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Métamorphoses de la musique et capitalisme médiatique. Au prisme de YouTube (2005-2018) / Media capitalism and the metamorphosis of music. Through the prism of YouTube (2005-2018)Heuguet, Guillaume 29 November 2018 (has links)
Alors qu’un ensemble de discours sociaux et académiques s’intéressent aux conséquences de la numérisation sur la valeur de la musique, YouTube, le site de publication de vidéos fondé par trois anciens employés de PayPal et aujourd’hui propriété de Google, est progressivement devenu le premier dispositif d’écoute en ligne en France. A partir de l’analyse d’archives du Web et d’une veille intermédiatique, cette thèse s’intéresse à ce qu’une entreprise venue de l’économie des techniques « fait » à la culture musicale, en tenant compte de l’évolution régulière de ses formes et de ses promesses. Une première partie s’intéresse aux effets de force et de flou dans la médiatisation de YouTube et de son rapport avec la musique. Une seconde partie analyse l’incidence de la musique dans sa construction comme innovation. Une troisième partie identifie la façon dont l’entreprise a investi la musique comme une ressource stratégique privilégiée, tout en orientant à son tour l’appropriation et à la publication de musique autour de références à la popularité et à la créativité. Une quatrième partie analyse la construction d’un marché de la musique appuyé sur un contrôle technique et juridique des œuvres et sur le financement par la publicité, pour en montrer les tensions internes. La thèse conclut à l’intrication des discours sur la transformation de la culture avec les logiques de changement permanent des acteurs du capitalisme médiatique. En regard, elle défend une micropolitique des formats techniques, médiatiques et esthétiques. / While music digitization has become a major theme of public discourse and academic research, YouTube, a video publication website founded by three ex-employees of PayPal and now the property of Google, is today recognized as the first media used for music listening in France. Through an analysis of digital archives of the Web and the compilation of media sources, this thesis analyzes what a company coming from technology « does » to musical culture, taking into account the regular change of its forms and its promises. A first chapter deals with the effects of power and blurriness in the mediatization of YouTube and its relationship to music. A second chapter analyzes the way music shaped YouTube, proposing a genealogy of relationships between music and media apparatus, linking the invention of recorded music, the standardization of online listening software and the « musicalization » of YouTube. A third chapter discusses music as an opportunity. We identify how the company invested in music as a key strategic ressource, while shaping the practice of music gathering and publication around values of popularity and creativity. A fourth chapter concerns the construction of a market for music built upon the technological and juridical control of the works versions and the financing by advertising, interrogating the limits of this model. We conclude by showing the intricacy of discourse about the transformation of musical culture with the logics of permanent change from the actors of media capitalism. From this point, we defend the necessity of studying the micropolitics of formats.
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Paris et Shanghai : l’imaginaire de la ville dans l’œuvre de Balzac et de Mao DunWang, Ganlin 03 1900 (has links)
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La philanthropie américaine aujourd'hui : entre tradition et innovation / American Philanthropy Today : between tradition and innovationTanseau-Simon, Brenda 17 December 2014 (has links)
Cette thèse porte sur la tradition philanthropique aux États-Unis et sur la place qu’occupent les institutions philanthropiques, c’est à dire les fondations caritatives, au sein de la société américaine contemporaine. La tradition philanthropique américaine s’exprime, en partie, à travers les divers organismes non lucratifs formant le « troisième secteur » américain, le nonprofit sector. Elle est représentée par une société civile américaine promouvant les notions de charité, d’autonomie individuelle vis à vis du pouvoir fédéral et d’entraide sociale. Toutefois, ce sont les fondations caritatives, du fait de leurs importantes ressources financières, qui sont devenues des interlocutrices majeures dans la gestion de l’intérêt général aux États-Unis. De nombreux débats quant à leur efficacité et leur légitimité apparaissent aujourd'hui. L’étude de terrain menée auprès de treize dirigeants de fondations dans le Massachusetts et en Californie a contribué à apporter quelques réponses aux principales interrogations sur l’impact réel des fondations dans la société américaine. Ces observations, réalisées à la fin 2009 et au début 2011, permettent de souligner le fait que la philanthropie est ancrée dans le capitalisme américain, ce qui la rend dépendante de la conjoncture économique. On conclut également que, tandis que la philanthropie est souvent perçue comme un vecteur de valeurs démocratiques, les fondations ne semblent pas toujours prendre en compte l’intérêt général dans le financement de leurs projets. Enfin, en même temps que les richesses se sont accrues depuis les années 1980, les inégalités sociales se sont creusées, et la philanthropie n’a en rien comblé ces inégalités. Pourtant, les enjeux des actions philanthropiques sont considérables et il ne tient qu’aux philanthropes et aux institutions philanthropiques d’agir en faveur du progrès social. / This dissertation focuses on the philanthropic tradition in the United States and on the role of philanthropic institutions, or charitable foundations, in contemporary society. The American philanthropic tradition can be displayed through the various nonprofit organizations that make the « third sector » or nonprofit sector. This tradition is characterized by a strong civil society that promotes ideas such as charity, individualism and mutual aid. However, foundations have become the main agents for the management of the ‘general welfare’ in the United States, which creates new debates regarding their efficiency and their legitimacy. The case studies of foundations in Massachusetts and California helped bring new answers to questions about the social and economic impact of foundations on U.S. society. Final conclusions emphasize the idea that philanthropy represents an integral part of U.S. capitalism and depends on the economic situation of the country. Moreover, whereas philanthropy is often viewed as a tool for democratic advocacy, it appears that foundations do not always promote the general welfare when supporting philanthropic programs. Last but not least, since the 1980s, significant wealth has been accumulated by some individuals and while social inequalities have widened substantially, American philanthropy has not done much to reduce them. Yet, philanthropic activity can significantly impact U.S. society, provided that philanthropists and philanthropic foundations act for social progress.
