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Étude comparative, diachronique et synchronique du futur en italien, napolitain et françaisGuiga, Ahlem 12 June 2012 (has links)
Notre recherche porte sur la compréhension approfondie de la chronogenèse italienne et, en son sein, de l'expression du futur, selon les principes théoriques et méthodologiques guillaumiens. Notre étude comparative associe les approches diachronique et synchronique. Nous étudions l'évolution de l'expression du futur de l'ancien italien à l'italien contemporain écrits grâce à un 1er corpus construit à partir du texte original du Decamerone de G. Boccaccio, de sa traduction en italien contemporain proposée par A. Busi et de sa traduction en français par J. Bourciez. Nous comparons l'expression du futur dans trois romans graphiques rédigés en italien (par des auteurs originaires de Vénétie et de Sicile) et en français, à l'aide d'une 2e série de corpus extrapolée à partir des transcriptions de ces BD. Nous observons, d'une part, les différences entre le français et l'italien standards contemporains, d'autre part, les réalisations de l'italien standard selon l'influence des substrats régionaux. Grâce à un 3e corpus, nous étudions l'expression du futur en napolitain en comparant les textes de chansons napolitaines du XIXe au XXIe, avec leurs traductions en italien et français standards. Notre confrontation des diverses solutions pour le futur couvre d'Ouest en Est la Romania occidentale (français standard, italien régional de Vénétie), la position centrale qu'occupe l'italien standard issu du florentin littéraire, la Romania orientale (italien régional de Sicile, napolitain). Nous étudions la distribution des formes morphologiques du futur (synthétiques, analytiques), leurs emplois (temporels, modaux) ainsi que les solutions alternatives d'expression du futur (autres temps, CC de temps). Nous discutons les concepts d'aspect, d'accompli et d'inaccompli, de perfectif et d'imperfectif et étudions leur distribution dans les formes morphosyntaxiques de l'expression du futur. / Our research focuses on the deep understanding of the Italian chronogenesis, and within it, of the expression of future, based on the theoretical and methodological principles of G. Guillaume. Our comparative study combines diachronic and synchronic approaches. We study the evolution of the expression of future from former Italian to contemporary Italian literature through a first corpus built from the original text of the Decameron of G. Boccaccio, its contemporary translation proposed by A. Busi and its French translation by J. Bourciez. We compare the expression of future in three Italian (by authors from the Veneto and Sicily) and French graphic novels, with a second series of corpus extrapolated from the transcripts of these comics. We observe, on one hand, the differences between French and Italian contemporary standards, and on the other hand, the achievements of the Italian standard according to its substrates' regional influence. With a third corpus, we study the expression of future by comparing Neapolitan songs texts from the XIXth to the XXth century, with their translations in Italian and French. Our comparison of the various solutions for future covers, from West to East, the western Romania (standard French, Veneto regional Italian), and the central position of the Italian literary standard from Florentine, Eastern Romania (Sicilian regional Italian, Neapolitan). We study the distribution of future's morphological forms (synthetic, analytic), uses (temporal, modal) and alternative expression of future (other times, adverbial phrase of time). We discuss the concepts of aspect, accomplished and unaccomplished, perfective and imperfective and study their distribution in the morphosyntactic forms of future's expression.
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Les Français à Constance : Participation au concile et construction d’une identité nationale (1414-1418) / The French in Constance (1414 – 1418) : the participation in the Council and the building of a national identityVallery-radot, Sophie 17 May 2011 (has links)
Le concile de Constance est convoqué par le pape Jean XXIII en vue de mettre un terme au schisme qui déchire la chrétienté occidentale depuis 1378. Les Pères conciliaires sont également désireux de réformer l’Église et de mettre un terme aux abus qui y règnent. En tout état de cause, rien ne laisse supposer d’un premier abord que le concile de Constance soit l’occasion pour les Français qui s’y trouvent d’affirmer et de construire leur identité nationale. Pourtant, l’organisation du concile en nations favorise le regroupement des Français et rend nécessaire des prises de décisions communes. Entre 1415 et 1417, si les divergences existent entre les membres de cette nation composite, le sentiment national et la défense d’intérêts communs prennent une place croissante. Par ailleurs, la translation de la guerre de Cent Ans au concile rend les relations des nations anglaise et française de plus en plus conflictuelles. L’alliance du roi des Romains Sigismond avec Henri V isole les Français au concile. Face à toutes ces difficultés, la plus grande partie des membres de la nation française tend à s’unir et à faire corps autour de l’ambassade de Charles VI. Au nom de la loyauté envers la couronne, l’ambassade du roi de France cherche à prendre le contrôle de la nation française et à orienter ses décisions de façon à les rendre conformes aux intérêts du roi. / Pope John XXIII convened the oecumenical council of Constance to end the schism splitting the western Christianity since 1378. The council Fathers were also eager to reform and rid the Church of the prevailing influence peddling. Anyhow, at first glance nothing suggested that the council of Constance would give the attending French party an opportunity to assert and build up their national identity.Still, the council’ organisation around nations prompted the French to pool together and called for common stances in decision-making. Between 1415 and 1417, while differences still existed amongst the members of this composite nation, a feeling of national loyalty and the fight for common interests became increasingly important.In addition, due to the emergence of the 100 years’ war in the midst of the council, the French-English relationships became ever more conflicting. The French were isolated in the council as a result of the Roman king Sigismond’ alliance with Henry V.As a result of these mishaps, most members of the French nations felt prompted to unite and stand solidly behind Charles VI’ ambassadors.In the name of their pledge of allegiance to the Crown, the French king’s embassy endeavoured to gain control of, and orientate the French nation’s decision in a sense favouring the king’s interest.
