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Le savant et le profane : documenter l'impressionnisme en France, 1900-1939 / Between Scholar and Layman : documenting Impressionism in France, 1900-1939

Viraben, Hadrien 20 November 2018 (has links)
En 1946, la parution à New York de l’Histoire de l’impressionnisme de John Rewald consacra l’aura d’une historiographie scientifique du mouvement, cautionnée par un investissement documentaire. Cette qualité l’opposait à un monde profane, dominé par une tradition orale et en particulier la réputation de certains témoignages. Un examen attentif ne saurait pourtant donner raison au postulat d’une nature exclusivement savante du document. Une documentation impressionniste se constitua en effet, dès le début du XXe siècle, par l’intermédiaire de producteurs hétéroclites, artistes, témoins, héritiers, critiques, journalistes, aussi bien qu’historiens professionnels, conservateurs et universitaires. Elle peut ainsi être envisagée autant comme le fruit d’une quête de la vérité factuelle que comme l’appropriation d’un objet d’étude populaire, à travers ses empreintes écrites et visuelles. L’appareillage des lectures de l’impressionnisme réunit de la sorte : les autographes ; les memorabilia, meubles ou immeubles chargés du souvenir des peintres ; les technologies photographique et cinématographique. Ces documents participaient en outre d’une culture visuelle plus vaste, incluant les monuments et les plaques commémoratives dans l’espace public, ou encore les motifs transformés par l’acte pictural en points de vue remarquables. L’étude historique et critique de l’écriture de l’histoire impressionniste comme (dé)monstration documentaire permet de revenir sur les circonstances sociales et visuelles de sa mise en œuvre, sur les enjeux de carrière auxquels elle participa, et sur les missions qui lui furent assignées au sein de différents discours sur l’art, savants et profanes. / In 1946 the publication of John Rewald’s History of Impressionism in New York consecrated the aura of the movement’s scientific historiography, supported by documentary investment. This quality confronted laymen’s narratives, which oral tradition and some witness’s accounts’ reputations dominated. Yet, a close consideration could not agree with the assumption of an exclusive scholarly nature of the document. Since the beginning of the 20th century, varied producers, such as artists, witnesses, heirs, critics, journalists, as well as professional historians, museum curators and academics formed an impressionist documentation. It thus can be interpreted as a quest for factual truth, as much as an appropriation of a research object through its written and visual marks. The equipment of impressionist readings hence gathered are: autographs; memorabilia, movable and physical assets as souvenirs of artists; photographic and cinematographic technologies. Moreover, these documents fit into a broader visual culture which included monuments and commemorative plaques of the public sphere, or motives transformed by pictorial acts into remarkable viewpoints. A historical and critical study of such a writing of history as documentary (de)monstration allows here to look back to its execution’s social and visual contexts, the career issues in which it participated, the goals that had been assigned to it within both scholars’ and laymen’s art discourses.
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Vers une muséographie numérique : l’impression 3D en tant que dispositif de traduction auprès de publics malvoyants et aveugles

Bérubé, Patricia 04 1900 (has links)
No description available.
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Étude de la fonction symbolique du paysage dans les tableaux dévotionnels de Giovanni Bellini

Staniscia, Mélanie 03 1900 (has links)
No description available.
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La réception de la figure d’Achille en Italie et à Rome du IVème siècle avant JC au Ier siècle de notre ère / The reception of Achille’s figure in Italy and Rome in IVth century BC to Ist century AD

