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The effect of territorial stigmatisation processes on ontological security: A case-study of Bradford politics

Sullivan, Paul W., Akhtar, Parveen 29 October 2018 (has links)
Yes / We investigate the effect of territorial stigmatisation on ontological security through a qualitative case-study of Bradford politics during the 2015 General Election. Territorial stigmatisation and ontological security are important constructs in political geography but there is relatively little research on how territorial stigmatisation effects ontological security in everyday lived experience – in this case, the lived experience of political contests. We conducted thirty in-depth interviews, generated three themes and present and analyse these three themes in the form of three ‘created dialogues’ as outlined by Sullivan (2012), with a smaller sample of ten out of thirty of our participants. Drawing on Bakhtin’s (1981) concept of ‘chronotope’ we identity three key effects of territorial stigmatisation on ontological security: i) A negative reputation of ‘parallel societies’ has the potential to create double meanings for the inhabitants of that society; ii) Local reputation enhances ontological security through linking particular places to particular personalities but potentially decreases ontological security for a district as a whole; iii) Everyday lived experiences sometimes acquire charged emotional symbolic significance, which could encourage the reflexive side of ontological security. Our findings went through a positive member-checking process with five of the participants. / Research Development Fund Publication Prize Award winner, October 2018.
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Vécu de la stigmatisation des femmes atteintes de dépression majeure au Québec : une étude qualitative

Durr, Joanne 04 1900 (has links)
No description available.
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L’expérience de la stigmatisation pénale après la sortie de la prison

Présumé, Romanne 11 March 2019 (has links)
Cette étude a mis en lumière les expériences vécues par les hommes judiciarisés au moment du retour en société. Elle est basée sur un corpus empirique relatant leurs expériences une fois sortis de la prison. À partir de l’examen de vingt-deux entrevues semi-directives menées auprès des ex-détenus vivant dans la région Ottawa-Gatineau, nous avons vérifié s’ils se perçoivent comme stigmatisés et si oui, quel sens ils donnent à leur stigmatisation, leur réaction à ce processus et les stratégies mises en œuvre pour surmonter leurs difficultés. Nous avons tenté de comprendre leur perception sur les différents problèmes qu’ils ont vécus en sortant du pénitencier. En effet, en mobilisant les théories de la subjectivité sous l’angle de la sociologie de l’individu et en particulier dans l’une de ses variantes, la sociologie de l’expérience, en utilisant les théories de Robert Castel sur les « individus par défaut », en déployant les théories de l’identité, de l’intégration et celles de la stigmatisation, en utilisant la méthode qualitative de type inductif et en approchant notre corpus sous un angle phénoménologique, nous avons trouvé des indices qualitatifs mettant en lumière la manière dont les hommes judiciarisés perçoivent et vivent leurs situations. L’examen de leurs propos révèle qu’ils ont le sentiment d’être confrontés à toutes sortes d’embûches : pécuniaires, familiales et relationnelles. De ce fait, certains d’entre eux connaissent un affaissement moral, développent un manque de confiance en soi et vivent difficilement sous le regard stigmatisant de leur entourage. Nous avons observé que ceux d’entre eux qui ont grandi dans des familles caractérisées par le dysfonctionnement, la violence conjugale, la consommation de stupéfiant, la négligence et la démission parentales ont subi, dans leur intégration sociale, les effets négatifs de cette instabilité. À cause de ce déséquilibre familial, ils n’ont pas reçu suffisamment d’encadrement familial et scolaire plus jeune. Nous avons vu que beaucoup d’entre eux, avant leur enfermement, n’ont pas pu terminer leurs études secondaires et accéder à l’emploi. Ainsi, l’abandon scolaire et l’introduction de nos participants dans la criminalité de très bonne heure témoignent une déficience des institutions d’encadrement et de socialisation comme la famille, l’école. À partir de ces constats, nous avons découvert des indices qualitatifs qui nous permettent de comprendre les problèmes confrontés au retour en société à partir de leurs conditions de vie avant l’incarcération. De ce fait, il est possible de percevoir le casier judiciaire non comme la source déterminante de leur problème d’accès à l’emploi, mais comme un motif important parmi tant d’autres. Conséquemment, plusieurs problèmes vécus avant l’incarcération, comme l’instabilité familiale, l’abandon scolaire, le placement en famille d’accueil, les difficultés vécues durant l’enfance, sont des indices clairs et concordants qui peuvent venir en appui d’une meilleure compréhension des embûches rencontrées après la sortie de la prison.
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The effects of being perceived as overweight on children's social relationships : what do young people and teachers think about 'the overweight child'?

