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Figurations monstrueuses dans trois oeuvres de Josée Yvon : étude précédée du recueil Désirs fous

Aubé Lanctôt, Amélie January 2012 (has links)
Ce mémoire a pour objectif l'exploration en deux temps (volets créatif et réflexif) d'une écriture au féminin qui cherche à composer avec une identité trouble. La première partie, qui est la partie créative du mémoire, présente un sujet lyrique féminin aux prises avec des désirs particuliers et qui est en quête d'un ailleurs. Sur un ton alternant entre l'ironie et la mélancolie, le recueil se présente sous forme de fragments poétiques et de poèmes en vers. La partie réflexive s'attache également à mieux comprendre un sujet qui compose avec une identité instable, voire marginale, à travers l'étude de figurations monstrueuses au féminin dans trois oeuvres de Josée Yvon : La chienne de l'hôtel Tropicana, publié en 1977 aux Herbes rouges, Les laides otages, en 1990, et La cobaye, en 1993, tous deux chez VLB éditeur. Cette partie du mémoire se divise en deux chapitres : "Les personnages" et "Lieux sordides et formes éclatées", qui abordent le monstrueux à partir de l'étude des corps, des caractères et des comportements, des lieux et de la forme des récits et poèmes.
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Imaginaire et usages du froid dans les pratiques scéniques et dramaturgiques du théâtre québécois contemporain : étude d'Agaguk et de Roche, papier, couteau...

Gagné, Julie 12 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, je propose que le froid, au théâtre, se manifeste par ses effets sur le(s) corps, l'espace, la matière et le langage. Après avoir établi les éléments qui incarnent le froid dans la représentation et dans le texte dramatique, je vise à déterminer son usage dans les pratiques scéniques et dramaturgiques en m'intéressant à deux œuvres où il participe à la création de formes inédites, soit l'adaptation d'Agaguk d'Isabelle Hubert, présentée par le Théâtre Sous Zéro (TSZ), et la pièce Roche, papier, couteau... de Marilyn Perreault, créée par le Théâtre I.N.K. Mon premier chapitre définit le froid et ses effets afin de cerner les composantes qui en forment l'imaginaire. Sensation intensifiée par l'humidité, le vent et la noirceur, le froid transparaît par le truchement d'effets corporels d'ordre physique (Lapras, Larrouy, Ambid et Richard) et comportemental (Parsons et Hensel). Il force l'organisme à l'isolement (Suhonen), l'oblige à prendre refuge (Durand) et s'inscrit dans un territoire marqué par la nordicité (Hamelin). Absence de chaleur, il modifie l'état de la matière sans l'altérer (Ruiu). Marque de subjectivité, il témoigne de la sensibilité du locuteur (Kerbrat-Orecchioni). Phénomène complexe, le froid se rêve grâce aux matériaux nordiques (Désy), tandis que le feu, la chaleur, l'évoque par contiguïté (Désy et Michelis-Maslosh). Ambigu, il véhicule l'angoisse de la mort et l'espoir du dégel, la violence et la quiétude, le silence et le trop-plein de mots (Désy et Michelis-Maslosh). Il commande un souffle bref et une langue morcelée (Girard). Mon deuxième chapitre se consacre à l'Agaguk du TSZ, dont la dialectique « chaud-froid » permet au spectateur de contempler l'hiver dans le confort de l'intérieur. Il traite de la théâtralité (Féral) qu'appelle le froid et qui se déploie par le biais du quatrième mur vitré et d'un espace composé de trois lieux distincts (salle de spectacle, castelet et extérieur). L'analyse des mots « froid » et « froidement », présents dans l'adaptation d'Hubert, révèle la fonction du froid dans le texte dramatique : il exprime l'impassibilité, dissimule les pensées ou les réactions, contraint les personnages au refuge, à l'immobilité, à l'isolement, à la proximité et au silence, en plus d'accentuer la tension dramatique. Mon troisième chapitre, qui porte sur l'analyse génétique et dramaturgique de Roche, papier, couteau..., retrace la manière dont Perreault représente le froid. Le Nord inuit, découvert par l'auteure lors de séjours au Nunavik, influe sur l'inventivité du langage, le rapport des personnages à la parole et au silence, le suspense et l'univers froid. La genèse du texte montre la construction de l'espace et mène à une réflexion sur la spatialité du froid (l'intérieur, l'extérieur et le cadre). Le froid énoncé, quant à lui, rappelle l'état de survie des personnages, figure leur mal-être, les pousse à se réchauffer de différentes façons, leur insuffle une poésie et laisse poindre l'espoir. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Froid, Hivernité, Nordicité, Théâtre québécois, Imaginaire, Représentation, Dramaturgie, Génétique théâtrale, Marilyn Perreault, Isabelle Hubert, Théâtre I.N.K., Théâtre Sous Zéro, Contiguïté, Subjectivité, Refuge, Cadre, Fenêtre.
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Fonds culturel commun et choix de corpus : un éclairage des pratiques de sélection des enseignants du collégial par la description de leurs représentations

