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Seuils suivi de : Il n'y a pas de porteMessier, Ève January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'Attardé suivi de la notion de distance narrative dans "Discours du récit" de Gérard GenetteTherrien, Stéphane January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le théâtre cruel de la répétition à l'oeuvre dans Le cri du sablier de Chloé Delaume ; suivi de, Érosive ThanaDumont, Isabelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré ; suivi de Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice DesbiensMartineau, Julien 12 1900 (has links)
Composé de fragments narratifs et poétiques, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré retrace le parcours d’un jeune homme de retour dans sa ville natale, Québec. En déambulant à travers les rues, mais également à travers sa propre mémoire, le narrateur trouvera sur son chemin le point de rupture entre passé et présent. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré élabore une réflexion sur ces lieux et ces époques qui, même révolus, semblent ne jamais vouloir nous quitter, le tout dans une écriture où le silence est parfois aussi éloquent que la parole.
Comme son nom l’indique, Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens est un essai traitant de la poésie comme espace d’habitation dans Sudbury de Patrice Desbiens, une œuvre mettant en scène le quotidien d’une petite ville du nord de l’Ontario. Face à ce lieu froid et désert où rien ne semble vouloir subsister, dans cette ville qu’il décrit à la fois comme factice, violente et inhabitable, Desbiens semble croire que seule l’écriture est authentique et porteuse d’une vérité. Dès lors, en signant son recueil Sudbury, le nom de cette ville qu’il habite, le poète ne se pose-t-il pas comme le véritable auteur des lieux? Ne donne-t-il pas un sens à ce qui, auparavant, en était dépourvu? N’y a-t-il pas, au final, substitution de l’espace urbain oppressant par celui, plus hospitalier, de la poésie? / Composed of narrative and poetic fragments, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré follows the journey of a young man returning to his hometown, Québec. While wandering in the streets, but also through his own memories, the narrator will find on his path the point of rupture between past and present. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré proposes a reflexion on these places and times that, even if over, seem to never abandon us, all within a style of writing where silence is sometimes as eloquent as speech.
As it’s name indicates, Sudbury: l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens is an essay regarding poetry as a living space within the poem Sudbury from Patrice Desbiens, a work that stages the daily routine of a small town in northern Ontario. Confronted to a cold and deserted place where nothing seems to subsist, within this town that he depicts at the same time as artificial, violent and unlivable, Desbiens seems to believe that only writing is authentic and bearer of truth. Hence, by entitling his work Sudbury, the name of the town where he lives, does the poet not present himself as the genuine author of the place? Does he not give a meaning to something that, before, was deprived of one? Is there not, in the end, a substitution of the opressive urban space for the one, more welcoming, of poetry?
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La Parenthèse ; suivi de Tensions et enfermement dans les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de SadeArnold, Marine 04 1900 (has links)
Ce mémoire en recherche-création explore l’enfermement volontaire et les différents types de tensions qu’il provoque.
Court roman prenant la forme du journal intime, La Parenthèse met en scène un jeune homme qui décide de s’enfermer chez lui une semaine durant et s’interdit tout contact avec l’extérieur – autant pour prendre un congé temporaire de la vie qu’il mène que pour examiner les raisons de sa détresse quotidienne. Le monologue intérieur se transforme rapidement en dialogue, dès lors qu’un double vindicatif, interrompant la voix principale par des « répliques » entre parenthèses, fait son apparition. Une relation houleuse – sous tension – se tisse entre ces deux facettes du personnage tout au long des sept jours de la réclusion, les passages de dispute alternant avec des récits de souvenirs. En somme, le roman tente de dramatiser la question de l’emprisonnement de soi-même et de la limitation de l’écriture, cette limitation pouvant être à la fois malsaine et libératrice.
Quant à l’essai, Tensions et enfermement dans les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de Sade, il part du thème de l’enfermement (en l’occurrence, celui des quatre amis qui exécutent le projet de passer quatre mois dans un château isolé) pour postuler une « architecture du désir » dans Les Cent Vingt Journées de Sodome. L’essai mobilise les ressources de la narratologie en prenant en compte les effets du texte sur le lecteur ; sont ainsi mises en évidence les tensions – sexuelle pour les protagonistes, narrative pour le lecteur – élaborées par cette écriture de l’enfermement et de la contrainte, dans laquelle le désir est toujours maintenu mais rarement satisfait. / This M.A. thesis combining research and creative writing globally focuses on self-confinement and the various tensions that it creates.
