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Risk factor love : homosexuality, sexual interaction and HIV-prevention /

Henriksson, Benny. January 1995 (has links)
Th.--Göteborgs universitet. / Bibliogr. p. 253-264.
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Sida et action publique : une analyse du changement de politiques en France /

Eun, Jaeho, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Cachan--École normale supérieure, 2005. / Bibliogr. p. 406-420.
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De l'exception à la "normalisation" : Anthropologie de la santé reproductive confrontée au VIH au Sénégal

Sow, Khoudia 23 September 2013 (has links)
Alors que les politiques de santé sont passées au cours des dix dernières années d'un traitement de la procréation en contexte VIH comme une « exception » à un discours de « normalisation », la thèse vise à comprendre les conditions et les effets de cette évolution. L'enquête ethnographique a été conduite sur une période de dix ans auprès de personnes vivant avec le VIH sous thérapie antirétrovirale, de femmes vivant avec le VIH ayant eu une expérience de procréation, et de professionnels de santé intervenant en PTME dans deux structures de santé de la reproduction au Sénégal. Cette étude met en lumière un « système moral » de la prévention du VIH, contradictoire à certains égards, qui offre aux femmes peu de moyens socialement acceptables pour se protéger du risque VIH. La procréation peut être perçue comme une stratégie pour réaffirmer une identité féminine, tester la capacité d'un corps « normalisé » par les ARV à enfanter sans transmettre le VIH, raffermir les liens conjugaux en souffrance et réduire les risques de stigmatisation sociale. Ces logiques ne sont pas toujours comprises par des professionnels de santé « spécialistes du VIH » souvent débordés dans la prise en charge médicale et psychosociale des PvVIH, qui soutiennent peu ces processus. Les hommes vivant avec le VIH apparaissent isolés, fragiles, voire « oubliés » . Ce travail montre les multiples usages sociaux de la procréation : objet d'émulation, de résistance, de souffrance et de rivalité pour les femmes VIH et leurs conjoints. Parallèlement à la normalisation « décrétée » par les instances de santé publique, les femmes vivant avec le VIH se sont réapproprié la possibilité de procréer. / Since the last decade has seen a transition from treating childbearing in the context of HIV as an “exception” to a discourse of “normalization,” this dissertation aims to understand the conditions and effects of this change. This ethnographic survey was conducted over a period of ten years among people living with HIV receiving antiretroviral therapy, women living with HIV who experienced childbearing and healthcare professionals working in PMTCT in two reproductive health facilities in Senegal. This study sheds lights on a “moral system” for HIV prevention, contradictory in some respects, that provides women few socially acceptable means to protect themselves from the risk of HIV. Childbearing may be perceived as a strategy to reaffirm female identity, test the capacity of a body made “normal” by ARVs to give birth without transmitting HIV, strengthening strained marital bonds, and reducing the risk of social stigmatization. Men living with HIV appear isolated, fragile, unsupported, and even “forgotten” relative to childbearing while they themselves are suffering or are affected by the situations of their wives or families. Health professionals now integrate HIV counseling and testing in their practices but continue to project attitudes of “exception” about treating PLHIV and pregnant HIV-Positive women. This study shows the various social uses of childbearing : a subject leading to emulation, resistance, suffering, and rivalry for women living with HIV and their spouses. Alongside the normalization “decreed” by public health officials, women living with HIV have reclaimed the possibility to procreate.
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Estudo in vitro da capacidade da lactoferrina e de seu produto de clivagem (G-12-I), presentes nas secreções orais e genitais, de modular a produção de CCL20 pelas células do epitélio endocervical : envolvimento com a transmissão sexual do HIV

