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Identités féminines "transgressives" au Sénégal : un rapport ambivalent à la glocalisation / “Transgressive” feminine identities in Senegal : an ambivalent relationship with glocalisation

Diop, Awa 15 October 2012 (has links)
A travers cette thèse, nous avons saisi des expériences féminines qui sont à l’oeuvre dans la société sénégalaise. De telles expériences qui sont souvent perçues comme « transgressives » par les figures de l’autorité masculine sénégalaise (acteurs religieux et entrepreneurs moraux par exemple) permettent de mettre à jour un Sénégal situédans les tensions d’une glocalisation. Nous avons analysé ce Sénégal comme le site d’une négociation entre ses principes visibles (vertu, morale, tolérance, tradition, etc) et des pratiques de femmes, qui n’ayant plus peur de sortir des canaux de socialisation, explorent de nouvelles subjectivités. Face à ces tensions, prime une culture del’ambivalence incarnée à la fois par les médias, les acteurs moraux et les figures étiquetées péjorativement. En d’autres termes, les médias sont souvent « créateurs » des visibilités « scandaleuses » et peuvent s’aligner derrière les acteurs moraux ou religieux pour défendre la vertu nationale ou l’image de la Sénégalaise. Pour les acteursmoraux, l’ambivalence se situe dans le fait qu’il existe un fossé entre leurs propres pratiques et les principes islamiques qu’ils incarnent et utilisent pour dénoncer des faits perçus comme « scandaleux ». Les figures « transgressives » mobilisent, quant à elles, une identification se référant aux identités religieuses et aux imaginaires sociaux pour ne pas trop s’écarter des cadres normatifs. Toutes ces ambivalences traduisent in fine l’ambivalence d’une société se définissant comme pieuse, vertueuse et « traditionnelle » mais qui est sans cesse débordée par les pratiques d’une jeunesse au diapason d’un monde globalisé. / This doctoral dissertation is an account of current female experiences I observed in Senegalese society. These experiences, often perceived as « transgressive» by Senegalese male authorities, namely religious and other moral guides, allow us to uncover a Senegalese society faced with the pressures of glocalization. Senegalese society is trying to negociate a balance between the preservation of fundamental principles (virtue, morality, tolerance, tradition, etc) and certain behaviours and life styles of women who are no longer afraid to free themselves from established socialization channels and explore new subjectivities. Faced with these tensions, a culture of contradictions is dominant as embodied through various networks namely the media, moral figures, and the female actors labelled negatively. In other words, the media is often the creator of scandalous characters and may support moral and religious figures in their defense of virtue, the country’s moral status, and the image of the Senegalese woman. For moral figures, the contradictions are marked by the fact that there is a big gap between their own practices and the Islamic principles they embody and use to speak against facts they perceive as scandalous. As for the « transgressive » actors, they find ways to relate to religious identities and social imaginaries so as not to distance themselves too much from social norms. All these tensions reflect the contradictions of a society that defines itself as « pious », « virtuous », and «traditional », but that is constantly overwhelmed by the practices of a younger generation in tune with a globalized world.
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Chair spectaculaire : la représentation du corps de l’artiste saltimbanque féminine dans Lulu, roman clownesque de Félicien Champsaur

Trevisan, Marion 21 January 2013 (has links)
Si la littérature et la critique se sont abondamment intéressées aux figures du clown et du saltimbanque depuis le XIXe siècle, force est de constater que les artistes féminines n’ont connu ni la même gloire ni la même légitimation. Tandis que leurs homologues masculins peuplent les romans, les femmes saltimbanques sont peu mises en scène dans les œuvres littéraires et n’ont en général qu’un rôle secondaire. À sa publication en 1901, Lulu, roman clownesque, de Félicien Champsaur, change cette donne en plaçant au centre de son récit un personnage féminin fort. Le roman relate alors l’ascension et la gloire sans précédent de Lulu la clownesse. En nous attardant plus spécifiquement au traitement du corps de l’artiste féminine dans le roman, nous dégagerons le rôle essentiel que joue l’enveloppe charnelle dans la réussite du parcours de la saltimbanque, ainsi que dans les rapports qu’entretient cette dernière avec le public. Nous verrons dans un premier temps que le corps s’impose dans l’œuvre comme un puissant outil d’agentivité. Par la suite, nous constaterons que ce travail est mis à mal dès lors que la chair du personnage féminin devient l’objet du spectateur masculin. Lulu n’est plus définie selon ses actes, mais plutôt selon les termes de celui qui l’observe. Nous montrerons que le corps féminin constitue un enjeu primordial et ambigu dans le roman de Champsaur dans la mesure où il se situe au cœur de la construction du personnage romanesque et de son parcours.
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Le corps féminin et la tyrannie de la beauté dans Truismes de Marie Darrieussecq et Clara et la pénombre de José Carlos Somoza