Perez, Isabelle 15 December 2015 (has links)
De la céramique italiote du IVe siècle av. J.-C., qui reprend et adapte certains épisodes du cycle d’Achille particulièrement liés à l’univers funéraire (Néréides apportant les armes d’Achille, mort de Troïlos, mort de Penthésilée etc…), en insérant dans les scènes figurées des éléments de la culture locale, au mobilier funéraire étrusque (Tombe François, urnes, sarcophages peints et sculptés), en passant par les miroirs et les cistes prénestines des périodes classiques et hellénistiques, l’existence d’une codification et d’une transmission des schémas iconographiques est clairement visible entre les différentes cultures. Au Ier siècle av. J.-C. et au Ier siècle ap. J.-C., certains épisodes du cycle d’Achille continuent à peupler le répertoire figuré, d’autres disparaissent ne correspondant plus aux nouvelles aspirations des commanditaires et d’autres apparaissent, incarnant des valeurs propres à la culture romaine. A Rome, les sources écrites nous informent sur la présence d’Achille dans la sphère publique (temple de Neptune et Saepta Julia). L’usage de la copie et de la diffusion d’un chef-d’œuvre tel le groupe d’Achille et Chiron, s’insèrent dans une volonté d’imiter l’Urbs, centre du monde méditerranéen. Les peintres renouvellent le répertoire iconographique du cycle d’Achille en créant deux épisodes : la Découverte d’Achille à Skyros et Thétis dans les forges d’Héphaïstos. Ces deux épisodes trouvent un grand succès à Rome (Domus Aurea) et sur les parois des demeures pompéiennes et permettent à la figure d’Achille de se détacher du cycle troyen. Ainsi, le héros grec devient grâce aux adaptations stylistiques et techniques des peintres romains le symbole de la paideia tout en conservant son caractère héroïque / The italiote ceramic the fourth century B. C., which incorporates and adapts some episodes cycle Achilles particularly related to posthumous glorification (Nereids bringing the arms of Achilles, Troïlus death, death of Penthesilea, etc…) by inserting the figurative scenes elements of the local culture, in Etruscan funerary (François Tomb, urns, sarcophagi carved and painted) through mirrors an prenestines cysts, Classical and Hellenistic periods, the existence of a consolidation and a transmission of iconographic patterns with clearly visible between different cultures. The first century B. C., and the first century A. D., some episodes of Achilles cycle continue to populate the figurative repertory, others dissapear no longer corresponded to the new aspirations sleeping partners while others appear embodying specific Roman culture values. In Rome, written sources inform us about the presence of Achilles in the public sphere (Temple of Neptune and Saepta Julia). The use of copy and distribution of a masterpiece such as Achilles and Chiron group, are part of a desire to imitate the Urbs, the center Mediterranean world. Painters renew the iconography of Achilles cycle by creating two episodes: The Discovery of Achilles in Skyros and Thetis in the forges of Hephaestus. These two episodes are a big success in Rome (The Golden House) and on the walls of Pompeian houses and allow the figure of Achilles to detach from the Trojan cyle. Thus the Greek hero becomes through stylistic and technical adaptations of Roman painters symbol paideia while maintaining his heroic character.
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Silser See, Engadin : Gabriele Münter, Friedrich Nietzsche et le genius loci

Séguin, Virginie 12 1900 (has links)
Silser See, Engadin (1927) est un paysage qui fait partie des œuvres les moins connues de Gabriele Münter. La marginalisation de ce tableau dans le corpus de l’artiste s’explique d’une part par le fait que celui-ci est toujours resté à l’intérieur du cercle restreint des collections privées, et d’autre part, du fait qu’il s’inscrit dans une phase peu productive de Münter. Cette phase correspond aux années 1920-1930, soit une décennie durant laquelle la production de Münter se trouve grandement affectée par les nombreux bouleversements que la Première Guerre mondiale entraîne dans sa vie personnelle et artistique. Le but de ce mémoire est de réfléchir la signification Silser See, Engadin pour Münter et de démontrer comment ce tableau s’intègre dans le dénouement de la crise qu’elle connait en 1920-1930. Pour ce faire, j’explore d’abord les différents événements qui ont défini le développement artistique et personnel de Münter. J’approfondis ensuite l’importance du paysage dans son œuvre en étudiant son rapport à la nature et à Murnau. Puis, je m’intéresse au genius loci de Sils-Maria et à l’influence de Friedrich Nietzsche sur Münter. En tenant compte de l’ensemble de ces éléments, j’analyse finalement les différents symboles contenus dans Silser See, Engadin et démontre comment Münter s’est appropriée les composantes du paysage de Sils-Maria pour exprimer sa renaissance après une longue période de crise. Ce mémoire s’inscrit dans un désir de contribuer à la réflexion sur l’importance de la nature et des lieux dans l’épanouissement de l’être humain. / Silser See, Engadin (1927) is a landscape painting that is among the least known works of Gabriele Münter. The marginalization of this painting in her corpus can be explained on one hand by the fact that it has always remained within the restricted circle of private collections, and on the other, by the fact that Silser See, Engadin is part of a less productive phase of Münter’s work, which has so far received little interest from art historians. This phase corresponds to the years 1920-1930, a decade during which Münter’s production was greatly affected by the many upheavals that the First World War brought about in her artistic and personal life. This thesis argues for the importance of Silser See, Engadin for Münter, and demonstrates how this painting fits into the resolution of the crisis she went through during that decade. To do so, I first explore the various events that defined her artistic and personal development. I then establish the importance of landscape in Münter’s work by examining her relationship to nature and Murnau. Next, I study the genius loci of Sils-Maria and the influence of Friedrich Nietzsche on Münter. Taking all these elements into account, I finally analyze the different symbols contained in Silser See, Engadin and demonstrate how Münter transformed the components of the Sils-Maria landscape to express her rebirth after a long period of crisis. This thesis invites the reader to consider the importance of nature and places in relation to the development of the human being.
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Les représentations végétales dans la céramique apulienne

