• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 42
  • 4
  • 4
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 64
  • 26
  • 25
  • 25
  • 19
  • 16
  • 14
  • 12
  • 11
  • 11
  • 11
  • 11
  • 9
  • 9
  • 9
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

La description du sauvage dans les Relations de Paul Lejeune /

Tyroler, Marjorie Jane January 1988 (has links)
No description available.
32

Jean Pierron (1631-1700) : missionnaire, diplomate et peintre en Amérique

Finet, Thibault 12 1900 (has links)
No description available.
33

Du péché à la faute : l'"advertance de raison" et les théologies de l'imputation morales, XVe - XVIIe siècles / From sin to fault : the notion of advertentia rationis and the theologies of moral imputation, 15th-17th centuries

Nicolas, Paola 11 December 2015 (has links)
Entre le début du XVe siècle et la fin du XVIIe siècle, la question de la justice de l’élection et de la damnation divine fait l’objet de débats d’une grande virulence entre les théologiens catholiques. Contre la conception luthérienne d’un «Dieu aimant les uns et détestant les autres d’un amour et d’une haine éternels», les Dominicains et les Jésuites interrogent les raisons motivant le châtiment de Dieu, quand les Jansénistes clament que Dieu ne doit rien à personne. Les théologies de l’imputation morale de la période s’affrontent à propos de la définition de l’offense au Créateur, de la question du salut des païens, des conditions d’attribution de la grâce, et portent à leur paroxysme les tensions inhérentes au catholicisme post-tridentin. Ce présent travail montre comment la théologie n’a pas assisté en spectatrice impuissance à l’élaboration du sujet laïc, mais y a participé de manière active et paradoxale. C’est au beau milieu des feux mutuels que se lancent les polémistes que l’on peut suivre la manière dont s’élabore peu à peu la distinction de deux sphères de l’imputation morale – celle de l’homme et celle du chrétien –, et ainsi, la manière dont on vient à concevoir une version sécularisée de la faute morale, ou une offense à la droite raison qui ne soit nullement une offense à Dieu. / Between the beginning of the 16th and the late 17th century, Catholic theologians argue about the justice of the divine election and damnation. Against the Lutheran conception of “a God loving ones but detesting the others with eternal love and hate”, Dominicans and Jesuits question the reasons motivating God reprobation, while the Jansenist position is that “God owes us nothing”. At this period, theologies of moral imputation fight on multiple topics: how to define the offence to the Creator, how to ground pagans’ salvation, what are the conditions of grace attribution, and overall these debates will bring the tensions inherent to post-Tridentine Catholicism into focus. In this work, I show that theology did not passively watch the making of the secular subject but was instead an active and paradoxical player. It is in the middle of the controversy between the different polemists that we can trace back the way the distinction between the two spheres of moral imputation – the one of the men and the one of the Christians – is progressively grounded, and thus, we can understand the path leading to a secularized version of the moral fault, namely, an offense to reason that is not an offense to God.
34

Le pelerin de lorete voeux a la glorieuse vierge marie, de louys richeome (1604) edition critique, annotee et commentee, precedee d'une etude litterraire, linguistique et iconographique / The Pilgrim of Loreto. Vow to the Glorious Virgen Mary Mother of God by Louys Richeome, (Simon Millanges : 1604). Annotated Edition and critical commentary with introduction and literary / iconographic study.