B. Deshaies, Catherine 12 1900 (has links) (PDF)
Dans la formation collégiale générale et dans les cours de français, langue et littérature, l'acquisition d'un fonds culturel commun par les élèves (MELS, 2011; MÉQ, 1998) revêt une importance capitale, ce qui entre toutefois en contradiction avec les réalités suivantes : les devis ministériels ne fournissent que peu d'indications quant à la définition de ce concept (Roy, 2000), en même temps qu'ils donnent des directives peu précises pour la sélection des textes littéraires qui doivent contribuer au développement de ce fonds culturel commun (Roy, 2000). Dans ce contexte, et en tenant compte du constant débat autour des contenus littéraires à enseigner (Dezutter et al., 2012; Dufays, 2010; Gaudreau, 2011; Roy, 2000), il appert que connaitre les représentations des enseignants quant à ces éléments pourrait conduire à une meilleure compréhension de leurs pratiques de sélection. Ainsi, notre recherche exploratoire à visée descriptive s'est fixé les objectifs suivants : (1) décrire les représentations qu'ont les enseignants de français du niveau collégial de l'objectif ministériel d'acquisition d'un fonds culturel commun, (2) décrire leurs représentations quant aux directives ministérielles pour la sélection des textes littéraires et (3) décrire leurs pratiques de sélection pour les textes littéraires à mettre au programme de lecture des élèves. En tenant compte des liens étroits qui existent entre culture, fonds culturel commun, littérature et éducation (Balandier, 1992; Dumont, 1968; Forquin, 1989; Rocher, 2012; Simard, 2004; Zakhartchouk, 1999), et en nous appuyant sur les théories relatives à l'étude des représentations (Abric, 1994a, 2003b), nous avons élaboré un questionnaire d'enquête afin de procéder à la collecte des données auprès de 30 enseignants de français du niveau collégial de l'ile de Montréal. L'analyse qualitative interprétative des résultats a révélé que les enseignants, qui se voient majoritairement comme des passeurs culturels (Zakhartchouk, 1999), ont des représentations relativement variées du concept de fonds culturel commun, qu'ils sont nombreux à apparenter à la culture générale; la dimension commune du fonds culturel commun semble être l'élément qui fait le moins consensus au sein de notre échantillon. Les directives ministérielles sont satisfaisantes pour la majorité des enseignants, bien qu'ils soulignent toutefois leur perception de quelques irritants, liés notamment à la nature restrictive, ou à l'inverse, peu précise des directives. Enfin, en ce qui concerne le corpus sélectionné par les enseignants, nous avons constaté, à l'instar de Dezutter et son équipe (Babin et al., 2011; 2012; Dezutter et al., 2012), que le corpus est significativement éclaté, en plus d'être marqué par une relative dominance de textes français issus des siècles passés. Pour les enseignants, les éléments qui sont les plus déterminants au moment de faire leurs choix de textes concernent la valeur littéraire des textes et les apprentissages qu'ils rendent possibles. Le bagage antérieur des élèves ne figure pas parmi les données importantes à considérer par les enseignants, ce qui nous fait envisager un risque de dissonance culturelle (Lahire, 2004) accru pour un certain nombre d'élèves. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : représentations, culture, transmission culturelle, fonds culturel commun, texte littéraire, pratiques de sélection, choix de corpus
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La figure de l'enfance dans l'œuvre d'Hervé Guibert