Hall, Karen January 2012 (has links)
Study One aimed to provide a current understanding of pupils’ attitudes towards people who are overweight and the prevalence and significance of weight-based unkindness in school. Methods: The study followed a mixed method, sequential qualitative and quantitative research design. Part One of the study used exploratory focus groups to ascertain that weight-based unkindness was a valid concern for children and young people, when compared against unkindness of other content. The focus group also ensured that the vignettes used in the survey (Part Two) were ecologically valid. Part Two included an existing measure of weight-stigma (attitude scale) and three sets of vignette-based questions to measure pupils’ perceptions of the frequency and severity of different incidents of unkindness. Part Two, was administered to 214 participants via a computerised survey. Results: The majority of pupils (61%) judged the overweight characters to be the least accepted. Participants also perceived significantly greater hurt, anger, embarrassment and humour to follow episodes of weight-based unkindness. Study Two aimed to better understand why, how and what is ‘different’ about pupils’ understanding of weight-based unkindness when compared to other types of unkindness. Methods: This study adopted an explorative approach to hear the lived experiences of six teachers and 29 children in two South West Primary Schools. Data was collected via semi-structured interviews, administered through focus groups (pupils) and paired interviews (teachers). Data was analysed using latent thematic analysis (Braun & Clarke, 2006). Results: The study found that pupils used the language of personal choice to attribute personal responsibility to overweight CYP, whilst teachers attributed this blame to their parents. Teachers espoused acceptance for the overweight whilst their behaviours implicitly reinforced the ‘thin-ideal’. Key findings are discussed from a theoretical perspective and their implication for supporting attitude change is highlighted.
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Usagères des nouvelles technologies de la reproduction dans un contexte de communauté virtuelle

Dupiech, Sophie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Stigmatisation relative au poids, menace du stéréotype et comportement alimentaire des personnes en surcharge pondérale / Weight stigma, stereotype threat and eating behaviours of overweight people