Moisan, Monique 25 April 2018 (has links)
Les scènes décorant la céramique apulienne contiennent de nombreuses représentations de plantes qui semblent suffisamment réalistes pour faire l'objet d’une identification botanique. Pour procéder à toute identification, il était nécessaire de réaliser la description de ces représentations et leur classification en groupes homogènes pour obtenir la typologie des motifs végétaux dans la céramique apulienne. Le premier chapitre de ce mémoire explique la méthode utilisée pour décrire et classifier les représentations. Les deux chapitres suivants présentent la typologie des motifs identifiés, en signalant au passage certaines ressemblances avec des plantes connues, sans toutefois proposer d'identifications botaniques formelles. La conclusion de ce mémoire est suivie du catalogue des vases apuliens observés lors de la constitution du répertoire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Dans mon silence vertical

Chartrand, Geneviève 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire se veut principalement une réflexion sur ma pratique en arts visuels. Je tente de présenter les différents concepts qui alimentent mes recherches, ainsi que la manière dont je travaille pour concevoir mes œuvres. J'évoque les notions de fragment et de récit dans l'image peinte et vidéographique. Il est question ici d'un compte rendu subjectif de ma démarche artistique ainsi que du processus de création auquel je participe. Je pose donc un regard analytique sur mon travail ainsi que sur mes inspirations, puisées à même mon expérience personnelle et intime par rapport au quotidien et au banal.
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Ressemblance et caractère dans les portraits de Théophile Hamel (1840-1870)

Aubé-Gaudreau, Adrienne 16 April 2018 (has links)
Notre mémoire propose une analyse des portraits peints par Théophile Hamel. Nous avons choisi d'aborder ces portraits par le biais des notions de ressemblance et de caractère. Après une mise en contexte des oeuvres étudiées, cette étude nous conduit à une réflexion plus large sur les valeurs collectives de la bourgeoisie du Bas-Canada au XIXe siècle, valeurs reflétées dans l'impressionnante galerie de portraits que nous a laissés Hamel. Dans la première partie de ce mémoire, nous faisons appel à la morphopsychologie pour démontrer le talent du peintre à révéler l'intériorité de ses modèles en soulignant certains traits de leurs visages. Le second chapitre identifie les moyens employés par Hamel pour illustrer les valeurs et les sentiments des personnages portraiturés. En présentant le discours engendré par la réception de ses oeuvres dans le troisième chapitre, nous voulons prouver que l'artiste a dépassé le rendu de la ressemblance pour exprimer le caractère de ses modèles. Nous terminons cette recherche par une analyse de l'esthétique du peintre, esthétique mise au service de la biographie visuelle de ses sujets.
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Vie, œuvre et carrière de Jean-Antoine Morand, peintre et architecte à Lyon au XVIIIe / Life, work and career of Jean-Antoine Morand, painter and architect in Lyons in the eighteenth century