Godin-Ouimet, Louis-Daniel 08 1900 (has links) (PDF)
L'œuvre d'Hervé Guibert est marquée par l'enfance. Partout, l'enfance est convoquée : celle toujours perdue, celle qui survit et insiste, celle qu'il désire rejoindre (voir, prendre, toucher, érotiser, incorporer), celle qu'il faudrait dominer, écraser, détruire, celle qui happe, soumet, éblouit. Dans cette constellation du désir, l'œuvre trace des chemins qu'il nous faut reconstruire. Plus qu'un ensemble de représentations, l'inscription de l'enfance dans l'œuvre de Guibert nous invite à dégager une véritable figure textuelle, laquelle éclaire trois scènes : celle de la jouissance, celle du deuil et celle de la filiation. Le repérage de ces trois scènes et l'analyse de leur mise en récit occupe le cœur de notre travail. Comment s'élabore à même le matériau textuel une quête de jouissance jamais résolue; comment s'inscrit dans le texte un travail de deuil dont l'objet de la perte est le sujet lui-même; comment se construit une filiation alternative, mais surtout, comment s'écrit l'enfance, qui fait tenir entre elles toutes ces scènes? D'abord, nous intéresse l'enjeu narratif. Nous accordons une attention particulière au rôle de la mort dans l'œuvre de Guibert, intrinsèquement liée à l'acte d'écriture. Comment Guibert perçoit-il et subit-il la perspective de sa mort imminente? Quelle trace cherche-t-il à laisser? Ces questions nous mèneront à interroger le statut de l'Autre dans son œuvre. Pour ce faire, nous convoquons plus d'une dizaine de textes de Guibert. Aucun des ouvrages de l'auteur ne se dérobe à la figure de l'enfance, celle-ci étant absolument omniprésente. Cela dit, trois textes ressortent du lot, chacun exploitant largement cette figure : Vous m'avez fait former des fantômes, Voyage avec deux enfants et Le mausolée des amants. L'auteur - avant le sida et avec le sida - anticipe sa fin et fait de sa mort imminente un enjeu textuel. Se trame dans son œuvre un fantasme d'auto-engendrement à comprendre comme le point culminant de la figure de l'enfance : l'écriture, pour Guibert, est enfantement d'une œuvre et enfantement de soi. L'inceste et le cannibalisme, en tant que le sujet les conçoit comme des moyens de jouir du même (de son double, de son enfant) et d'ainsi imposer une filiation circulaire rejoignent la notion d'auto-engendrement. De là, l'analyse de la pulsion orale permet de mesurer la portée de ces mises en scène où se croisent des figures d'ogres et de monstres mythiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hervé Guibert, Enfance, Figure textuelle, Fantasme, Auto-engendrement, Deuil
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La figure du livre et le Livre total dans trois nouvelles de Jorge Luis Borges : "Tlön, Uqbar, Orbis Tertius", "La Bibliothèque de Babel" et "Le livre de sable"

Bélisle, Olivier 04 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est d'observer la relation obsessionnelle qui se développe entre les figures du livre apparaissant dans trois nouvelles de l'écrivain argentin Jorge Luis Borges et les personnages-lecteurs entrant en contact avec elles. À travers l'étude de l'apparition et l'évolution de ces figures dans « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius », « La Bibliothèque de Babel » et « Le livre de sable », nous en déterminons les impacts et les conséquences sur les personnages et leurs univers fictionnels. Notre analyse considère que l'obsession des personnages pour une représentation de la figure du livre est déclenchée exclusivement lorsque cette dernière se présente comme la figure du Livre total, le livre contenant tout. Dans un premier temps, nous déterminons ce que nous entendons par figure. Pour ce faire, nous utilisons principalement la théorie du symbole élaborée par Maurice Blanchot dans Le livre à venir (1959) et celle de la figure présentée par Bertrand Gervais dans Figures, Lectures - Logiques de l'imaginaire Tome 1 (2007). À partir de celles-ci, nous analysons les éléments nécessaires à l'apparition d'une figure dans un texte littéraire et nous étudions comment elle parvient à s'installer en tant que le centre d'attention des sujets avec lesquels elle entre en relation. Ces théories nous permettent d'affirmer que l'essence même d'une figure est l'obsession qu'elle parvient à susciter chez un sujet. Sans elle, il n'y a pas de figure. Nous faisons, ensuite, une analyse de la bibliographie critique. D'une part, nous étudions la signification du livre selon Jorge Luis Borges en nous appuyant essentiellement sur la conférence sur le livre qu'il donna en 1978. D'autre part, nous nous penchons sur plusieurs analyses sur son œuvre qui portent sur le rôle primordial que le livre joue dans celle-ci. De plus, nous remarquons que certains critiques signalent la présence chez Borges d'un objet livresque encore plus important : le Livre total. Ainsi, nous portons une attention particulière à la constitution d'un tel objet, afin de déterminer comment il parvient à prendre une place essentielle dans certains des textes borgésiens. Pour terminer, nous identifions les représentations de la figure du Livre dans chacune des trois nouvelles analysées. Nous décrivons leur apparition dans les univers textuels et expliquons comment elles parviennent à devenir obsédantes pour les personnages avec lesquels elles entrent en contact. Pour ce faire, nous mettons de l'avant le caractère infini de la figure du Livre et le concept du Livre monde qu'elle englobe. Finalement, nous explorons les différents impacts que cette obsession a sur les personnages et leur univers respectif en analysant l'évolution des composantes obsessionnelles entourant chacune des figures du Livre. Nous constatons que c'est l'impossibilité pour les personnages-lecteurs de satisfaire leur obsession qui cause ces conséquences, et que celles-ci deviennent alors irréversibles. ______________________________________________________________________________
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Méthode de la lecture, lecture de la méthode : l'acte de lecture en didactique de la traduction (Canada)

