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L'héritage colonial espagnol en Amérique : représentation canadienne-française de cette autre Amérique catholique, 1915-1965

Morin, Jean-Michel January 2015 (has links)
Dans ce mémoire de maîtrise, je m’intéresse au regard que les Canadiens français portent, avant la fin de la Révolution tranquille, sur les legs coloniaux espagnols en Amérique. Alors que l’État canadien établit timidement des relations majoritairement politiques et économiques avec l’Amérique latine, les Canadiens français ont su développer d’importants liens culturels avec cette région. En analysant les principaux écrits des auteurs, intellectuels et missionnaires canadiens-français publiés entre 1915 et 1965, je soutiens que les Canadiens français offrent un regard de l’Amérique coloniale espagnole influencé par le corporatisme chrétien où le rôle social et religieux de l’Église catholique est grandement mis de l’avant. À l’égard des indépendances latino-américaines, les Canadiens français prennent position en faveur des populations créoles pour dénoncer l’impérialisme de l’Espagne et des États-Unis, tout en défendant le rôle du clergé catholique latino-américain et en optant pour la conservation des institutions coloniales. Dans leurs écrits, les Canadiens français se dissocient des tenants des théories développementalistes qui accusent l’Église catholique, entre autres, d’être responsable d’un certain « retard » latino-américain.
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Les représentations de l'Église catholique par l'Église universelle de Dieu dans la revue La pure vérité de 1973-1995

Villeneuve, Paule-Renée January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l'Église catholique, 1803-1845 / When two worlds meet : Louisianan slaves and the Catholic Church, 1803-1842

Piché, Geneviève 26 October 2015 (has links)
Intitulée « À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l’Église catholique, 1803-1845 », cette thèse vise à reconstituer l’histoire et l’évolution de l’afro-catholicisme en Louisiane dans la première moitié du XIXe siècle, tant en milieu urbain − avec la ville de la Nouvelle-Orléans comme toile de fond − qu’en milieu rural, en prenant la paroisse Saint-Jean-Baptiste comme étude de cas. L’étude débute en 1803, date à laquelle la Louisiane devient une possession américaine, et se termine en 1845, trois ans après la fondation à la Nouvelle-Orléans de l’Église Saint-Augustine, emblème de la religion des Noirs libres et des esclaves, et de la communauté des Sœurs de la Sainte-Famille, un ordre religieux propre aux femmes de couleur libres. La Louisiane de la première moitié du XIXe siècle représente ainsi le théâtre parfait pour étudier la rencontre entre catholicisme et esclavage et pour mettre en lumière les prémisses de la construction d’un afro-catholicisme distinct. Bien que de nombreuses études aient porté sur l’histoire de l’esclavage en Louisiane, le monde des esclaves et de leurs pratiques religieuses nous échappe encore en grande partie. Partir à la découverte de la culture religieuse des esclaves du Sud américain représente donc un défi historiographique qui permet d’affiner nos connaissances à la fois sur une période très trouble de l’histoire américaine − celle de l’esclavage −, sur des acteurs plutôt méconnus − les esclaves catholiques −, et sur une région qui se distingue des autres États américains. En fait, de par ses racines franco-hispaniques et son caractère catholique, la Louisiane apparaît comme une entité unique au sein des États-Unis d’Amérique, majoritairement de culture anglo-protestante. / Entitled « When Two Worlds Meet : Louisiana Slaves and the Catholic Church, 1803-1845 », this dissertation aims to reconstruct the history and the evolution of Afro-Catholicism in Louisiana in the early nineteenth century, both in urban areas, with the city of New Orleans as a backdrop, and rural areas, with the parish of St. John the Baptist as a case study. It begins in 1803, when Louisiana became an American possession, and ends in 1845, three years after the founding in New Orleans of the St. Augustine Church, the emblem of the religion of free blacks and slaves, and of the Sisters of the Holy Family, a religious order for free women of color. Early nineteenth-century Louisiana is the perfect theater to explore the encounter between Catholicism and slavery and to perceive the construction process of a distinct Afro-Catholicism. Although many studies focus on the history of slavery in Louisiana, the world of the slaves and of their religious practices is still largely elusive. Exploring the religious culture of the slaves in the American South represents a historiographical challenge that help refine our knowledge of a troubled time in American history – the era of slavery–, of largely unknown actors– Catholic slaves –, and of an area totally different from the rest of the United States. In fact, because of its Franco-Hispanic roots and its Catholic character, Louisiana appears as a single entity within the United States of America, predominantly Anglo-Protestant.
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L'enseignement privé dans l'entre-deux-guerres : socio-histoire d'une mobilisation catholique / Catholic schools during the inter-war period : social-history of a Catholic mobilization in France