Lourenço, Alan Grupioni 01 December 2011 (has links) (PDF)
Les cellules dendritiques présentes dans les muqueuses comme les cellules de Langerhans, sont capables de présenter le Virus d'Immunodéficience Humaine (VIH) aux lymphocytes T CD4+, aboutissant à l'infection par le VIH lors de contacts hétérosexuels non protégés. Le recrutement des cellules de Langerhans dans la muqueuse vaginale est assuré par la chimiokine Quimiocin C-C motif ligant 20 (CCL20) produite par les cellules épithéliales de la muqueuse. L'objectif de ce travail a été d'étudier la capacité du plasma séminal, de la salive et de la sécrétion vaginale à stimuler la production de CCL20 par les cellules de l'épithélium endocervical (cellules HEC-1A), et de corréler cette production avec la présence de la lactoferrine (LF) et de ses produits de clivage dans ces différents fluides biologiques. Des cellules HEC-1A ont été cultivées avec les plasmas séminaux, les salives et les sécrétions vaginales de patients séronégatifs et séropositifs pour le VIH, et la production de CCL20 a été mesurée dans les surnageants cellulaires en ELISA. Le dosage de la Lf par ELISA a été réalisé sur tous les échantillons. La présence d'un petide de clivage de la Lf (G-12-I) a été analysée en western blot. Les résultats obtenus montrent que les plasmas séminaux des patients séropositifs ont une plus grande capacité à stimuler la sécrétion de CCL20 que les patients séronégatifs pour le VIH. La concentration de la Lf dans le plasma séminal est corrélée à la stimulation de cette sécrétion par les cellules HEC-1A. Il semble que les échantillons ayant la plus grande capacité à stimuler la sécrétion de CCL20 possèdent une plus forte concentration en petide de clivage de la Lf (G-12-I), bien que ce résultat, obtenu en western blot. La salive est également capable de stimuler de la production de CCL20 par les cellules HEC-1A, mais cette stimulation n'est pas corrélée avec sa concentration en Lf. Nous concluons que la sécrétion de CCL20 par l'épithélium génital féminin induite par le plasma séminal est corrélée à la présence de la Lf dans ce fluide. Bien que les mécanismes puissent être différents, la salive peut également induire la production de CCL20 par les cellules épithéliales de la muqueuse génitale féminine.
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Contraception et sida évaluation des connaissances des adolescents dans ces domaines et du rôle tenu par le médecin généraliste dans l'acquisition de ces connaissances /

Jaulin, Christine. Leroux, Gérard January 2007 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. 62 f. ill. Bibliogr. f. 60-62.
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Influence du plasma séminal sur la transmission sexuelle du VIH-1 par les cellules dendritiques / Influence of the seminal plasma on HIV-1 sexual transmission mediated by dendritic cells

Saint Jean, Amélie de 05 November 2015 (has links)
La transmission sexuelle du VIH-1 constitue le mode majeur de contamination à travers le monde. Au cours d’un rapport sexuel avec un homme séropositif vis-à-vis du VIH-1, le virus transporté par le sperme est déposé à la surface des muqueuses sous forme libre et/ou associée aux cellules mononuclées du sperme. Les particules virales peuvent alors être captées par les cellules dendritiques qui les transportent jusqu’aux lymphocytes T CD4 des ganglions lymphatiques favorisant ainsi la dissémination du virus. Plus qu’un simple véhicule, il semblerait que le plasma séminal, fraction acellulaire du sperme, puisse influencer la transmission sexuelle du VIH-1. Cependant, son rôle en tant que facilitateur ou inhibiteur de l’infection est largement débattu. La première partie de cette thèse s’intéresse à l’influence directe du plasma séminal sur la transmission sexuelle du VIH-1 via les cellules dendritiques. Nous avons montré que le TGF-β1, une des cytokines majoritaires du sperme, favorise la capture du virus par les cellules dendritiques via l’induction de l’expression de CD169, un récepteur du VIH-1 récemment décrit. Cependant, ni l’augmentation de la capture du virus ni celle de l’expression de CD169 ne sont observées lorsque les cellules sont en présence de plasma séminal. Au contraire, le fluide semble avoir tendance à diminuer la capture des particules virales et s’avère même être capable de diminuer l’induction de l’expression de CD169 par le TGF-β1 ou le LPS, suggérant un effet protecteur du plasma séminal sur la transmission sexuelle du VIH-1, même en cas de co-infection bactérienne localisée. La seconde partie de cette thèse s’intéresse à l’effet indirect du plasma séminal sur les cellules dendritiques via l’induction de la sécrétion de facteurs par les cellules épithéliales de la muqueuse, premières cellules en contact avec le fluide. A partir de deux modèles in vitro d’épithéliums simples (colorectaux et endocervicaux), les résultats obtenus montrent que les sécrétions des cellules épithéliales induites par le plasma séminal ne provoquent pas l’expression de CD169 ni la maturation des cellules dendritiques. Ces résultats contribuent à une meilleure compréhension des mécanismes précoces impliqués dans la transmission sexuelle du VIH-1 et soulignent le rôle complexe du plasma séminal dans cette dernière / Sexual transmission of Human Immunodeficiency Virus type 1 (HIV-1) remains the major way of contamination worldwide. During male to female or male transmission, the virus is deposited on the mucosal surface as cell-free or cell-associated virions carried by semen. The virions can be captured by dendritic cells (DCs) located in the mucosae. DCs play a crucial role in disseminating virus by capturing virions at the contact site and bringing them to the principal target cells in the lymph nodes i.e. the lymphocytes. More than just a carrier for viral particles, semen may also play a role in modulating HIV-1 sexual transmission. The influence of seminal plasma, the acellular fraction of semen is particularly debated. In the first part of this thesis deals with the direct influence of seminal plasma on the HIV-1 sexual transmission mediated by dendritic cells. We demonstrated that TGF-β1, a cytokine present in high concentration in seminal plasma, increases HIV-1 capture by dendritic cells through the upregulation of CD169, an HIV-1 binding molecule recently described. However, these effects are not observed when dendritic cells are incubated with seminal plasma. On the contrary, seminal plasma tends toward a decrease of HIV-1 capture by dendritic cells. Furthermore, seminal plasma is able to counteract the CD169 upregulation observed following TGF-β1 or LPS exposure indicating that seminal plasma may display a protective effect against HIV-1 transmission in the case of bacterial local coinfection. The second part of this thesis deals with the indirect effect of seminal plasma on dendritic cells through the induction of soluble factors secretion by epithelial cells, first cells in contact with the contaminated fluid. Two different epithelial cell models mimicking the female genital and intestinal tracts by using well characterized epithelial cell lines (HEC-1A and CaCo-2 respectively) have been developed. Results demonstrated that the epithelial cells secretions induced by seminal plasma do not modulate CD169 expression nor induce dendritic cells maturation. All these data contribute to a better understanding of the various mechanisms allowing HIV-1 sexual transmission and underscore the complex role of the seminal plasma in the particular case of the transmission mediated by dendritic cells
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Role of semen infected leukocytes in HIV mucosal transmission : Experimental model of SIVmac251 infection in Macaca fascicularis / Rôle des leucocytes infectés du sperme dans la transmission muqueuse du VIH : modèle expérimental de l’infection par le SIVmac251 de Macaca fascicularis

