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L'Organisation Internationale du Travail et les milieux chrétiens (1919-1969) / The International Labour Organization and Christian milieus (1919-1969)

Zaragori, Aurélien 10 December 2018 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier les relations entre l’Organisation Internationale du Travail (OIT), créée en 1919 par le traité de Versailles, et les milieux chrétiens, c’est-à-dire les chrétiens organisés en Eglises, syndicats, et associations, depuis la fondation de l’OIT jusqu’au voyage de Paul VI à Genève pour son cinquantenaire, en 1969. Alors que l’OIT est, dès sa création, soumise à des influences sociales-démocrates, incarnées notamment par la personnalité du premier directeur, le socialiste français Albert Thomas, des relations sont nouées très tôt avec les syndicats chrétiens, puis avec l’ensemble des groupes se réclamant de la doctrine sociale de l’Eglise, du Saint-Siège et du christianisme social. Albert Thomas demande lui-même la nomination d’un prêtre au sein du Bureau International du Travail, le secrétariat de l’OIT, obtenue en 1926. Un fonctionnaire est également nommé pour les relations avec les milieux protestants. Il s’agit de mettre en évidence dans quelle mesure la collaboration des milieux chrétiens a pu constituer un intérêt et un appui pour l’OIT, dans les missions que celle-ci s’est vu confier à sa naissance – établissement d’une législation internationale du travail, recension d’informations sur les conditions de travail dans le monde – et après 1945 – notamment la coopération technique - et dans son développement et sa pérennité par delà la dissolution de la SDN. Il convient aussi de voir quelles ont été les conséquences pour les milieux chrétiens de l’inclusion dans le système international créé par l’OIT, tant en termes de diffusion de leurs idées que par la confrontation qui s’y produit avec les doctrines sociales-démocrates, communistes et, dans une moindre mesure, fascistes. / This thesis aims to study the relationship between the International Labour Organization, created in 1919 by the Treaty of Versailles, and Christian “milieus”. In other words, the relationship between the ILO and all the Christian churches, trade unions and associations, from the birth of the ILO to Pope Paul VI’s trip to Geneva on the occasion of the ILO’s fiftieth anniversary in 1969. Since its creation, the ILO has been heavily influenced by socialist trade unions and parties, beginning with Albert Thomas, the first Director-General, who was himself a French socialist. However, since 1921, relationships have also been established with Christian trade unions and other Christian groups which had previously been involved before 1914 in the first attempts to set up international labour standards. An official position was created in 1926 at the International Labour Office when Albert Thomas requested that a Jesuit priest be appointed as “counselor in religious matters”. From 1927 to 1940, the ILO also had a Protestant counselor in charge of the relations with Protestant churches and organizations. The objective of my research is to show, on the one hand, that ILO had an interest in a strong relationship with Christian churches and organizations in order to promote its own objectives – objectives such as establishing internationally binding labour standards, collecting information on labour around the world and, mainly after 1945, developing technical cooperation programmes. The aim here is to analyze the extent to which this relationship played a role in the ILO’s development and survival after the end of the League of Nations. Conversely, my research also intends to highlight how Christian organizations were impacted as a result of their participation in activities of international organizations such as the ILO. There are two aspects which are important to explore: first, the role the ILO played in supporting the dissemination of Christian ideas; and secondly, the ideological confrontation with socialist, communist and – to a lesser extent – fascist ideas and their supporters.
