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La Cohérence du texte chez André Breton. Une étude de quatre oeuvres : Nadja, Les Vases communicants, L’Amour fou et Arcane 17 / Coherence of the Text in André Breton. A Study of four Narratives : Nadja, Les Vases communicants, L’Amour fou and Arcane 17

Harada, Misao 28 March 2013 (has links)
Dans cette étude nous nous proposons de mettre au jour ce qui assure la cohérence du texte dans quatre récits autobiographiques d’André Breton : Nadja, Les Vases communicants, L’Amour fou et Arcane 17. Nous proposons de les appeler « tétralogie » bretonienne. Après avoir montré que les approches en narratologie ne sont pas adaptées à cette fin, nous verrons que l’argumentation ayant pour but de transmettre l’idée du surréalisme donne un cadre intégrateur à ces récits pour en assurer la cohérence. Chaque texte doit selon nous être considéré comme une situation de communication entre le lecteur et l’auteur, c’est-à-dire dans sa dimension pragmatique et énonciative. L’illustration photographique, présente dans trois récits de la « tétralogie », fait partie des moyens mis en œuvre par l’acte d’argumenter. Elle contribue au mieux à cette communication-argumentation. Nous démontrons que ces récits doivent être considérés comme des « livres illustrés » modernisés par la photographie. Dans cette optique, nous examinons le rôle et l’évolution de la photographie à travers la « tétralogie ».Nous montrons que la situation de communication est figurée dans chacun des quatre récits comme un espace théâtral car chacun d’eux est construit comme un théâtre virtuel et fantasmatique. La théorie freudienne du rêve et du théâtre nous permet d’explorer la théâtralité de la « tétralogie » tout en résolvant le paradoxe du théâtre chez BRETON. / This study aims at clarifying the textual coherence in four autobiographical narratives of the Surrealist Poet André Breton: Nadja, Les Vases communicants, L’Amour fou and Arcane 17, which we propose to call “bretonian tetralogy”. Our main thesis is the central importance, in this “tetralogy”, of acts and means of convincing the reader of the genuineness of Surrealism. And the author succeeds in establishing a dynamic tête-à-tête relation with his reader, which endows each narrative with its inward coherence. Photography plays a key role in this rhetoric scheme, and we put forward the interpretation of “bretonian tetralogy” as a variation of 19th century’s illustrated book modernized by the medium and visualization device. On the basis of Freud’s theory about dream and theatricality, we demonstrate that these narratives must be considered as virtual theatres since incorporated theatricality is a way of reminding and exploiting, in the shape of a text, the discourse situation underway between communication partners; Breton and his reader.
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De la révolte à la découverte de la sagesse populaire / From revolt to discovery of popular wisdom

Kaboub, Ahmed 28 June 2012 (has links)
Les relations d'intertextualité dans Les Amours jaunes témoignent d'un jeu de correspondances et d'allusions littéraires que l'on peut nommer la poétique de l'habit d'Arlequin. Notre recherche porte sur les différentes expressions de la révolte dans le recueil. L'art de la dérision et la parodie contribuent au dialogue intertextuel avec d'une part des auteurs du passé tels que Shakespeare, La Fontaine, Villon et du Bellay. D'autre part, le poète se réfère à l'œuvre de Hugo, aux romans de son père, Edouard Corbière, et fait allusion à la poésie de Baudelaire, de Gautier et de Vigny. Dans le sillage de ses prédécesseurs il dénonce la peinture factice de l'Italie et de l'Espagne littéraires dans la poésie de Lamartine et de Musset. Par ailleurs, Les Amours jaunes illustrent la recherche d'une poétique nouvelle. En effet, Corbière s'interroge à propos de l'échec auquel il attribue une dimension positive qui contribue à la négativité de sa poésie. L'impossible dialogue amoureux le conduit à entrevoir dans l'amour maternel un dédommagement. En outre, le poète recourt à la théâtralité et projette sur la scène du spectacle imaginaire du recueil des figures de la marginalité, emblèmes de la sagesse populaire qui illustrent le renversement des valeurs sociales. Corbière transpose les paysages de la Bretagne dans son univers poétique et rend hommage au monde des marins dont il révèle la vision de la mort. / The intertextuality relations in Amours Jaunes indicate a game of correspondences and of Iilerary allusions that we can call the poetic makeup of Harlequin. Our research deals with the different expressions of the revolt in the anthology. The art of the derision and the parody contribute to the dialogue intertextuel with, on one hand, past authors such as Shakespeare, La Fontaine, Villon, and du Bellay. On the other hand, the poet is inspired by the work of Hugo, his father's novels, Edouard Corbière, and alludes to the poetry of Baudelaire, de Gautier, and de Vigny. Like his predecessors, Corbière denounces the artificial painting of the Italian and Spanish literary in the poetry of Lamartine and de Musset. Besides, Les Amours Jaunes iIIustrate the search for a new poetics. ln fact, Corbière wonders about failure to which he attributes a positive dimension, which contributes to the negativity of his poetry. The impossible love dialogue leads him to discover a rewarding feeling in maternal love. ln addition, the poet resorts to the theatrality and projects on the scene of the imaginary spectacle of the anthology of the faces of the marginality, emblems of popular wisdom that illustrate the overthrow of the social values. Corbière transposes Brittany's landscape into his poetic universe and pay homage to the world of the sailors from whom he takes the vision of death.
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Concert rock et théâtralité : Secret World Live de Peter Gabriel

