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Les groupes et l’Assemblée universitaire de l’Université de Montréal : rôles, conflits et fonctionnementBeaupré-Lavallée, Alexandre 11 1900 (has links)
La présente vise à étudier le rôle que jouent les groupes dans les Sénats universitaires en période de restrictions budgétaires. En utilisant le cadre d’analyse des conflits fourni par Bélanger et Lemieux (2002), en développant une typologie dérivée de celle de Hardy (1996) et en se basant sur les constats empiriques de Jones (2001, 2004) concernant les perceptions des participants à cette instance, nous avons analysé le déroulement de l’Assemblée universitaire de l’Université de Montréal au cours de l’hiver 2008. Les résultats montrent que les groupes syndicaux et associatifs collaborent peu, que la direction réussit à tirer son épingle du jeu en formant des alliances ponctuelles avec les différentes factions et que
l’Assemblée ne joue plus efficacement le rôle pour lequel elle a été créée. Cette étude montre l’importance de continuer la recherche sur la micropolitique universitaire afin d’appuyer la recherche actuelle portant sur les meilleures pratiques en enseignement supérieur. / The aim of this study is to evaluate the role that groups play in the academic governance of Canadian universities, through the university Senate, during a period of financial retrenchment. Using a theoritical framework taken from Belanger & Lemieux (2002), Hardy (1996) and Jones (2001, 2004), the analysis focuses on the 2008 Winter semester sessions of the University Assembly of Université de Montréal. The results show that unions and associations did not show inter- and intra-group cohesion strong enough to counter the administration’s cohesiveness and ability to make alliances. The Assembly itself has seen its share of formal responsibilites wither and was, during the observation, little more than a soapbox for groups who wanted to place an item on the institutional agenda. The study highlights the importance of further study of inter-groups relationships in higher
education, in parallel with the wider scientific trend of revision of management practices in universities.
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Les universités publiques à l'épreuve de la professionnalisation des études dans la réforme LMD : le cas du SénégalNdior, Badara 29 May 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse a eu pour objet de montrer comment les universités d'Etat sous prétexte d'une conformité aux référentiels internationaux s'engagent dans la réforme du L.M.D et développent la professionnalisation. Le texte met en exergue les épreuves auxquelles sont soumis les Etats, notamment les pays en voie de développement comme le Sénégal, dans l'incitation à la professionnalisation des études par le milieu de l'emploi, les pouvoirs politiques, les institutions et organismes partenaires internationaux. Le statut de service public garantissant la démocratisation des savoirs transmis comme bien public est fortement examiné. La réforme de la professionnalisation des études universitaires est-elle imitable, transposable ou se construit-elle localement ? Est-elle opportune pour une université du sud et compatible avec la gratuité de l'enseignement supérieur ? Telles sont les questions essentielles auxquelles l'étude a tenté d'apporter des réponses.
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Frais d'inscription dans l'enseignement supérieur : enjeux, limites et perspectivesMoulin, Léonard 27 June 2014 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie les effets des frais d'inscription sur les étudiants dans l'enseignement supérieur. Dans la première partie, nous menons une analyse théorique des motivations aux frais d'inscription. Le chapitre 1 dresse une revue critique et pluridisciplinaire de la littérature et dégage trois motivations à leur introduction ou à leur relèvement (l'effet redistributif, l'effet incitatif et l'effet contributif) dont nous contestons la validité. Le chapitre 2 s'interroge sur les conditions théoriques rendant l'instauration de frais d'inscription désirable, alors même qu'existent des classes sociales aux comportements distincts. Nous montrons, en utilisant les développements récents de l'économie comportementale, que la mise en oeuvre de frais progressifs, si elle peut constituer une solution équitable d'un point de vue purement théorique, soulève d'autres problèmes. La deuxième partie de cette thèse s'intéresse aux expériences nationales de mise en place de frais d'inscription. Le chapitre 3 souligne le caractère contrasté des résultats présentés dans la littérature avant de dresser une typologie des contextes institutionnels. Deux régimes nous apparaissent ainsi cohérent même si leurs fondements sont radicalement différents (le régime " libéral " et le régime " social-démocrate "), tandis que le régime " conservateur " français nous apparait difficilement soutenable. Les trois chapitres suivants proposent la première étude sur les effets de l'introduction de frais d'inscription dans le contexte universitaire français. Nous commençons par regarder deux aspects de l'efficience liés à l'introduction de frais d'inscription : (i) un effet de sélection et (ii) un effet incitatif à l'effort. Dans le chapitre 4, nous montrons ainsi que l'introduction de frais d'inscription à Dauphine renforce les effets ségrégatifs et inégalitaires. Dans le chapitre 5, nous prolongeons cette approche en montrant, contrairement aux résultats développés dans la littérature théorique, que les frais d'inscription n'accroissent pas le niveau de réussite et donc les incitations à l'effort des étudiants à Dauphine. Enfin, dans le chapitre 6, nous discutons de la possible généralisation des résultats précédents en commençant par analyser la nature particulière du public de l'Université Paris 9 Dauphine au sein du paysage universitaire français. Les limites théoriques à l'instauration de frais d'inscription (partie I), confirmées empiriquement (partie II), nous conduisent, dans la dernière partie de cette thèse, à revenir sur la typologie construite dans le chapitre 3 en discutant de la manière dont le régime institutionnel " social-démocrate " pourrait contribuer à répondre aux objectifs d'équité, d'efficience et de besoins de financement des universités dans le cas français. Nous introduisons pour cela les fondements de ce que nous appelons une éducation par " répartition " et définissons les conditions de son équité, de son efficience et de sa capacité à financer l'enseignement supérieur.
