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Perceptions des risques industriels et nucléaires. Enjeux, négociations et construction sociale des seuils d'acceptation des risques

Bernier, Sandrine 29 November 2007 (has links) (PDF)
Dans ce travail de thèse, nous interrogeons les perceptions des risques industriels dans les pays occidentaux en ce début de XXIème siècle. Nous cherchons à comprendre comment des concepts de développement durable, de principe de précaution, de responsabilité ou encore de risque zéro sont progressivement apparus autour d'un modèle de pensée basé sur la rationalité scientifique. Ce modèle est ébranlé aujourd'hui par une incapacité à répondre à toutes les interrogations qu'il soulève et à parer à toutes les situations de risques. Pourtant, même déstabilisé, il reste une valeur de référence travaillée par des accidents du passé. Ceux-ci ont poussé à une législation visant essentiellement à délimiter des responsabilités et à protéger ceux qui l'engagent. L'information du public devient un enjeu de démocratie et aussi de protection de ce modèle de pensée. Ces enjeux ont pour toile de fond les lobbyings sécuritaires, économiques et politiques qui reconfigurent en permanence les frontières de l'acceptation des risques. On se retrouve avec un positionnement construit autour de l'idée du maintien de notre mode de vie et de notre système de valeurs, qui même en crise ne se trouvent pas remis en cause.<br />L'originalité de cette recherche tient à la dimension importante de terrain local que nous apportons, qui se compose de sites classés Seveso et nucléaires implantés en Indre et Loire. Nous avons interrogé cinq catégories d'acteurs par entretien ou par questionnaire dans le but de comprendre leur position vis-à-vis des situations de risques technologiques. Leurs discours permettent de comprendre et d'affiner les seuils d'acceptation qu'ils définissent autour des risques industriels et de faire ressortir la complexité d'une situation mêlant enjeux politiques, pressions environnementales, logiques économiques et contraintes sécuritaires, vers un positionnement flou et complexe. Ce terrain éclaire une réalité faite de contrastes sur les perceptions de risques d'aujourd'hui.
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Système de déduction automatique : application à la construction de programmes

Ouabdesselam, Farid 15 December 1980 (has links) (PDF)
L'étude des moyens de déductions pour entreprendre une construction assistée de programmes mène à la définition d'un système de déduction automatique capable :<br />- de traiter l'égalité d'une façon générale ;<br />- d'entreprendre la preuve de formules qui ne sont pas des théorèmes, d'étudier les causes d'échec ;<br />- d'effectuer un tri pour retirer d'un large ensemble d'informations, celles utiles à la preuve.<br /><br />Ces caractères ont pu être pris en compte dans le cadre d'un système général, de genre "déduction matérielle".<br />Certaines classes d'expression reçoivent toutefois un traitement particulier. Ainsi une méthode de codage permet de déterminer, sans simplification ni mise en forme normale, l'équivalence d'expressions numériques.
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L'évaluation comme processus de construction des risques professionnels et de rationalisation de leur gestion : la place du CHSCT (Comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail) dans l'action et dans la régulation entre les acteurs

Sotty, Philippe 09 February 2005 (has links) (PDF)
La gestion des risques professionnels repose sur leur construction contextualisée, sur laquelle influent des éléments de contexte politiques, scientifiques, sociaux, juridiques et économiques. Qu'elle soit formelle ou informelle, elle repose d'une part sur les caractéristiques des risques et, d'autre part sur les acteurs et l'inséparabilité de leurs savoirs et relations (Hatchuel). Les savoirs mobilisés sont construits dans le travail (activité réelle de travail), ou constitués hors de celui-ci (règle hétéronome, connaissance scientifique, ...). Les relations professionnelles influent sur l'organisation et les modes de construction. Certaines favorisent les contributions expertes et la construction conjointe des risques, alors que d'autres réduisent le recours à l'expertise interne et développent davantage une régulation par la règle externe. Le travail et les enjeux des salariés constituent la base de la construction « ascendante ». Les risques cibles sont les problèmes concrets, ponctuels, facilement perceptibles, appréhendés à partir de l'activité de travail. Le prescrit externe (connaissance ou règle) constitue le fondement de la construction « descendante », dont les risques cibles sont les plus difficilement perceptibles et/ou ceux qui disposent d'un prescrit externe, ou de savoirs « constitués » forts, comme la radioactivité, l'incendie, les produits cancérogènes, ... Le troisième système « combine » l'ascendant et le descendant. Il requiert une régulation / construction conjointe. Les risques cibles sont ceux pour lesquels une construction contextualisée est nécessaire, soit par absence de prescrit, soit par nécessité de prendre en compte l'activité, comme les accidents avec exposition au sang et la charge mentale. Le CHSCT constitue un sous ensemble régulatoire de cette construction. Quel que soit le mode de construction, la qualité de la régulation détermine celle des actions organisées indispensables à l'apprentissage de la gestion des risques.
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La gestion des partenariats d'exploration : spécificités, crises et formes de rationalisation