Bercier, Ariane January 2016 (has links)
Les recherches actuelles sur les rapports entre théâtre et musique dans une perspective interartistique sont très peu développées et les études théâtrales portant sur un corpus musical populaire, plus spécifiquement sur la théâtralité du concert rock, sont presque inexistantes. Cette thèse de maîtrise, qui portera sur un cas de figure précis, a pour objectif de développer les recherches sur la théâtralité des concerts de musique populaire et, plus particulièrement, de brosser les contours d’un genre scénique que nous désignons comme étant le « concert rock-théâtral », caractérisé par une utilisation importante de procédés théâtraux et dramatiques, telles que la narrativité, la figuration et la représentation. Pour ce faire, nous avons choisi comme objet d’étude le concert Secret World Live de Peter Gabriel (1993), par le biais d'une captation vidéo, mis en scène avec la collaboration de Robert Lepage. Dans un premier chapitre, il s’agit de présenter un survol historique du genre rock, selon une perspective permettant de souligner l'évolution spectaculaire, performative et théâtrale de cette forme scénique. C’est à partir du rock progressif, suite à l'apparition de l'album concept, que l'on remarque l'influence du théâtre sur les performances scéniques des artistes. Le deuxième chapitre a pour objectif l'analyse des chansons du concert de 1993 de Peter Gabriel Secret World Live, afin d'y repérer les marques de théâtralité. Le dernier chapitre a pour objet l’analyse du spectacle lui-même et examine dans quelle mesure les thèmes des chansons sont « représentés » sur scène, et si les différentes composantes du concert (jeu de l’acteur, élaboration de personnages, décor, accessoires, éclairage, projections vidéos, etc.) participent de l’élaboration d’une fable scénique.
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Intermédialité et esthétique – Cinéma et théâtre chez Jean Cocteau / Intermediality and esthetics – cinema and theatre in the work of Jean Cocteau

Surmann, Caroline 03 June 2011 (has links)
Ce travail investit l’œuvre de Jean Cocteau et plus particulièrement son cinéma à partir d’une perspective intermédiale. Les questions de l’intermédialité sont mises en rapport avec des questions relatives à l’esthétique, confrontant l’évolution et l’invention des formes aux réflexions sur la connaissance et la perception du réel qui les ont engendrées. Etant donné que la forme concrétise ce qui se passe entre le réel et le sujet et véhicule les réflexions sur le réel et sa connaissance, les problèmes de perception et de construction de réalité, d’illusion et de représentation sont investies. Les conceptions esthétiques du poète sont confrontées aux mentalités qui les ont vues naître, aux conditions ontologiques et épistémologiques qui les ont rendues possible. Les analyses des six films que Cocteau a écrits et réalisés évaluent comment il a mis en pratique ses conceptions. Elles décrivent comment et pourquoi Cocteau intègre l’autre au cinéma et ‘impurifie’ sa matière. A la recherche d’une esthétique qui lui serait propre, le premier art auquel le cinéma se confronte est le théâtre. Il impose ses solutions lorsque le cinéma n’a pas encore développé ses propres formes de représentation. Faut-il aller avec le théâtre ? faut-il le contredire ? Dans ce travail, le théâtre est compris comme modèle artistique (théâtre) et comme élément esthétique (théâtralité). Il retrace ainsi, d’une part, les rapports cinéma-théâtre dans l’œuvre du poète et décrit, d’autre part, une théâtralité proprement cinématographique dont le modèle n’est plus immédiatement le théâtre et qui saisit des structures esthétiques du cinéma qui seraient en concordance avec celles du théâtre. / This dissertation investigates the work of Jean Cocteau and particularly his cinema from an intermedial perspective. The questions relevant to intermediality are addressed in relation to aesthetic considerations, thus confronting the configuration and invention of forms with the reflections on reality – its perception and knowledge – that generated them. As form itself marks the interface of reality and the subject and mediates between reality and the perceptive knowledge of it, this paper investigates the perception and filmic construction of reality, questions of illusion and representation that constitute the primordial preoccupations of Cocteau. His aesthetic conceptions are confronted with their ontological and epistemological conditions. The analysis of the six films that Cocteau has written and directed shows how the poet has put into practice his ideas and conceptions. They respond to the question how and why Cocteau integrates the other in the cinema and ‘impurifies’ its surface. Looking for an aesthetic of its own, the first art form cinema referred to was the theatre. It imposed its solutions where the cinema had not yet solved its own questions of representation. Should one go with the theatre? or against it? In this dissertation, theatre is understood both as artistic model (theatre) and as an aesthetic element (theatricality). Thus, on the one hand, we retrace the relations of cinema and theatre in the work of Jean Cocteau and, on the other hand, we describe a cinematographic theatricality that is no longer immediately related to theatre, but that refers to the aesthetic structures of the cinema that are in concordance with that of the theatre.
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Les Aveux imaginaires : scénographie de la confession dans le roman du XIXe siècle (Angleterre, France, Russie) / Imaginary confessions : nineteenth-century novel (England, France, Russia) and the scenography of confessional self-revelation

