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L'innovation sociale et les organisations sportives associatives : le cas des clubs sportifs dans les quartiers populaires / Social innovation and associative sports organization : the case of sports clubs in popular neighborhoods

Coignet, Benjamin 14 February 2012 (has links)
Pour faire face à la « crise du lien social », le sport associatif est appelé par les politiques publiques, depuis les années 1980, à jouer un rôle d'intégration et d'insertion des populations considérées comme « en difficulté ». Le cadre associatif est ainsi appréhendé comme un bastion pacificateur où se développe une citoyenneté et des comportements civiques complémentaires de l'école et de la famille. Pour autant, tous les clubs implantés au cœur, en périphérie ou à l'extérieur des quartiers populaires se préoccupent de façon inégale des problématiques socio-éducatives (CHARRIER, JOURDAN, 1999). L'implication des clubs affiliés aux fédérations unisports dans les dispositifs d'intégration et d'insertion par le sport semble résulter de l'intensité et de la durabilité d'engagement d'individus d'exception (CHARRIER, 1999 ; GASPARINI, VIEILLE MARCHISET, 2008). La thèse proposée s'intéresse aux mécanismes porteurs de la dynamique d'innovation sociale (FONTAN, KLEIN, TREMBLAY, 1995) au sein des clubs sportifs implantés ou souhaitant s'implanter dans les quartiers populaires. A travers une enquête de terrain réalisée dans cinq clubs sportifs durant trois ans ainsi qu'une enquête exploratoire auprès de vingt-quatre clubs dans le cadre d'une recherche-action, des relevés ethnographiques et des entretiens réalisés auprès des principaux acteurs participant au réseau porteur de la dynamique d'innovation (CALLON, 1999) ont été réalisés. Suivant les principes fondateurs de la théorie Enracinée (STRAUSS, CORBIN, 2004), les résultats se concentrent sur des mécanismes cognitifs, managériaux et coopératifs, identitaires et territoriaux. Les dirigeants associatifs interrogés repèrent des indices d'un changement d'état du sport et d'une transformation de la société où le club se présente à la fois comme un réceptacle de ces maux et un espace possible de création de réponses. Le projet associatif est alors questionné par l'émergence de besoins et de solutions qui peuvent s'inscrire en marge des normes en place et des valeurs défendues (ALTER, 1993). Une réorganisation de l'association se produit alors en passant par la redéfinition des places et des rôles des acteurs autour d'une problématique de développement du club, dont les approches varient d'un club à un autre. Au regard de l'esprit du club, des dirigeants, des usagers réceptifs, des acteurs-passerelle et des porte-paroles prennent place dans la dynamique d'innovation sociale pour en infléchir son mouvement. Au-delà des acteurs, des alliances et des coopérations, notamment autour de tandems de dirigeants, s'organisent et redéfinissent les pratiques démocratiques. La dynamique d'innovation sociale n'est pas uniquement l'affaire des seuls membres du club qui s'organisent pour faire émerger des actions destinées à répondre aux besoins sociaux dans ou en marge du club. Elle est une activité en réseau qui déborde le périmètre des membres et des proches du club. Le réseau porteur de l'innovation sociale est composé d'acteurs institutionnels et/ou collectif qui vont attribuer une légitimité à l'action associative innovante. Les clubs sportifs vont composer avec ces deux types de réseau (inter-personnel de quartier et institutionnel) privilégiant ainsi le référentiel identitaire d'acteur de « quartier » dont la pratique sportive est une ressource ou celui d'acteur du « sport » dont l'approche territoriale est un moyen supplémentaire de développement / No English abstract available
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Pauvreté et mal-développement. Une géographie sociale de la Martinique / Poverty and underdevelopment. A social geography of Martinique