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L'oeuvre précaire : expériences de l'art au tournant du XXIe siècle / The precarious work : experiences of art in the watershed of the XXIth centuryFabre, Julie 27 November 2015 (has links)
La réalité que recouvre la notion d’œuvre d'art est complexe et plurielle. Maintes fois remise en question, on lui préfère fréquemment aujourd'hui les termes de "production", "travail", "pièce", "situation". Néanmoins, et malgré les transformations de l'art à l'heure actuelle, peut-on se passer de l’œuvre sans que cet abandon ne relève d'un "extrême artifice"? Nous proposons de l'analyser sous l'angle d'une précarité à la fois intrinsèque et conjoncturelle. L’œuvre est précaire, d'une part, parce qu'elle est un objet de pensée voué à la critique et à la réflexivité depuis son apparition à la Renaissance et sa réception esthétique au dix-huitième siècle. D'autre part, parce qu'elle s'expose aux risques et aux transformations liés aux évolutions de la modernité et de la postmodernité. Une autre forme de précarité, propre à la société contemporaine dans ses fondements capitalistes et technologiques, est interrogée notamment au travers de la production de trois artistes - Pierre Huyghe, Ryan Trecartin et Camille Henrot - dont les œuvres consistent davantage en des champs de relations aux variations multiples qu'en des objets. Quel type d'expérience accompagne la traversée, contingente et fugitive, latérale et fragmentaire, des expositions et des espaces discursifs de ces "œuvres précaires"? / The definition of the artwork is complex and plural. Repeatedly called into question, the terms of "production", "work", "piece", "situation", are frequently preferred nowadays. Nonetheless, and in spite of the current transformations of art, could we do without this notion? Our thesis analyses the work of art from the angle of an intrinsic and temporary precariousness. It is precarious, on one hand, because the work is an object devoted to criticism and reflexiveness ever since its appearance during the Renaissance and its aesthetic reception in the eighteenth century, and on the other hand, because it is exposed to the risks and disruptions of modernity and postmodernity's developments. Another form of precariousness, specific to the capitalist and technological age, is examined through the production of three contemporary artists - Pierre Huyghe, Ryan Trecartin and Camille Henrot. Their works consist more in a field of relations with multiples variations than in objects. What sort of experience should we expect from those exhibitions and discursive spaces of the "precarious work"?
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The Muslim-Turkish merchant and industrial bourgeoisie in Turkey in the 1920's and their relation with the political power / La bourgeoisie marchande et industrielle musulman-turc en Turquie dans les années 1920 et leur relation avec le pouvoir politiqueBaşaran, Neslişah Leman 26 September 2014 (has links)
Cette thèse examine la bourgeoisie musulmane-turque marchande et industrielle, dans la période de la fondation de la République en Turquie. L’argument principal de cette étude consiste à prouver que les commerçants et les entrepreneurs musulmans-turcs dans les années 1920 constituaient une classe sociale qui cherchait à dominer économiquement, socialement et politiquement. Au début de la République, les commerçants et industriels musulman-turcs constituaient une classe qui possédait une culture et une idéologie commune, une vision englobante sur l'économie du pays. D'une part, cette étude révèle la composition interne de cette classe, les secteurs d'activité dont ses membres s'occupaient, leurs sources de richesse, leurs voies de développement. D'autre part, cette thèse révèle le rôle que joue cette classe sociale dans les années 1920 avec leurs demandes et leurs préoccupations, leur idéologie et leurs affiliations politique. / This thesis aims at demonstrate that Muslim-Turkish merchants and entrepreneurs in Turkey in the 1920’s constituted a social class, namely the national “bourgeoisie” of the country, seeking to dominate economically, socially and politically. At the beginning of the Republic, the Muslim-Turkish merchants and industrialists constituted a class which had a common culture and ideology, and a vision regarding the economy of the country in general. On one hand, this study reveals the internal composition of this class, its components, the business sectors they dealt with, the sources of their wealth and their paths of development, whereas on the other hand, it presents the role that this social class played in the 1920’s by focusing on their economic and political organizations, their demands and concerns, their ideology and political affiliations and finally on their relationship with the political power.