Bernard-Stoecklin, Sibylle 15 May 2013 (has links)
Aujourd’hui, plus de 80% des nouvelles infections par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) se produisent au cours d’un rapport sexuel, avec une transmission du virus par voie muqueuse. Le sperme constitue donc une source majeure de virus à l’échelle mondiale. Le sperme d’hommes infectés par le VIH contient le virus sous deux formes : des particules virales libres et des cellules infectées, principalement des leucocytes.Plusieurs hypothèses ont été proposées afin d’expliquer le passage du virus à travers la barrière muqueuse, qu’il s’agisse d’une muqueuse génitale (cervico-vaginale, pénienne ou urétrale) ou intestinale (muqueuse anale ou rectale). Toutefois, une grande majorité des études qui ont été menées jusqu’à présent se sont concentrées sur le rôle des particules virales libres, et celui des cellules infectées demeure mal compris. Une étude menée dans notre laboratoire a montré que des leucocytes infectés par le virus de l’immunodéficience simienne (VIS) sont capables de transmettre l’infection après inoculation vaginale.Le projet de cette thèse est d’étudier le rôle des leucocytes infectés présents dans le sperme de macaque dans la transmission muqueuse du VIS/VIH. Ainsi, trois axes d’étude principaux ont été définis: 1) l’étude des leucocytes présents dans le sperme de macaque cynomolgus, et de l’influence que peut avoir l’infection par le VIS sur eux ; 2) l’identification des cellules immunitaires infectées présentes dans le sperme de macaque, et l’étude de leur dynamique au cours de l’infection par le VIS. ; 3) l’étude du pouvoir infectieux des deux principales cellules cibles pour le VIS/VIH : les lymphocytes CD4+ (LT CD4+) et les macrophages, in vitro et in vivo, après inoculation rectale et vaginale à des macaques cynomolgus.Le sperme de macaque contient toutes les cellules cibles du VIS/VIH : des lymphocytes T CD4+ (LTCD4+), des macrophages et des cellules dendritiques dans une moindre proportion). Les LTCD4+ et les macrophages du sperme présentent un phénotype d’activation, de différenciation et d’expression de marqueurs de migration typique des leucocytes résidant dans les tissus muqueux. L’infection par le VIS induit des changements significatifs dans leur phénotype et leur dynamique. Ces deux types cellulaires peuvent être infectés de façon productive et sont présents dans le sperme à tous les stades de l’infection. Ces données suggèrent que les LTCD4+ et les macrophages du sperme seraient capables de transmettre l’infection par voie muqueuse.Si le rôle des leucocytes infectés du sperme est confirmé in vivo, il sera important à l’avenir de prendre en compte ce mécanisme de transmission dans le développement de nouvelles stratégies préventives de l’infection par le VIH, notamment les microbicides. / Human Immunodeficiency Virus (HIV) infection mostly spreads by the mucosal route: sexual transmission is the dominant mode of transmission, responsible for between 85% and 90% of cases of infection worldwide. These epidemiological data indicate that semen is one of the major sources of HIV-1 transmission. Semen, like other bodily secretions involved in HIV sexual transmission, contains the virus as two forms: cell-free viral particles and cell-associated virus, mostly in infected leukocytes. Although cell-to-cell HIV transmission has been extensively described as more efficient, rapid and resistant to host immune responses, very few studies have investigated the role in vivo of infected leukocytes in virus mucosal transmission. One such study has been recently conducted in our lab, and demonstrated that SIV-infected splenocytes are able to transmit infection to female macaques after vaginal exposure. However, all these studies used immune cells from peripheral blood or lymphoid tissues, such as spleen, and none have investigated the capacity of infected leukocytes in semen to transmit the infection in vivo. Indeed, nature, phenotype and infectivity of HIV associated with semen leukocytes may be different from that of HIV from other sources.Therefore, the objectives of this work are, first, to study of semen leukocytes and their dynamics during SIVmac251 infection in detail, then to investigate seminal factors that may influence semen infectiousness, and finally to test semen leukocyte infectivity in vitro and in vivo, using a model of mucosal exposure in cynomolgus macaques.Macaque semen contains all the target cells for HIV/SIV: CD4+ T cells, macrophages and dendritic cells in lower proportions. Semen CD4+ T cells and macrophages display an activation, differenciation and expression of migration markers profile which is typical of mucosal leucocytes. SIV infection induces significant changes in their phenotype and dynamics. Both cell types can be productively infected and are found in the semen at all stages of infection. These observations suggest that semen CD4+ T cells and macrophages may be able to transmit infection after mucosal exposure.If the role of semen infected leukocytes in HIV/SIV mucosal transmission is confirmed in vivo, this mechanism will be important to consider for further preventive strategies design, like microbicides.
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Impact des traitements antirétroviraux sur le risque de transmission sexuelle du VIH en Afrique Subsaharienne : le cas du Cameroun

