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Santralistanbul : une usine en déclin, une friche culturelle en évolution : la reconversion de la friche industrielle de Silahtarağa en Santralistanbul; un espace culturel pluridisciplinaire et campus / Santralistanbul : a factory in decline, a cultural terrain in evolution

Gündogan, Göknur 10 December 2011 (has links)
La reconversion des friches industrielles constitue depuis les années 1950 un phénomène important en Europe. Bien qu’elle soit connue comme un mouvement de réaménagement urbain, elle porte aussi un sens particulier en ce qui concerne les pratiques culturelles et artistiques d’aujourd’hui. Ces vastes espaces abandonnés par la science et les industries de l’époque moderne deviennent de plus en plus des lieux d’expression alternatifs qui sont propices aux échanges entre l’art, l’industrie et la science de l’époque contemporaine. Ainsi, ces lieux de mémoires incarnent par leurs caractéristiques particulières l’entité des sociétés occidentales contemporaines. A commencer par leurs infrastructures, le modèle d’organisation de travail, et l’approche de production industrielle qu’ils reflètent ; ces usines, laboratoires et centrales sont au croisement de plusieurs questionnements artistiques. L’objectif principal de la présente thèse est d’analyser la possibilité d’une interaction entre l’art, la science, l’industrie mais aussi avec l’ institution académique au sein d’un projet de friche culturelle particulier réalisé à Istanbul en Turquie en mettant l’accent sur les retombées socio‐économiques d’une telle reconversion au niveau urbain. En partant de l’exemple unique de Santralistanbul ‐une initiative de l’université de Bilgi Istanbul qui a redonné vie à l’ancienne centrale électrique de Silahtarağa‐, il s’agit de mettreen lumière les particularités du projet et de se focaliser principalement sur ce qui concerne le domaine des arts du spectacle. / Since the 1950’s, the conversion of industrial wastelands constitute an important phenomenon in Europe. Even if it is more known as a movement of urban redevelopment, it also holds a particular meaning for today’s cultural and artistic practices. These huge (vast) spaces that were abandoned by science and industries of the modern era start to become the places of alternative expressions which are convenient for exchanges between art, industry and science of contemporary times. Thus, these memorial places‐ through their particular characteristics incarnate the entity of the western contemporary societies. Starting by their facilities, the model of organization of work, and the industrial production approach that they reflect; their factories, laboratories and centers are at the crossroads of several artistic questions. The major objective of this thesis is to analyze the possibility of an interaction between art, science, and industry but also academia within the project of a particular cultural wasteland realized in Istanbul in Turkey by putting the emphasis on social –economicalechoes of such a conversion at urban level. Observing the unique example of Santralistanbul – an initiative of Bilgi University that gave life again to the ancient electricity power station of Silahtaraga‐, the point is to highlight theparticularities of the project and to focus principally on the activities concerning the domain of performing arts.
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German Literary and Philosophical Influences on the Chinese Poetry of Feng Zhi (1905-1993) : the Sonnets / Influences littéraires et philosophiques allemandes sur la poésie chinoise de Feng Zhi (1905-1993) : les sonnets

Giuffré, Salvatore 04 July 2018 (has links)
Cette thèse porte sur l’analyse des relations intertextuelles entre des œuvres littéraires et philosophiques allemandes, notamment les textes de Novalis et de Rilke, et le recueil de sonnets de l’écrivain et traducteur chinois moderne Feng Zhi. Le but de cette étude est d’analyser et de discerner dans quelle mesure il est possible d’établir des relations « transtextuelles » entre la littérature primaire, la thèse de doctorat de Feng Zhi, qui a joué un rôle vital dans le développement de sa voix poétique, et son recueil de sonnets. Les textes analysés dans le cadre de cette étude visent à montrer comment certains indices transculturels de la poésie de Feng Zhi définissent la tendance poétique de l’écrivain en tant que postromantique et métaphysique, alors qu’une recherche plus approfondie et d’autres évidences transtextuelles encadrent sa production lyrique parmi les premiers exemples de littérature moderniste chinoise. Les profondes et énigmatiques réflexions contemplatives des sonnets font de Feng Zhi un poète métaphysique. La voix lyrique s'engage avec le monde extérieur et gagne de nouvelles expériences esthétiques à travers l'imagination, la méditation sur l'infini spatial et temporel, la reconnaissance de l'état mutable et permanent de la matière, et une finale réalisation existentielle de l'auto-accomplissement de l'homme à travers son état d'isolement. Cette étude analyse enfin l'idée conceptualisée de l'infini et de la transcendance poétique évoquée par le mysticisme orphique. Cette approche redéfinit la relation du sujet poétique avec le monde extérieur et sa perception constructive finale de sa position au sein de la communauté, de la nature et du cosmos dans son ensemble. / The research