Aude, Nicolas 06 December 2018 (has links)
Il s’agit de repenser les rapports entre littérature et aveu religieux dans le cadre d’une archéologie de l’autofiction contemporaine. En prenant en compte la construction mythique et fantasmatique du « Roman du XIXe siècle » comme paradigme du livre public, cette thèse envisage la scène romanesque de confession comme le lieu d’un métadiscours : ce dernier a pour objet le bouleversement des rapports entre espace public et sphère intime après le tournant de l’expressivisme romantique. Ce bouleversement nous paraît avoir été illustré diversement par six autrices et auteurs issus des espaces anglais, français et russe : Ann Radcliffe, Charlotte Brontë, George Sand, Fédor Dostoïevski, Maxime Gorki et Georges Bernanos. L’étude comparatiste de ces six œuvres déplace la question générique des confessions littéraires en resituant leurs scénographies dans la tradition religieuse et romanesque des mystères. La théâtralité de ces scènes de confession atteste, par ailleurs, une pénétration du mode de représentation dramatique sur le mode narratif. Ce dernier phénomène peut être abordé dans une perspective microsociologique, attentive aux inflexions historiques de la dramaturgie sociale comme aux ruptures de la présentation de soi. La scénographie des aveux imaginaires s’intègre enfin dans une histoire de l’aventure interprétative moderne et notamment dans celle de la critique littéraire, marquées, au XIXe siècle, par un processus de laïcisation de l’âme et par le triomphe d’une nouvelle culture de l’enquête. Si l’intériorité du sujet devient progressivement dans le roman l’objet d’un spectacle, elle parvient aussi, à travers les méandres de l’écriture, à se dérober aux nouvelles exigences de la visibilité. / This thesis reconsiders the relationship between literature and religious confession within the framework of an archaeology of contemporary autofiction. Taking into account the mythical and fantasmatic construction of the "Nineteenth Century Novel" as the paradigmatic public book, this research interprets the confession scene in novels as a locus of a metadiscourse, which is closely linked to the upheaval of relations between public space and intimate sphere after the expressivist turn in Romanticism. We consider this upheaval to have been variously illustrated by six authors from England, France, and Russia: Ann Radcliffe, Charlotte Brontë, George Sand, Fedor Dostoevsky, Maxim Gorky and Georges Bernanos. Studying these six works from a comparative standpoint allows us to shift the generic question of literary confessions through placing this scenography in the religious and romantic tradition of mysteries. Moreover, these confession scenes’ theatricality attests to a penetration of the dramatic mode into the narrative mode of representation. It can be approached from a microsociological perspective, by paying close attention to the historical inflections of social dramaturgy as well as to the disruptions of self-presentation. Lastly, the scenography of the imaginary confessions belongs to the history of modern interpretative adventure more particularly of literary criticism, both influenced in the nineteenth century by a process of secularization of the soul as well as the triumph of a new inquiry culture. If the subject’s interiority gradually becomes a spectacle in the novel, it also manages, through the meanders of writing, to evade the new demands of visibility.
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Comment vivre? connaissance, identité et communication dans La mouette d'Anton Tchékhov

Boivin, Marie-Soleil January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Au théâtre des pensées. Essais de Péguy, Valéry, Artaud et Michaux / The Essays of Péguy, Valéry, Artaud and Michaux : a theatre of the mind

