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Les marqueurs sociaux : représentation, identité, statut en Égypte ancienne : (IIIe millénaire – mi IIe millénaire avant notre ère) / Social Markers : representation, identity, status in Ancient Egypt : (IIIrd – mid IInd millennium BC)

Mazé, Christelle 13 December 2010 (has links)
Ces recherches mettent en évidence comment les anciens Égyptiens rendaient visibles leur position sociale d’une part dans la hiérarchie des rapports entre individus et d’autre part au sein de leur groupe d’appartenance. Les marqueurs sociaux considérés sont de nature matérielle mais aussi culturelle et peuvent prendre la forme concrète d’objets de luxe et de prestige ou l’aspect plus subjectif de manières de s’exprimer ou de se comporter en faisant appel à la culture développée par les élites. Il ne s’agit pas ici d’établir un catalogue exhaustif mais de montrer comment les individus, en fonction de leur appartenance à des catégories sociales différentes, utilisent et interprètent les marques d’identité, de pouvoir et de prestige créées et perpétuées par la royauté et par les élites placées à son service. En fonction de l’importance sociale des individus, de l’époque considérée et de la capacité du pouvoir central à s’affirmer comme source de légitimité, les comportements ne sont pas les mêmes et les valeurs dont sont porteurs certains objets, certaines manières ont changé en même tant que la société évoluait. L’importance matérielle et symbolique de certains marqueurs sociaux a en effet pu être remise en cause ou au contraire développée par l’intégration de références à de nouvelles sources de pouvoir, tels les ancêtres ou les gouverneurs locaux sous la Première Période intermédiaire. En ce sens, le mimétisme culturel permet d’observer comment des personnes situées en dehors des sphères institutionnelles de l’État parviennent malgré tout à s’approprier le discours officiel imposé par le pouvoir central. L’étude s’organise en trois temps : la place de l’héritage lignager dans l’affirmation de la position sociale ; la manière de se comporter et d’occuper l’espace, tant dans la topographie que lors de manifestations cérémonielles ; l’usage des objets comme témoins de l’appartenance sociale et moyens d’expression du statut et de l’identité via la culture matérielle. / This research highlights how Ancient Egyptians displayed their social position, on the one hand according to the hierarchical relationships between individuals, and on the other hand according to their membership of different groups. Social markers are of both material as well as cultural kinds and can take concrete forms like objects of luxury and prestige, but also as subjective forms, like ways of expressing oneself and behaving through references to a culture developed by the elite. It is not a matter of presenting a complete catalogue here. The intellectual process consists of making understand how individuals, ddepending on their membership of different social classes, used and interpreted marks of identity, power and prestige, which had been created and sustained by the royalty and the elite at their service. Depending on the social importance of individuals, the considered time period, and the ability of the central government to assert itself as a source of legitimacy, personal and collective behaviours were not always the same, and values embodied in objects and manners have changed, as society has evolved. The material and symbolic significance of social markers could have been thrown into question during leadership crisis or on the contrary, it could have been developed by the adoption of references to new sources of power, such as ancestors and local governors during the First Intermediate Period. In this way, cultural imitation allows us to observe how persons who are not linked to the institutional spheres of the State manage to take up the official discourse imposed by the central government after all. This study is divided into three parts: the significance of lineage to assert a social position; the way ones behaves and occupies the space around, in topography or in ceremonial events; the use of objects as signs of social membership et means to express status and identity through material culture.
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Équité et bonne foi : perspectives historiques et contemporaines sur les distinctions fondamentales entre ces deux outils de justice contractuelle

Giroux-Gamache, Claudia 06 1900 (has links)
La théorie classique du contrat et ses corollaires, l’autonomie de la volonté des parties et le principe de la stabilité des contrats, ont longtemps régné en droit des obligations. Depuis l’introduction du Code civil du Québec, la notion de bonne foi a été l’objet de plusieurs textes de doctrine et de plusieurs décisions judiciaires phares. La notion est considérée comme l’outil de prédilection des juristes pour assurer une meilleure justice contractuelle, parfois pour développer des théories allant à l’encontre du principe de la stabilité des contrats. Or, le récent arrêt Churchill Falls nous enseigne que la bonne foi a ses propres contours et ne peut donc pas être utilisée en dehors des limites qui lui sont intrinsèques. Dans ce travail, la notion de bonne foi est revisitée conjointement avec la notion d’équité afin de présenter leurs paramètres fondamentaux initiaux, leurs mutations et leurs portées actuelles en droit civil québécois. Bien que ces deux outils contribuent à assurer une meilleure justice commutative dans les échanges, la bonne foi a ce l’équité n’a pas : une synchronicité avec les principes de stabilité des contrats et d’autonomie de la volonté. Cette constatation peut expliquer la mise au placard de l’équité à titre d’outil de justice dans le régime général des obligations. Ainsi, en filigrane, il appert que la stabilité des contrats demeure une valeur prédominante du législateur malgré les allures d’une nouvelle moralité du droit des obligations. / The classical theory of contract and its corollaries, the autonomy of the parties' will and the principle of the stability of contracts, have ruled the law of obligations for long. Since the introduction of the Civil Code of Québec, the notion of good faith has been the subject of several doctrinal texts and landmark judicial decisions. The notion is considered as the preferred tool of jurists to ensure a better contractual justice, sometimes to develop theories that run counter to the principle of the stability of contracts. However, the Supreme Court in its judgment Churchill Falls decision teaches us that good faith has its own contours and therefore cannot be used outside its intrinsic limits. In this paper, the notion of good faith is revisited in conjunction with the notion of equity to present their initial fundamental parameters, their mutations, and their current scope in Quebec civil law. Although both tools contribute to ensuring better commutative justice in exchanges, good faith has what equity does not: synchronicity with the principles of stability of contracts and autonomy of the will. This observation may explain the shelving of equity as a tool of justice in the general regime of obligations. Thus, it appears that the stability of contracts remains a predominant value of the legislator despite the appearance of a new morality in the law of obligations.

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