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Hacia un modelo de liderazgo inclusivo en las instituciones de educación superior en México : un estudio de caso con perspectiva de géneroJiménez Gonzalez, Carmen Leticia 06 1900 (has links)
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Les bourses d'enseignement supérieur en France : politique, rôle et mécanisme d'attribution / Scholarships for higher education in France : policies, roles and granting mechanismChamseddine, Line 28 November 2013 (has links)
Les bourses d'enseignement supérieur constituent un dispositif clef de la politique d'enseignement en France. L'objectif de ces bourses est d'assurer l'égalité d'accès aux différentes formations de l'enseignement supérieur. Ces bourses se répartissent en plusieurs types et couvrent près de 38 % de la population étudiante. Elles sont essentiellement attribuées en fonction de la situation socio-économique de l'étudiant et de sa famille. Le budget des bourses de l'enseignement supérieur s'élève à environ 1,8 milliards d'euros en 2011 et s'inscrit dans un budget de l'État pour l'action sociale en faveur des étudiants de plus de 5.4 milliards d'euros. Cette recherche se propose d'analyser le système de bourses d'enseignement supérieur basées sur des critères sociaux en France, à travers une étude approfondie de la population des étudiants ayant déposé une demande de bourse entre 1999 et 2009. Dans un contexte européen tourné vers l'économie de la connaissance, dans un contexte national donnant la priorité à l'enseignement supérieur, et suite à la mise en place d'une importante réforme des bourses en 2008, ce travail de recherche analyse le fonctionnement du système des bourses et son évolution au cours des quinze dernières années. Cette recherche apporte une nouvelle approche de l'évaluation de la décision d'attribution de bourse. Elle analyse en détail les modifications survenues suite à la mise en œuvre de la réforme de 2008 et étudie leurs impacts sur la prise de décision et sur la population des boursiers. Elle propose, enfin, un cadre de pilotage de la politique des bourses en se basant sur un ensemble d'indicateurs construits dans le cadre de cette recherche. / Higher education grants constitute a key provision of the education policy in France intended to ensure equal student access to various fields in higher education. These scholarships are divided into several types, cover about 38 % of the student population enrolled in higher education, and are mainly allocated according to the socio-economic situation of the student and the student family. In 2011, the state budget for social action for students was more than 5.4 billion Euros, with approximately 1.8 billion Euros in funding directed to scholarships in higher education. Among the various funding components, financial aid has witnessed the most increase in its share in recent years. This research aims to analyze the system of higher education grants in France based on social criteria, through a detailed study of the population of students who applied for a grant between 1999 and 2009. With the European context moving towards the 'economy of knowledge', with the national context giving priority to higher education, and following the establishment of a fundamental reform of the higher education grants system in Fa1l2008. This research analyzes the evolution of the funding granting policy since 1999 vis-a-vis the stated objectives. The work introduces a new approach for evaluating the decision of granting a scholarship. It analyzes in detail the changes that occurred after the implementation of the 2008 reform and examines their impact on the above decision making, and on the population of students receiving a scholarship. Finally, it offers a framework to steer the granting mechanism based on a set of indicators constructed in the context of this research.