Teinturier, Sara 28 February 2013 (has links)
Dans la France de l'entre-deux-guerres, les catholiques ne cessent de revendiquer une prise en charge financière de leurs établissements scolaires, dont la situation matérielle s'avère singulièrement précaire. L'enseignement privé catholique subsiste grâce à ses enseignants, subsumant leurs conditions de travail au nom de leur foi. La doctrine affirmée de l'Église catholique en matière d'éducation et l'acceptation des rôles prescrits dans l'institution sont les clés essentielles du maintien du réseau éducatif catholique. Cette revendication s'accompagne d'un militantisme polymorphe. Aux tenants de la réalisation de l'unité catholique, qu'elle soit en opposition au régime politique ou s'inscrivant dans la légalité républicaine, s'adjoint une troisième posture, encore marginale, d'insertion du catholicisme dans la modernité. Rejet ou acception de l'école publique, définition et rôle de l'enseignement privé, signalent ce qui se joue au sein du champ ecclésial : l'acceptation ou non de la pluralisation de la société française et de l'opinion catholique. Dans les années 1920, domine la configuration d'un cléricalisme éducatif, utopie d'une société chrétienne dont l'école catholique serait le fer de lance. Les années 1930 sont l'objet d'une reconfiguration paradoxale : alors que l'épiscopat reprend l'initiative en créant un Comité national de l'enseignement libre en 1931, la décléricalisation de l'action catholique est confirmée. Ce faisant, le militantisme catholique, qui a permis le maintien des écoles, participe en même temps de la politisation de l'espace ecclésial et, in fine, de sa sécularisation. / In France, during the interwar period, Catholics ceaselessly claimed public financial support for their schools, which were in a particularly precarious situation. Private Catholic schools subsisted thanks to their teachers who subsumed their hard working conditions to their faith. The strong doctrine of the Catholic Church in educational matters and the acceptance of prescribed roles within the institution were key to maintain a Catholic education system. This claim went alongside a polymorphous activism. Three attitudes prevailed: first, there where the advocates of the realization of Catholic unity, whether in opposition to the political regime or enrolling in the republican legality; then appeared a new movement which demanded the insertion of Catholicism into the modern world. The rejection or the acceptance of the public school system and the definition of private education and of its role, highlighted the issue for the Church: the acceptance or rejection of the pluralisation of French society and of the Catholic opinion. In the 1920’s prevailed the clericalist educational utopia of a Christian society of which Catholic schools would be the spearhead. The 1930’s saw a paradoxical reconfiguration: in the same time that bishops took the initiative of creating a National Committee for private education in 1931, the declericalization of Catholic action was confirmed. In doing so, Catholic militancy which enabled the maintenance of schools, was also responsible for the politicization of the ecclesial scope and, ultimately, of its secularization.
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La Diplomatie des ‘petits pas’ : l’Ostpolitik vaticane de Mgr Augustin CAsaroli (1965-1975) / The Diplomacy of ‘small steps’ : the Ostpolitik Vatican of monsignor Augustine CASAROLI (1965-1975)