Chuzeville, Sylvain 22 June 2012 (has links)
Né en 1727 à Briançon, Jean-Antoine Morand a 14 ans lorsqu’il se lance, suite à la mort de son père, dans une carrière artistique. C’est à Lyon qu’il s’installe et fonde, en 1748, un atelier de peinture. Il reçoit des commandes officielles et privées, travaille régulièrement pour la Comédie, se spécialise dans la peinture en trompe-l’œil et la scénographie, y compris les machines de théâtre. À la fin des années 1750, encouragé par Soufflot, il se tourne vers l’architecture et l’embellissement, ainsi que l’y disposent différents aspects de sa première carrière.Architecte autodidacte, Morand souffre d’un déficit de légitimité et tente d’y remédier en recherchant la reconnaissance publique. Mais ses succès, en particulier la construction à titre privé d’un pont sur le Rhône, n’y suffisent pas. La carrière de Morand est tiraillée entre fierté entrepreneuriale et appétence institutionnelle. Son image pâtit de l’opposition entre spéculation foncière et promotion du bien public. Cela concerne en particulier son grand œuvre, un projet d’agrandissement de Lyon sur la rive gauche du Rhône, compris dans un plan général donnant à la ville la forme circulaire.Morand a peu construit et il ne subsiste presque rien de son œuvre pictural. On dispose en revanche d’un fonds d’archives privé d’une grande richesse, sur lequel s’appuie cette thèse, afin de mettre au jour les intentions, les relations et la psychologie d’un architecte autrement méconnu. / Born in 1727, Jean-Antoine Morand is 14 years old when he embraces an artistic career, following his father’s death. Having settled down in Lyon, he establishes his own painter’s workshop in 1748. Receiving public and private commissions and working for the theatre on a regular basis, he specializes in trompe l’œil painting and stage-setting, including machinery. In the late 1750s, spurred on by Soufflot, he turns to architecture and city-planning, as various aspects of his previous career could have prompted him to.As an autodidactic architect, Morand suffers from a lack of legitimacy against which he pursues public recognition. But his successes, which include the building of a privately-owned bridge across the Rhône, aren’t enough. Morand’s career is torn between entrepreneurial pride and his longing for tenure. His public image is marred by the alleged opposition between land speculation and the defense of public good. This concerns mostly his great work, a project for the extension of Lyon on the left bank of the Rhône, included in a circular general city plan.Morand hasn’t built much and very little remains of his pictorial work. This thesis is based on an extensive private archive that allows us to explore this otherwise unsung architect’s intentions, relations and psychology.
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La culture matérielle de la Mésopotamie du Nord et de ses voisins, d’après l’étude de la céramique, de l’Uruk récent au Bronze ancien I/II / Material culture of Northern Mesopotamia and its Neighbours, according to ceramic study, from Late Uruk Period to Early Bronze Age I/II