La Parenthèse, a novel in the form of a diary, depicts a young man who decides to confine himself in his apartment for a week without any contact with the outside world, taking a break of his life in order to question himself about his daily angst. The inner monologue changes quickly into a dialogue, as soon as a vindictive alter ego begins to interrupt the main voice with “repartees” in parenthesis. A stormy – tense – relationship builds itself between these two sides of the character throughout the seven days he stays locked indoors, passages of arguments alternating with recollections of memories. In short, the novel proposes a reflection about self-confinement and constrained writing, which is both unwholesome and liberatory.
As for the essay, Tensions et enfermement dans Les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de Sade, it takes us from self-confinement (namely, the four friends deciding to confine themselves for four months in a distant castle) to an “architecture of desire” in Les Cent Vingt Journées de Sodome. The essay is based on narratology without neglecting the effects the text has on its reader to bring out the tensions – sexual ones regarding the protagonists, narrative ones regarding the reader – elaborated by Sade’s confinement writing, which unfolds a desire much celebrated but seldom fulfilled.
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Mer mère noir, théâtre poème : suivi de Réflexions sur la réécriture de la " fable ", à partir de La soif de la montagne de sel de Marin SorescuMontescu, Cristina January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude du vocabulaire allemand de la distributionPalmetshofer, Anna January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Prête-moi tes jambes ; suivi de Les Femmes créatrices et le concept d'autoritéDun, Shanti van January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Intellectuels, culture politique et démocratie : le cas de la transition démocratique du Mexique, 1977-2000Montambeault, Françoise January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La liberté et la puissance de l’intuition chez Bergson : À travers le temps qui « agit » et la force de négation / Freedom and the power of the intuitionHirano, Kazuhiko 23 August 2012 (has links)
Les réflexions au point de départ de Bergson nous donnent une forte impression. Maintenant, nous pouvons dire qu’il y a là la puissance intuitive de négation et le temps qui « agit ». Et quand nous promenons nos yeux sur les œuvres de Bergson, il nous semble qu’on ne peut pas les négliger. En premier lieu, Bergson aboutit déjà à une méthode de la connaissance autre que l’intelligence. Comme l’intuition est une méthode de la connaissance propre à Bergson, l’intuition qui porte la puissance de négation est une découverte qui fait époque. En deuxième lieu, cette intuition incite elle-même à se rendre vers l’intuition immédiate. Elle soutient l’intuition de la durée. En troisième lieu, le temps qui « agit » est une appréhension originelle de l’expérience. Un des fondements et un des contenus de la liberté proviennent de ce temps qui « agit » et de cette intuition. En quatrième lieu, Bergson souligne que l’illusion du « possible » fait méconnaître « la nouveauté radicale ». Et cette appréhension montre que l’acte libre et l’univers sont la création du nouveau. L’idée d’illusion du « possible » qui s’établit dans les dernières années de sa vie provient des réflexions au point de départ. Enfin, obtenir une appréhension originale par la puissance intuitive de négation, semble être une façon d’étudier chez Bergson. Il recueille les faits scientifiques ou académiques qui font l’objet de son étude. Et il trouve un problème par la puissance intuitive de négation. Il semble que nous pouvions imaginer que ce qui est profond chez Bergson revient à ces deux points. Dès lors, nous pensons que les réflexions au point de départ sont dignes d’être pris comme objet de réflexion. / We can say that the action of time and the intuitive power of negation are important aspects in Bergson’s reflections on his point of departure. And when we survey his works, it seems to us that they cannot be neglected. First, Bergson arrives already at a method of acquiring knowledge which differs from the intelligence. As intuition is a method of the knowlege proper to Bergson, intuition that has the power of negation is an important discovery. Second, this intuition urges itself to proceed to an intuition of the duration. And the former supports the latter. Third, his notion of the action of time is an original understanding of its experience. One of the foundations of the freedom and one of the contents of the freedom are derived from the action of time and this previously mentioned intuition. Fourth, Bergson emphasizes that the illusion of the « possible » leads us to misunderstand « the radical novelty ». And this understanding shows that the free act and the universe are both creations of novelty. The notion of the illusion of the « possible » that is established in his later years has its origin in his reflections on his point of de departure. Finally, it seems that to obtain an original understanding through the intuitive power of the negation is a Bergson’s way of studying his subject. He gathers scientific or academic facts. He identifies problems through the use of the intuitive power of the negation. In short, it seems that we can imagine that what is profound in Bergson’s thought comes from the action of time and the intuitive power of negation. So we think that the reflections on the point of departure is worthy of in-depth consideration.
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