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La profession d'interprète Langue des signes québécoise-français : vers un profil de sortie de la formationTrudeau, Frédérick 08 1900 (has links)
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La motivation des étudiants haïtiens aux études supérieures en HaïtiEustache, Bétina Sandra 06 1900 (has links)
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Sociogenèse d’une invention institutionnelle : le centre universitaire expérimental de Vincennes / Sociogenesis of an institutional innovation : the experimental university of VincennesDormoy-Rajramanan, Christelle 04 December 2014 (has links)
Relevant de l’intérêt renouvelé de l’histoire sociale pour la période des « années 1968 », ce travail cherche à comprendre à la fois les conditions de possibilité de la création d’une institution telle que le « Centre universitaire expérimental de Vincennes » et comment celle-ci a été initialement façonnée par les investissements pratiques et les projections de ses concepteurs, fondateurs et premiers acteurs. A la croisée de la sociologie des politiques publiques éducatives et de l´histoire sociale des champs intellectuels, la socio-histoire de cette expérience universitaire participe de la connaissance des effets de la crise symbolique sans précédent de Mai 68, et offre une voie d´entrée à l´histoire des idées qui prend en compte simultanément les acteurs mobilisés et mobilisables que sont les étudiants et les enseignants, et leurs négociations avec le pouvoir politique. A l’échelle macro-sociologique, cette recherche s’attache à éclairer les logiques qui président au développement morphologique et symbolique de l´Université depuis les années 50 et participe de la connaissance du fonctionnement de l’Etat et du pouvoir politique en conjoncture de crise. A l’échelle micro-sociologique, elle se veut attentive aux logiques d’action des acteurs sociaux et aspire à comprendre comment et pourquoi, suivant quels représentations, dispositions et intérêts, les acteurs (individuels et collectifs) investissent leurs rôles et « métiers » (de hauts fonctionnaires, responsables politiques, « intellectuels », enseignants-chercheurs, étudiant), sans sous-estimer les contraintes qui pèsent sur eux. Ce travail s’appuie sur des matériaux complémentaires (archives, entretiens, biographies, statistiques) qui permettent de mettre en perspective « données quantitatives » et « données qualitatives », et de renseigner les deux échelles d’analyse. / Building on social history renewed interest for the “long 1968” period, this work seeks to understand both the conditions of possibility of an institution such as the “Experimental University of Vincennes” (Centre universitaire expérimental de Vincennes) and the way it was initially shaped by the practical concerns and projections of its planners, creators and first actors. Between a sociology of education policies and a social history of intellectual fields, the history of this university experiment adds to our knowledge of the symbolic crisis of May 1968, and paves the way for a history of ideas which simultaneously takes into account the mobilized and mobilizable actors that are students and professors, and their negotiation with the political power.On a macrosociological scale, this research aims to shed light on the logics that led to the morphological and symbolic development of the University since the 1950s and adds to our knowledge of the functionning of the state and policial power in a context of crisis. On a microsociological scale, it focuses on the logics of action of social actors and seeks to understand how and why, according to which representations, dispositions and interests, actors (both individual and collective) assume their roles and “professions” (of high-civil servants, political leaders, “intellectuals”, professors, students), without underestimating the constraints that are imposed on them. This work is based on complementary materials (archives, interviews, biographies, and statistics) which put in perspective “quantitative data” and “qualitative data”, combining two scales of analysis.
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L'internationalisation des grandes écoles d'ingénieurs françaises : une recomposition de la noblesse d'Etat / Internationalization of French engineering schools : a metamorphosis of the noblesse d'EtatDelespierre, Adrien 23 November 2016 (has links)
Les grandes écoles d’ingénieurs font, depuis les années 1980, l’objet de critiques annonçant la fin d’un modèle en déclin, condamné à disparaître ou à s’adapter aux exigences de la « mondialisation » ; elles sont ainsi amenées à se redéfinir de manière à préserver leur légitimité. Sont notamment pris pour cible plusieurs traits hérités de la période qui s’étend de l’Ancien Régime à la Restauration, et dont la combinaison fait la spécificité nationale de ces établissements : élitisme scolaire, recrutement sur concours à l’issue des classes préparatoires, petite taille des effectifs d’élèves, enseignement à vocation théorique et généraliste, et distance marquée vis-à-vis du monde professionnel. À travers ces propriétés particulières du système français des grandes écoles, les attaques des réformateurs mettent en question le rapport étroit qui le lie traditionnellement à l’État. Ce travail entreprend d’analyser la manière dont les écoles d’ingénieurs ont modifié leur structure, leur recrutement et leurs programmes pédagogiques pour intégrer ces injonctions à « s’internationaliser », terme ambigu dont on tâche de déconstruire le sens : l’examen des nouvelles formes de compétition entre grandes écoles d’ingénieurs montre notamment que les évolutions du modèle français de la formation des élites ne bouleversent pas pour autant les principes d’organisation et de hiérarchisation du champ national. L’étude de la circulation internationale des élèves ingénieurs amène également à nuancer l’hypothèse d’un « marché éducatif mondial » se substituant progressivement aux États. On s’interroge enfin sur les métamorphoses de ce que Bourdieu désignait comme la noblesse d’État, et sur la question de savoir en quoi elle constitue une élite en voie d’internationalisation. / Since the 1980’s, French grandes écoles are undergoing critics announcing the end of a declining educational model, which is condemned to disappear or to adapt itself to requirements of “globalization”. In order to integrate new criteria of excellence, French engineering schools reform their pattern of selection and education, which is traditionally founded on academic values. Through the special characteristics of the French system of grandes écoles, reformers are challenging the traditionally close relationship that binds these institutions to the State. This work is aiming to analyze how engineering schools have changed their structure, their recruitment and educational programs to integrate these injunctions to "internationalize". The study about new forms of competition among engineering schools brings to light that changes in the French model of elite’s reproduction do not upset the national principles of organization and hierarchy. The analysis of international flow of engineering students also leads to nuance the hypothesis of a "global education market" gradually replacing the States. This research finally examines the metamorphoses of what Bourdieu designated as “State Nobility”, and it questions the actual range of its internationalization.