Segrestin, Blanche 12 May 2003 (has links) (PDF)
Résumé indisponible
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Ressources numériques à l'Ecole : vers un glissement de la prérogative politique chez les acteurs de l'éducation

Inaudi, Aude 07 November 2008 (has links) (PDF)
Les ressources numériques éducatives, au coeur d'une multitude de discours, deviennent une évidence sociale et politique. Autour d'elles se construit une image prétendument neutre, a- politique qui disqualifie, a priori, toute tentative critique. Ce phénomène relève de l'impensé. Sa conséquence est le glissement de la prérogative politique de l'Etat vers les acteurs qui détiennent les clés du financement et/ou du fonctionnement des ressources numériques. La posture épistémologique retenue, une lecture sémio-politique, s'inscrit dans la complexité. La grille de lecture croise la sémiotique des écrits d'écran avec les symptômes de l'impensé. Le décryptage sémiotique, par le biais de leur organisation et leur énonciation éditoriales, révèle la prégnance dans les discours, de l'évidence technologique et de la confiance, dans un contexte de rationalisation du système éducatif. La recherche effectuée révèle donc un glissement pluriel de la prérogative politique : l'effacement des frontières des compétences propres à chacun des acteurs de l'Education, la territorialisation de la politique éducative nationale, la dispersion des responsabilités concernant la gestion des données personnelles des usagers de l'Ecole, le rôle quasi- prescripteur de certains organismes internationaux en matière de politique éducative.
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Le développement d'une pensée séculière par la diffusion de la religion : une sociologie des humanistes

Dion, Rosalie 11 1900 (has links)
Ancré dans une perspective historique, ce mémoire cherche à mettre en application une relecture de la théorie wébérienne de la « rationalisation éthique » comme facteur explicatif de la reconfiguration moderne du rapport entretenu entre les individus et la religion. Un retour sur les changements survenus dans la pensée religieuse de la Renaissance — pensée mise en contraste avec la situation religieuse des populations du Moyen-Âge — permet de mettre en évidence le passage d’une religion syncrétique, ritualiste et imprégnée de magie, à un christianisme épuré, intériorisé et rationnel. L’étude de la pensée religieuse de l’humaniste Érasme de Rotterdam, pris comme « figure historique » porteuse de cette transformation, pointe vers la diffusion à la Renaissance d’un christianisme compris comme système philosophique compréhensif dépouillé de son caractère mystique. Cette diffusion d’un « esprit » chrétien, et l’importance accordée à la mise en œuvre d’une conduite de vie méthodique spécifiquement orientée vers le salut, participe au premier chef d’un processus de « quotidianisation » du charisme religieux, prélude essentiel, dans une perspective wébérienne, à la « rationalisation éthique » et à l’autonomisation de la sphère religieuse dans la vie sociale. / By way of a historical perspective, this masters thesis aims to reconsider the weberian “ethical rationalization” theory as an explanatory factor for the modern transformation of the relationship between individuals and religion. Reviewing the changes in Renaissance religious thought—and contrasting it with the Medieval religious context—enables us to uncover a shift from a syncretic and ritualized religion that is filled with magical elements, towards an uncluttered, internalized and rational Christianity. The focus on Erasmus of Rotterdam’s religious humanist thought—considered here as a “historical figure” and carrier of these transformations—brings light on how Christianity was stripped of its mystical aspects and came to be understood as a comprehensive philosophical system. The dissemination of such a Christian “spirit”, as well as the importance granted to a methodical way of life specifically oriented towards salvation, play a key role in the appearance of a “quotidian ritualization” of religious charisma, which is in itself, according to Weber, an essential preliminary to an “ethical rationalization” and thus to the “autonomization” of the religious sphere in the social life.
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Les rationalisations du médium numérique