conducted in this work focuses on the intertextuality between German literary and philosophical works, notably those of Novalis and Rilke, and the sonnet collection of the modern Chinese scholar and writer Feng Zhi. This study analyses the extent to which transtextual elements travel between the primary literature, the author’s own German doctoral dissertation, which ultimately played a vital role in the development of his lyrical voice, and his sonnets. Moreover, the texts analysed in this study attempt to demonstrate how given transcultural elements in Feng Zhi’s poetry define the writer’s apparent poetic tendency as a post-Romantic and metaphysical lyricist, whereas other closer transtextual investigations place his work among the first examples of Chinese modernist writings. The profound and enigmatic contemplative reflections of the sonnets make Feng Zhi a metaphysical poet. The lyrical self engages with the surrounding world and gains new aesthetic experiences through the power of imagination, the meditation on spatial and temporal infinity, the recognition of the changeable and permanent state of matter, and a final existential realisation of man’s self-completion through his state of isolation. This study finally also analyses the conceptualised idea of infinity and transcendence evoked by Orphic mysticism. This approach redefines the poetic subject’s relationship with the outer world, and the subject’s final perception of his position within the community, nature and the cosmos as a whole.
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Engendered Conversations: Gender Subversion Through Fictional Dialogue in Lawrence, Hemingway and Forster

Snelgrove, Allison 04 1900 (has links)
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L'écriture du non-humain dans la poesie de D.H Lawrence. / Writing the Non-Human in D.H.Lawrence’s Poetry

Bouttier, Sarah 02 December 2011 (has links)
Chez D. H. Lawrence, le non-humain correspond à la fois à une forme de vitalité primordiale et aux créatures végétales et animales que cette vitalité anime bien davantage que les hommes, étouffés par une civilisation moderne qui les rend inertes. Le non-humain apparaît comme le dépositaire d‘une présence pure, existant avant ou hors de la culture. Lawrence est donc confronté à la difficulté de représenter cette présence pure par un moyen intrinsèquement « humain », le langage poétique. Il ne se pose alors pas simplement en anti-humaniste : son écriture poétique du non-humain procède d‘un conflit permanent entre la volonté de se libérer du carcan humain et la nécessité de demeurer dans la sphère humaine, voire de réinstaurer la limite entre humain et non-humain. Ce conflit s‘exprime déjà dans le non-humain comme simple matière vivante, sous la forme d‘une tension entre une conception de la matière comme pure présence extérieure à tout discours humain et une vision de la matière comme objet scientifique par excellence. Dans l‘évocation des créatures, le conflit incite Lawrence à réinventer spécifiquement pour elles des rapports au monde (émotions, perception, agentivité) qui leur permettent de préserver leur présence. Dans le rapport de Lawrence aux créatures non-humaines, le conflit demeure car Lawrence remet en question la limite qui le sépare du non-humain mais la réaffirme également. Enfin, la dialectique entre la volonté de saisir la présence du non-humain et la crainte de l‘abstraire complètement en l‘incluant dans le langage semble particulièrement présente dans ce que nous tentons de définir comme un langage poétique propre au non-humain, au-delà de sa simple utilisation chez Lawrence. / In D. H. Lawrence‘s poetry, the non-human is both a form of primordial vitality and the living world of non-human creatures. Non-human creatures are seen as more able to embody this vitality than modern men, stifled by their civilization. The non-human stands outside the sphere of culture, and its mode of existence is consequently an untouched, pure form of presence. Therefore, Lawrence faces the difficulty of representing this pure presence through an inherently ―human‖ means, poetic language. However, his stance is not entirely anti-humanist: his poetic writing of the non-human is founded on an unceasing conflict between the will to break free from the constraints of humanity and the necessity to remain within a human sphere, and even to reinstate the limit between human and non-human. In the representation of the non-human as mere living matter, this conflict is already manifest, taking the shape of a tension between matter as existing completely outside human discourse, and matter as a scientific object par excellence. When Lawrence evokes the creatures, this conflict brings about a reconfiguration of specific non-human modes of being in the world (emotions, perception, agency), which allow the creatures to interact with each other without diminishing or abstracting their presence. In the poet‘s own relationship with the non-human creatures, the conflict appears again as Lawrence questions the limit between human and non-human while reinstating it. At last, the dialectic between a will to capture non-human presence and the fear of abstracting it when including it within the sphere of language seems particularly present in what we have attempted to establish as a poetic language specific to the representation of the non-human, in Lawrence and other poets.