Séguin, Marie-Hélène 02 1900 (has links) (PDF)
Notre mémoire porte sur la représentation du corps féminin dans deux œuvres littéraires : Truismes de Marie Darrieussecq (1996) et Clara et la pénombre de José Carlos Somoza (2003). À l'aide des théories féministes, nous tentons d'analyser ce que la beauté représente comme tyrannie pour les personnages féminins, qui doivent se plier aux standards esthétiques irréalistes imposés par la société dans laquelle ils évoluent. Ces normes correspondent à celles de la culture occidentale patriarcale actuelle, c'est-à-dire au corps construit, proche de l'objet artificiel. Dans cette optique, l'aspect naturel du corps est évacué; ce qui rappelle l'animalité est considéré comme laid. Le but de notre mémoire est de faire ressortir les similitudes et les différences entre les deux romans, qui proposent chacun une forme de matérialité différente : le corps animal et le corps-objet. Les études féministes ont montré que la femme a été reléguée à la matérialité en vertu de la dichotomie corps/esprit dans les conceptions judéo-chrétiennes. Dès lors, l'esthétique du corps est devenue pour elle un gage de valeur sociale. Fortement encouragée par la société à se plier aux critères de beauté, la femme doit livrer un combat perpétuel contre elle-même, physiquement et mentalement, afin d'y correspondre. Autrement; elle risque le rejet, le mépris et les mauvais traitements. Nous analysons donc le travail que les protagonistes font pour se conformer aux standards esthétiques et comment cette obligation d'être belle est aliénante pour elles. Nous constatons également qu'elles demeurent toutes deux marchandises, avec le manque de droits, de libertés et d'identité que cet état implique. Toutefois, elles résistent finalement à leur condition esthétique aliénante, en commençant par le refus de n'être que matérialité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Corps, Femme, Beauté, Aliénation, Animal, Objet, Résistance, Truismes, Marie Darrieussecq, Clara et la pénombre, José Carlos Somoza
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Anéantir l’Autre monstrueux : entreprise narrative et corporelle de disparition dans Moi, l’interdite d’Ananda Devi

Raparison Randrianambahy, Irène 08 1900 (has links)
Le récit Moi, l’interdite, se présente comme une exception parmi les œuvres d’Ananda Devi en ce qu’il n’aborde pas de front ni implicitement le thème de la dissidence féminine, comme nous pouvons l’observer dans la plus grande majorité des œuvres de l’auteure mauricienne. Au contraire, le récit s’évertue à mettre en place un processus singulier : celui d’une disparition, perpétré contre la narratrice et protagoniste principale, condamnée à être l’éternel Autre à cause de son physique monstrueux. La présente étude se donne pour objectif d’exposer les rouages à la fois narratifs, thématiques, corporels et relationnels de cet anéantissement de l’Autre à travers une approche essentiellement narratologique. Dans un premier temps, l’entreprise de disparition est observée à travers plusieurs procédés narratifs : complexité chronologique, enchâssement de plusieurs niveaux de récit, abondance de narrataires. Dans un second temps, le thème de la disparition est questionné dans les relations aliénantes nouées par la narratrice, dont le corps difforme est le principal enjeu. De cette volonté de destruction (re)nait et (re)meurt une narratrice, malade de folie, dont les séquelles incurables l’empêcheront de réaliser son désir d’appartenance à un Même fantasmé. / The novel Moi, l’interdite, stands as an exception in Ananda Devi’s works due to the fact that it does not, directly or inherently, address the topic of feminine dissidence usually displayed in the majority of the works from the Mauritian author. The story, on the contrary, tries to set up a singular process: a disappearance affecting the narrator and main protagonist, forever condemned to be the Other because of her monstrous physical appearance. This study aims at exposing the inner machinery of the narrative, thematic, corporal and relational aspects of the destruction of this Other mainly through a narratological approach. Firstly the initiative of the disappearance can be observed through several narrative methods: chronological complexity, interlocking of several levels of discourses, abundance of narratees. Secondly the theme of disappearance is questioned in the alienating relationships developed by the main narrator, for whom her deformed body is mainly what is at stake. This will of destruction leads to the crazily sick narrator’s (re)birth and death, as the incurable after-effects will prevent her from fulfilling her dream to belong to a fantasised Same.
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Chair spectaculaire : la représentation du corps de l’artiste saltimbanque féminine dans Lulu, roman clownesque de Félicien Champsaur