Perreault, Alex 08 1900 (has links)
À partir d’observations personnelles sur l’importance de la technique et des technologies dans la production musicale, le projet de ce mémoire fut élaboré autour de la sociologie de la musique de Weber. En premier lieu, un questionnement du rapport entre musique, technologie et société permet d’établir de nombreuses voies pour la recherche concernant les médiations techniques de la musique. Ces médiations sont maintenant caractérisées par les changements issus de l’implantation de l’informatique dans de nombreuses sociétés et la modification des rapports de pouvoir et des rapports sociaux par les possibilités nouvelles offertes par le médium numérique. Si Internet semble avoir bouleversé l’industrie de la musique, de nouvelles possibilités de dépasser les limitations des technologies traditionnelles de la musique sont toutefois aussi apparues au sein de ce « système sociotechnique ». Ces modifications prennent la forme de philosophies, mais aussi de pratiques sociales qui se répandent, avant tout, auprès de la jeune génération, ce qu’il est possible d’observer par les changements dans les pratiques musicales. À partir des outils conceptuels de Weber, deux idéaltypes seront créés qui représentent autant de modes de diffusion de musique sur Internet. L’accent est mis sur la différence entre les pratiques sociales et musicales de ces modes de diffusions : l’un est basé sur des pratiques traditionnelles et greffé sur la nouvelle plateforme Internet, l’autre emprunte les caractéristiques de la diffusion de l’information en réseau caractéristique de la culture Internet et se caractérise par des pratiques dites réflexives. Ces idéaltypes, ainsi que les cas qui les constituent et qu’ils mettent en lumière, sont mis à profit pour discuter des motifs de l’action chez différents agents au cœur des pratiques de diffusion et, finalement, des modalités variées que prend la rationalisation de la diffusion de la musique à partir du médium numérique. / Starting from personal observations on the place hold by techniques and technologies in the production of music, this thesis project was created around Max Weber’s Sociology of Music. First, the relations between music, technology and society are critically questioned in order to underline the possible ways of further research concerning the technical mediation of music. The latter are now characterized through the changes brought by the implementation of Informatics in many societies and the modification of the social or power relationships by the new possibilities of the digital medium. It seems that the Internet has shaken the music industry. However, in this socio-technical system new ways are being shaped allowing the overcome the traditional limitations of the music technologies. These ways takes the form of philosophies but also of social popular among the younger generations observable through changes in social practices. Using the Weber’s conceptual tools, two ideal types are created—representing as many diffusion modes of music on the Internet. Two dimensions regarding the difference between these social and musical practices are stressed: the perpetuation of traditional diffusion practices integrated on the Internet platform and the reflexives practices characterized by a diffusion mode expressing the network type of information circulation of the Internet culture. These ideal types, and the related cases chosen to construct and describe them, serve to discuss the multiple motives of action of different social agents relevant for the diffusion practices, and, finally, the various modalities of the rationalization of music diffusion through the digital medium.
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Comprendre l'incompréhensible : l'interprétation de la société, de Weber à Adorno

Cornut St-Pierre, Pascale January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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De la mesure du corps à la politique des corps : une histoire des sciences du travail (1880-1920) / From the measurement of boy to the policy of bodies : a history of science of work (1880-1920)