Gouttefangeas, Maud 11 February 2012 (has links)
Il existe un théâtre des pensées, un espace de création et de jeu où se révèle l’activité pensante. Dans leurs essais, Péguy, Valéry, Artaud et Michaux ont pratiqué un tel théâtre. Par-delà leurs différences, leurs pensées sont remarquables en ce qu’elles cherchent à se représenter à elles-mêmes à travers un modèle théâtral, lequel se configure au point d’intersection de trois théâtres. Le premier renvoie au théâtre réel du premier XXe siècle, qui voit se développer des expérimentations de mise en scène. Les lieux de spectacles et les milieux artistiques dans lesquels évoluent les quatre auteurs abordés participent à la diffusion de ces formes modernes de théâtralité, qui constituent de nouvelles possibilités de représentation dont s’imprègne leur imaginaire. Dans cet imaginaire se déploie un deuxième théâtre, théâtre intérieur auquel diverses voies – mystiques, poétiques (Baudelaire et Mallarmé) et philosophiques (Freud et Bergson) – donnent accès. Un troisième théâtre s’ouvre dans les textes, en se réalisant dans les formes et les valeurs de l’essai. La généalogie du genre, qui passe par Montaigne et Nietzsche, révèle comment, au cœur de l’écriture essayistique, interagissent théâtralisation des pensées et théâtralisation du texte. Une poïétique théâtrale se fonde que les quatre auteurs mettent en œuvre. Les pensées théâtralisées, faisant appel à des figures et des dispositifs qui rappellent ceux qui s’inventent sur les scènes modernes, sont mises en espace, en mouvement et en voix. Les textes veulent donner à voir ce théâtre des pensées où gestes, costumes, décors, éclairages, chœurs, etc., forment des compositions signifiantes. / There is such a thing as a theatre of the mind, a space for creation and play, in which the process of thinking is revealed. Péguy, Valéry, Artaud and Michaud have all experienced this in their essays. Beyond the differences that distinguish their works, their thinking processes are remarkable as they seek to reveal themselves through a model that finds its origin at the intersection of three forms of theatre. The first is the actual theatre of the early 20th Century, in which many experiments occur in the art of mise en scène. The stages and artistic settings in which these four authors evolve are vessels for the transmission of new and modern forms of theatricality ; they present the authors with new possibilities as far as performance is concerned, possibilities from which their minds take inspiration. On this inner stage of the mind, a second form of theatre unfolds to which various paths – mystical, poetic (Baudelaire and Mallarmé) and philosophical (Freud and Bergson) – give access. A third type of theatre can then be found in the four authors’ works, through the various shapes and values of essayistic writing. The genre’s genealogy, from Montaigne to Nietzsche, reveals, at its very core, an interaction between dramatizations of the mind and the text. In other words, a theatrical poietic emerges, which the four authors employ. The dramatized thoughts, calling on devices and mechanisms reminiscent of those being invented on modern stages, are put into place and pushed into movement, given a voice. The texts seek to show this theatre of the mind in which actions, costumes, décor, lighting, chorus, etc., intertwine, forming meaningful compositions
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Emily Dickinson du côté de Shakespeare : modalités théâtrales du lyrisme / The Dramatic Modes of Emily Dickinson’s Lyricism

Chevrier-Bosseau, Adeline 19 November 2011 (has links)
La poésie d’Emily Dickinson dévoile un lyrisme théâtralisé : chaque poème devient une scène où évolue une voix qui se travestit, s’altère, se diffracte en divers échos. Très influencée par l’œuvre de Shakespeare, mais également par la théâtralité ambiante de l’Amérique victorienne, Dickinson met en scène le sujet lyrique dans ce qu’il a de plus théâtral. La théâtralité de référence étant celle du dramaturge et poète élisabéthain, cette "contamination" du théâtre nous incite à élargir notre conception du lyrisme. Si l’on observe des résurgences ironiques d’une conception traditionnelle du lyrisme comme un épanchement intime, ce dernier est surtout à envisager en termes de dynamique, d’énergie. Le théâtre est pour Emily Dickinson le lieu autre où le lyrisme s’altère plus avant, la structure nodale de l’écriture lyrique et son cœur battant, le lieu de sa revitalisation. / Emily Dickinson’s poetry showcases a dramatic kind of lyricism: each poem becomes a scene where the lyric voice changes shape, tone, and even gender. Strongly influenced by Shakespeare’s work and by the extremely theatrical culture of Victorian America, Dickinson stages the lyrical self at its most theatrical. The fact that the Elizabethan playwright and poet’s idiosyncratic theater was the main reference for Dickinson’s conception of drama and theatricality invites us to broaden our conception of lyricism. Although some recurrences of a more traditional approach to lyricism as an outpouring of intimate feelings appear at times – mostly tainted with a great deal of irony – lyricism will mainly be considered as the energy fueling life into the poem. The theater is for Emily Dickinson the spring of this lyrical energy, the transformative force and the crucial structure at the heart of her poetic writing.
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Invention du surréalisme et découverte critique du baroque