Trevisan, Marion 21 January 2013 (has links)
Si la littérature et la critique se sont abondamment intéressées aux figures du clown et du saltimbanque depuis le XIXe siècle, force est de constater que les artistes féminines n’ont connu ni la même gloire ni la même légitimation. Tandis que leurs homologues masculins peuplent les romans, les femmes saltimbanques sont peu mises en scène dans les œuvres littéraires et n’ont en général qu’un rôle secondaire. À sa publication en 1901, Lulu, roman clownesque, de Félicien Champsaur, change cette donne en plaçant au centre de son récit un personnage féminin fort. Le roman relate alors l’ascension et la gloire sans précédent de Lulu la clownesse. En nous attardant plus spécifiquement au traitement du corps de l’artiste féminine dans le roman, nous dégagerons le rôle essentiel que joue l’enveloppe charnelle dans la réussite du parcours de la saltimbanque, ainsi que dans les rapports qu’entretient cette dernière avec le public. Nous verrons dans un premier temps que le corps s’impose dans l’œuvre comme un puissant outil d’agentivité. Par la suite, nous constaterons que ce travail est mis à mal dès lors que la chair du personnage féminin devient l’objet du spectateur masculin. Lulu n’est plus définie selon ses actes, mais plutôt selon les termes de celui qui l’observe. Nous montrerons que le corps féminin constitue un enjeu primordial et ambigu dans le roman de Champsaur dans la mesure où il se situe au cœur de la construction du personnage romanesque et de son parcours.
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Chair spectaculaire : la représentation du corps de l’artiste saltimbanque féminine dans Lulu, roman clownesque de Félicien Champsaur

Trevisan, Marion January 2013 (has links)
Si la littérature et la critique se sont abondamment intéressées aux figures du clown et du saltimbanque depuis le XIXe siècle, force est de constater que les artistes féminines n’ont connu ni la même gloire ni la même légitimation. Tandis que leurs homologues masculins peuplent les romans, les femmes saltimbanques sont peu mises en scène dans les œuvres littéraires et n’ont en général qu’un rôle secondaire. À sa publication en 1901, Lulu, roman clownesque, de Félicien Champsaur, change cette donne en plaçant au centre de son récit un personnage féminin fort. Le roman relate alors l’ascension et la gloire sans précédent de Lulu la clownesse. En nous attardant plus spécifiquement au traitement du corps de l’artiste féminine dans le roman, nous dégagerons le rôle essentiel que joue l’enveloppe charnelle dans la réussite du parcours de la saltimbanque, ainsi que dans les rapports qu’entretient cette dernière avec le public. Nous verrons dans un premier temps que le corps s’impose dans l’œuvre comme un puissant outil d’agentivité. Par la suite, nous constaterons que ce travail est mis à mal dès lors que la chair du personnage féminin devient l’objet du spectateur masculin. Lulu n’est plus définie selon ses actes, mais plutôt selon les termes de celui qui l’observe. Nous montrerons que le corps féminin constitue un enjeu primordial et ambigu dans le roman de Champsaur dans la mesure où il se situe au cœur de la construction du personnage romanesque et de son parcours.
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Le huis clos corporel dans Le Sari vert et Manger l’autre d’Ananda Devi