Saraceno, Marco 21 June 2013 (has links)
A la fin du XIXe siècle, dans le contexte de la mise en place de la société salariale en Europe, émerge un projet positiviste d’étude du travail humain que l’on n’a pas hésité à appeler « ergologie ». Ce projet, qui traversera différentes sciences humaines, cherchait à définir et à encadrer normativement le travail humain en partant de l’étude des potentialités et des limites psycho-physiologiques de l’activité corporelle (fatigue, aptitudes psychomotrices, monotonie, attention..). En ce sens, l’étude psycho-physiologique s’inscrivait dans un projet plus large d’« optimisation » de l’activité humaine (hygiénisme, paix sociale, eugénisme...), en ce sens la connaissance du corps au travail apparaissait comme une partie de la rationalisation de son « usage ». C’est dans cette perspective que certains historiens ont interprété le programme ergologique comme une tentative de « chosification » du corps dont le but serait de le transformer en instrument au service du profit capitaliste et/ou en support du contrôle disciplinaire de l’Etat (Rabinbach, 1992). Or, en observant le développement épistémologique et politique de ce projet « ergologique », on peut s’apercevoir que les tentatives de mesurer et de gérer le corps entendu comme instrument de la production montrent en continuation la nécessité de prendre en compte le choix volontaire par laquelle l’homme définit le but pour de son activité corporelle. En effet, si le travail humain ne peut être défini que comme une activité instrumentale pour atteindre un but « voulu », l’homme serait donc celui qui fait usage de son propre corps pour réaliser un « projet ». Ainsi, mesurer et gouverner les hommes par le travail du corps, tel que cherche à le faire « l’ergologie », n’équivaut pas simplement à réduire celui-ci à un objet malléable, mais également à penser l’activité corporelle instrumentale comme le moment où l’homme définit les objectif de son action en fonctions des différentes contraintes qui déterminent son action vitale. / At the end of the nineteenth century, in the context of the implementation of the “wage society” in Europe, appears a positivist project for studying human labor, which does not hesitate to define "ergology." This project, that cross different human sciences, sought to define and guide the normatively human work on the basis of the study of the psycho-physiological potentiality and limits of body’s activity (fatigue, attitudes, monotony, attention ...). In this sense, the study of psycho-physiological motions is part of a project about the "optimization" of human activities (hygienism, social peace, eugenics ...). From this perspective, some historians have interpreted the “ergology” as a form of "mechanization" of the body that would transform it into an instrument at the service of the capitalist profit and/or into a support of the disciplinary control of the State (Rabinbach, 1992) . However, observing the epistemological and political development of the "ergological project ", we can see that to measure and to management the man as an instrument of the production it need to take into account the voluntary action by which man defines the goal that his bodily activity. If human labor can be defined as an activity instrumental to achieve a goal "desired", so the man appears as the “master” of his body for the accomplishment of a “project”. So, measure and govern men through the work of the body does not just mean reducing the latter to object malleable, but also think the work as the action through the organic activity can be the support for a “human” realization.
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Des usines à colis : trajectoire ouvrière des entrepôts de la grande distribution / Package factories : working class trajectory of fodd retail warehouses

Gaborieau, David 06 December 2016 (has links)
Face cachée de la grande distribution, les entrepôts reçoivent les produits des fournisseurs et les distribuent aux magasins. Ils sont rattachés à un secteur relativement méconnu, la logistique, qui s'est progressivement autonomisé pour devenir un acteur majeur, bien que subalterne, des économies contemporaines. Cette thèse étudie les transformations induites par ce positionnement ainsi que les réformes organisationnelles et sociotechniques qui l'ont accompagné et qui ont fait de l'entrepôt une usine à colis dans laquelle des ouvriers produisent le flux. Des trajectoires professionnelles marquées par la contrainte et la pénibilité les amènent à composer avec l'intensification des tâches, le contrôle informatique des procédures, un temps de travail élastique et une rémunération au rendement, au sein d'un univers où il est difficile d'inscrire sa présence dans la durée. Lorsqu'ils revendiquent un attachement au métier ou une volonté de faire carrière, ils se heurtent à une déqualification des postes qui restreint les possibles en entrepôt. Plus que la relation marchande, ce sont des contraintes industrielles auxquels ils se confrontent au quotidien et qu'ils tentent de mettre à distance à défaut de toujours pouvoir les contourner. Dans ce contexte, la résistance des corps constitue une limite dont le dépassement est un enjeu individuel et collectif. La prise en charge informelle de la souffrance implique des équilibres précaires qui engagent l'individu dans et au-delà de son travail, alors que la problématique de santé intégrée à des dispositifs de gestion entraîne l'entrepôt vers un durcissement de la dynamique de rationalisation. / Warehouses - the hidden side of food retail firms - take in products sent in by suppliers and dispatch them to stores. They are part of a relatively little-known industry, the logistics sector, which progressively developed as an independent sector and became a major player, although subordinate, in contemporary economies. This thesis studies the transformations induced by this singular position as well as its consequent organizational and sociotechnical remodels that made the warehouse into a veritable « package factory » where workers produce the flow of merchandise. The workers' professional trajectories, marked by constraint and drudgery, lead them to cope with the intensification of their tasks, computerized monitoring and oversight of procedures, elastic shifts and hours as well as performance-based remuneration, all taking place in a world where keeping a long-term presence is proving difficult. When workers assert a real attachment to their trade or a desire to stake a career in it, they are confronted with a disqualification of the positions that limits the possibilities inside the warehouse. More than a commercial relationship, what these workers encounter and practice every day are industrial constraints, which they attempt to distance themselves from when they find no way of bypassing them. In this context, the resistance of bodies constitutes a limit, the surpassing of which is an individual and collective stake. The informal treatment of suffering implies some precarious balancing acts engaging the individual in their work as well as beyond, while the health issue, integrated into management mechanisms, is leading warehouses to a hardening of the rationalization -dynamic.

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