Lavopa, Marco 25 November 2011 (has links)
L'étude «La diplomatie des ‘petits pas'. L'Ostpolitik vaticane de Mgr Augustin CASAROLI (1965-1975)» cherche, à travers l'histoire de l'œuvre du prélat Placentin, Augustin CASAROLI de 1965 à 1975, à circonscrire les raisons historiques qui ont mené le Saint-Siège (sous la direction de Paul VI) à entreprendre des négociations avec les États socialistes de l'Europe orientale et à choisir une ‘politique du dialogue'. CASAROLI est le représentant d'une diplomatie vaticane qui se trouve au centre de la scène européenne et internationale pendant ces années (1965-1975), tant au niveau bilatéral que multilatéral (avec la participation de Mgr CASAROLI lui-même – comme délégué du Saint-Siège – à la Conférence d'Helsinki de 1975). Les manuscrits des ‘Archives CASAROLI' utilisés pour la réalisation du travail de thèse mettent en évidence des aspects peu connus de l'œuvre du prélat Placentin. C'est une représentation des faits très importante car elle met en relief toute la force de l'Ostpolitik vaticane et la persévérance du négociateur CASAROLI au cours des contacts avec les représentants de l'Église locale et des gouvernements des États socialistes au-delà du rideau de fer. À la lecture du travail, on peut mesurer le grand mérite du négociateur du Saint-Siège en tant qu'exécutant matériel de la ‘politique du dialogue' du pape Paul VI pendant la période postconciliaire entre 1965 et 1975: sauvegarder, grâce à un dur travail de médiation, en parcourant un chemin long et tortueux et dans les limites du possible, les intérêts de l'Église catholique et apporter sa contribution à la construction de la maison commune européenne. / The study, «The diplomacy of ‘small steps'. The Vatican's Ostpolitik of monsignor August CASAROLI (1965-1975)» seeks to develop, through the history of the work of Piacenza prelate, August CASAROLI between 1965 and 1975, the historical reasons that led the Holy See (under the direction of Pope Paul VI) to undertake negotiations with the socialist states of Eastern Europe and select a ‘politics of the dialogue'. CASAROLI is the representative of Vatican diplomacy that lies at the centre of the European and international scene during those years (1965-1975), both bilaterally and multilaterally (with the participation of Bishop CASAROLI himself – as a delegate of the Holy See – the Helsinki Conference of 1975). Papers of ‘Archives CASAROLI' used to carry out the thesis highlights little-known aspects of the work of the Piacenza prelate. It is a representation of the facts very important because it demonstrated the strength of the Vatican's Ostpolitik and perseverance of CASAROLI negotiator during contacts with representatives of the local church and government of socialist states beyond the curtain of iron. Reading the work, it is possible to understand the great merit of the negotiator for the Holy Seat as a running material of ‘politics of the dialogue' of Pope Paul VI during the post-council period between 1965 and 1975: back up with hard work mediation through a long tortuous path within the limits of things possible, the interests of the Catholic Church and contribute to building a common European home.
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Décider dans l’Église : le service national de la catéchèse (1958-1973) / Deciding in the Catholic Church : the National Office for Catechesis (1958-1973)

Touchebœuf, Bénédicte 03 November 2015 (has links)
Qui décide dans l’Eglise ? La réponse semble facile : ce sont les évêques, investis de l’ « autoritas » et de la « potestas » par la succession apostolique. Or, parce que l’Eglise est une institution complexe, ce travail tente d’aller plus loin et d’appréhender une institution ecclésiale dans sa dynamique et de rendre compte du jeu des influences et des interactions dans la prise de décision. Au sein du service national de la catéchèse, structurée en trois organismes (Commission épiscopale, commission nationale et centre national de l’enseignement religieux), le processus de prise de décision est dans les mains des fonctionnaires. Instituée progressivement entre 1941 et 1951, « arme » du mouvement catéchétique pour imposer son désir d’adapter la pédagogie du catéchisme, cette administration de la catéchèse à l’échelle nationale prépare la décision, construit le consensus et s’assure de la bonne réception d’une décision, certes toujours adoptée en Assemblée plénière de l'épiscopat. Bien que par nature l’Eglise catholique ne soit pas démocratique, il semble que le processus de décision implique une participation de tous les acteurs et un relatif partage du pouvoir. Durant les années 1958-1973, ce service d’Eglise est aux prises avec la « crise catholique ». Il lui faut adapter son message aux évolutions d’une société qui s’enrichit et s’individualise, alors que l’autorité est contestée et les institutions remises en cause, dans le contexte d’une désaffection silencieuse mais néanmoins massive des Français. Et l’étude d’une administration de l’Eglise de France témoigne de la diffusion par capillarité de cette crise tant chez les fidèles que chez des clercs en proie à un questionnement existentiel. / Who is in charge of decision-making in the Catholic Church ? The answer seems obvious: the bishops are, for they are entrusted with the « autoritas » and the « potestas », according to apostolic authority. But because the Catholic Church is a complex institution, this study wants to further examine and analyse an ecclesiastical organization in its dynamics so as to account for the role played by influence and interaction in the decision-making process. Within the National Office for Catechesis, itself composed of three structured bodies (the Episcopal Commission, the National Commission and the National Center for Religious Education), the process of taking decisions lies primarily in the hands of administrative officials. Between 1941 and 1951, this administration for catechesis was progressively set up by the catechetical movement as a weapon to enforce its wish to adapt the way catechism is taught. On a national scale, this administration aims at preparing the decisions, building up agreement around them and making sure they will be widely accepted. These decisions are then adopted by the General Assembly of the Conference of Catholic Bishops. In a Catholic Church which by definition is non democratic, this decision-making process allows participation from all actors as well as some degree of power-sharing. Between 1958 and 1973, this Church office had to cope with the crisis of the French Catholic Church. At a time when authority was disputed and institutions challenged, with the French silently but massively withdrawing from religious practice, it had to adapt its message to a changing society, wealthier but also more individualistic. The study of a French Church administration shows the diffusion of this crisis, not only among the catholic faithful but also among the clergy, whose members appear to be under growing existential questioning.
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Sécularisation et polémique autour de l’avortement en Irlande (1983-2013) / Secularisation and controversy around the abortion issue in Ireland (1983-2013)

