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Errance, appartenance, reconnaissance dans la musique savante occidentaleEl-Ghadban, Yara January 2008 (has links)
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La dimension mélodique dans la musique instrumentale après 1945 : résistances, ruptures et résurgencesKippelen, Étienne 21 November 2012 (has links)
Qu'est-ce que la mélodie ? Si cette question délicate a animé de nombreux débats esthétiques du XVIIe siècle au début du XXe siècle, peu de spécialistes se sont aujourd'hui risqués à une étude de la mélodie, appliquée au répertoire contemporain. Parfois considérée comme illégitime, voire archaïque après 1945, la mélodie n'a pourtant que provisoirement disparu de l'espace musical et non sans laisser quelques scories riches de sens. Ce travail tente justement d'éclairer les enjeux et les différentes mutations de la mélodie, synthétisées à travers trois directions poursuivies par les compositeurs : premièrement, les résistances, illustrant la promotion d'un mélos généreux et prépondérant, qu'il soit ou non marqué par le néoclassicisme ; deuxièmement, les ruptures, nourries par le pointillisme sériel, puis par la dissolution du degré dans la masse sonore et par la recherche d'une fusion entre harmonie et timbre, d'où la mélodie ne subsiste que par bribes éparses ; troisièmement, les résurgences, caractérisées après 1960 par un dépassement de la modernité radicale et de ses prescriptions anti-mélodiques, allant parfois jusqu'à la citation ou recherchant une forme de communication nouvelle, pouvant être en lien avec l'expression du sacré. / What is melody? Despite the fact that this subtle question was largely debated upon from 17th to early 20th century from an aesthetic viewpoint, few specialists nowadays dare to study melody in contemporary repertoire. Sometimes regarded as illegitimate or even archaic after 1945, melody has only temporarily vanished from the musical scene, leaving some meaningful residues. This study aims at highlighting what is at stake in the diverse mutations of melody along three directions followed by composers : firstly, resistances exemplifying the promotion of a generous melos, whether it be marked by neoclassicism or not ; secondly, breaks nourished by punctual music, and then by the dissolution of degree in the sound mass and by the quest for a fusion between harmony and timbre, from which melody only survives through scattered fragments ; thirdly, resurgences characterized, after 1960, by an overcoming of radical modernity and its anti-melodic prescriptions, and sometimes taking the form of a quotation or looking for a new way of communication, which can be related to the expression of the sacred.
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De l'imaginaire initiatique. Les mythes postmodernes ou le dépassement de l'existence tragique / Of the initiatic imaginary. Postmoder myths or the overtaking of tragic existenceVincent, Frédéric 08 December 2010 (has links)
Ce projet de recherche souhaite démontrer qu’une nouvelle ère s’instaure (la postmodernité) où l’imaginaire initiatique réinvente une nouvelle forme de socialisation. Il s’agit de questionner les pratiques sociales liées à l’imaginaire initiatique (cosplay, japan expo, jeux en ligne), ainsi que l’impact provoqué dans la vie quotidienne des individus. En fait, on se demandera si l’imaginaire initiatique entraîne des changements de comportements, crée des habitus. Ce qu’il est nécessaire de souligner, c’est que l’homme postmoderne accède au domaine du sacré, entreprend une démarche initiatique, à partir de ce qu’il vit dans les mondes fictionnels. Cette manière d’être est tout à fait légitime, et s’apparente sans aucun doute à une nouvelle façon de vivre l’initiation des sociétés archaïques, l’essentiel étant de retrouver un sens magique du monde. Nous serons ainsi amener à interroger la fonction fantastique de l’imaginaire initiatique, c’est-à-dire sa capacité à ordonner symboliquement un sens authentique à l’existence sociale et permettre à l’individu de dépasser l’aspect tragique de la réalité opaque. / This research project would like to show that a new era is established (postmodernity) where initiatic imaginary reinvents a new form of socialization. It’s a matter of questioning social practices related to initiatic imaginary (cosplay, japan expo, plays on line), as well as the impact caused in the everyday life of individuals. In fact, we shall wonder whether the initiatic imaginary involves changes of behaviors, creates habitus. What it is necessary to underline, it is that the postmodern man reaches the field of sacred, takes an initiatic step, from what he lives in the fictional worlds. This way of being is completely legitimate, and is connected without any doubt with a new way of living archaic initiation, the main thing being to find a magic direction of the world. Thus we shall be brought to question fantastic function of initiatic imaginary, that is its capacity symbolically to order an authentic direction to social existence and to allow individual to overtake the tragic aspect of opaque reality.