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L'Antiquité dans les débats constitutionnels français au XIXe siècle / Antiquity in the French constitutional debate in the nineteenth century

Delrue, Baptiste 05 December 2014 (has links)
Il a été démontré que l’Antiquité gréco-romaine avait eu une très forte influence sur le discours et la pratique de la Révolution. Il est donc apparu intéressant d’étudier la présence et l’impact des Antiquités (y compris celtique et germanique) dans les débats politiques et, plus particulièrement, constitutionnels au XIXe siècle afin de vérifier la véracité de la position couramment admise selon laquelle l’Antiquité aurait été presque totalement absente. La France a connu, avant l’époque contemporaine, une succession de renaissances de l’Antiquité. Aussi, celle du XIXe siècle a-t-elle constitué une nouvelle illustration de cet éternel recommencement ou a-t-elle incarné le début d’un épuisement ? En s’appuyant sur un plan chrono-thématique couvrant la période allant de 1814 à 1875, la présente analyse combine histoires des idées et des institutions. Comment l’invocation de l’Antiquité dans les débats constitutionnels et les argumentaires politiques a-t-elle influé sur l’évolution des régimes et la transformation des institutions de la France au XIXe siècle ? Dès la Restauration, l’Antiquité gréco-romaine a effectivement connu un recul idéologique par rapport à la période précédente ; cependant, ce reflux ne fut que relatif (les humanités restaient dans la culture commune) et, pour le moins, ambivalent (car des modèles antiques comme celui du régime mixte attiraient). Cela a toutefois conduit, dans la seconde moitié du XIXe siècle, à une neutralisation scientifique de l’Antiquité gréco-romaine : son intérêt et sa valeur furent comme subjectivisés en raison de la volonté de construire un roman national (en opposition à l’Allemagne) et un avenir politique fondé sur des principes résolument modernes (contractualisme, républicanisme, parlementarisme…). / It has been shown that the Greco-Roman antiquity had a very strong influence over the political discourse during the French Revolution. Thus, it seemed interesting to study the political debates of the XIXth and more specifically the constitutional debates, in order to validate or on the contrary to invalidate the commonly accepted view under which the antiquity would have had barely any influence during the XIXth century. Before modern times France experienced numerous revivals of Antiquity, also the question was to find out if there was another revival of the Antiquity under the XIXth century and if this revival was the beginning of something new or the swan song of the influence of the Antiquity. The present analyses propose to understand through a both chronological and thematic study, covering the period from 1814 to 1875, and by combining history of political ideas and history of the institutions, if the Antiquity had an influence on the political debates and the construction of the political models of the XIXth century. Indeed, as early as the first restoration the influence of antiquity already declined as compared to the previous period, but this backflow is in fact limited (the humanities remained in common culture) and also ambivalent (since an antic model such as the hybrid presidential-parliamentary-judicial interested the politicians). However, this led in the second half of the nineteenth century to a scientific neutralization of the Greco-Roman antiquity : its interest and value were put in perspective, because of the desire of the men of the XIXth century to write a national novel (in opposition to Germany), but also because they wanted a new political order based on some modern principles such as Contractualism, Republicanism and Parliamentarianism.
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Cléricalisme et anticléricalismes à Lyon, de la Commune à la Première Guerre mondiale (1870-1914) / Clericalism and anticlerical movements in Lyons, from the Commune to WWI (1870-1914)

Charlas, Joseph-Michel 23 October 2017 (has links)
Les quarante-cinq premières années de la Troisième République se caractérisent par une politique de laïcisation touchant de nombreux domaines, à commencer par l’éducation, politique qui culmine en 1905 avec la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat. La ville de Lyon, qui avait connu durant les deux premiers tiers du XIXème siècle une renaissance particulièrement forte du catholicisme, se manifestant par la création d’œuvres dynamiques, se voit confrontée en retour à une vague particulièrement puissante d’anticléricalisme. La confrontation des deux groupes idéologiquement opposés, que l’on peut nommer « clérical » et « anticlérical », détermine toute une succession de crises, d’accalmies, de recompositions, dont les spécificités lyonnaises ne pas toujours liées à celles du contexte national. Dans ses aspects concrets, cette lutte n’est pas perçue de la même façon chez tous ceux qui se rassemblent autour de l'étiquette « anticléricale » : les ouvriers de la Guillotière n’ont pas les mêmes