Pouzergue, Marie 12 1900 (has links)
Les deux récits Le Sari vert (2009) et Manger l’autre (2018) se placent aux extrêmes du spectre d’écriture d’Ananda Devi. Historiquement et stylistiquement, ces œuvres témoignent d’un engagement littéraire à représenter la condition féminine dans ce qu’elle a de plus sombre. Ces deux récits présentent un constat social qui perdure : le corps de la femme ne lui appartient pas. La présente étude a pour objectif d’exposer l’influence du discours social sur les personnages féminins, qui aboutit à une représentation essentiellement basée sur la seule apparence physique au détriment de l’identité globale de la femme. Cette apparence évoque, dans le corpus, un lieu insulaire, que le narrateur associe à l’île Maurice. Dans un premier temps, la représentation du corps de la femme est observée selon les théories féministes, l’identité de la femme étant réduite à son apparence. Dans un second temps, les appels à l’imaginaire qui caractérisent l’écriture de Devi sont convoqués pour analyser la construction discursive de la violence du quotidien et démontrer que les narrateurs des romans font systématiquement du corps de la femme l’origine des malheurs des personnages féminins. Dans un dernier temps, une approche géocritique est employée pour réfléchir sur le corps de la femme comme évocation de la morphologie insulaire mauricienne. De cette représentation du corps féminin émane violence et enfermement. Le corps est une prison de laquelle la femme doit se libérer pour ne plus faire de son insularité une tare. / The two novels Le Sari vert (2009) and Manger l’autre (2018) are opposite in the spectrum of Ananda Devi’s work. Historically and stylistically, these narratives illustrate a literary commitment to represent the female condition in its darkest aspects. These two novels describe a social fact : woman’s body doesn’t belong to her. This study aims at exposing the impact of social discourse on female characters which creates a representation almost essentially based on physical characteristics regardless of overall identity. Physical appearance recalls an insular environment, like the Mauritian island. Firstly, the representation of female body will be observed through feminist theories which will show women’s identities are reduced to physical appearance. Secondly, the fiction as an instrument to describe everyday violence will be analyzed, especially because the female body is always presented as the cause of violence. Finally, geocriticism will help us think about the female body as a metaphor of the Mauritian island. The representation of female body evokes violence and confinement. Thus, the body is a prison; woman must escape from it to embrace her insularity instead of being held hostage.
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Port du voile : représentations et pratiques du corps chez les femmes tunisiennes / Vailing : representations and body practices of tunisian women

Matri, Khaoula 15 April 2014 (has links)
Cette recherche portant sur Port du voile : représentations et pratiques du corps chez les femmes tunisiennes vise à comprendre les processus qui président à la conversion des femmes tunisiennes, réputées parmi les plus modernes et les plus émancipées du monde musulman, au port de l'une ou l'autre des formes du voile dit islamique. Elle a adopté pour cela une démarche combinant (1) l'analyse socio-anthropologique concernant la production sociale du « corps féminin », l'adoption-adaptation des normes relatives à la conduite féminine dans les sociétés de traditions islamiques, (2) les approches historiques, théologiques et politiques relatives au port du voile dans le contexte actuel de la mondialisation et des crispations identitaires qui en sont le corollaire, (3) l’étude empirique sur la base d’une enquête qualitative auprès de femmes converties au port du voile, pour comprendre leurs motivations, leurs stratégies, les usages qu'elles en font dans différent espaces publics qui leur étaient interdits par les traditions qu'elles mobilisent pour le justifier. Ce travail a permis de saisir, par delà les références et les motivations idéologiques partagées par les adeptes du voile, la diversité du phénomène au niveau de ses formes comme au niveau de ses usages et des significations qui lui sont associées par les acteurs, que ce soit en termes de rapports entre modernité et tradition, sécularisation et réactivation des formes de religiosité, libération et aliénation, affirmation individuelle et réflexe grégaire. / This research sheds lights on veiling: representations and body practices among Tunisian women. the target of this research is to understand the process which reigns the perception of Tunisian women- who are renewed to be the most modern and the most emancipated in the Islamic world – of different forms of veil which is associated to Islam.In order to carry out this research ,she has opted an approach that combines (1) the socio-anthropological analysis concerning the social production of the "female body", adoption, adaptation of standards related to women’s behavior in the societies of Islamic traditions, Historical approaches, theology and policies focusing on veiling in the current context of globalization and identity crises .(3) the empirical study is based on a qualitative survey of women converted to veiling; the main target of this research is to understand their motivations, their strategies, and the practices which are getting different in public spaces. In fact, many practices were forbidden by the traditions are no longer forbidden today and veiled women tend to justify them. This research has allowed us to find out the references and the ideological motivations shared by veiled women and their followers;The research has also shed lights on The diversity of the phenomenon at the level of its forms as well as the uses and the meanings associated to it by the social actors, whether in terms of the relationship between modernity and tradition, secularism and reactivation of religion forms or in terms of liberation and alienation , self-assertion and gregarious reflex.
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Il corpo femminile nella letteratura medica antica (Ippocrate e Sorano) / Le corps féminin dans la littérature médicale antique (Hippocrate et Soranos) / The female body in ancient medical literature (Hippocrates and Soranos)