Brelet, Lisa 05 October 2018 (has links)
La problématique de l’excès de poids représente un enjeu de santé publique. En effet, l’obésité, et, en premier lieu, le surpoids, concerneraient (à eux deux) 45% de la population française. Au-delà de facteurs génétiques, hormonaux et socio-économiques, les habitudes de vie des personnes (i.e., alimentation, dépenses énergétiques, etc.) sont souvent mentionnées pour expliquer l’origine d’un telle pathologie. Or, si ces premiers facteurs trouvent un appui scientifique, les habitudes de vie sont, quant à elle, peu documentées et relèveraient davantage du mythe. Néanmoins, les travaux menés en psychologie sociale ont démontré que, parfois, le mythe peut devenir réalité… En effet, les recherches réalisées sur le phénomène de menace du stéréotype ont permis de montrer que les stéréotypes négatifs dont certains groupes sociaux sont la cible peuvent nuire à leurs comportements dans un sens conforme à ces stéréotypes. Plus précisément, par peur de confirmer un stéréotype négatif à l’égard de leur groupe social, des membres peuvent être paradoxalement conduit à émettre des comportements consistants avec ce stéréotype, dans un contexte où ce dernier est saillant et applicable. Le présent travail visait, par conséquent, à mettre en exergue l’impact de la stigmatisation relative au poids sur les conduites alimentaires des personnes en surcharge pondérale vivant en France. Pour ce faire, 633 personnes en surpoids/obèses et 1278 normopondérés ont participé aux six expérimentations (et cinq pré-tests) présentées dans cette thèse. Dans un premier temps, nous nous sommes assurés de l’existence d’une stigmatisation relative au poids en France, et nous nous sommes attachés à étudier son contenu. Dans un second temps, nous nous sommes intéressés au ressenti des personnes obèses face à cette stigmatisation, en terme de vécu, fréquence, stratégies de coping mises en œuvre pour y faire face, bien-être psychologique et comportements de santé (e.g., alimentation, activité physique, etc.). In fine, à travers le phénomène de menace du stéréotype, nous avons examiné les effets de cette stigmatisation relative au poids sur les intentions/comportements alimentaires d’une population normopondérée et en excès de poids. Les résultats de ces études ont, tout d’abord, permis de montrer qu’il existait bien une stigmatisation relative au poids en France. Cette stigmatisation attribuait notamment de mauvaises habitudes alimentaires et un manque d’activités physiques aux individus en excès de poids. Ensuite, nous avons démontré que le vécu de stigmatisation relative au poids de personnes obèses et leurs stratégies de coping adoptées pour y faire face corrélaient avec un faible bien-être psychologique, un fort niveau d’impulsivité et des comportements alimentaires inadaptés. Pour finir, nous avons mis en évidence que, dans certaines situations, cette stigmatisation relative au poids, via le phénomène de menace du stéréotype, conduisait des personnes en surpoids à consommer davantage d’aliments caloriques. Ces résultats sont discutés au regard de la littérature portant sur la menace du stéréotype, notamment auprès des personnes en surpoids. Des pistes de recherches et d’interventions, pour diminuer les effets délétères de la stigmatisation relative au poids et ceux du phénomène de menace du stéréotype qui en résulte, sont également proposées. / Excessive weight is a public health issue. In fact, obesity and overweight affect around 45% of the French population.Beyond genetics, hormonal and social economics factors, lifestyle (i.e., feeding, physical exercise, etc.) is often cited as a possible cause of the disease. However, if these initial factors find scientific supports, way of life, however, is hardly substantiated and would rather reflect a myth. Nevertheless, social psychology has demonstrated that the myth can sometimes become reality… Indeed, research on the stereotype threat phenomenon shows that members of social groups can be harmed by negative stereotypes. More precisely, even if they fear it, individuals can adopt behaviours consistent with these activated and applicable stereotypes. Therefore, the present work aimed to highlight the impact of weight stigma on the French overweight people’s eating behaviours. To this end, 633 overweight/obese people and 1278 normal-weight people took part in the six experiments (and five pre-tests) presented in this thesis. Firstly, we ensured that the French weight stigma exists and we explored its content. Secondly, we took an interest in obese people’s feelings and how they were dealing with the weight stigma in terms of real-life experiences, frequency, coping strategies, psychological well-being and healthy behaviours (e.g., feeding, physical activity, etc.). Thirdly, through the stereotype threat phenomenon, we examined the effects of this weight stigma on the eating intentions/behaviours for normal-weight and overweight people. First, the results showed the existence of weight stigma in France. Poor eating habits and physical inactivity are attributed mostly to overweight people. Then, we demonstrated that obese people’s weight stigma experiences and their coping strategies correlated with a low psychological well-being, a high level of impulsiveness and inappropriate eating behaviours. Finally, according to stereotype threat, we provided experimental evidence that weight stigma can lead overweight people to consume more high-calorie food in certain circumstances. These results will be discussed with regard to the stereotype threat literature, and particularly studies related to overweight people. Suggestions for further research and possible interventions to reduce or eliminate the harmful effects of stereotype threat resulting of weigh stigma will also be proposed
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Ser mitt huvud smart ut i den här? : en studie om sjalbärande kvinnors upplevelser av bemötande inom högskolan / Does my head look smart in this? : a study of head scarf wearing women's experiences of social treatment within the university environment