Ndziessi, Gilbert 03 April 2013 (has links)
Approfondir les connaissances sur l'évolution et les facteurs associés aux comportements sexuels chez les PVVIH exposées aux traitements antirétroviraux en Afrique subsaharienne. Données collectées dans le cadre d'un essai randomisé conduit dans neuf hôpitaux de district ruraux au Cameroun. 459 PVVIH éligibles au traitement inclus et suivis sur 24 mois. Régression logistique à effets mixtes utilisée pour analyser les facteurs associés aux différentes variables réponses étudiées.La proportion des patients sexuellement actifs augmente de 32% à l'inclusion à 56% après 24 mois de traitement. Une augmentation supplémentaire du temps depuis l'initiation du traitement de 6 mois augmente de 30% de la probabilité de déclarer une activité sexuelle sous ARV. Proportion des patients ayant des comportements sexuels à risque (CSR) baisse significativement de 76% à l'inclusion à 66% au 24e mois, les patients obervants au traitement étaient moins susceptibles de rapporter les CSR. La proportion des patients susceptibles de transmettre le VIH par voie sexuelle (STVIH) baisse de 76% à l'inclusion à 27% après 24 mois de traitement ARV. Une augmentation du temps depuis l'initiation du traitement de 6 mois réduit de 66% la STVIH. Mes travaux montrent un impact positif des ARV sur l'activité sexuelle des PVVIH, les CSR et la STVIH, suggérant un effet positif de l'exposition des PVVIH aux traitements ARV sur la prévention de la transmission sexuelle du VIH. Mais, le risque potentiel de transmission du VIH persiste nécessitant le renforcement des interventions de réduction des risques dans les programmes d'accès aux ARV. / To evaluate the evolution and factors associated with sexual behavior among PLWHA exposed to antiretroviral therapy in sub-Saharan Africa. Data collected as part of a randomized trial conducted in nine rural district hospitals in Cameroon. 459 PLWHA eligible for treatment included and followed for 24 months. Mixed effects logistic regression used to analyze factors associated with different response variables studied. Proportion of patients sexually active increased from 32% at baseline to 56% after 24 months of treatment. An additional 6 months increase of the time since initiation of treatment increase in 30% the probability of reporting sexual activity. Proportion of patients with sexual risk behavior (SRB) decreased significantly from 76% at baseline to 66% at 24 months and patient obervants to treatment were less likely to report CSR. Proportion of patients likely to transmit HIV through sexual intercourse (STVIH) decrease from 76% at baseline to 27% after 24 months of HAART. Analyses shown that increasing in 6 months of time since initiation of treatment reduced STVIH by 66%. My dissertation show a positive impact of ART on sexual activity, CSR and STVIH among PLWHA, suggesting a positive effect of exposure to HAART on the prevention of sexual transmission of HIV. However, the potential risk of transmission of HIV persists requiring strengthening risk reduction interventions in HAART access programs.
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Sexualité et parentalité chez les adolescents haïtiens infectés au VIH par transmission verticale ou sexuelle : quelles normes, quelles valeurs et quelles pratiques ?