Nault, Edwige 20 January 2014 (has links)
En 1983, alors que les sociétés modernes occidentales s'ouvrent à une libéralisation des lois sur l'avortement, l'Irlande prend le chemin inverse en adoptant le huitième amendement défendant la vie de l'« enfant à naître », amendement conditionné par la doctrine catholique. Nous interprétons cette situation comme un blocage et cherchons à y donner un sens par la mise en perspective du débat en regard du processus de sécularisation dont nous apprécions l'avancée. La question de l'avortement est utilisée ici comme un moyen d'observation privilégié de ce processus à l'échelle individuelle d'une part, et à l'échelle institutionnelle (la relation Église-État) d'autre part. Mais le débat ne se limite pas aux frontières de l'Irlande et s'exporte à l'échelle européenne. L'exception irlandaise sur cette question au sein de l'UE prend une tournure identitaire, une identité ancrée dans le catholicisme, dès lors que la protection de la « vie à naître » est défendue en dehors des frontières, ce qui fut le cas lors de la ratification des traités européens de Maastricht et de Lisbonne. Nous analysons l'attitude de l'Europe sur le droit à la vie tel qu'il est garanti par la Convention européenne des droits de l'homme. Bien qu'elle n'ait pas tranché la question entre le droit à la vie de l'« enfant à naître » ou le droit de la femme à choisir l'avortement, l'Europe pourrait bien être un cheval de Troie car elle est largement favorable aux droits de la femme et à sa santé reproductive, et l'Union ne se prévaut d'aucune confession. / As western modern societies have gradually liberalised their abortion laws, Ireland took the opposite way by adopting the eighth amendment vindicating the right to life of the “unborn” in 1983, an amendment clearly influenced by the prevailing Catholic ethos. The aim of this research is to give sense to this landmark event which we interpret as a moral blocking. To this end, we put the debate in perspective within the secularisation process, the advance of which we propose to assess. The abortion issue is encompassed here as a privileged tool to assess this process both at the individual and institutional level (Church-State relationship) levels. However, the debate is not confined to Ireland and occasionally takes a European dimension. Indeed, the Irish position on abortion is an exception within the EU and has developed as a symbol of the country's Catholic identity when defending its values on unborn human life on the European stage as occurred during the ratification processes of the Maastricht and Lisbon treaties. We analyse Europe's approach to the right to life as guaranteed by the European Convention on Human Rights in relation to the Irish context. Although Europe does not privilege the “unborn's” right to life over the woman's right to choose and vice versa, it might be a Trojan Horse as European institutions are generally in favour of women's rights and reproductive health, and the EU resisted pressure from the Vatican to have any Christian religious denomination engraved in its constitution.
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L'action paroissiale des pères jésuites de la paroisse de l'Immaculée-Conception de Montréal (1909-1939)