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Politique et politiques urbaines dans la Roumanie (post)socialiste. Perdants et bénéficiaires des processus de nationalisation et de restitution des immeubles nationalisés/ Politics and Urban Policies in (Post)Socialist Romania. Winners and Losers of Nationalization and RestitutionOtoiu, Damiana Gabriela 30 June 2010 (has links)
Notre examen de la reconfiguration de la propriété privée durant les régimes communistes et postcommunistes a comme point de départ une interrogation banale qui, depuis l’ouvrage canonique de Laswell, Politics. Who gets what, when, and how ?, est considérée essentielle pour la compréhension des processus politiques : qui sont les principaux bénéficiaires / perdants de ces métamorphoses du régime de la propriété ?
Pour formuler une réponse à cette interrogation, nous avons structuré notre analyse en trois parties.
La première partie, "La Propriété urbaine dans la Roumanie (post)socialiste. Politique et politiques publiques", dresse un tableau général de la transformation socialiste et postsocialiste de la propriété privée en milieu urbain. Ce tableau général concerne tant le cadre normatif et institutionnel, que les acteurs socio-politiques qui essaient de s’impliquer dans l’élaboration des politiques publiques.
Les deux études de cas qui constituent la deuxième et la troisième partie de la thèse examinent la construction juridico-politique des « gagnants » et des « perdants » de ces processus de reconfiguration de la propriété : La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive (2e partie), respectivement Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie (3e partie).
Pour analyser la construction des « perdants », le rapport qui s’établit entre "La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive" nous a semblé un observatoire privilégié. La principale raison tient à l’ingéniosité des méthodes d’expropriation imaginées par les communistes pour la spoliation économique des différentes minorités ethniques ou religieuses et à la diversité des raisons invoquées par les législateurs postcommunistes pour différer la restitution de certaines de ces propriétés. Nous présumons que dans l’histoire de la « propriété juive » nous pourrions également appréhender un processus de construction (post)socialiste d’une « communauté imaginée », homogène, ethno-nationale, d’un « rapport particulier qui existerait entre l’État, la propriété et l’identité nationales » (Verdery 1998 : 298).
Après des reconfigurations radicales de la sphère économique et l’étatisation des propriétés (industrielles, immobilières, foncières), l’unique catégorie sociale qui pouvait disposer discrétionnairement de la propriété nationalisée était la nomenklatura communiste. La 3e partie de la thèse, "Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie", retrace l’histoire du quartier de la nomenklatura, situé au nord de Bucarest, de ses habitants d’avant 1989 et de leurs avatars postcommunistes. L’histoire politique du quartier se superpose à l’histoire des élites dirigeantes de la Roumanie et est révélatrice pour les rapports entre les différentes factions formées à l’intérieur du Parti, les épurations, les réhabilitations. Elle représente également un observatoire privilégié pour les rapports que le Parti Communiste Roumain entretient avec Kremlin, ainsi qu’avec d’autres partis communistes. Finalement, l’histoire postcommuniste du même quartier peut fournir une réponse à une question apparemment très simple, à savoir « qu’est-ce qui change après 1989 » ? Par cette étude de cas nous nous proposons de « tester » la thèse du « capitalisme politique », selon laquelle on assisterait après 1989 à une transmutation du capital politique que la nomenklatura communiste détenait en capital économique.