Aharbach, Fouzia, Ehn, Jenny January 2011 (has links)
Denna studies syfte är att beskriva några sjalbärande kvinnors upplevelser avbemötande inom högskole/universitetsmiljö. Studien undersöker dels bemötande frånlärare och dels bemötande från studiekamrater. För att undersöka detta användskvalitativa intervjuer. Intervjuundersökningens resultat visade på att respondenterna harmycket skilda upplevelser. Några av respondenterna har mycket negativa erfarenheterav bemötande från lärare, andra framhåller att lärarna är ett stort stöd. När det gällerstudiekamrater beskriver några av intervjupersonerna att det till en början funnits enviss distans och exempel på annorlunda behandling i bemötande från dem, men att detoftast blev bättre med tiden. En respondent är idel positiv kring sina upplevelser. Istudien dras slutsatsen att det i dessa kvinnors upplevelser finns både positiva ochnegativa exempel på bemötande från andra. / This study aims to describe the experiences of social treatment of a few women, whowear a head scarf, within the college/university environment. The study examines socialtreatment from teachers as well as from fellow students. To examine this, the study usesqualitative interviews. The results of the interviews showed that the respondents havevery different experiences. A few of the respondents have very negative experiencesconcerning treatment from teachers, others describe the teachers as supportive.Concerning fellow students some of the respondents described how, in the beginning,they were treated with some distance. This however changed, in most cases, as timewent on. One respondent is undividedly positive about her experience. The studyconcludes that there are examples of both positive and negative social treatment in thewomen's experiences.
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Les représentations médiatiques de la vieillesse dans la société française contemporaine : ambiguïtés des discours et réalités sociales

Sauveur, Yannick 22 June 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse, qui conjugue des approches historiques et communicationnelles, se propose d'interroger les représentations de la vieillesse dans la société française contemporaine. Qu'on analyse les discours politiques, les messages publicitaires, les personnages cinématographiques ou littéraires, on perçoit une réelle cohérence dans les stéréotypes caractérisant la vieillesse. Cette recherche doctorale s'attache à démontrer en quoi ces représentations résultent d'une évolution historique, d'une idéologie - le " jeunisme " - autant qu'elles sont l'expression de " l'air du temps ". L'hypothèse étayée tout au long de ces pages est que la société occidentale occulte une vieillesse peu " montrable " et donc cachée au grand public. Ce sont ainsi des millions de personnes âgées qui sont ignorées par les discours sociaux et les images médiatiques. Nous prouverons que les raisons sont à rechercher d'une part dans " la peur moderne de vieillir " et d'autre part, dialectiquement, dans le " jeunisme ", idéologie prônant des valeurs individualistes et volontaristes et des citoyens avant tout consommateurs. Nous évoquerons plus largement l'évolution historique des politiques de la vieillesse et les notions de stigmatisation, d'institution soignante, de " dépendance " et de " maltraitance ".
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"Come out, come out, whatever you are" : En kvalitativ innehållsanalys om representationen av dissociativ identitetsstörning i film / "Come out, come out, whatever you are" : A qualitative content analysis on the represantation of dissociative identity disorder in movies

Adolfsson, Linn, Engrup, Magdalena January 2020 (has links)
Syftet med denna kvalitativa innehållsanalys är att undersöka hur stereotyper, stigmatisering och trivialisering kring psykisk störning, närmare bestämt personer med dissociativ identitetsstörning, bibehålls genom gestaltningar i film, samt hur gestaltningen skiljer sig åt inom två filmer ur olika genrer, skräck- och komedifilm. Med filmerna Mina jag och Irene och Hide and Seek som analysunderlag, och med hjälp av ett representationsteoretiskt perspektiv, applicerades ett analysschema på sekvenser ur materialet som, genom de semiotiska analysverktygen denotation och konnotation, användes för att besvara studiens forskningsfrågor. Resultatet visade att båda filmerna upprätthöll stigmatiserande och/eller trivialiserande skildringar av dissociativ identitetsstörning men att de skiljde sig åt i sitt sätt att porträttera störningen. Dessa sätt leder till olika uppfattningar om störningen men har snarlika verkliga konsekvenser. / The purpose of this qualitative content analysis is to investigate how stereotypes, stigmatization and trivialization around psychological disorders, more specifically around people with dissociative identity disorder, are maintained through representation in films and how the representation differs within two different film genres, horror and comedy films. With the films Me, myself & Irene and Hide and Seek as the basis for the analysis and by using the theoretical concepts of representation, stigma and trivialization, an analysis scheme was applied to sequences from the material, which, through the semiotic analysis tools denotation and connotation, were used to answer the study's research questions. The results showed that both films maintained stigmatizing and/or trivializing depictions of dissociative identity disorder but that they differed in their way of portraying the disorder. These approaches lead to different perceptions of the disorder but have similar real-life consequences.
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Le rétablissement et les représentations sociales de la dépression chez des personnes souffrant ou ayant souffert d'un épisode dépressif : un projet pilote