Vlasie, Diana Elena 02 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse entreprend d'étudier l'invention du surréalisme en regard de la découverte critique du baroque. L'art et la littérature baroques sont nés à la fin du XVIe siècle, mais seront occultés pendant près de deux cents ans. Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle qu'on les redécouvre et qu'on construit même une notion pour les désigner, le baroque. Au courant du XXe siècle, les travaux sur le baroque se multiplient dans toute l'Europe et tentent d'adapter les critères de cette notion issue de l'histoire de l'art à la littérature. Tandis que les chercheurs français commencent peu à peu à s'emparer de cet objet d'étude, le surréalisme se constitue en tant que mouvement et ne cesse de rechercher des prédécesseurs qui ne s'inscrivent pas dans l'histoire littéraire des manuels scolaires. Sans défendre une vision transhistorique du baroque, cette étude interroge d'une part, l'influence de cette notion moderne sur le surréalisme et, de l'autre, les affinités entre les artistes et auteurs nommés baroques et ceux surréalistes. À travers un historique de la réception du baroque, il s'agit dans un premier temps de montrer ce à quoi correspondait précisément la notion de baroque au moment où le surréalisme en était encore à ses débuts, soit jusqu'à la première moitié des années trente. De même, sa perception par les membres du mouvement y est également étudiée. Ce travail de recherche montre ensuite comment la pratique de l'automatisme qui caractérise les débuts du surréalisme est marquée par une théâtralité proprement baroque, telle que les premiers spécialistes l'ont définie. La vision du théâtre chez les baroques et chez les surréalistes se trouve par la suite analysée, afin de montrer cette fois la présence d'éléments communs aux auteurs baroques et à ceux surréalistes. Enfin, le merveilleux surréaliste se trouve mis en parallèle avec la meraviglia baroque, à travers la question des cabinets de curiosités, celle de l'image surréaliste et de la pointe baroque, ainsi que celle du procédé de l'anamorphose. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Surréalisme, Baroque, André Breton, Louis Aragon, Histoire littéraire, Théâtre, Merveilleux.
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De l'emprunt à l'empreinte : les dramaturgies ducharmiennes

Jaubert, Claire 20 December 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse se penche sur un pan marginal de l'œuvre de Réjean Ducharme, ses textes de théâtre, en s'appuyant sur les archives que l'écrivain a déposées à Bibliothèque et Archives Canada, à Ottawa, en 1986. Le corpus étudié comprend quatre pièces, deux publiées (Ines Pérée et Inat Tendu, publiée en 1976, et HA ha !..., publiée en 1982) et deux inédites - mais jouées - (Le Cid maghané, écrit en 1967, et Le marquis qui perdit, écrit en 1969) et leurs diverses versions.Le théâtre de Réjean Ducharme peut être divisé en deux " phases " scripturaires qui correspondent à des inflexions d'ordre thématique, pragmatique, poétique, générique et génétique, qui permettent de distinguer deux moments. Le premier, celui de la parodie et de la satire, marque l'entrée au théâtre de l'écrivain, d'ailleurs déjà célébré pour ses romans. La manière par laquelle le dramaturge aborde le théâtre québécois dans ses deux premiers textes, dont le sujet reste emprunté à d'autres (la littérature française pour le Cid maghané et l'histoire du Canada pour Le marquis qui perdit), ne fait pas l'unanimité puisque l'on reproche à l'écrivain d'être trop littéraire et trop prévisiblement parodique par ses références à des modèles du genre. Les deux derniers textes témoignent en revanche d'une interrogation et d'une mise à l'épreuve de la théâtralité, relevées par la critique, qui iront jusqu'au rejet du théâtre comme genre.Cette étude du théâtre de Réjean Ducharme éclaire l'usage que celui-ci fait du genre dramatique à la fois en s'astreignant à respecter certains codes et en se jouant de diverses contraintes; en témoigne, par exemple, l'investissement très singulier du paratexte didascalique de ses pièces. En somme, cette thèse de doctorat vise à faire connaître un corpus moins fréquenté de l'œuvre d'un écrivain reconnu par ailleurs et considéré comme un classique de la littérature québécoise contemporaine, alors même qu'il s'emploie, dans chacune de ses créations, à refuser toute norme, règle ou compromis.

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