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Rimbaud et le rimbaldisme. XIXe-XXe siècle / Rimbaud and rimbaldism. 19th century-20th century

Cavallaro, Adrien 18 November 2017 (has links)
Notre thèse a pour but de refonder les études de réception rimbaldiennes en substituant à la notion négative de mythe, forgée par Étiemble dans les années 1950, la notion positive de rimbaldisme. Alors que le mythe envisage la réception rimbaldienne comme une erreur d’interprétation collective et veut séparer l’œuvre de Rimbaud de sa réception, le rimbaldisme entend évaluer ce qui unit l’œuvre et sa réception, en adoptant un point de vue avant tout poétique. Notre corpus comprend les auteurs de réception les plus importants de la fin du XIXe siècle, moment de la réception symboliste de Rimbaud, au début des années 1950, au moment où la critique universitaire prend le relais d’une critique d’écrivains : Aragon, Breton, Claudel, Jacques Rivière, Léon-Paul Fargue, Max Jacob, Gustave Kahn, Verlaine notamment en sont les figures les plus importantes. Les enjeux d’une telle réflexion (historiographiques, herméneutiques, poétiques) sont rimbaldiens et extrarimbaldiens. L’approche littéraire de la réception permet de penser le devenir de l’œuvre rimbaldienne au XXe siècle, tout en livrant des enseignements sur cette œuvre elle-même. Elle permet aussi d’envisager une langue de la modernité poétique, une grammaire mentale selon laquelle la poésie moderne elle-même est théorisée sur notre période. / The aim of this thesis is to reforge the rimbaldian reception studies by substituting rimbaldism, a positive notion, for the negative notion of myth, invented by Étiemble in the early 1950’s. While myth is described as a collective error of interpretation and distinguishes between Rimbaud and the reception, rimbaldism is a way to pay attention to the links between these two fields ; the point of view is strictly poetical. The corpus includes the most important rimbaldian authors from the end of the 19th century, at a time when a symbolist reception was promoting Rimbaud’s works, to the middle of the 20th century, at a time when the writers criticism is progressively overwhelmed by universitary criticism : Aragon, Breton, Claudel, Jacques Rivière, Léon-Paul Fargue, Max Jacob, Gustave Kahn, Paul Verlaine are the most important authors of this corpus. The issues of such an analysis (historiographical, hermeneutical and poetical) are rimbaldian and extrarimbaldian. The literary approach of reception is a way to think about what becomes of Rimbaud’s poetry during the 20th century, and at the same time it is an original way to study this poetry. But the main issue is the approach of an original modern language, a sort of collective mental grammar according to which modern poetry itself is theorized during the period.