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Lire la défaite dans le récit de prison québécois : l'enfermement chez Joseph-Guillaume Barthe, Pierre Vallières et Gérald GodinGuité-Verret, Alexandra 08 1900 (has links)
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La vallée de la Loire à l’époque de Jean Fouquet : la carrière de trois enlumineurs actifs entre 1460 et 1480 / The Loire Valley at the time of Jean Fouquet : the career of three illuminatorS between 1460 and 1480Gras, Samuel 18 November 2016 (has links)
Cette thèse s’attache à mettre en lumière plusieurs peintres ayant mené carrière à l’époque de Jean Fouquet (vers 1415/20-1478/81), peintre et enlumineur actif durant le troisième quart du XVe siècle ayant passé la plus grande partie de sa carrière dans la vallée de la Loire, à Tours, au temps des rois de France Charles VII (1403-1461) et Louis XI (1423-1483). Une attention particulière a été portée sur les manuscrits rassemblés autour d’un maître anonyme dénommé tantôt le Maître du Mamerot de Vienne, tantôt le Maître du missel de Yale, tantôt encore le Maître de Christophe de Champagne depuis le premier regroupement effectué en 1974 par Otto Pächt et Dagmar Thoss. Ainsi, le corpus est désormais redistribué entre trois enlumineurs : le Maître de Jeanne de France et le Maître de Macé Prestesaille, dont les carrières inédites prennent forme pour la première fois, et le Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne, que nous proposons d’identifier à Guillaume Piqueau, enlumineur tourangeau connu par deux documents d’archives. L’objectif est de proposer de nouveaux regroupements de manuscrits qui font émerger trois carrières d’enlumineurs aux profils bien distincts, dans une volonté de mieux comprendre leur travail et plus globalement le métier de peintre à Tours entre les années 1460 et 1480. Un exemplaire Des cas des nobles hommes et femmes permet de baptiser un des enlumineurs le « Maître de Jeanne de France », du nom de la commanditaire. Une douzaine de manuscrits, réalisés vers le milieu des années 1460 jusqu’à la fin des années 1470, jalonnent très précisément la carrière de ce peintre. Sa trajectoire est des plus intéressantes dans la compréhension des relations professionnelles qui s’établissent entre certains ateliers d’enluminures du Centre-Ouest de la France. Un deuxième enlumineur peut être dénommé le « Maître de Macé Prestesaille » d’après un manuscrit exécuté en 1475 pour la famille Prestesaille, basée en Touraine. Au style plus sobre, il apparaît comme un peintre secondaire dans le panorama artistique tourangeau mais se rattache pleinement à la peinture de Tours au cours des années 1470-1480 comme en témoignent les sept manuscrits retrouvés qui donnent un aperçu de la production de son atelier. Un peu plus d’une vingtaine de manuscrits s’ancrent aujourd’hui autour des noms d’emprunt du Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne. Un réseau d’indices me conduiront, dans le présent mémoire, à identifier ces peintres comme étant Guillaume Piqueau, connu pour avoir enluminé en 1482 une Vita Christi destinée à la reine Charlotte de Savoie. Au cours de la seconde moitié du XVe siècle, la vallée de la Loire est le fief d’une production artistique importante. Des ramifications complexes et multiples se tissent au sein des ateliers d’enluminure. L’analyse de la production de ces artistes, dévoilée par l’étude d’une quarantaine de manuscrits, permet de mieux la comprendre. Elle fait se poser de nombreuses questions. Qui étaient ces enlumineurs ? Qu’ont-ils produit et que nous reste-t-il à voir ? Pour qui et comment ont-ils travaillé ? S’agissait-il de peintres d’atelier ou d’artistes indépendants dont la collaboration était davantage liée à des intérêts marchands plutôt qu’à une véritable organisation professionnelle ? La mise en lumière des trois carrières apporte de nouveaux éléments de réflexions et des points de vue inédits sur des peintres ayant connu l’œuvre, voire côtoyé, les plus illustres ateliers d’enluminures de la vallée de la Loire dont ceux du Maître de Jouvenel et de Jean Fouquet. Il s’agit de replacer dans le temps et dans l’espace ces peintres, de comprendre leur mode de fonctionnement et leur organisation interne dans la distribution du travail et dans les sources iconographiques. / This thesis deals with the career of some painters active during the peak of fame of Jean Fouquet (1415/20 - 1478/81), painter and illuminator active during the third quarter of the fifteenth century who spent most of his career in the Loire Valley, Tours, during the time of Charles VII (1403-1461) and Louis XI (1423-1483). Particular attention is given on manuscripts attributed to an anonymous master called the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. It is necessary to review the work assigned to this illuminator and to reorganize the corpus now distributed between three illuminators: the Master of Jeanne de France and the Master of Macé Prestesaille, whose careers take shape for the first time, and the Master Mamerot Vienna / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne himself, that we propose to identify as Guillaume Piqueau, an illuminator based in Tours and known by two archives. The aim of this revaluation is to offer new groups of manuscripts which emerge three with distinct illuminator’s profiles. They offer the possibility to better understand their work and more generally the production painting in Tours between 1460 and 1480. A copy of Des cas des nobles hommes et femmes baptizes one of them the Master of Jeanne de France, in relation with the name of the owner. A dozen manuscripts, made between the 1460s until the late 1470s, mark precisely the career of the painter. Its trajectory shows the professional relationships developed between some of western illuminations French workshops. A second illuminator can be called the Master of Macé Prestesaille from a manuscript executed in 1475 for the Prestesaille family, based in Touraine. He appears as a secondary painter in Tours by a more sober style but his career can be highlighted by seven manuscripts that provide an overview of his production. More than twenty manuscripts are linked to the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. We propose to identify these unknown painters as Guillaume Piqueau, a painter based in Tours known to have illuminated a Vita Christi for Queen Charlotte de Savoie in 1482.
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Chants orphiques européens : Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana et Goll, entre mythe et poétique / Orphic Songs in Europe : Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana and Goll, between Myth and PoeticsGayraud, Irène 16 November 2013 (has links)
Cette thèse interroge le sens du mythe orphique dans la poésie de six auteurs européens du début du XXe siècle (Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana, Goll), et le sens de la poésie orphique dans la modernité. En partant du double constat d’une crise de la Weltanschauung signant la désertion de la transcendance et du sens, et d’une crise du langage héritée de Mallarmé, cette thèse définit la poésie orphique comme une tentative de ré-enchantement visant à refonder la place de l’être dans le monde, le sens de la mort et la profondeur ontologique de la poésie. La thèse pose la question de l’unité ou de l’éclatement d’un lyrisme orphique moderne. Elle propose une mise au point historique sur les sources de l’orphisme jusqu’au début du XXe siècle, puis un parcours analysant le passage de la mythologie à des poétiques orphiques parfois opposées dans leur aboutissement (réharmonisation de soi et du monde, catabase sans fin, démembrement du sujet, incarnation par l’orphisme de l’idée d’une poésie parfaitement composée). Cette thèse s’attache aussi à définir l’orphisme dans ses dimensions musicales et picturales, interroge les liens entre orphisme et union des arts, et étudie la langue musicalisée et picturalisée des poètes, ainsi que plusieurs œuvres vocales et plastiques (Honegger, Poulenc, Webern, Weill, Delaunay, Dufy, Klee, De Chirico). Enfin, considérant le mythe selon sa dimension fondatrice d’une manière d’être au monde, cette thèse envisage la poésie orphique du début du XXe siècle comme le signe et le moyen d’un désir de retour à une forme de rapport mythique au monde où l’être, dans le chant, coïnciderait avec le sacré et avec le dicible. / This thesis examines the meaning of the myth of Orpheus in the poetical works of six early twentieth century European poets, and the meaning of Orphic poetry within a context of modernity. Having taken into account a twofold crisis, both of the Weltanschauung – revealing that any sense, or transcendent reference, is missing – and of language (Mallarmé’s legacy), this thesis defines Orphic poetry as an attempt to re-enchant the world, in order to give new roots to the being, a new meaning to death, and a new ground to settle poetry’s ontological depth. The thesis tries to determine if such a lyricism is unique or manifold. It makes a historical mise au point from the sources of Orphism up to the twentieth century; then, it tries to describe the transformation of mythological elements into poetical principles – from which may even have issued contradictory achievements (setting back harmonious links between the world and the self; endless katabasis; dismemberment of the I; Orphic embodiment of a perfect poetry). Our thesis also tries to describe how Orphism is conveyed through music and painting: it questions the link between Orphism and the union of the arts, and studies the poet’s music-like and picture-like language, as well as some vocal or painted works (Honegger, Poulenc, Webern, Weill, Delaunay, Dufy, Klee, De Chirico). At last, as it considers myth as the settling of a new way of being-in-the-world, this thesis pictures early 20th century Orphic poetry both as the symptom and the way of a desire to get back some kind of mythical relationship to the world, in which the being, the sacred and the sayable, through the poetical song, would prove coextensive.