griefs à formuler contre le clergé que les radicaux du « Comité de la rue de Grôlée ». Néanmoins, autant l’anticléricalisme reste assez simple à définir, autant le cléricalisme se révèle plus difficile à appréhender : il dépend d’abord du regard de l’autre, notamment de l’anticlérical. Les diverses manifestations de défense religieuse d’un catholicisme qui se perçoit alors volontiers comme une citadelle assiégée, les multiples attaques contre le clergé, voire contre la religion, des hommes au pouvoir, s’inscrivent à Lyon, sur la longue durée, dans le droit fil d’une série de luttes, d’insurrections et de répressions, dont chaque camp revendique - ou non - la postérité idéologique. / One of the main features of the first forty five years of the Third Republic is a policy of secularization in many fields, beginning with education and reaching its climax in 1905 when the law on the separation between church and state was passed (given the French context at the time, it especially targeted the catholic church). During the first two thirds of the XIXth century Lyons had known a strong revival of Catholicism which manifested itself by the creation of dynamic charitable organizations. The town then had to face a sudden increase of anticlericalism. The confrontation between two groups that were politically opposed – let us name them “clerical” and “anticlerical” – sparked crisis after crisis, followed by lulls and reconstructions, all these being sometimes different from what was happening at the national level, due to the particular characteristics of the town. In concrete terms not all that had gathered under the banner of anti-clericalism held the same opinion about the struggle: the workers in the district of La Guillotière did not hold the same grievances against the clergy as the radicals in the “rue de Grôlée committee”. Yet, although anticlericalism can be easily defined, clericalism proves more difficult to apprehend: in the first place it depends on the perception the others, and more specifically those who support the anticlerical faction, have of us. Catholicism then tends to see itself as a besieged fortress and the different manoeuvres set up to defend its religion, the numerous attacks against the clergy, even against religion from men in power are, in Lyons, quite in keeping with a long succession of struggles, insurrections and suppressions of which each side claims -or does not claim- the ideological posterity.
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"L'Italiano". Un foglio letterario nella Parigi della Monarchia di Luglio. / « L’Italiano ». Une gazette littéraire dans le Paris de la Monarchie de Juillet. / «L’Italiano». A Literary Magazine in the July Monarchy Paris.

Gabbani, Ilaria 15 December 2015 (has links)
Ce travail se propose de reconstruire une page peu connue de l'histoire de la diaspora de l'époque du Risorgimento, écrite autour d'un journal littéraire publié à Paris entre les mois de mai et octobre 1836, «L’Italiano. Foglio letterario».Conçu en Suisse par Mazzini et certains de ses compagnons d'exil, «L’Italiano» vit le jour grâce à la collaboration d'un groupe d'exilés italiens résidant dans la capitale française.Par rapport à l'idée d'origine née au sein de la Jeune Italie, le journal dut se confronter à des intellectuels aux parcours culturels et politiques divers qui collaborèrent pour « inaugurer une nationalité, soit-elle littéraire ».Contrairement à son prédécesseur parisien, «L'Exilé» (1832-1834), qui avait l'ambition d'offrir au public italien et français une histoire de la littérature italienne, «L'Italiano» proposait un programme de « critique éducatrice » en s'adressant principalement aux intellectuels de la péninsule.Outre le partage d'une conception éthique et civique de la littérature, le socle culturel sur lequel reposait le journal se fondait sur l'adhésion à une philosophie spiritualiste qui, tout en se revendiquant exclusivement italienne, était alimentée par la rencontre avec certains penseurs français de la Restauration, comme Pierre Leroux et Philippe Buchez.Le programme littéraire du journal s'appuyait sur le théâtre dramatique et sur le mélodrame, considérés comme des dispositifs de mobilisation politique aptes à transposer l'idée de nation sur un plan émotif et symbolique mais aussi à toucher les classes populaires sans avoir recours à la médiation de la parole écrite. / The research aims at reconstructing a neglected episode in the cultural life of the Italian exiles in the Age of the Risorgimento and is centered on a literary magazine published in Paris, from May to October 1836: «L'Italiano. Foglio letterario».