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Des chiffres et des êtres : impact de l’expérience sociale des parents sur la scolarité des enfants : le cas des minorités originaires d’Afrique du nord dans les enquêtes de l’Ined (1945-2011) / Figures and human beings : impact of parents’ social experience on the children school career : the case of the North-African minorities in the surveys of the French Institute for Demographic Studies (1945-2011)Oumeddour, Leila-Fatiha 23 November 2016 (has links)
La recherche porte sur la construction de la catégorie statistique immigré qui désigne les personnes résidant en France, nées étrangères à l’étranger. La catégorie statistique est déconstruite au travers de l’exemple des descendants de Maghrébins, diplômés de l’enseignement supérieur, et des conditions d’émigration et d’immigration de leur famille. L’étude s’appuie sur l’analyse de deux corpus : le premier est constitué de deux travaux de l’Institut national d’études démographiques (Ined) qui ont pour objet l’étude des populations étrangères puis immigrées et leurs descendants ; le second est composé de quarante-trois récits biographiques de descendants de Maghrébins recueillis dans le cadre de la dernière enquête représentative de l’Ined, Trajectoires et Origines.Les résultats montrent qu’en dépit d’une transformation du profil des immigrants, la démographie aborde l’immigration maghrébine dans des approches similaires à celles qui caractérisent la période coloniale, à savoir, ethniciste et culturaliste. Cette conception a été réactivée en France depuis l’institutionnalisation de la catégorie statistique immigré (1990) qui ne tient pas compte de la dimension historique des immigrations. Elle ne permet pas, notamment, de contextualiser les vagues migratoires dans leurs cadres historiques différenciés. Les spécificités coloniales et postcoloniales des « Algériens », dont le statut juridique a varié selon les périodes, est néanmoins perceptible dans les deux corpus. Or, la prise en compte des ruptures qui ont rythmées les relations entre la métropole et ses possessions d’Afrique du Nord révèlent les effets, encore actifs, de l’héritage colonial sur les parcours scolaires des descendants de Maghrébins et ceux de leurs parents. L’analyse des trajectoires dans leurs dimensions temporelle et comparative permet d’avancer que la réussite scolaire des descendants dépend davantage du capital scolaire, socioculturel et économique de leurs parents que de traits culturels particuliers. De l’immigrant colonial illettré des années 1940 à l’intellectuel transnational Maghrébin des années 1990, la recherche française doit intégrer les transformations à l’œuvre dans cette composante de la population française. / The research is centered on the construction of statistical categories in France. In particular it focuses on the notional deficit that shows the immigré category which designates the individuals who are born abroad of foreign nationality. The category is deconstructed through the example of graduates’ trajectories of Maghreb ascendance as well as the circumstances which led their parents to emigrate and the conditions of their settlement in France. The analyzed materials are of two different natures: the first one is composed of two studies performed by the French Institute for Demographic Studies (Ined) which address the foreign and immigrant populations in France, and the second one, gathers forty-three biographical narratives of graduates of Maghreb ascendance. These later were collected within the frame of the last representative survey implemented by Ined: Trajectoires et Origines. The results show that despite a transformation of the immigrants’ profile, the French demography’s approach of the Maghreb immigration is largely similar to the one characterizing the colonial era: an ethnic and cultural conception. This approach has been reactivated in France when the statistical category “immigré” was institutionalized in 1990. This category, which only takes into account the country of birth of the migrants, displays a significant notional deficit in its definition and its application. In particular, it doesn’t contextualize the immigration waves in their differentiated historical realities. The colonial and postcolonial specificities of “Algerians”, whose legal status has varied across the different periods of time, are nonetheless noticeable in both the demographical studies and the biographical narratives.Yet, when the ruptures which have marked the relationships between France and its ex-possessions in North-Africa reveal the effects of the colonial heritage, which is still active, on the school careers of the Maghreb descendants’ and those of their parents. The analysis of the trajectories in their temporal and comparative dimensions proves that succeeding at school for the Maghreb descendant depends more on the sociocultural and economic capital that the parents possess, than cultural patterns. Indeed, from the illiterate colonial immigrant of the 1940 to the Maghreb transnational intellectuals of the 1990, the French research must integrate the changes occurring in this component of the French population.
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