Badiola, Frédérique 18 December 2014 (has links)
Paru pour la première fois en 1604, Le Pelerin de Lorete du jésuite Louis Richeome a connu un succès important avec deux éditions supplémentaires, de nombreuses rééditions jusqu’en 1628 et des traductions. Après cette première moitié du XVIIe siècle, l’œuvre comme son auteur tombèrent dans l’oubli et ne connurent pas de nouvelle publication. Ce n’est qu’à partir de la fin XIXe siècle que les critiques, notamment Henri Brémond commencèrent à s’intéresser à Richeome et à son travail, mais sans pour autant y consacrer un ouvrage ou une édition critique. Cette thèse se propose donc de redécouvrir un ouvrage religieux à part, oscillant entre le catéchisme, les méditations, le récit de pèlerinage et le roman d’aventures. Pour ce travail, nous avons choisi l’édition bordelaise de Simon Millanges de 1604 qui comporte quatorze illustrations. L’édition et l’analyse de ce texte et de ses images nous permettent de mieux comprendre les influences et les enjeux d’un ouvrage qui s’inscrit résolument dans le contexte religieux et politique du début du XVIIe siècle. / In 1604, the Jesuit Louis Richeome (1544-1625) published for the first time Le Pelerin de Lorete. The book was reedited several times and was translated in three languages until 1628. Le Pelerin de Lorete was considered a best-seller for its time in France. Despite this initial success, the book remained unstudied until the late 19th century. Among the first literary critics to study Le Pelerin de Lorete was Henri Brémond (1865-1933). However, to date there is no critical edition of the book. Thus, this study proposes a new reading of Le Pelerin de Lorete as a religious book that oscillates between a catechism and a guide to spiritual meditation and between a pilgrimage account and an adventure novel. Moreover, by providing for the first time a visual and textual analysis of the book, we uncover the historical and religious context that made possible this unique piece.
35

« Un plaisir sage et réglé ». Musiques et danses sur la scène des collèges parisiens (1640-1762) / Un Plaisir sage et réglé. Music and dance on Parisian Colleges Scene (1640-1762)

Demeilliez, Marie 11 October 2010 (has links)
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, des représentations théâtrales sont régulièrement donnés dans les différents collèges parisiens de plein exercice, les dix attachés à la faculté des arts de l’université de Paris, comme celui tenu par les jésuites (le collège de Clermont devenu Louis-le-Grand), avec un faste et un retentissement variables, où la musique et la danse peuvent prendre une large place. Cette thèse est consacrée aux pratiques musicales et de danses en usage dans ce théâtre collégien. À l'issue d'une recension des représentations (établissement d’un catalogue des représentations et d’un répertoire de sources) et d'une reconstitution de plusieurs fragments musicaux, ce travail envisage l’inscription des scènes collégiennes dans l’espace artistique de la capitale, tout en les replaçant dans les usages pédagogiques de chaque établissement. Les conditions de ces représentations, leur publicité et les nombreux écrits qu’elles génèrent, enfin les acteurs et les milieux professionnels impliqués dans ces spectacles, sont successivement étudiés. La deuxième partie de la thèse est consacrée à un genre remarquable par sa continuité et son prestige, le ballet, l’élément le plus marquant et le plus polémique des spectacles de collège depuis le milieu du XVIIe siècle. Les spécificités du ballet de collège et leurs évolutions au cours de plus d’un siècle de répertoire sont analysées. La scène collégienne parisienne apparaît dès lors comme une interface, où se mêlent des acteurs et des usages chorégraphiques et musicaux de diverses origines et de diverses esthétiques. / During the 17th and 18th centuries, there were regular performances given by Parisian Colleges, the ten belonging to Paris University, and the one held by the Jesuits (College de Clermont, later College Louis-le-Grand), with variable pomp and success, in which music and dance took a significant role. This thesis studies musical practices and dances as part of these performances. A complete catalog of the performances and the preserved sources along with a reconstruction of musical fragments gives an image of the artistic life in these pedagogical institutions in particular and in the Parisian theatrical context of the period. The specific conditions for these performances, the numerous publications (programmes, commentaries, manuscripts, posters, etc.), the actors and their professional environment have been studied. The ballet, with its continuity and prestige, is the subject of the 2nd part of this work. Since the mid-17th century, it holds an important and polemic position within the theatrical performance. The particularities of the college ballet and its century-long evolution are analyzed. The Parisian College Scene appears as a place of multiple assimilations, with actors, chorographic and musical practices from various origins and styles.
36

Réforme catholique et sociétés urbaines en France : les congrégations mariales jésuites aux XVIIe et XVIIIe siècles / Catholic Reformation and urban societies in France : the Jesuit Marian congregations in the 17th and 18th centuries