Maxi, Ascencio Junior 07 1900 (has links)
No description available.
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Caractérisation virologique des virus VIH-1 isolés en primo-infection en France / Study of the viral diversity in patients included in the ANRS PRIMO CO6 Cohort at the time of primary HIV-1 infection

Frange, Pierre 14 October 2013 (has links)
L’épidémiologie moléculaire des virus VIH-1 en France est caractérisée par une augmentation constante de la diversité virologique et de la fréquence des virus de sous-types non-B chez les patients en primo-infection. Entre 1997 et 2007, 28.4% des 591 patients suivis étaient infectés par des virus de sous-types non-B. De plus, 49 patients (8.3%) étaient infectés par des souches de sous-types différents sur les gènes pol et env, témoignant d’évènements de recombinaisons entre ces gènes. Ces virus recombinants étaient isolés à la fois chez des patients originaires d’Afrique sub-saharienne (28.3%) et des sujets caucasiens (6.3%). Ces résultats témoignent des échanges de souches virales entre les populations d'origine africaine et caucasienne, contribuant encore à augmenter la diversité virologique dans ces deux populations. Parmi 131 virus de sous-types non-B, 12.2% étaient classés comme ayant un tropisme CXCR4 par méthode génotypique, mais seulement 0.8% par méthode phénotypique, indiquant d’une part la faible proportion de virus non-B de tropisme CXCR4 en primo-infection en France, et d’autre part le manque de spécificité des méthodes génotypiques de détermination du tropisme pour ces sous-types, rendant nécessaire la mise au point d’autres algorithmes spécifiques pour ces virus.L’analyse de 987 virus isolés dans la cohorte entre 1999 et 2010 a mis en évidence que 12.7% d’entre eux étaient regroupés en "clusters" de transmission. Les patients en primo-infection contribuent donc de façon significative à la propagation de l’épidémie de VIH en France, particulièrement les hommes homo/bi-sexuels, avec une fréquence augmentant au cours de la période récente (2006-2010).La comparaison des quasi-espèces virales circulant concomitamment chez 8 patients en primo-infection (« receveurs ») et leurs 8 partenaires sexuels respectifs (« donneurs ») a révélé dans tous les cas la transmission d’un virus unique, présent de façon minoritaire parmi les sous-populations virales du donneur. La transmission virale muqueuse implique donc une sélection génétique drastique. / High genetic diversity is a major characteristics of HIV-1. In France, although subtype B strains are still predominant, the proportion of non-B viruses isolated in patients at the time of primary HIV-1 (PHI) infection increases over time. Between 1997 and 2007, 28.4% of patients were infected with non-B subtypes strains. Forty-nine viruses showed different phylogenies between the pol and env genes, indicating that recombinations have occurred in 8.3% of cases. These recombinants were isolated both in patients from Sub-Saharan Africa (28.3%) and in white subjects (6.3%).The phenotypic analysis of viral tropism of 131 non-B strains showed a very low (0.8%) proportion of CXCR4-tropic strains (X4 strains) at the time of PHI. Compared to phenotypic tests, genotypic predictions can overestimate (12.2% versus 0.8%) the proportion of X4 strains in non-B subtypes.The phylogenetic analysis of 987 strains isolated in 1999-2010 showed that 12.7% of PHI cosegregated into 56 transmission chains. PHIs are a significant source of onward transmission, especially in men having sex with men, with increasing frequency during the recent years (10.2% in 1999-2006 versus 15.2% in 2006-2010, p=0.02).The comparison of the viral quasispecies isolated in plasma and PBMC samples from 8 patients at the time of PHI ("recipients") and their transmitting partners ("donors") suggested that a severe genetic bottleneck occurrs during HIV-1 heterosexual and homosexual transmission. Indeed, we observed in all cases the transmission of a single variant, which was derived from an infrequent variant population within the blood of the donor. The proportion of X4 quasispecies in donors were higher in case of X4 versus CCR5-tropic viral transmission, suggesting that X4 transmission may be associated with a threshold of X4 circulating quasispecies in donors.

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