Ouellet, Alexandra 07 May 2019 (has links)
L’étude avait pour objectif principal de caractériser comment le concept de représentation sociale de la dépression s’imbrique, évolue ou influence le rétablissement chez des personnes souffrant ou ayant déjà souffert d’un épisode dépressif en élaborant le profil de deux groupes de personnes. Cette recherche a été menée auprès de 25 participants, 12 se déclarant rétablis et 13 se considérant avancés dans leur processus de rétablissement. La collecte de données s’est faite à l’aide de questionnaires quantitatifs évaluant la dépression, l’autostigmatisation, le rétablissement et la disposition à l’espoir. L’étude comprenait également une portion qualitative au moyen de la méthode des réseaux d’associations et de questions ouvertes au sujet de l’expérience de la dépression. Dans l’ensemble, les résultats indiquent que les représentations sociales de la dépression sont connotées majoritairement négativement, mais que celles du groupe composé des individus se considérant rétablis comprenaient toutefois une plus grande part de mots positifs comparativement aux mots neutres. Un épisode de dépression laisse des traces considérant la persistance de certains symptômes, notamment les difficultés cognitives et de sommeil. En ce qui a trait au rétablissement, il demeure que sa définition est assez personnelle. L’élément le plus déterminant du rétablissement soulevé par les participants est le soutien de leurs proches, mettant en lumière l’importance de l’accueil de l’entourage lors du dévoilement d’un trouble mental. De plus, la disposition à l’espoir est la variable la plus corrélée au rétablissement et en serait donc un vecteur important. Enfin, par rapport à la stigmatisation, notons que les personnes vivant ou ayant vécu une dépression présentent un haut degré d’autostigmatisation, notamment en ce qui a trait à la honte, à l’autoblâme et à l’inadéquation sociale, et ce, sans égard à leur avancement dans leur rétablissement. Il est toutefois encourageant de constater que les participants expérimentent peu d’inhibition à chercher de l’aide / This study had for principal goal to characterize how the concept of social representation of depression fit in, evolve or influence the recovery of people who are suffering or suffered of a depressive episode by elaborating the profile of two groups of persons. This research have been led close by 25 participants, 12 of whom stating they have fully recovered and 13 who considered themselves as advanced in their recovery process. The data collection have been made with quantitative questionnaires that evaluated depression, self-stigma, recovery and hope dispositional. The study also included a qualitative part by the associative network method and by open questions about their episode of depression. Overall, the results point out that the social representations of depression are connoted mainly negatively but those of the group composed of individuals who considerate themselves recovered include a greater part of positive words comparatively of neutral words. Regarding recovery, it remains that its definition is quite personal. The most determinant element of recovery that the participants have recalled is the support of their relatives, which bring out the importance of the openness of the entourage during the unveiling of a mental disorder. Furthermore, the hope dispositional is the most correlate variable with recovery. Therefore, the hope of getting better would be an important vector of recovery. Finally, regarding stigmatisation, the persons living or having lived a depression show a high level of self-stigmatisation, especially regarding shame, self-blame and social inadequateness, regardless of their advancement in their recovery. However, it’s encouraging to note that the participants do not experience much help seeking inhibition.

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