Legrand-Picard, Dominique 12 January 2015 (has links)
Les déséquilibres socio-économiques entre les départements d’Outre-mer et l’Hexagone sont criants. En Martinique, la pauvreté est plus intense et plus diffuse qu’au plan national, elle frappe fortement les exclus du marché du travail et jusqu’aux salariés. Le chômage, un phénomène structurel et endémique, y est deux fois plus élevé et touche majoritairement les jeunes, les femmes et les non-diplômés. Depuis le mouvement social de 2009, et l’instabilité politico-institutionnelle qui l’a accompagné, les tensions sociales restent vives et sont l’expression de frustrations liées à des inégalités persistantes. Comment s’expliquent-elles ? La paupérisation croissante d’une part importante de la population découle d’un environnement économique particulièrement défavorable. La région se caractérise par un développement faible, une situation dégradée du marché de l’emploi, une économie dépendante des transferts publics. L’analyse géographique met en lumière les structures de la pauvreté : profils des familles, accès à l’emploi, qualification et formation, conditions de logement et situation sanitaire des publics démunis. Les dimensions territoriales des dynamiques de pauvreté soulignent le lien entre espace social et espace géographique : les phénomènes de pauvreté, de précarité et d’exclusion sont étudiés à l’échelle des quartiers d’habitat spontané et informel, encore nombreux aujourd’hui en Outre-mer, principaux espaces de production de pauvreté et de ségrégation dans les milieux urbains et ruraux. / There exist blatant socio-economic imbalances between the French overseas departments and metropolitan France. In Martinique more particularly, poverty is more intense and more diffuse than at the national level; it strongly hits both people excluded from the labor market and wage-earning laborers. Unemployment, both a structural and an endemic phenomenon, mainly affects young women and non-graduates. Since the social movement of 2009 and the political and institutional instability that followed, social tensions have remained high, revealing the people’s frustration as to persistent inequalities. How can one account for these inequalities? The increasing impoverishment of a large part of the population stems from a particularly unfavorable economic environment. The region is characterized by its low development, its degraded and deteriorating labor market, and its peculiar economy, relying on government subsidies. The geographic analysis provided by this dissertation highlights the distinctive features of poverty: the profiles of affected families, as well as the characteristics of the impoverished populations in terms of access to employment, skills and training, and health. The territorial dimensions of the dynamics of poverty will also be studied, thus emphasizing the link between social space and geographic space, as poverty, insecurity and exclusion will be analyzed at the level of spontaneous settlement areas (shantytowns / squatter homes). Indeed, poverty and segregation are primarily found in these spontaneous settlements – which are still very numerous in the French overseas departments – in both urban and rural environments.
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La gentrification à Paris intra-muros :<br />dynamiques spatiales, rapports sociaux et politiques publiques

Clerval, Anne 04 December 2008 (has links) (PDF)
La gentrification est une forme particulière d'embourgeoisement qui touche les quartiers populaires centraux et s'accompagne de la transformation du bâti. Cette notion anglo-saxonne, longtemps ignorée par la recherche urbaine en France, s'avère féconde pour analyser une partie importante des transformations urbaines et sociales de l'espace parisien depuis plusieurs décennies. Pour cerner l'ampleur de la gentrification à Paris intra-muros, cette thèse s'appuie à la fois sur un riche corpus de données statistiques concernant les ménages et les logements depuis 1982 et sur des enquêtes de terrain menées dans trois quartiers populaires. Elle montre, dans un premier temps, que les quartiers populaires parisiens sont profondément transformés par la gentrification depuis les années 1980, tout en mettant en évidence à la fois les principaux facteurs, les rythmes et les dynamiques spatiales de ce processus. Elle en présente également les différents acteurs - des ménages des classes moyennes et supérieures aux pouvoirs publics en passant par les promoteurs et les commerçants - et explore en particulier la position sociale, le mode de vie et les discours des gentrifieurs. L'approche multiscalaire permet d'articuler une appréhension globale de la gentrification à Paris avec une analyse fine de ses modalités au niveau local. Dans un second temps, elle s'intéresse à la cohabitation des différents groupes sociaux au sein des quartiers populaires en voie de gentrification. La prise en compte du point de vue des différents acteurs en jeu - et notamment celui des ménages populaires - permet de mieux comprendre les effets de la gentrification sur les classes populaires et le rôle des politiques publiques dans ce processus de reconquête sociale. Cela conduit à une analyse critique de la mixité sociale apparente qu'il induit dans les quartiers populaires.
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Vulnérabilité et stratégies de subsistance des microentrepreneurs et de leurs ménages dans les quartiers populaires du centre de Yaoundé, au Cameroun

Girard, Christian 08 1900 (has links)
No description available.
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« Faire ressource » en quartier populaire: Analyse des logiques d’interaction entre activités économiques et habitants des classes populaires