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La mort du XXe siècle dans la Tétralogie du Monstre : postmodernité, posthistoire et posthumain dans l’œuvre d’Enki BilalSt-Jacques, Marianne January 2011 (has links)
Bédéiste, cinéaste, scénariste et illustrateur, Enki Bilal est un artiste contemporain de nationalité franco-yougoslave. De 1998 à 2007, celui-ci s’inspire des guerres qui déchirent sa Yougoslavie natale pour rédiger la Tétralogie du Monstre, un cycle de bande dessinée futuriste qui traduit une vision du monde propre aux années 1990-2000. Marquant une rupture dans le parcours de Bilal, cette œuvre propose une projection fictionnelle d’événements correspondant au postmodernisme social anticipé par Jean-François Lyotard et décrit par Jean Baudrillard. Avec cette thèse, nous démontrons comment l’auteur, en s’intéressant aux différents enjeux propres à ces deux décennies, s’engage dans un dialogue avec les grands penseurs de la postmodernité et cherche à représenter les différentes idées de « morts » – fin des grands récits – qui sont au cœur de leurs discours. À l’aide des notions de postmoderne, de posthistoire et de posthumain, nous avons analysé la question de la mort des idéologies politico-religieuses, la mort de la science et la mort de l’art dans l’œuvre de Bilal.
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Transferts culturels et vacillements identitaires dans la littérature et les arts de la postmodernité / Cultural transfer and problematic identities in postmodern literature and artsGauzi, Chloé 07 June 2014 (has links)
Longtemps utilisé avec réticence, intensément débattu par les théoriciens, le terme « postmoderne » abonde aujourd'hui, depuis les discours spécialisés jusque dans les sphères de la vie quotidienne, témoignant de la nécessité de penser une notion nouvelle, plus adéquate aux transformations qui ont affecté le monde contemporain. Quelles que soient les différentes perspectives adoptées par les théoriciens pour définir la postmodernité et débrouiller les liens qu'elle entretient avec les notions de postmodernisme, modernité et modernisme, toutes observent le même constat que, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les sociétés occidentales sont le théâtre de profondes mutations culturelles et d'une crise généralisée de l'identité qui elle-même s'accompagne d'une véritable crise épistémologique. Dans un contexte de redéfinition de la notion de culture, dont les Cultural Studies ont mis au jour la nécessité d'étudier toutes les manifestations, qu'elles soient issues de la high culture ou de la pop culture, voire de la mass culture, les fictions contemporaines (littéraires, cinématographiques et audiovisuelles) témoignent, en même temps qu'elles les analysent, des problématiques qui agitent nos sociétés occidentales postmodernes et hypermodernes. Dans cette optique, étudier les diverses manifestations culturelles permet de discerner les différents modèles culturels (« cultural patterns ») qui fondent les identités individuelles et collectives. / Long been used with reluctance, intensively discussed by theorists, the term “postmodern” is now pervasive, from specialized discourses to the very spheres of everyday life, testifying that it is necessary to think a new notion, more appropriate to the changes which have affected the contemporary world. Whatever are the different perspectives adopted by theorists to define postmodernity and to clarify its links to postmodernism, modernity and modernism, they all notice that, since the World War Two, western societies are the stage of deep cultural mutations and of a widespread identity crisis, which is itself accompanied by a genuine epistemological crisis. In a context of redefining the concept of culture, which Cultural Studies showed the necessity to study all the expressions, whether they are from high culture, pop culture, or even mass culture, contemporary fictions (literary, cinematographic, audiovisual) express, in the same time analyzing it, the issues of our western, postmodern and hypermodern, societies. According to that point, studying the various cultural manifestations helps discerning the cultural patterns that ground the individual and collective identities.