Carra, Esther 18 June 2019 (has links)
L’objet du travail de la thèse est l’étude de l’image du corps de la femme dans la littérature médicale antique, sous ses différents aspects physiologiques et culturels, étude fondée sur les témoignages de deux auteurs centraux pour cette recherche : Hippocrate (Ve siècle av. J.-C.) et Soranos (Ier siècle ap. J.-C.). Les traités gynécologiques et embryologiques du Corpus hippocratique soulignent l’importance absolue du rôle maternel pour l’image de la femme, rôle en fonction duquel est interprété le corps féminin, ce qui est démontré également par l’intérêt pour la future mère dans de nombreux passages de l’œuvre Gynaecia de Soranos. En effet, à cause de jugements négatifs sur la virginité et à cause de problèmes résultant de la stérilité, la maternité devient non seulement garante de la continuité familiale mais a également une fin thérapeutique et assure un état de bien-être. Une analyse des traités du point de vue philologique et historico-littéraire peut rendre pleinement compte de la complexité des indications de nature sociale et anthropologique qui abondent dans les traités. / The subject of this work is the study of the woman’s body in the field of ancient medical literature, from both physiological and cultural aspects. The study is based on the testimony of two authors who were key figures in this reserach : Hippocrates (5th century B.C.) and Soranus (1st century B.C.). Genealogical and embryological treatises of the Hippocratic Corpus highlight the great importance of the maternal role in the image of the woman, a function by which the female body is interpreted, matter that is also confirmed in several pieces by Sorano’s Gynaecia which show an important interest for the expectant mother. Indeed, because of the negative opinion about virginity and the problems arising from infertility, motherhood became not only the guarantor of the family continuity, but also a therapeutic method which provided a state of well-being. A philological and historical-literary analysis of the treatises can clearly demonstrate the complexity of the social and anthropological indications which are abound in the treatises.
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Le corps et ses parures : interrogations des oeuvres de Majida KHATTARI, Shadi GHADIRIAN et Shirin ALIABADI / The body and his ornaments : interrogations of art works of Majida KHATTARI, Shadi GHADIRIAN and Shirin ALIABADI

Kefi, Najoua 23 November 2016 (has links)
Dans les œuvres des artistes Majida KHATTARI, Shadi GHADIRIAN et Shirin ALIABADI, le corps féminin concentre à lui une large panoplie de conceptions actuelles et traditionnelles des sociétés de culture musulmane. Leurs pratiques artistiques présentent un support où se manifestent des pouvoirs politiques et religieux, de diverses contraintes sociales et de traditions, de publicités, de consumérisme, d’aspirations à un « monde meilleur »... À travers le dispositif plastique et à travers quelques données d’ordre historique et sociologique, cette thèse vise à étudier les formes et les modalités des différentes strates de cette surcharge symbolique dégagée par le corps des femmes, et qui se conjugue à travers certains codes vestimentaires, de parures et de maquillage. / In the works of the artists Majida Khattari, Shadi Ghadirian and Shirin ALIABADI, the female body focuses its broad range of current and traditional conceptions of Muslim societies. Their artistic practices have a medium where appears strong political and religious powers, various social constraints and traditions, advertising, consumerism, aspirations to a « better world »... Through the artistic layout and through some historical and sociological data, this thesis aims to study the forms and modalities of the different layers of this symbolic overload released by the female body, which is combined through certain dress codes, ornaments and make-up.

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