Normandin, Julie Stéphanie 22 March 2011 (has links)
Cette étude entend questionner l’impensé de la lecture et de la textualité sous-jacent aux modèles traductologiques orientés vers le processus qui se sont imposés en didactique de la traduction au cours des quatre dernières décennies, tels que la théorie interprétative de l’École de Paris et la théorie fonctionnaliste du Skopos de l’École allemande, et qui sous-tendent actuellement la formation des traducteurs professionnels au Canada. On trouvera dans ces pages, après un survol de l’histoire de cette formation, une confrontation dialogique entre les fondements immanentistes des approches qui y sont dominantes et ceux de théories issues du champ littéraire ayant problématisé l’acte de lecture, ainsi que l’analyse de la traduction collective d’une œuvre de fiction (réalisée par une équipe de traducteurs diplômés du premier cycle) dont le but est d’étayer la critique métathéorique.
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Les inventés, suivi de Le tremblé du sens

Girard, Jean Pierre January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
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La traduzione alla prova dell'eterolinguismo : il caso dei testi letterari postcoloniali francofoni / Translation confronted with heterolingualism : the case of postcolonial literary texts written in French / La traduction à l'épreuve de l'hétérolinguisme : le cas des textes littéraires postcoloniaux francophones

Denti, Chiara 04 July 2017 (has links)
Écrits à la croisée des langues, les textes postcoloniaux sont marqués par ce phénomène que Rainier Grutman a appelé «hétérolinguisme», à savoir la coprésence des langues différentes dans un texte littéraire. Se focalisant sur un corpus de dix romans francophones postcoloniaux, publiés en France à partir des années 2000, cette thèse se propose d’une part d’étudier la mise en scène de l’hétérolinguisme dans les textes sources – ses formes et son fonctionnement – et, d’autre part, d’analyser son devenir en traduction en s’appuyant sur les versions aussi bien italiennes qu’anglaises et espagnoles. C’est le problème de la restitution de l’hétérogénéité linguistique qui est au centre de cette étude. L’analyse nous permettra de montrer comment la traduction peut relever le défi de l’hétérolinguisme. Loin de représenter un problème insoluble, l’hétérogénéité linguistique peut être restituée pourvu que la traduction dépasse les préceptes de la transparence et de la lisibilité sur lesquelles elle se régit. / Written at the intersection of languages, postcolonial texts show evidence of the phenomenon that Rainer Grutman has called “heterolingualism”, that is to say the coexistence of different languages in a literary text. Focusing on a corpus of ten postcolonial novels written in French, published in France from the year 2000 onwards, this thesis, on the one hand, deals with the inclusion of heterolingualism in source texts – its forms and the way it works – and on the other hand, analyses how it is translated in the Italian as well as the English and Spanish versions. The problem of rendering linguistic heterogeneity is the core of this research. Our analysis will allow us to demonstrate how translation can take up the challenge of heterolingualism. Far from being an insoluble problem, linguistic heterogeneity can be rendered as long as the translation overrides the principles of transparency and readability on which it is usually based.
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L’écrivain et la société : le discours social dans la littérature française du XVIIIème siècle à aujourd’hui / The writer and society : social discourse in French literature, from the 18th century to the present