Boutin, Frédéric January 2008 (has links) (PDF)
En 1909, les jésuites de la paroisse de l'Immaculée-Conception de Montréal fondent un bulletin paroissial, L'Action paroissiale. À la demande de curés de paroisses voisines, les jésuites mettent sur pied un réseau qui procurera un bulletin mensuel à de nombreuses paroisses du diocèse de Montréal et de ses environs. Divisée en deux sections, l'une propre à chaque paroisse et l'autre commune à toutes, l'Action paroissiale est à la fois un outil d'information sur la vie paroissiale (horaire des messes, baptêmes, mariages, petites annonces, publicités, etc.) et un organe de propagande visant l'édification morale du lecteur. En considérant sa grande diffusion dans les milieux populaires, L'Action paroissiale permet d'aborder les questions de l'influence des élites religieuses sur la culture populaire et de la capacité d'adaptation de ces mêmes élites face à cette culture. Ce mémoire présente les résultats de l'analyse des bulletins de l'Action paroissiale tirés d'un corpus s'étalant sur trois décennies, de 1909 à 1939. Cette étude cherche à identifier les caractéristiques des buIletins paroissiaux (forme et contenu), afin d'établir leur rôle spécifique parmi le vaste arsenal de propagande déployé par l'Église. Plus particulièrement, ce mémoire veut démontrer que les bulletins de L'Action paroissiale ont eu deux fonctions: ils ont été conçus pour freiner la désintégration de la paroisse comme système normatif et ils se sont inscrits dans la stratégie visant à structurer le discours social auprès de la classe ouvrière. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Église, Catholique, Montréal, Jésuite, Périodique, Paroisse.
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L'intégration des icônes de tradition orthodoxe dans les églises catholiques de Montréal : ritualisation, appropriation, réception, adaptation et diffusion

Couet-Lannes, Valérie 06 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire nous voyons comment les icônes de tradition orthodoxe sont intégrées dans les églises catholiques de Montréal. Avant d'entreprendre cette analyse il est essentiel de fournir les bases nécessaires à la compréhension de l'art iconographique orthodoxe. C'est pourquoi nous présentons le travail d'un auteur, spécialiste des icônes au Québec : Stéphane Bigham, en considérant que cette première partie du mémoire s'inscrit parfaitement dans l'optique visée puisque c'est aussi par les lettres et les études que les icônes se sont intégrées au Québec. Les trois parties suivantes montrent chacune un type d'intégration différent par l'entremise d'études de cas. Le premier cas, celui de Saint-Louis-de-France, porte principalement sur l'importance de la connaissance des icônes et de leur ritualisation par le responsable de l'église, afin qu'elles soient intégrées de manière cohérente et harmonieuse. Dans le deuxième cas, celui de l'icône du Bienheureux Damien de Molokaï ss.cc. Patron mondial des exclus et des sidéens dans l'église Saint-Pierre-Apôtre, nous voyons comment les stratégies visuelles propres à l'art de l'icône sont utilisées pour la représentation d'un bienheureux catholique et comment les diverses appropriations de cette icône nouvelle ont permis son intégration dans une chapelle dédiée à la mémoire des victimes du sida. Cette partie nous permet, de plus, d'aborder la thématique de la popularisation de l'icône, de sa commercialisation et de sa réception. Le troisième cas, celui de l'icône de Notre-Dame du Perpétuel Secours, porte sur le culte marial, et sur sa diffusion grâce à l'utilisation de cette icône par le pape Pie IX et les Pères Rédemptoristes et grâce à la diffusion de petites images dévotes au Québec pendant le XXe siècle. Cette dernière partie s'intéresse à la manière dont l'Église catholique s'est approprié l'art de l'icône orthodoxe afin de l'adapter aux nombreux supports de promotion de culte dont elle disposait. Parmi ces supports, nous nous attarderons davantage au cas des petites images dévotes qui, après avoir connu un déclin de popularité dans les années 1970-1980, ont emprunté, des sujets de l'art iconographique orthodoxe. Nous verrons en quoi l'utilisation de l'icône aura d'une part, permis le renouvellement de cet art populaire et, d'autre part, fourni à l'art iconographique orthodoxe une vitrine dans le monde occidental. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Christianisme, Icône (art religieux), Intégration, Montréal (Québec), Orthodoxie
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Rompendo os vínculos, os caminhos do divórcio no Brasil: 1951-1977 / Rompre les liens, les chemins de divorce au Brésil: 1951-1977