«L'Italiano» was envisaged by Mazzini in Switzerland, together with his companions ofexile, and was eventually published with the aid of a group of Italian refugees in Paris. The journal was originally conceived within the context of the «Giovine Italia», but had to face up to a number of intellectuals whose cultural and political background was extremely various and whose intent was to cooperate in order to «principiare una nazionalità, sia pure letteraria».While «L’Exilé» (1832-1834) – the nearest antecedent of this magazine – aspired to provide an history of Italian literature for the Italian and French readers, «L'Italiano» presented rather a program of «critica educatrice» and it was especially addressed to the Italian intellectuals.The circle which arised around the journal was cemented not only by an ethic and engaged conception of literature, but also by a spiritualist philosophy: even if the proponents defended the Italian character of this philosophy, it was developed through a continuous exchange with French Philosophers of the Age of Reaction, such as Pierre Leroux and Philippe Buchez.The journal's proposal was centered on dramatic theatre and melodrama, insofar as theywere considered as instruments for political mobilization, apt to set on an emotional and symbolic dimension the idea of nation, as well as to affect the working-class, without the need for written words. / Questo lavoro si propone di ricostruire una pagina poco nota della diaspora risorgimentale, sorta attorno a un giornale letterario che si pubblicò a Parigi tra il maggio e l'ottobre del 1836, «L’Italiano. Foglio letterario». Concepito in Svizzera da Mazzini e da alcuni suoi compagni d’esilio, «L’Italiano» vide finalmente la luce grazie alla collaborazione di un gruppo di esuli italiani residenti nella capitale francese. Rispetto all’idea originaria, sorta in seno alla Giovine Italia, il giornale dovette confrontarsi con intellettuali dai percorsi culturali e politici assai diversi tra loro, che si trovarono a cooperare per «principiare una nazionalità, sia pure letteraria».Diversamente dal suo precedente parigino, «L'Exilé» (1832-1834), che ambiva a offrire al pubblico italiano e francese una storia della letteratura italiana, «L'Italiano» proponeva, invece, un programma di «critica educatrice» rivolto principalmente agli intellettuali della penisola. Oltre alla condivisione di una concezione etica e civile della letteratura, il sodalizio culturale sorto attorno al giornale si fondava sull’adesione a una filosofia di stampo spiritualista che, pur rivendicando un’origine tutta italiana, si alimentava grazie al confronto con alcuni pensatori francesi della Restaurazione, come Pierre Leroux e Philippe Buchez.La proposta letteraria del giornale poggiava sul teatro drammatico e sul melodramma, in cui riconosceva dei dispositivi di mobilitazione politica che, oltre a proiettare l’idea di nazione su un piano emotivo e simbolico, potevano raggiungere le classi popolari senza la mediazione della parola scritta.
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Les Justes parmi les Nations de la région Rhône-Alpes : étude prosopographique / The Righteous among the Nations in the Rhône-Alpes region : a prosopographic study

Biesse, Cindy 04 December 2015 (has links)
Quelle population hétérogène que celle des Justes parmi les nations de Rhône-Alpes, et, par cette caractéristique même, peu saisissable ! S’ils ne sauraient, à eux seuls, représenter la totalité des situations de sauvetage, les Justes éclairent, par le simple fait qu’ils existent, un pan de la résistance civile sous l’Occupation. Ces hommes, ces femmes, appartiennent à une région originale, comme prédestinée à l’accueil. La diversité de ses paysages en fait le terrain d’expérimentation de toutes les formes de tourisme. Pays pratiquant, Rhône-Alpes est également le terreau d’expériences religieuses nouvelles et le berceau de la démocratie chrétienne. Région carrefour, ouverte, son pouvoir d’attraction se renforce sous l’Occupation, avec l’arrivée de flux nombreux d’exilés, de juifs notamment, qui s’efforcent d’y reprendre une vie « normale ». Les rafles de l’été 1942 font, soudainement, de l’aide dispensée aux réfugiés traqués une question de survie. Des hommes, des femmes, mus par des valeurs communes, encouragés par les ecclésiastiques qui les entourent, se mobilisent. Naissent ainsi de véritables chaînes de solidarité, transformant des bourgs ou des villages en territoires refuges, des individus anonymes en héros « ordinaires ». / What a heterogeneous population that the Righteous among the nations of Rhône-Alpes and, by this way, little comprehensible! If they don’t embody all the situations of the rescue, the Righteous enlighten, only because they do exist, a piece of the civilian Resistance under the Occupation. These people belong to an unusual region, as fated for the welcome. Its various landscapes led to the experiment of all the types of tourism. This practicing country is also the ground of new religious experiences and the cradle of the Christian democracy. The appeal of this crossroads strengthens under the Occupation with the arrival of exiles, Jews in particular, who try to take back their former life. The raids of the summer 1942 make suddenly the help to the pursued people a question of survival. Moved by common values, encouraged by the clerics who surround them, people mobilize. Thus real networks of support arise, transforming villages into sanctuaries, common people into heroes.

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