Ossman, Mouheyddine 26 January 2013 (has links)
Durant le IVe millénaire, la Mésopotamie et ses voisins ont été reliés via un vaste réseau commercial, établi par des Urukéens lors de leur expansion en Iran et dans le Nord mésopotamien. À la fin du IVe et au début du IIIe, la Mésopotamie et ses voisins ont connu une phase de crise dont les causes nous sont toujours obscures en raison de l’absence des documents écrits remontant à cette phase. A cette phase, le réseau commercial urukéen et la colonisation urukéenne en Iran et en Mésopotamie du Nord, s’étant effondrés, les sites urukéens ont été abandonnés, ainsi qu’un grand nombre de sites indigènes qui ont été abandonnés. Le contact entre le Nord et le Sud mésopotamien fut suspendu. Pourtant, d’autres sites furent fondés que ce soit en Iran ou en Mésopotamie. Bien que la culture céramique mésopotamienne ne se soit modifiée profondément à cette phase cruciale, des traditions peintres réapparaissent soudainement alors que les Mésopotamiens les avaient abandonnées depuis 9 siècles (au Post-Obeid). Trois aires à céramique peinte apparaissent en Mésopotamie : en Irak du centre, de l’Est, du Nord (horizon de Ninive 5) et l’Iran a employé massivement la peinture. Cependant, le Sumer a conservé les traditions urukéennes qui ne connaissent pas de peinture. A noter que la peinture en Iran a été employée avant et durant l’expansion urukéenne. De plus, il semble avoir existé un corridor de contact reliant le West iranien aux trois zones à peinture en Mésopotamie. Mais comment peut-on expliquer ce phénomène de la réapparition de la peinture en Mésopotamie centrale et du Nord : s’agit-il des déplacements des groupes iraniens en Mésopotamie, ou des simples influences ? On ne peut pas traiter de la question de la fin du IVe/début du IIIe millénaire sans confronter, d’une part au problème concernant le destin des Urukéens. Ces derniers ont vécu plus de 4 siècles dans la périphérie durant l’expansion. Et d’autre part on est confronté au problème de la fondation des sites urbain aux touts début du 3e millénaire (Mari, Terqa, Kharab Sayyar et Chuera).Pour répondre à ces questions, nous avons choisi des sites-clés en Iran et en Mésopotamie. Leur céramique (et d’autre matériel) est étudié tout d’abord dans leur position stratigraphique, site par site, puis selon leur répartition dans l’espace. Au même temps, cette étude strato-céramique a été combinée avec une étude portée sur les changements dans l’occupation dans l’espace (abandon et fondation) et sur les transformations culturelles, surtout en Iran du Nord-Ouest et de l’Ouest où le phénomène de l’expansion transcaucasienne s’étend jusqu’au Kermanshah et le Nord du Luristan dans le Zagros central).Basant sur des comparaisons céramiques et sur d’autres aspects archéologiques, nous avons tenté de corréler entre la stratigraphie des sites étudiés. Nous avons évité de faire d’un site ou d’une région le « centre du monde ». Nous avons plutôt regardé chaque site et région à partir de ses voisins. A la fin de chaque partie ou chapitre, nous avons relié entre les régions étudiées, du point de vue culturel, stratigraphique et occupationnel, pour tenter de tirer une conclusion historique concernant le passage entre le IVe et le IIIe millénaires.Vers 2700-2600 av. J.-C., les traditions peintes disparaissent à nouveau de la Mésopotamie, au moment où le contact a été rétabli entre les Sumériens et le Nord mésopotamien (Mari-Brak-Chuera). Concernant cette reprise de contact, nous mettons plus l’accent sur les changements observés dans la stratigraphie (sites abandonnés et/ou incendiés) pour parler d’un phénomène que nous avons appelé la « Sumérianisation ». Nous avons tenté de repérer ce phénomène par le biais de quelques inscriptions datées du Dynastique Archaïque III (vers 2600-2500 av. J.-C.). / During the 4th millennium, Mesopotamia and its neighbours were connected by a vast trade network which was established by Urukians throughout their expansion into Iran and Northern Mesopotamia. At the end of the 4th millennium and at the beginning of the 3rd, all those regions faced a phase crisis whose causes are unknown for us because of the absence of the written documents dated to this phase. At this phase, the Uruk trade network and colonization in Iran and Northern Mesopotamia were collapsed. Uruk sites have been abandoned. In addition, a large number of indigenous sites were abandoned. The contact between Northern and Southern Mesopotamian was suspended. However, other sites were founded in Iran and Mesopotamia. Although, with this crucial phase, the Mesopotamian ceramic culture did not change deeply, the painting traditions reappeared suddenly whereas the Mesopotamian had abandoned them since 9 centuries c. (in Post-Obaid).Three zones with painted ceramics appear in Mesopotamia: centre of Iraq, Eastern Iraq, North Iraq and North-Eastern Syria. Also, Iran employed massively the painting. However, the land of Sumer conserved the Uruk traditions which aren’t painted. Worthily to be noted that the painting traditions existed in Iran before and even during the Uruk expansion. Moreover, a corridor of contact seems to have existed linking Western Iran to those three zones. But, how can one explain this reappearance phenomenon of this painting in the centre and North Mesopotamia: is-it because of the displacements of the Iranian groups into Mesopotamia or is it a simple influence? Likewise, one cannot treat the question of the end of the 4th millennium without being confronted with the problem of the destiny of the Urukians colonists. Those latter lived in the periphery more than 4 centuries during the expansion. On the other hand, one is confronted with the problem of the foundation of urban-cities with the all beginning of the 3rd millennium (Mari, Terqa, Kharab Sayyar and Chuera). To answer these questions, we chose site-keys in Iran and Mesopotamia. First of all, we studied, site by site, their ceramic (and others materials) according to their stratigraphical position (strato-ceramic), and then based on their distribution in the landscape. At the same time, those strato-ceramics analyses have been combined with another study concerning changes in the occupation of landscape (abandonment and foundation), and the cultural transformations, especially for the North-Western and Western Iran where the transcaucasian expansion extends to Kermanshah and Northern Luristan in central Zagros.Based on ceramic comparisons and on other archaeological aspects, we attempted to correlate between the stratigraphy of the studied sites. We avoided making of a site or of a region the “Center of the World”. We rather looked at each site and region starting from its neighbours. At the end of each part or chapter, we linked between the studied regions, from the cultural point of view, stratigraphic and occupational, in order to try to draw a historic conclusion concerning the passage between the 4th and the 3rd millennium.Towards 2700-2600 B.C., the painting traditions disappeared once again from Mesopotamia, at the time when the contact was restored between the Sumerians and Northern Mesopotamian (Mari-Brak-Chuera). For this resumption of contact, we set the accent more on the changes observed in the stratigraphy (abandoned sites or burned) to speak about a phenomenon which we called “the Sumerianisation”. Moreover, we tried to identify this phenomenon by the means of some inscriptions dated to the Dynastic archaic III (towards 2600-2500 B. C.).

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