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Le détournement post-moderne du référent social dans le roman policier : fonctions et objectifs / Néant

Blancher, Marc 25 November 2013 (has links)
Ce travail est une étude des évolutions propres au roman policier rapportées au glissement de la modernité vers la postmodernité et de leur transposition dans la représentation du social propre à cette forme romanesque. Après deux premiers points préalables respectivement consacrés au développement genres que du roman policier – avec dans cet ordre le roman policier archaïque, le romanà énigme, le roman noir et enfin le néo-polar – depuis le milieu du XIXe siècle et à une mise en perspective des concepts de modernité et de postmodernité, il s’articule autour de trois axes choisis grâce auxquels pourra être établi le lien entre dimension évolutive du roman policier et substitution progressive de la modernité à la postmodernité. Ce lien n’est toutefois pas exclusif et il souligne un rapport d’interpénétration préalable entre les différents concepts.La première partie est consacrée à la notion de décomposition qu’elle étudie à différents niveaux : le premier est le niveau diégétique avec la décomposition narrative. Le roman policier est en effet souvent lié, par l’intermédiaire d’une énigme, à un mode de narration spécifique qui est explicité dans toute son ampleur et rapporté notamment à la notion de structure et de rapport au temps chronologique. Le deuxième point est consacré à la décomposition de la langue. C’est ainsi qu’il analyse les notions de langue au niveau diégétique et les relations entre parole et pouvoir au niveau intradiégétique, ainsi que les implications du pouvoir de la langue et de la parole sur l’image du social.Le troisième et dernier point de cette première partie est consacré à la décomposition du social que renvoie sa représentation via le prisme fictionnel. Il s’arrête plus spécifiquement, dans cet ordre, sur la représentation de l’autorité, sur les définitions des rapports sociaux et enfin sur son positionnement vis-à-vis du politique.La deuxième partie est consacrée aux mythologies du roman policier, aussi bien à celles qui lui sont propres qu’aux substrats qu’il réemploie, ce pour déterminer les modalités de repositionnement de ces éléments. Le premier est l’urbain : après une analyse des hypotextes mythologiques autour de l’urbain et de son rapport à l’humain, il est fait état des réalités socio-historiques liant urbanisation et criminalité avant que ne soit étudiée la redistribution de l’espace au sein de la sphère fictionnelle,notamment autour des concepts d’affect et d’appartenance. Le second est le social, qui est étudié aussi bien au niveau de son implantation idéologique que de son positionnement narratif, ainsi que des tensions sociales qui apparaissent dans la représentation, tensions qui culminent avec l’usage de la violence à différents niveaux. Enfin, le troisième élément est l’humain, qui bénéficie d’une évolution marquée dans son traitement via les figures humaines incarnées dans les personnages de la narration. / This paper is a study of the specific way in which the detective novel has evolved within thecontext of the shift from modernity to postmodernity, and of the manner in which its evolution isreflected within the social element that is peculiar to this fictional format. The paper tackles twoinitial aspects, the first being devoted to the development of the detective novel genre since the mid-nineteenth century, including that of its sub-genres, the roman policier archaïque, the whodunit, theroman noir and finally the neo-polar, and the second seeking to put into perspective the concepts ofmodernity and postmodernity. The focus then turns to three selected themes, which enables a link to beestablished between the evolution of the detective novel and the gradual shift from modernity topostmodernity. However, the link is not exclusive, and the paper emphasises the earlier interactionbetween the different concepts.The first section is devoted to the concept of deconstruction, which is studied at different levels,the first being the diegetic level including narrative deconstruction. In fact, the detective novel isfrequently associated with a specific method of narration, based on a conundrum, the full extent ofwhich is explained with particular reference to the concept of structure and relationship withchronological time. The second point deals with the deconstruction of the language. In doing so, itanalyses the concepts of language at a diegetic level and the relationships between the word andpower at an intradiegetic level, together with the implications of the power of language and the wordon the representation of the social context. The third and final point within this first section is devotedto the deconstruction of the social context that is reflected by its representation through the prism offiction. It focuses more specifically, in the following order, on the representation of authority, thedefinitions of social relationships and its position vis-à-vis politics.
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Ingeborg Bachmann - Elfriede Jelinek. Intertextuelle Schreibstrategien in "Malina","Das Buch Franza", "Die Klavierspielerin" und "Der Tod und das Mädchen V (Die Wand)" / Ingeborg Bachmann Elfriede Jelinek. Stratégies décriture intertextuelles dans « Malina », « Franza », « La Pianiste » et « La Jeune Fille et la Mort (Le Mur) » / Ingeborg Bachmann Elfriede Jelinek. Intertextual writing strategies in Malina, Franza, The Piano Teacher and Death and the Maiden V (The Wall).