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« Qui est employé » dans l’ère Post-moderne : étude comparative du cas israélien et Français. / "Who is an Employee?" in the postmodern era : comparison of Israeli and French lawEizik, Dov 27 October 2016 (has links)
Les relations de travail sont des relations dynamiques soumises en permanence à des changements, à la fois en raison de facteurs externes mondiaux (comme les changements économiques, technologiques, sociaux, éthiques, culturels et juridiques), mais également en raison de facteurs plus directs, et de leur équilibre entre eux (comme par exemple ceux relatifs aux employés, employeurs, et aux syndicats de travailleurs. L’exposition à ces changements augmente naturellement au fur et à mesure que ces relations se prolongent dans le temps. Les structures du passé n’y répondent plus et doivent s’adapter en conséquence. Le droit du travail doit être suffisamment souple afin de trouver des solutions aux besoins de la vie qui se modifient. Cette étude a pour but d’examiner une des questions fondamentales du droit du travail. La question étant de savoir si l’exécutant d’un travail est considéré comme employé et bénéficie à ce titre de la protection juridique du travail ou s’il est indépendant et ne bénéficie pas de la protection juridique du travail.Cette étude propose donc une approche comparative pour examiner cette question et la façon dont elle est traitée, par rapport au droit du travail Français.Du point de vue de la recherche, le paradigme proposé dans cette étude offre une définition post-universelle du terme « employé », définition nécessaire au vu des réponses non adaptées existantes, basées sur des caractéristiques de l’ère moderne, de l'importance amoindrie de l'existence d'un contrat de travail, de l'entrée de l'universalisme définissant "qui est employé", de l'existence d'une distinction entre "employés forts" et "employés faibles", et l'absence d'une définition juridique claire.L’approche post-moderne servira de base de réflexion à cette décision, ouvrira le cercle des travailleurs et permettra ainsi à chaque travailleur de choisir son statut sur le marché du travail. C’est une décision subjective qui donne une place centrale au travailleur, sans dépendre de l'employeur et/ou autre, répondant ainsi à l’objectif du droit du travail.Sur le plan pratique, ce travail de recherche pourrait aboutir à des réalisations concrètes aussi bien pour les chercheurs dans le domaine du droit du travail que pour les juges devant affronter des publics différents. Les chercheurs et les juges doivent prendre en compte les éléments dominants du paradigme proposé et examiner la meilleure façon de définir l'exécutant d'un travail de la meilleure façon possible. / Work relations are dynamic relations that constantly change due to both global, externalfactors (i.e. financial, technological, social, value, cultural and legal shifts) and factorsdirectly related to them and their power balance (i.e. change concerning the employee, theemployer and the union). The exposure of work relations to such changes increases,naturally, as they continue. Labor laws must be flexible enough to provide a solution forchanging life needs. Frameworks that were common in the past are no longer commontoday, and must be appropriated accordingly.This paper was meant to examine one of the basic questions existing in labor laws –whether the work performer is an “employee”, benefiting from the protection of labor laws– or an “independent”, who is not protected by labor laws. For such purpose, this paper Offers a comparative approach to examining this question and the way in which it is done, in comparison to French labor laws.In the research aspect, the paradigm offered in this research paper offers a post-universaldefinition of the “Employee”, which is desirable in light of the incompatibility of existingtests that lean on modern characterizations. The post-modern approach will serve as aconceptual basis for this decision and will allow any work performer to choose his standingin the work market. This is a subjective decision that puts the work performer at the center,ithout being dependent on the employer, and by doing so realizes the essence of labor laws.In the practical aspect, the current research paper might be of applicable value for bothlabor law researchers and judges who seek to address various target audiences.Researchers and judges must consider the dominant components of the offered paradigmand examine how to define the work performer in the most appropriate way.
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Geographies and displacements : theorizing feminism, migration, and transnational feminist practices in selected black caribbean canadian women's textsKebe, Amy January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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De la figure monstrueuse : de l'homme-spectacle à l'hyper-mâle ou une tentative de définition de mon histoire secrèteRaymond, Sylvain January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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De la postmodernité : Pierre Perrault et la culture innueLaporte-Rainville, Luc 12 1900 (has links)
Le présent mémoire définira ce qu’on entend par modernité et postmodernité, tout en juxtaposant ces concepts philosophiques au cinéma pratiqué par le documentariste Pierre Perrault. Les modernistes influencés par les Lumières ont toujours considéré les progrès scientifiques comme des avancées nécessaires à l’atteinte d’une béatitude universelle. Pour eux, le salut des sociétés nécessite un passage du côté de la science, du rationalisme. Le problème avec une telle démarche est que tout discours qui se dissocie de la rationalité est immédiatement annihilé au profit d’une (sur)dominance du progrès. Il ne s’agit pas de dire que la modernité est à proscrire – loin de là! –, mais il serait temps d’envisager une remise en question de certaines de ses caractéristiques.