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Désir et vulnérabilité. Études sur le problème politique de Hobbes et le façonnement social-historique de la subjectivitéBissonnette, Jean François 08 November 2012 (has links)
Cette thèse vise à cerner les raisons historiques, intellectuelles et affectives de l’importance que reçoit le problème de la vulnérabilité individuelle dans la culture politique des sociétés modernes. Il s’agit de tenter de comprendre pourquoi et par le concours de quelles transformations normatives et structurelles nous en sommes venus, comme citoyens, à attendre de l’État qu’il nous protège des affres de l’existence. L’oeuvre philosophique de Thomas Hobbes, fondée sur une anthropologie individualiste où l’homme apparaît mû par deux affects, le désir et la crainte, nous paraît être la première formulation théorique de ce problème de la vulnérabilité, et à ce titre, nous posons qu’elle a été déterminante pour l’institutionnalisation d’une rationalité politique proprement moderne. De manière à saisir quelles ont pu être les conditions de possibilité de la philosophie de Hobbes, de même que son influence sur l’imaginaire politique occidental, il nous faut tenter de comprendre non seulement pourquoi l’affectivité humaine a pu se trouver ainsi posée comme enjeu du gouvernement, mais comment elle est aussi liée, de manière générale, au fonctionnement des institutions sociales, lequel est historiquement contingent. Il en va ainsi d’une interrogation, que nous poursuivrons dans un relevé des principaux concepts à l’aide desquels Sigmund Freud, Norbert Elias, Max Weber et Michel Foucault ont pensé les modalités du façonnement social et historique de la subjectivité, et par le biais de laquelle nous espérons expliquer pourquoi le « type d’homme » sur lequel s’appuie le régime libéral moderne implique le vécu d’une expérience affective marquée par un rapport tendu entre le désir et le sentiment de la vulnérabilité.
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Le changement social et l'État moderne en MongolieFloret, Arthur P. J. 12 1900 (has links)
Ce mémoire propose une analyse socio-historique d'un cas extrême de changement social par son ampleur et sa rapidité: l'apparition ex-nihilo, à partir des années 1990, d'une population de plus de 100 000 mineurs artisanaux en Mongolie. Pour ce faire, il offre, premièrement, des outils théoriques au lecteur pour comprendre la tension entre permanence et mouvement qui anime les sociétés humaines. Deuxièmement, il identifie les tendances récurrentes de l'histoire mongole pour rendre le présent plus intelligible. Troisièmement, il détaille les principales caractéristiques contemporaines de ce nouveau phénomène, ainsi que ses potentialités pour le proche avenir. Mais surtout, à chaque étape, il construit une théorie locale et partielle du changement social, qui montre l'impact croissant de l'État moderne et de son idéologie du progrès et de la rationalité dans la vie de tous les individus, qui laisse les plus marginaux d'entre eux de plus en plus dépourvus d'influence sur leur environnement. / This paper outlines a socio-historic analysis of an extreme case of social change in Mongolia in the 1990s, which saw the sudden emergence of more than 100 000 artisanal miners. The first chapter discusses the relevant concepts which assist to develop an understanding of the tensions between stability and movement in human societies and how this in turn produces change. The next chapter identifies the recurring trends of Mongolian history and how that contributes to the present situation. The final chapter details the characteristics of this phenomenon and how it might develop in the near future. This paper proposes a new theory that, applied to this specific case, illustrates the impacts of the modern state on each individual and how it diminishes control from the marginalised groups of society.
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La culture matérielle des épaves françaises en Atlantique nord et l'économie-monde capitaliste, 1700-1760Dagneau, Charles January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les Systèmes Urbains Cognitifs : des supports privilégiés de production et de diffusion d'innovations ? : études des cas de 22@Barcelona (Barcelone), GIANT/Presqu'île (Grenoble), Distrito tecnológico et Distrito de Diseño (Buenos Aires)Besson, Raphaël 13 December 2012 (has links) (PDF)
Les mutations récentes du capitalisme, où la " connaissance " tend à remplacer les ressources naturelles et le travail physique comme outils de croissance économique, transforment en profondeur les villes contemporaines. Dans ce contexte, les villes dites " post-fordistes " adaptent leurs structures productives, spatiales et socio-organisationnelles aux exigences de la nouvelle économie. L'une des manifestations les plus claires de ces mutations réside dans la multiplication de grands projets développés au cœur des villes : " Districts Technologiques ", " Districts de l'Innovation ", " Cités du Design ", " Cités du Multimédia ", " Quartier des Sciences ", " Quartiers de la Création ou de l'Innovation " etc. Pour comprendre ce phénomène nous avons réalisé une analyse comparative de quatre projets mis en œuvre dans trois villes : Barcelone (22@barcelona), Buenos Aires (Distrito Tecnológico ; Distrito de Diseño) et Grenoble (projet GIANT /Presqu'île). A travers cette étude nous avons cherché à répondre à deux questions fondamentales. Ces projets préfigurent-ils l'émergence d'un nouveau " Modèle Territorial de l'Innovation " (MTI), le modèle des " Systèmes Urbains Cognitifs " (SUC) ? Dans quelle mesure les caractéristiques distinctives des SUC font de ces sites des supports privilégiés de production et de diffusion d'innovations ?
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