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Cinéma analytique et transfert : l’expérience spectatorielle dans "Persona" et "L’Heure du loup" de Bergman et "Antichrist", "Melancholia" et "Nymphomaniac" de Von Trier / Analytical cinema and transference : Spectator’s experience of "Persona" and "Hour of the Wolf" by Bergman and "Antichrist", "Melancholia" and "Nymphomaniac" by Von Trier

Cabart, Anaïs 02 December 2017 (has links)
Le développement simultané du cinéma et de la psychanalyse a donné lieu à de nombreuses études confrontant et associant ces deux sphères. Cette thèse interroge plus particulièrement le transfert comme phénomène se manifestant dans la rencontre entre le spectateur et le film, et s’appuie sur les théories de psychanalyse jungienne. À partir de la prise en compte d’un cinéma analytique, associant réflexivité et thématique psychologique, l’hypothèse émise est celle de la présence de « psychés-films », facilitant l’étude du phénomène de transfert dans l’expérience spectatorielle. À travers leur construction spatiale et temporelle et par leur constitution figurale, ces « psychés-films » s’apparentent à des psychés projetées à l’écran et visuellement accessibles. Dans son acception jungienne, le transfert est un phénomène transpersonnel aux conséquences psychiques et physiques et qui engage deux individus dont les inconscients communiquent entre eux. En mettant en évidence les spécificités d’un tel phénomène au cinéma, cette thèse interroge la possibilité d’envisager un inconscient propre au film, notamment à l’aide de théories d’esthétique du cinéma, et les conséquences éventuelles, dans le corps et dans la psyché, d’une rencontre transférentielle entre le spectateur et le film. Afin d’étudier la possibilité d’un transfert dans l’expérience spectatorielle, cinq films interprétables en tant que « psychés-films » sont analysés sous un angle jungien : Persona et L’Heure du loup, réalisés par Ingmar Bergman et Antichrist, Melancholia et Nymphomaniac, réalisés par Lars von Trier. Pour ce faire, cette recherche s’effectue suivant des perspectives psychanalytique (Jung, Ferenczi, Freud, Abraham et Török), esthétique (Brenez, Lefebvre, Vancheri) et philosophique (Damasio, Derrida), et par la prise en compte d’un spectateur idéal. / The simultaneous development of cinema and psychoanalysis led to many studies confronting and associating these two fields. This thesis examines more specifically transference as a phenomenon arising in the encounter between spectator and film, and is based on Jungian psychoanalytic theories. Considering an analytic cinema, which associates reflexivity and psychological themes, I hypothesised the existence of “psyche-films”, enabling the study of the psychoanalytic transference within spectator’s experience. Through their spatial and temporal constructions and their figural composition, these “psyche-films” are akin to psyches projected on screen and visually accessible. According to Jung, transference is a transpersonal phenomenon with psychological and physical consequences, involving two individuals whose unconscious communicate together. Bringing out the characteristics of such a phenomenon, this thesis explores the possibility of considering the film’s own unconscious, in particular with the help of film aesthetics theories, and questions the consequences, inside body and psyche, that might be caused by the transferential encounter between spectator and film. In order to study the possibility of such a transference in the spectator’s experience, five films regarded as “psyche-films” are analysed using a Jungian perspective: Persona and Hour of the Wolf, directed by Ingmar Bergman and Antichrist, Melancholia and Nymphomaniac, directed by Lars von Trier. To this end, this research is performed using psychoanalytic (Jung, Ferenczi, Freud, Abraham and Török), aesthetic (Brenez, Lefebvre, Vancheri) and philosophical (Damasio, Derrida) perspectives, and considering an ideal spectator.
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Ontophonie et pictopoésie dans l'oeuvre de Gherasim Luca. : etude de la "variation continue". / Pictopoésie and ontophonie : A study of the continuous variation in the complete works of Gherasim Luca

Clonts, Charlène 07 July 2016 (has links)
Cette thèse étudie le processus de variation continue comme une trame de fond de l’oeuvre complète de Gherasim Luca, afin de mettre en valeur ses aspects plastiques et phoniques, leur articulation ainsi que la façon dont la pictopoésie et l’ontophonie participent à l’autogénération textuelle. Considérant l’oeuvre à la croisée des arts, l’analyse souligne la structure des espaces textuel et iconique. Elle s’intéresse en outre aux figures (personae) émergeant d’une esthétique protéiforme et à l’espace figural du langage, mettant aussi à l’épreuve la théorie deleuzienne de la variation continue pour en montrer les ressorts et les dépassements. Enfin, la mise en oeuvre organique, phonique et linguistique del’ontophonie interroge les voix/voies nouvelles établies par la poésie orale et la médiopoétique, ménageant un accès vers l’analyse de la répétition et de la reformulation en tant que genèse infinie. / The aim of this PHD is to study the process of the continuous variation, as the guiding principle for the complete works of Gherasim Luca. The purpose is to highlight both its plastic and its phonic aspects, how they work together, and also the way pictopoésie and ontophonie help create a perpetual selfgenerated text. Since the works stand at the crossroads of several arts, this analysis underlines the structure of the iconic and textual spaces. One of the axis of research, that focuses on the persona, as it emerges from a protean aesthetics, and on the figurative space proper to language, calls thus intoquestion Deleuze’s theory of “continuous variation”, while showing its internal mechanism and its exceedance. Finally, the phonic, the linguistic and the physical performance, in staging the ontophonie, brings into question the voices and the media as a means, established by the oral poetry and the mediopoetics, granting access to an analysis based on endless repetition and reformulation.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie January 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.

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