ALMEIDA, Maria Isabel de Moura 26 March 2010 (has links)
Made available in DSpace on 2014-07-29T15:14:27Z (GMT). No. of bitstreams: 1 tese maria isabel almeida.pdf: 917514 bytes, checksum: 4bfec99a12f013f08b27bf9b608e81e5 (MD5) Previous issue date: 2010-03-26 / Cette enquête se propose d analyser les 26 années (1951-1977), qui ont témoigné du grand affrontement entre les opposants de l institution du divorce au Brésil, parmi lesquels l Eglise Catholique et les défenseurs de sa législation, parmi eux Nelson de Souza Carneiro. Celui-ci a pris toutes les initiatives nécéssaires pour retirer le príncipe de l indissolubilité du mariage de la Constitution Fédérale de 1951 a 1977, année pendant laquelle fut aprouvée la loi nº 6.515/77, appelée Loi du Divorce ou Loi Carneiro. Pendant trois décades (1950, 1960 et 1970), pour lutter éfficacement contre le divorce, l Eglise Catholique à reagi contre les idées modernes qui faisaient en sorte que le mariage perdait de sa rigidité devant l escalade de l individualisme et l apparition de la subjectivité qui de fait, peu à peu avaient um impact dans la vie quotidiénne et les expériences personnelles, réduisant á rien les notions traditionnelles de la famille et du mariage. Les signes des nouveaux comportements et des idées nouvelles peuvent être observés dans des proportions inédites de mobilisation em faveur du divorce, dans la deuxième moitié des anées soixante-dix, a travers des manifestations publiques débats dans la presse écrite et orale. L impact de cette polemique est arrivée jusqu au Parlement qui en pleine dictature militaire a vécu avec la question du divorce, des moments rares de présence et de participation populaire massive dans les couloirs. C était la première fois, depuis l édition de l Acte Constitutionnelle nº 5 que le Congrès votait librement, sens pression, ni imposition du Palais du Planalto. Le gouvernement autoritaire du Président Ernesto Geisel a laissé ouverte la question à la conscience des parlementaires. Ainsi il a crée les conditions nécéssaires pour l approbation du divorce. L Église Catholique a été dans l obligation d accepter, malgré de véhémentes protestations, le dur coup qui a détruit la cohabitation politique qui pendant longtemps avait mis à l écart le divorce de la société brésiliénne / Esta pesquisa se propôs a analisar os 26 anos (1951-1977)que testemunharam o tempestuoso confronto entre os que se opunham à instituição do divórcio no Brasil, tendo à frente a Igreja Católica, e aqueles que defendiam sua legalização, com destaque para Nelson de Souza Carneiro, que desenvolveu todas as iniciativas para a retirada do princípio da indissolubilidade do casamento da Constituição Federal de 1951 a 1977, ano em que foi aprovada a Lei n. 6.515/77, conhecida como Lei do Divórcio ou Lei Carneiro. Durante as três décadas investigadas (1950, 1960 e 1970), lutando eficazmente contra o divórcio, a Igreja Católica reagiu principalmente contra as ideias modernas que faziam com que o casamento fosse perdendo a sua rigidez frente à escalada do individualismo e à emergência da subjetividade que, de fato, aos poucos causavam impacto na vida cotidiana e nas experiências pessoais, debilitando as noções tradicionais de família e casamento. Os sintomas dos novos comportamentos e ideias podem ser observados nas proporções inéditas de mobilização pródivórcio, na segunda metade da década de 1970, expressas em passeatas e debates na imprensa escrita e falada, desembocando no Parlamento que, mergulhado na Ditadura Militar, viveu, com a questão do divórcio, momentos raros de presença e participação maciça de populares nas galerias. Era a primeira vez, desde a edição do Ato Institucional n. 5, que o Congresso votava livremente, sem pressões ou imposições do Palácio do Planalto. Ademais, o presidente Ernesto Geisel deixara a questão aberta à consciência dos parlamentares, o que provocou a indignação da Igreja Católica em todo o Brasil

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