Pommé, Michèle 08 September 2008 (has links)
Die Dissertation widmet sich den intertextuellen Schreibstrategien in Ingeborg Bachmanns (1926-1973) Todesarten-Romanen Malina und Das Buch Franza und Elfriede Jelineks (1946-) Roman Die Klavierspielerin und Dramolett Der Tod und das Mädchen V (Die Wand). In diesem Zusammenhang werden zum einen die Systemreferenzen der beiden Österreicherinnen auf die Psychoanalyse und zum anderen die Bezüge auf einzelne sowohl literarische als auch philosophische und mythologische Texte untersucht. Es wird gezeigt, inwiefern sich Bachmanns Inszenierung der Hysterie in Anlehnung an die Schriften Sigmund Freuds und Josef Breuers von Jelineks Inszenierung des psychoanalytischen Diskurses unterscheidet. Bei Bachmann, die sich auf psychoanalytische Schriften beruft bzw. diese zugunsten ihrer eigenen Krankheitskonzeption verwirft, stellt die Hysterie den literarischen Gegenstand dar. Jelinek hingegen erhebt die Hysterie zum Schreibprinzip, insofern sie die inkriminierten Strukturen durch eine Art hysterische Mimesis parodierend bloßzustellen versucht. Die Funktion der Einzeltextreferenzen wird im Kontext von Bachmanns utopischer und Jelineks satirischer Schreibweise erarbeitet. Während Bachmann durch Bezüge u.a. auf Virginia Woolf und Paul Celan Bedeutungszusammenhänge schafft, bringt Jelinek ihre Texte durch die Anhäufung intertextueller Verweise u.a. auf Heidegger, Platon, Hesiod, Homer und Christa Woolf sowie auf Leben und Schaffen Bachmanns, Sylvia Plaths und Marlen Haushofers an den Rand der Bedeutungsimplosion. Die intertextuellen Strategien der beiden Schriftstellerinnen werden zum Schluss im Licht der Moderne/Postmoderne-Diskussion betrachtet. ----------------------------------- La thèse est consacrée aux stratégies décriture intertextuelles dans les romans « Malina » et « Franza » du cycle « Manières de mourir » dIngeborg Bachmann (1926-1973) et au roman « La Pianiste » et au dramolet « La Jeune Fille et la Mort V (Le Mur) » dElfriede Jelinek (1946-). Sont examinés dans ce cadre dune part les références systémiques des deux Autrichiennes à la psychanalyse et dautre part les renvois à divers textes, tant littéraires que philosophiques ou mythologiques. Il est montré dans quelle mesure la mise en scène de lhystérie par Bachmann à lappui des écrits de Sigmund Freud et Joseph Breuer diffère de la mise en scène du discours psychanalytique par Jelinek. Chez Bachmann, qui se base dans sa nosographie sur des écrits psychanalytiques tout en rejetant ces derniers au profit de sa propre conception de la maladie, lhystérie constitue lobjet littéraire. Jelinek, par contre, élève lhystérie au rang de principe décriture dans la mesure où elle tente de ridiculiser de manière parodique les structures incriminées par une sorte de mimesis hystérique. La fonction des références intertextuelles est investiguée dans le contexte des procédés décriture utopique de Bachmann et satirique de Jelinek. Alors que Bachmann met en place des rapports de sens au moyen de références entre autres à Virginia Woolf et Paul Celan, Jelinek mène ses textes au bord de limplosion sémantique par la multiplication des références intertextuelles, entre autres à Martin Heidegger, Platon, Hésiode, Homère et Christa Wolf ainsi quà la vie et à luvre de Bachmann, Sylvia Plath et Marlene Haushofer. Pour terminer, les stratégies intertextuelles des deux auteurs sont étudiées à la lumière de la discussion moderne/postmoderne. ---------------------------------------- This thesis focuses on the intertextual writing strategies in Ingeborg Bachmanns (1926-1973) novels Malina and Franza (from her cycle of novels Ways of Dying) as well as in Elfriede Jelineks (1946-) novel The Piano Teacher and her drama Death and the Maiden V (The Wall). In this context the authors allusions to psychoanalysis and their references to various literary, philosophical and mythological texts are thoroughly investigated. The analysis reveals that Bachmanns staging of hysteria, in the way it recalls Sigmund Freuds and Josef Breuers writings, differs from the way Jelinek deals with psychoanalytical discourse. Bachmann who partly relies on psychoanalytical writings and partly rejects them in favour of her own concept of malady chooses hysteria as her literary topic. Jelinek, on the contrary, makes hysteria her writing principle in trying to uncover incriminated structures by parodying them in some sort of hysterical mimesis. This thesis also investigates the functioning of the authors intertextual links in the context of Bachmanns utopian, and Jelineks satirical, writing style. While Bachmann creates new meaning through references, among others, to Virginia Woolf and Paul Celan, Jelineks texts reach the point of semantic implosion - by the amassment of intertextual hints (for instance to Martin Heidegger, Plato, Hesiod, Homer and Christa Wolf) and references to the life and work of her fellow writers Bachmann, Sylvia Plath and Marlen Haushofer. Finally, both authors intertextual strategies are examined in the light of the Modernism versus Postmodernism discussion.