La postmodernité, réflexion critique popularisée par Jean-François Lyotard, s’évertue à trouver des pistes de solution pour pallier à cette problématique. Elle est une critique de la domination exagérée des sciences dans la compréhension de notre monde. Il existe pourtant d’autres façons de l’appréhender, tels les mythes et les croyances. Ces récits irrationnels cachent souvent en eux des valeurs importantes (qu’elles soient d’ordre moral, écologique ou spirituel). Or, l’œuvre de Perrault regorge de ces petites histoires communautaires. Les deux films choisis pour notre travail – Le goût de la farine (1977) et Le pays de la terre sans arbre ou le Mouchouânipi (1980) – en sont l’exemple prégnant. Chacun d’eux présente des traditions autochtones (celles des Innus) opposées à la dictature du progrès. Et cette même opposition permet au réalisateur de forger un discours critique sur une modernité prête à tout pour effacer les coutumes uniques. Le cinéaste agit ainsi en postmoderniste, offrant une réflexion salutaire sur les pires excès véhiculés par les tenants du progrès. / This dissertation, juxtaposing modernity and postmodernity to Pierre Perrault’s documentary movies, will define what we understand from those philosophic concepts. Influenced with Les Lumières, modernists have always considered necessary to put forward scientific technology progress to reach universal beatitude. For them, science is the key to society’s salute and rationalism. The problem with this process is that all thinking dissociating from rationality brings its immediate annihilation by progress and “over-progress” domination. Far from us to say that modernity needs to be forbidden but maybe it would be time to call into question some of these concepts.
Popularized by Jean-François Lyotard, postmodernity criticizes the exaggerated science domination into trying to understand our world and wants to find solutions to counter the problem. Yet, there are other ways to apprehend this world of ours, like myths and believes. These irrational stories often reveal important moral, ecologic or spiritual values. The works of Perrault abound with community stories to refer to and we have chosen two pictures that are obvious examples. Le goût de la farine (1977) and Le pays de la terre sans arbre ou le Mouchouânipi (1980) present Innus’ traditions opposed to progress dictatorship. This same opposition allows the movie director to create a critical thinking about this modernity (in brief, a postmodernist thinking).
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Défis de quelques pratiques artistiques contemporaines de la jeune scène iranienne / Non communiquéSadeghinia, Sara 27 October 2012 (has links)
La culture en général et l’art, en particulier, occupent une position unique dans la structuration d’une société. En dépit des conflits, des convulsions politiques et idéologiques qu’a connu depuis un siècle, l’Iran d’aujourd’hui n’est plus un pays sous le joug politique d’une théocratie obscurantiste. Contrairement aux discours bruyants et actions hostiles de dirigeants islamiques qui provoquent si facilement l’attention du grand public en Occident, l’expression artistique iranienne reste très peu connue du public du monde entier. C’est à partir d’une réalisation plastique personnelle qu’ont été évalués que les véritables représentants et porte-parole d’une société iranienne progressiste ne sont plus ses politiques, mais bien ses artistes. Les artistes iraniens essaient de montrer la voix d’un autre Iran, celle d’un pays à l’histoire plurimillénaire, mais toujours aussi épris de culture et avide de liberté.Très attachées à leur histoire et leur culture, les oeuvres des artistes iraniens s’élaborent entre héritage et innovation. Lesquelles font état d’univers où un langage symbolique, ostensiblement hybride, se construit entre traditions ancestrales et modernité postrévolutionnaire. Par le biais de différents types médiums contemporains, comme la photographie, la performance, l’installation, la vidéo, ces oeuvres témoignent de la recherche d'un geste et d'un langage susceptibles de reconstruire la mosaïque du réel. Le regard des artistes, construit par leurs codes culturels, ne les empêche cependant pas de prendre en considération les actuels problèmes sociaux et politiques. Par contre, les artistes iraniens détournent intelligemment la réalité de façon métaphorique et symbolique pour transmettre le contenu de leur message au monde entier. De cette manière, l’art contemporain iranien, a pu s’épanouir sur la scène internationale et a pu attirer l’attention de quelques collectionneurs du marché de l’art et de commissaires d’exposition internationaux, durant ces dernières décennies. / Culture in general and art in particular, occupy a unique position in the structure of society. Despite the conflicts, political and ideological convulsions has been known for a century, Iran today is no longer a country under the political yoke of theocracy obscurantist. Unlike the noisy speech and actions hostile Islamic leaders who so easily cause the attention of the general public in the West, Iranian artistic expression is very little known to the public worldwide. This is from a personal realization plastic what evaluated as true representatives and spokespersons of Iranian society progressive are no longer policies, but its artists. Iranian artists trying to show the voice of another Iran, a country with a history thousands of years, but still as loving culture and eager for freedom. Very attached to their history and culture, the works of Iranian artists to develop between heritage and innovation which indicate universe where a symbolic language, ostensibly hybrid builds between traditions and modernity post-revolutionary. Through different mediums contemporaries, such as photography, performance, installation, video, these works reflect the research gesture and language may reconstruct the mosaic of reality. The regard of artists, built by their cultural codes, however, does not prevent to consider the current social and political problems. By against, Iranian artists intelligently divert the reality of metaphorical and symbolic way to transmit the content of their message to the world. In this way, Iranian contemporary art, has been able to flourish on the international scene and has attracted the attention of some collector’s art market and international exhibition curators, in recent decades.
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