Batranu, Raluca 15 September 2017 (has links)
Étudier le rapport entre les arts, plus particulièrement entre la littérature et la sociologie n’a rien de nouveau de nos jours. Pourtant c’est une discipline qui s’est développée plutôt à partir de XIXème siècle et qui a pris de l’ampleur au XXème siècle avec l’apparition des sciences sociales. Dans ma thèse, je veux rendre compte du dialogue entre la littérature et la sociologie et pas forcément de faire une sociologie de la littérature. Je veux montrer de quelle façon la sociologie s’est inspirée des œuvres littéraires au point d’en faire un support pratique pour les théories sur la vie sociale, mais aussi de quelle façon les œuvres littéraires rendent compte par leur contenu des habitudes d’une époque, voire du monde social qui entourait les écrivains au moment de leurs créations littéraires. Afin de rendre compte de ce dialogue entre la littérature et la sociologie j’ai choisi de m’appuyer sur quelques œuvres de la littérature française du VIIIème siècle jusqu’à la littérature contemporaine. À partir de Montesquieu jusqu’à Annie Ernaux, je voudrais faire le point sur une des interactions les plus riches entre la sociologie et la littérature, tout en étudiant les relations entre les sciences humaines et le champ littéraire. Étudier ce dialogue entre la littérature et la sociologie a des enjeux sensibles, surtout de nos jours où les universités revoient leur cursus : il en va du statut de la littérature comme discipline à part entière, mais aussi du statut de la sociologie qui, comme la littérature remplit finalement la fonction de raconter la vie. Studying the relationship between arts, especially between literature and sociology it’s very commun nowadays. Sociology is a discipline that developped with the begining of the nineteenth century and reached it’s thoroughness in the twentieth century with the merge of social sciences. In my thesis, I want to stress out the dialogue between literature and sociology, without falling into a sociology of littérature or vice versa. I want to show how sociology inspired from literary works using them as a practical support for its theories on social life, but also how literary works Mirror by their containts the habits of and era, the social environment of writers at that time. In order to do that, I have chosen to base my analysis on some French literary works begining with the eighteenth century untill nowadays. From Montesquieu to Annie Eranux I would like to point out the more fertile interactions between literature and sociology, while analyzing the relations between social sciences and the literary field. My subject gets even more interesting nowadays, especially when universities are reviewing their course of study : literature’s situation as a discipline is at stake here, and also sociology’s, as sociology just like literature has the function of « telling» life. / Studying the relationship between arts, especially between literature and sociology it’s very commun nowadays. Sociology is a discipline that developped with the begining of the nineteenth century and reached it’s thoroughness in the twentieth century with the merge of social sciences. In my thesis, I want to stress out the dialogue between literature and sociology, without falling into a sociology of littérature or vice versa. I want to show how sociology inspired from literary works using them as a practical support for its theories on social life, but also how literary works Mirror by their containts the habits of and era, the social environment of writers at that time. In order to do that, I have chosen to base my analysis on some French literary works begining with the eighteenth century untill nowadays. From Montesquieu to Annie Eranux I would like to point out the more fertile interactions between literature and sociology, while analyzing the relations between social sciences and the literary field. My subject gets even more interesting nowadays, especially when universities are reviewing their course of study : literature’s situation as a discipline is at stake here, and also sociology’s, as sociology just like literature has the function of « telling» life.
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Les principes de la propriété intellectuelle en droit français et jordanien : un modèle pour un code palestinien / Principles of intellectual property rights in French and Jordanian law : a model code for Palestinian law

Iriqat, Mohammed 26 March 2013 (has links)
Le but de cette thèse est de faire une comparaison objective entre le droit de la propriété intellectuelle en France et en Jordanie, afin d'en extraire les ressemblances et les différences et d'en tirer un enseignement qui pourra peut-être permettre la conception d'une loi protégeant la propriété intellectuelle dans les pays qui n'en possèdent pas, en particulier la Palestine. C'est pour cette raison que j'ai travaillé sur le droit de la propriété intellectuelle en général sans prendre une branche précise pour mettre en place les principes généraux d'un code de la propriété intellectuelle pour la Palestine. / The purpose of this study is to make an objective comparison between the intellectual property right in France and Jordan law in order to extyarct the similarities and differences to establish the basic principles of intellectual property code for Palestine. The reason why I worked on intellectual property law in general without taking a specific branch.

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