Sanchez Trenado, Corentin 06 July 2021 (has links) (PDF)
L’objet de cette thèse était de comprendre les multiples relations qui unissaient activités économiques (industrielles et commerciales) et habitants des quartiers populaires, envisagés l’un et l’autre au prisme de la notion de « ressource ». Fortement centrée autour du cas d’étude du site des Abattoirs et Marchés de Cureghem et de son quartier d’implantation, Cureghem, cette thèse avait en effet pour objectif principal d’identifier les éléments qui permettaient de « faire ressource » du point de vue des classes populaires bruxelloises ainsi que de celui des acteurs économiques du site des Abattoirs. Ce travail de thèse a ainsi permis de mettre en évidence différents types de ressources, à la fois matérielles et symboliques, bénéficiant, d’une part, aux habitants des classes populaires et, de l’autre, aux acteurs économiques du secteur de la viande. Parmi les premières, on peut notamment mentionner le rôle particulièrement important du marché des Abattoirs en tant que lieu pourvoyeur de produits abordables et adaptés culturellement, mais également d’opportunités d’emplois, en particulier pour des personnes primo-arrivantes. Ce marché constitue en outre un lieu de ressourcement et de sociabilité favorisant les rencontres et la circulation de l’information au sein des classes populaires. Concernant les secondes, outre les avantages résultant des logiques d’économie d’agglomération et de centralité, les activités du secteur de la viande bénéficient en particulier de la vitalité du secteur de la boucherie halal ainsi que des possibilités de vente au détail sur le marché des Abattoirs, qui constituent des alternatives au secteur de la boucherie non-halal, sur le déclin. Cette entrée par les ressources permet donc de changer de perspective sur les membres des classes populaires et ces acteurs économiques qui, s’ils se situent dans une position dominée économiquement et socialement, disposent malgré tout d’une certaine marge de manœuvre dans la production de leurs propres moyens de subsistance, de leurs propres facteurs de maintien et, par extension, de leurs propres espaces de centralité. Cependant, en l’absence d’une reconnaissance par les acteurs institutionnels des moyens de subsistance dont disposent les classes populaires, les politiques de rénovation urbaine et les dynamiques de gentrification qui touchent actuellement les quartiers populaires centraux, menacent de détruire les ressources constitutives de ces espaces populaires. Ceci pourrait donc remettre en question l’occupation populaire du quartier et déstabiliser l’équilibre fragile sur lequel repose la subsistance des classes populaires. / Option Géographie du Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lutter contre la dualisation socio-spatiale dans les quartiers défavorisés de Bruxelles et de Montréal: changements et convergences à l'épreuve des logiques d'acteurs et des dynamiques institutionnelles / Struggling against social and urban polarization in popular neighbourhoods of Brussels and Montreal :bchanges and convergences framed by logics of actors and institutionnal dynamics

Sacco, Muriel 10 December 2011 (has links)
Notre recherche doctorale porte sur les politiques de lutte contre la dualisation socio-spatiale menées à Bruxelles et Montréal. Ces politiques publiques ont été introduites à la fin des années 1980 dans un très grand nombre de villes occidentales (Equal Opportunity Policies et Urban Regeneration Policies dans le cadre du programme Action for Cities en Grande-Bretagne, Soziale Stadt en Allemagne, la politique de la ville en France, Urban et Objectif 2 au niveau européen, etc.) en raison de la montée de l’exclusion et de menace pesant sur la cohésion sociale urbaine. Ces politiques publiques se fondent sur la logique de ciblage territorial, de mobilisation locale et sur une approche intégrée mêlant des actions sur le bâti, les équipements collectifs et des actions sociales. C’est pourquoi elles introduisent plusieurs ruptures par rapport aux modes d’intervention publique à l’œuvre jusqu’alors. La diffusion de ces politiques publiques nous a incitée à interroger la standardisation et les transformations de l’action publique véhiculées par ce type de politiques publiques. Notre démarche se caractérise non seulement par la comparaison de deux villes, mais aussi de deux politiques publiques et de trois quartiers dans chacune des deux villes. <p>1.\ / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Résistance culturelle hybride des jeunes des quartiers populaires à l’ère du numérique : étude de cas et analyse quali-quantitative comparée (AQQC-QCA) de Medellin, Paris et Sao Paulo / Hybrid cultural resistance of the youth of popular neighborhoods in the digital age : case study and qualitative comparative analysis (QCA) of Medellín, Paris and São Paulo / Resistencia Cultural Híbrida de jóvenes de barrios populares en la era digital : estudio de caso y análisis cualitativo comparado (QCA) de Medellín, Paris y São Paulo / Resistência Cultural Híbrida da Juventude em Territórios Populares na Era Digital : Estudo de Caso e Análise Qualitativa Comparativa (QCA) de Medellín, Paris e São Paulo