Yamamoto, Taeko 22 June 2017 (has links)
Apparues en 1563, sous la forme d’associations d’élèves de collèges jésuites, les congrégations mariales se développent rapidement dans le contexte de la Réforme catholique, en s’étendant à l’ensemble des fidèles, encadrés selon leur âge et milieu social. Encouragées par la papauté, les autorités civiles et religieuses, comme « un rempart contre les hérétiques », ces congrégations restent liées entre elles du fait de leur agrégation à la congrégation, initiale, du Collège romain (Prima Primaria). Ses membres suivent les mêmes Règles communes, et ils bénéficient de ses indulgences. En se soumettant à divers exercices, et en s’obligeant à une vie spirituelle exemplaire, ils créent l’émulation dans leur entourage familial et professionnel. En France, les congrégations mariales s’implantent prioritairement dans les lieux destinés à l’éducation et sur les frontières entre catholiques et protestants, en premier lieu, pour former les futures élites chrétiennes et gagner les élites urbaines. Fondée, vers 1630, dans la maison professe des jésuites de Paris, la Congrégation des Messieurs rassemble les dévots des classes dirigeantes de la capitale. Parmi ceux-ci, on relève plusieurs grandes figures qui s’inscrivent, conjointement, dans d’autres cercles dévots, comme la Compagnie du Saint-Sacrement. Souvent, au sortir de leurs études dans les collèges jésuites, s’étant élevé socialement, ces dévots poursuivent leur vie congréganiste, en s’appuyant sur leur parenté et leurs relations, pour s’efforcer d’agir dans la cité vers une perfection chrétienne. Cette sociabilité, poursuivie de génération en génération, est d’autant plus précieuse dans les milieux de l’artisanat. Le réseau ainsi créé, qui apporte un secours tant spirituel que matériel, constitue également une structure d’accueil dans leur mobilité.Y aurait-il un déclin général des congrégations mariales au siècle des Lumières ? Le nombre de leurs créations diminue, dans un premier temps. Puis, ces associations se trouvent affectées par les querelles qui se développent entre jésuites et jansénistes, autour de la bulle Unigenitus. À Paris, par exemple, on constate surtout un recul du nombre des magistrats des cours souveraines, compensé par une augmentation du nombre des ecclésiastiques antijansénistes et philojésuites. Pourtant, cet apparent déclin est loin d’être unanime, selon les milieux sociaux et les régions. On constate, durant la seconde moitié du XVIIe siècle et jusqu’au XVIIIe siècle, une augmentation des effectifs des Congrégations des Artisans, et même la multiplication de ces congrégations dans la province jésuite de Lyon. Cette extension vers des catégories sociales plus modestes passe également par l’accueil de femmes. On pourrait s’étonner, aussi, d’y constater la vitalité des demandes des messes pour les morts. Le cas de la Congrégation des Artisans de Montpellier est exemplaire. Cette sodalité conserve, en effet, une réelle attractivité dans la vie associative et religieuse montpelliéraine, même après l’expulsion de la Société de Jésus, et elle maintient le réseau tissé avec les autres congrégations mariales affiliées à la Primaria. Les congrégations mariales ont donc évolué : elles ne se limitent plus à des cercles de dévots mais, en s’étendant à des catégories sociales plus modestes, elles forment désormais une communauté de « bons chrétiens ». Elles nous offrent, alors, un nouvel éclairage sur le comportement religieux des sociétés urbaines au siècle des Lumières. / The Marian congregations appeared in 1563, as association of Jesuit College students, and developed rapidly in the context of the Catholic Reformation, extending to all faithful, supervised according to their age and social backgrounds. Encouraged by the papacy, civil and religious authorities, as a "rampart against the heretics", these congregations remained interconnected because of their aggregation to the initial congregation of the Roman College (Prima Primaria). Its members followed the same Common Rules, and they benefited from its indulgences. By submitting to various exercises, and by committing themselves to an exemplary spiritual life, they created emulation in their family connections and professional relationships.In France, Marian congregations were firstly established in places for education and on the borders between Catholics and Protestants, their main purpose being to train the future Christian elites and to gain the urban elites. Founded around 1630 in the Jesuit professed house of Paris, the Congregation of Gentlemen (Messieurs), gathered the “dévots” of the ruling classes of the capital. Among these are several great figures which are jointly inscribed in other devout circles, such as the Company of the Holy Sacrament. Often, as a result of their studies in Jesuit colleges, having risen socially, these dévots pursued their congregation activity, relying on their kinship and their relations, to strive to act in the city towards a Christian perfection. This sociability pursued from generation to generation was all the more valuable among the artisans. The network thus created, which bring both spiritual and material assistance, was also a welcome structure in their mobility.Would there be a general decline of the Marian congregations in the Age of Enlightenment? Indeed, the number of newly created foundations decreased, at first. Then, these associations were affected by the conflict which had developed between Jesuits and Jansenists, around the bull Unigenitus. In Paris, for example, the number of sovereign courts magistrates, specifically, declined. This decrease was compensated by an increase in number of anti-Jansenist and philo-Jesuit clergy. However, this apparent decline is far from unanimous, depending on social categories and regions. Research shows, in the second half of the seventeenth century and up until the eighteenth century, an increase of the numbers of the Congregations of Artisans, and even the multiplication of these congregations in the Jesuit province of Lyon. This extension to more modest social categories also involves the reception of women. It is remarkable, too, to note the vitality of the demands of the masses for the dead. The case of the Congregation of the Artisans in Montpellier is exemplary. This sodality retained a real attractiveness in Montpellier's religious and associative life, even after the expulsion of the Society of Jesus, and it maintained the network with the other Marian congregations affiliated to the Primaria.Marian congregations have evolved: they are no longer confined to circles of dévots, but by extending to more modest social categories, they now form a community of "good Christians". They then give us a new insight into the religious behavior of urban societies during the Age of the Enlightenment.
37

