophie est un « pluralisme ontopoïétique constructiviste ». La seconde porte sur sa conception de la raison pratique, que nous interprétons comme « institutionnalisme post-métaphysique ». Nous concluons en explicitant les nouvelles médiations établies par Castoriadis entre philosophie et politique, sa conception de l'universalité pratique, et, par conséquent, la place qu'il occupe dans le temps long de l'histoire de la philosophie politique. Une perspective comparative a été privilégiée tout au long de notre argumentaire. Nous apprécions la singularité castoriadienne en la comparant avec des philosophies ayant partagé des problèmes communs et certains horizons thétiques, notamment l'héritage hégéliano-marxien et les philosophies de la différence. / The purpose of this doctoral thesis is to expose Castoriadis’ poïetical and institutional answer to the following question: how can we constitute a practical universality in a postmetaphysical context. Starting with a definition of political philosophy as the progressive and institutional objectification of reason, I first show how the modern radical critic of metaphysical thoughts and the modern emergence of a procedural conception of reason were both problematic for political philosophy. The thesis is then divided into two parts. The first part is devoted to Castoriadis’ philosophy and presents his own critics of metaphysical thinking, his ontology and his theory of knowledge. I then follow the interpretative thesis according to which Castoriadis’ philosophy can be characterized as an ''ontopoïetical pluralistic constructivism'' The second part is about his conception of practical reason, which I interpret as a “postmetaphysical institutionalism”. I conclude by showing that Castoriadis offers not only new mediations between politics and philosophy but also an original conception of practical universality in the history of political philosophy. Using a comparative method, I put forward Castoriadis’ thoughts through a comparison with other philosophies that share common problems and thesis, e.g. the Hegelian-Marxian tradition and the philosophies of difference.

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