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Genèse et crise de la sociologie : étude sur l’épistémologie de Raymond Boudon

Mohamed, Ali 16 May 2011 (has links)
La sociologie a proposé une multitude d’explications sur divers phénomènes sociaux. Cependant, plusieurs sociologues, dont Boudon se sont surtout intéressés à l’aspect scientifique de la sociologie. Les questions les plus souvent posées lorsqu’on entreprend de telles études se penchent essentiellement sur le caractère scientifique de la discipline sociologique. Quels sont les critères de scientificité de la sociologie ? Quel est son sens épistémologique dans la littérature scientifique ? Quel est son raisonnement existentiel dans la construction du savoir ? La sociologie pourrait-elle être traitée méthodologiquement parlant au même titre que les autres disciplines des sciences naturelles ou particulières ? Si oui, pourrait-elle expliquer les lois des phénomènes sociaux à partir des observations hypothético-déductives sur la nature de la réalité sociale ? Dans cette thèse, nous tenterons de répondre à ces questions en nous appuyant sur des concepts élaborés par les sociologues classiques et contemporains.
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Genèse et crise de la sociologie : étude sur l’épistémologie de Raymond Boudon

Mohamed, Ali 16 May 2011 (has links)
La sociologie a proposé une multitude d’explications sur divers phénomènes sociaux. Cependant, plusieurs sociologues, dont Boudon se sont surtout intéressés à l’aspect scientifique de la sociologie. Les questions les plus souvent posées lorsqu’on entreprend de telles études se penchent essentiellement sur le caractère scientifique de la discipline sociologique. Quels sont les critères de scientificité de la sociologie ? Quel est son sens épistémologique dans la littérature scientifique ? Quel est son raisonnement existentiel dans la construction du savoir ? La sociologie pourrait-elle être traitée méthodologiquement parlant au même titre que les autres disciplines des sciences naturelles ou particulières ? Si oui, pourrait-elle expliquer les lois des phénomènes sociaux à partir des observations hypothético-déductives sur la nature de la réalité sociale ? Dans cette thèse, nous tenterons de répondre à ces questions en nous appuyant sur des concepts élaborés par les sociologues classiques et contemporains.