L'évangélisation de Panama : les fondements des missions jésuites dans la société coloniale (XVIe-XVIIe siècles) / The evangelization of Panama City : the foundations of jesuit missions in colonial society (XVIth-XVIIth centuries)

Ngoma-Ngoma, Aymard-Cedric 06 October 2017 (has links)
Cette thèse étudie l’implantation et l’action apostolique des jésuites dans la ville de Panama entre 1578 et 1671. Cette chronologie correspond à la création du premier domicile jésuite dans cette ville, et à la destruction de celle-ci par le corsaire anglais Henry Morgan. De passage à Lima où il allait établir la Compagnie avec quelques compagnons, Jéronimo Ruiz del Portillo, chef de l’expédition, arrive donc à Panama en 1568 dans le cadre de la route des Indes. Immédiatement, il écrit à François de Borgia, préposé général, pour lui demander de faire de cette ville une mission stable, et par-dessus tout, le siège de la Compagnie du Pérou. Face aux réticences de Borgia et de ses successeurs, c’est seulement en 1578 que deux jésuites s’y établissent avec le concours des bourgeois et des autorités locales, après une mission dans les montagnes de Bayano contre les Noirs marron. A travers l’étude croisée des sources de la Compagnie et celles de la monarchie, nous avons pu définir le type de domicile que les disciples d’Ignace de Loyola implantent à Panama d’abord en cette année 1578, puis en 1585. A partir de cette deuxième date, ils entremêlent les missions citadines et rurales au travers desquelles il est possible d’analyser les relations qu’ils nouent avec les oligarchies locales, avec la monarchie et avec les dirigeants de l’Ordre du Pérou et de Rome. L’étude de ces relations permet donc de mettre en évidence les agissements des jésuites dans la société coloniale panaméenne / This dissertation examines the establishment and the action of the jesuits in the city of Panama from 1578 to 1671. This chronology corresponds to the creaction of the first Jesuit house in this city, and to the destruction of this one by the English privateer Henry Morgan. On his way to Lima, where he was to set up the Compagny with a few companions, JéronimoRuiz del Portillo, chief of the expedition, arrived in Panama in 1568 as part of Indian Route. Immediately, he wrote to Francis de Borgia, general attendant, asking him to make this city a stable mission, and above all, the headquarters of the Peruvian Compagny. Faced with the refusal of Borgia and his successors, it was only in 1578 that two Jesuits settled there with the help of the bourgeois and the local authorities, after a mission in the mountains of Bayano against the maroons. Through the cross-examination of the sources of the Compagny and those of the monarchy, we have been able to define the type of domicile that the disciples of Ignatius of Loyola established in Panama first in this year 1578 and then in 1585. From this second date, they intermingled the urban and rural missions through wich it is possible to analyse the relations that they established with the local oligarchies, with the monarchy and with the leaders of the Order of Peru and of Rome. The study of these relations makes it possible to highlight the actions of the Jesuits in the Panamanian colonial society
38