Mansilla, Juan Camilo 23 November 2017 (has links)
À partir d’une analyse quali-quantitative comparée (AQQC-QCA), conçue par Ragin (1987), nous proposons un modèle théorique sur l’émergence et la transmission des pratiques de résistance culturelle des jeunes des quartiers populaires de Medellín (Colombie), Paris (France) et São Paulo (Brésil). Nos résultats indiquent que les pratiques de résistance culturelle hybride de ces jeunes se produisent selon deux scénarios. Le premier (i.e., M[P+A] → R) apparaît lorsque des communautés morales à forte identité collective (i.e., dont les membres ne sont pas nécessairement localisés dans la même zone géographique) se nourrissent des flux d’information de stigmatisation en provenance de la sphère médiatique centrale de la ville (SMCV), et disposent soit de ressources informationnelles offertes par la mise en place de politiques publiques d’intervention populaire, soit d’un accès libre et répandu aux technologies d’information et communication liées à Internet (TICi). Le second (i.e., OA → R), émerge lorsque l’utilisation des TICi par ces jeunes augmente et qu’ils ont la perception que le gouvernement ne s’intéresse pas à eux, à leurs demandes et besoins. Le contexte actuel globalisé d’échanges présentiels/virtuels d’informations a) modifie les réseaux culturels hybrides des communautés morales, et ; b) construit l’expérience urbaine des individus à partir d’espaces publics hybrides. Notre proposition théorique sert, plus largement, à comprendre l’évolution de la « symbole-sphère » des communautés morales périphériques de la ville à l’ère du numérique, ainsi que la nature de l’information développée par Schumann et Logan (2005) et Logan (2012). / Based on a qualitative comparative analysis (QQA), a method developed by (Ragin, 1987), we propose a theoretical model of the emergence of transmission of the cultural resistance practices of the low income youth from popular neighborhoods of Medellín (Colombia), Paris (France) and São Paulo (Brazil). Our results indicate that the cultural resistance practices of this population appears in two different settings. The first one (M[P+A] → R) happens when the moral communities (that is, not necessarily located in the same geographical area) reach a strong cultural identity, feeds on stigmatizing information flows from the central media sphere of the city (SMCV), and have either information resources offered by the set of public policies of popular intervention or widespread and free use of information and communication technologies related to the Internet. The second one (OA → R), occurs when the use of the TICs by this youth wins density following the growing perception that the government is not interested in attending theirs demands and needs. The current context of global exchange of real and virtual information a) modifies the cultural hybrid networks associated with moral communities and b) builds an urban experience of individuals starting with hybrid public spaces. Our theoretical proposition serves a better understanding of the evolution of the symbolosphere of the peripheral moral communities in the cities of the digital age and the nature of the information as developed by Schumann et Logan (2005) et Logan (2012). / A partir de un análisis cualitativo comparado (QCA), método concebido por Ragin (1987), proponemos un modelo teórico sobre la emergencia y la transmisión de las prácticas de resistencia cultural de los jóvenes de barrios populares de Medellín (Colombia), Paris (Francia) et São Paulo (Brasil). Nuestros resultados indican que las prácticas de resistencia cultural híbrida de estos jóvenes se producen en dos escenarios. El primero (M[P+A] → R) aparece cuando las comunidades morales (i.e., no necesariamente ubicadas en la misma zona geográfica) con una fuerte identidad colectiva, se alimentan de flujos de información estigmatizantes procedentes de la esfera mediática central de la ciudad (SMCV), y disponen ya sea de recursos informacionales ofrecidos por la existencia de políticas públicas de intervención popular, o bien de un acceso generalizado y libre a las tecnologías de la información y la comunicación relacionadas con Internet (TICi). El segundo (OA → R) emerge cuando el uso de las TICi por parte de estos jóvenes aumenta y tienen la percepción de que el gobierno no se interesa en ellos, ni en sus demandas ni en sus necesidades. El contexto global actual de intercambio presencial y virtual de información a) modifica las redes culturales híbridas asociadas a las comunidades morales, y; b) construye la experiencia urbana de los individuos a partir de espacios públicos híbridos. Nuestra propuesta teórica sirve, de manera general, para entender la evolución de la “simbolosfera” de las comunidades morales periféricas urbanas en la era digital, así como la naturaleza de la información propuesta por Schumann et Logan (2005) et Logan (2012). / Com base em uma análise qualitativa comparativa ou “Qualitative Comparative Analysis” (QCA), método desenvolvido por (Ragin, 1987), propomos um modelo teórico da emergência e da transmissão de práticas de resistência cultural entre jovens de baixa renda em territórios populares de Medellín (Colômbia), Paris (França) e São Paulo (Brasil). Nossos resultados indicam que as práticas de resistência cultural híbrida desses jovens seguem dois roteiros. O primeiro (M[P+A] → R), quando as comunidades morais (ou seja, não necessariamente localizados na mesma área geográfica) alcançam forte identidade coletiva, alimenta-se de fluxos de informação estigmatizantes oriundos da esfera de mídia central da cidade (SMCV) e dispõem seja de recursos de informação oferecidos pelo conjunto de políticas públicas de intervenção popular, seja de um aceso generalizado e livre as tecnologias de informação e comunicação relacionadas à Internet (TICi). O segundo (OA → R), quando o uso das TICs por esses jovens ganha densidade na medida em que amadurecem a percepção de que o governo não está interessado em atender suas demandas e necessidades. O atual contexto global de troca presencial e virtual de informações a) modifica as redes culturais híbridas associadas a comunidades morais e b) constrói a experiência urbana de indivíduos a partir de espaços públicos híbridos. Nossa proposta teórica serve, mais amplamente, para entender a evolução da “simbolosfera” das comunidades morais periféricas das cidades na era digital e a natureza da informação tal como desenvolvida por Schumann e Logan (2005) e Logan (2012).

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