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Believing in belief : the modernist quest for spiritual meaning (Croyer en croyance : la quête moderniste pour le sens spirituel)

MacPhail, Kelly C. 09 1900 (has links)
Cette thèse défend l’idée que plusieurs auteurs modernistes ont utilisé des concepts centraux à la croyance religieuse traditionnelle afin de préconiser le changement social. Au lieu de soutenir l'hypothèse de la sécularisation, qui prétend que les modernistes ont rejeté la religion en faveur d'une laïcité non contestée, j'argumente en faveur de ce que j'appelle « la spiritualité moderniste, » qui décrie une continuité intégrale des concepts spirituels dans l'agitation de la période moderniste qui a déstabilisée les institutions qui avait auparavant jeté les bases de la société Occidentale. En me basant sur les écrit de Sigmund Freud, William James et Émile Durkheim concernant les fins poursuivis par la religion, je développe cinq concepts centraux de la croyance religieuse que les modernistes ont cherché à resignifier, à savoir la rédemption, la communauté, la sacralité, le spectre, et la liturgie, et, dans chaque cas, j'ai montré comment ces catégories ont été réinterprétées pour traiter des questions considérées comme essentielles au début du vingtième siècle, à savoir ce que l’on identifie aujourd’hui comme le féminisme, l'écologie, la biopolitique, les crises, et le rôle du poète. Le chapitre I se concentre sur la rédemption par le féminin telle qu’on la trouve dans le recueil de vers de H.D. portant sur la Seconde Guerre mondiale, Trilogy (1944-1946), qui projette un certain espoir grâce à un mélange synchrétique de Christianisme, de mythes anciens, d’astrologie, et de psychologie. Mon deuxième chapitre discute de The Grapes of Wrath (1939) de John Steinbeck, qui élargit le rôle de la communauté en avançant une écologie universelle qui concevoit tous les gens comme étant intimement liés entre eux et avec le monde. Le chapitre III traite de la notion du sacré dans The Light in August (1932) de Willam Faulkner et Nightwood (1936) de Djuna Barnes, qui préconisent une foi privatisée qui accentue l'illégitimité des concepts de sacralité et de pollution en élevant des individus qui sont marginalisés biopolitiquement. Le chapitre IV cherche à comprendre le retour des morts, et je soutiens que le topos a été utilisé par les modernistes comme un symbole de crises sociales; le chapitre enquête d'abord sur “The Jolly Corner” (1908) de Henry James, que j'ai lu comme la séquence rêvée d'un homme faisant face à son propre spectre, Ulysses (1922) de James Joyce, où Stephen Dedalus est hanté de façon répétée par le spectre de sa mère, et Mrs. Dalloway (1925) de Virginia Woolf, qui se concentre sur le motif caché de la Fête des Morts. Ma cinquième section traite de la liturgie, la langue poétique utilisée pour les rites religieux, dans la première poésie de Wallace Stevens, qui conçoit le rôle du poète comme une vocation de l'imagination. / This dissertation argues that many modernist writers used concepts central to traditional religious belief in order to urge social change. Against the secularization hypothesis, which posits that the modernists fully jettisoned religion in favour of an unquestioned secularism, I argue for what I term “modernist spirituality,” which identifies an integral continuance of spiritual concepts within the dire turmoil of the modernist period that destabilized the institutions such as an established organized religion that had previously formed the foundations of Western society. Hence, in each of my dissertation chapters, I have looked outside of organized religion to literature to find that spiritual impulse. Building upon the purposes of religion as defined by Sigmund Freud, William James, and Émile Durkheim, I name five concepts central to religious belief that the modernists sought to resignify, namely redemption, community, sacredness, the spectre, and liturgy, and, in each case, I have shown how these categories were reinterpreted to treat issues considered vital in the early twentieth century that would now be identified under the categories of feminism, ecology, biopolitics, crisis, and the role of the poet. The first function of spiritual belief addresses the intertwining of redemption and humanity’s actions within history, and for this reason, Chapter I focuses on redemption through the feminine as seen in H.D.’s book of World War II verse, Trilogy (1944-1946), which offers hope through a syncretistic blend of Christianity, ancient myths, goddess traditions, astrology, and psychology. My second chapter discusses John Steinbeck's The Grapes of Wrath (1939), which enlarges the role of community by positing a universal ecology of holiness that sees all people as connected with one another and with the land. Chapter III treats the notion of the sacred in William Faulkner’s Light in August (1932) and Djuna Barnes’ Nightwood (1936), both of which urge a privatized faith that emphasizes the illegitimacy of concepts of sacredness and pollution by elevating individuals who are marginalized biopolitically. Chapter IV seeks to comprehend the return of the dead in dreams or in visions, and I argue that the topos was used by modernists as a symbol of social crisis; the chapter first investigates Henry James’ “The Jolly Corner” (1908), which I read as a dream sequence of a man facing his own ghost, James Joyce’s Ulysses (1922), wherein Stephen Dedalus is haunted repeatedly by the ghost of his mother, and Virginia Woolf’s Mrs. Dalloway (1925), which is textually ordered by the hidden motif of the Day of the Dead. My fifth section is an epilogue that treats liturgy, the poetic language used for religious rituals, in the early poetry of Wallace Stevens, who revisions the role of the poet as a vocation of the imagination.

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