Dynamiques de pouvoir, genre et rituels autochtones dans les écrits des jésuites en Nouvelle-France, 1632-1724

Danis, Ariane 08 1900 (has links)
Ce mémoire expose les représentations des pratiques rituelles traditionnelles des Iroquoiens et des Algonquiens que les missionnaires jésuites français ont dévoilés dans leurs écrits. Parfois malgré eux, les missionnaires présentent dans leurs témoignages des êtres doté-e-s de pouvoirs religieux, que nous examinerons ici. Le territoire analysé est donc principalement celui des missions jésuites, soit la vallée laurentienne, le pays périphérique et la région des Grands Lacs, tranche d’Amérique qui restait essentiellement autochtone lors de la période qui nous intéresse, soit de 1632, date de la première relation du jésuite Paul Le Jeune, jusqu’à 1724, date de publication de l’ouvrage Mœurs des Sauvages de Joseph-François Lafitau. Cet examen minutieux des ouvrages jésuites a alors révélé, dans une perspective de l’histoire du genre, des extraits relatifs aux rituels et aux sphères d’activités des hommes et des femmes autochtones. Ces résultats sont par le fait même confrontés à de nombreuses études d’une part sur les Premières Nations, et d’autre part sur les jésuites et leurs missions nord-américaines. Cette jonction multidisciplinaire nous mène alors à se demander : que voient, ou ne voient pas, les missionnaires du rôle des hommes, des femmes, et dans une certaine mesure, des « hommesfemmes » et des « femmes-hommes » au sein des rituels autochtones, et dans quelles circonstances ? / This thesis presents representations of the traditional ritual practices of the Iroquoians and Algonquians that the French Jesuit missionaries have revealed in their writings. Sometimes in spite of themselves, the missionaries describe Indigenous people endowed with religious powers, descriptions which we will examine. The territory analyzed is therefore mainly that of the missions, namely the St. Lawrence Valley, the surrounding country and the Great Lakes region, a slice of America that remained largely Indigenous during the period of interest to us, namely from 1632, date of the first Relations with the Jesuit Paul Le Jeune, until 1724, the date of publication of the book Mœurs des Sauvages by Joseph-François Lafitau. This careful examination of the Jesuit works reveals, from a perspective of gender history, excerpts relating to rituals and spheres of activity of Aboriginal men and women. These results are confronted with numerous studies on First Nations or on the Jesuits and their North American missions. This multidisciplinary convergence then leads us to ask: what do missionaries see, or do not see, in the role of men, women, and to some extent, “men-women” and “women-men” within Aboriginal rituals, and in what circumstances?
39

La description du sauvage dans les Relations de Paul Lejeune /

Tyroler, Marjorie Jane January 1988 (has links)
No description available.
40

L'homme à chapeau, le Grand-Esprit et l'Anichenabé : Ojibwés et Jésuites dans le Canada-Ouest, 1843-1852 / Ojibwés et Jésuites dans le Canada-Ouest, 1843-1852

Dussault, Sylvie 24 April 2018 (has links)
Au début des années 1840, les jésuites, dans la tradition des missionnaires du XVIIe siècle en Nouvelle-France, reviennent au Canada, spécialement au Canada-Ouest, afin de convertir et d'amener au catholicisme les Ojibwés traditionalistes et protestants. À ce moment, plusieurs groupes d'Amérindiens habitent déjà dans des réserves, mais leurs conditions de vie se sont détériorées comparativement aux siècles précédents et ils doivent faire face à la nouvelle conjoncture politique et démographique qui tend à leur assimilation. L'analyse des arguments des Amérindiens traditionalistes contre le prosélytisme des jésuites et parallèlement, des motivations de quelques autochtones â épouser la doctrine catholique, permet de mettre à jour les façons de penser des deux protagonistes et par conséquent, d'entrevoir plus clairement la facette religieuse dans cette rencontre des cultures. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Page generated in 0.0501 seconds