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Robert de Sorbon et son oeuvre (1201-1274) / Robert Sorbon and his opusGabriel, Denis 18 June 2011 (has links)
Ce travail a pour objectif de faire le point sur les connaissances concernant Robert de Sorbon. Le cursus scolaire du personnage peut admettre de nouvelles filières par le constat d'une fréquente présence de l'ordre de Prémontré autour du village de Sorbon. La seule date qui soit vraiment assurée est l'année de sa mort en 1274, la tradition de fixer sa naissance en 1201 remontant au XVIIe siècle. La plus grande partie de sa vie reste dans l'ombre jusqu'en 1249. Robert de Sorbon n'est pas d'origine paysanne malgré la remarque de Joinville. L'étude des actes du cartulaire permet de comprendre les méthodes et les personnes soutenant la fondation de la Sorbonne. Celle-ci n'est pas, dans les premiers documents (actes et statuts), décrite comme une institution charitable, mais comme une maison de formation pour Séculiers, répondant aux attentes des chanoines des chapitres du nord du royaume, concurrencés alors par les succès des ordres mendiants au sortir de la polémique universitaire. Les écrits pénitentiels de Robert sont connus depuis plusieurs siècles et un regain d'intérêt récent a multiplié les éditions et surtout des sermons : un premier inventaire de ses écrits était donc nécessaire. On étudie ensuite quelques textes des manuscrits de la collection de l'auteur et une version inédite de son traité le plus connu, le De Conscientia pour repérer les techniques utilisées par Robert de Sorbon, sa langue, ses idées, les exempla utilisés et les liens entre les différentes œuvres. Ainsi, sont mises en évidence les différentes facettes d'une même personnalité qui accompagne la croissance de l'Université parisienne. / This work aims to gather knowledge concerning Robert de Sorbon. Thus the curriculum of character can admit new ways by finding frequent presence on the order of Premontre around the village of Sorbon. The only guaranteed date is the year of his death in 1274, while the habit of fixing his birth in 1201 did not appear until the seventeenth century. Much of his life is rather obscure until 1249. Robert de Sorbon is defenitly not of peasant origin whatever said Joinville. Studying acts of the cartulary helps to understand the methods used and also to know the people supporting the foundation of the Sorbonne. At the beginning, the domus is not described as a charitable institution but as a formation House for Secular and it links up the expectations of the canons of chapters from the northern kingdom of France, then competed for the success of the mendicant orders after the university polemic. The pentiential writings of Robert are knomn for centuries but a recent surge of interest has multiplied editions of texts and especially sermons : an initial inventory of his works was necessary. We study thereafter some texts of the personal collection of sermons and a manuscript known to contain a new version of its best-known treaty, De Conscientia to understand the techniques used by Robert de Sorbon, language, ideas, exempla used and the links between different works. So, are highlighted the different facets of the same personality during the growth of the parisian University.
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Exploitation et enrichissement fonciers chez un procureur au parlement de Toulouse à la fin du XVIe siècle : l'exemple de Guillaume PalarinFraser, Mathieu 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Guillaume Palarin, un procureur au parlement de Toulouse au XVIe siècle, édifie un patrimoine foncier considérable dont sa descendance pourra amplement bénéficier. Il sait flairer les bonnes occasions d'affaires et attend patiemment les opportunités qui s'offrent à lui. La terre constitue pour lui une source de profit et d'enrichissement, davantage qu'une source de notabilité. Peu importe que sa métairie prenne place à proximité de la ville ou encore à une distance de 20 kilomètres, il voit à tout pour que ses exploitants ne négligent pas les moindres besognes nécessaires au bon rendement de ses terres. Dans un contexte où les campagnes subissent les ravages des guerres de religion et où les aléas du climat font craindre le pire à une population encore fortement dépendante de l'agriculture, le cas de Palarin fournit un exemple palpable d'une mentalité qui cherche à tirer profit au maximum de la terre.
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Perspective vol. 1 no. 1 (Dec 1967)Northrop, Wilma, Olthuis, John A. 31 December 1967 (has links)
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Les discours sur le roman français de 1734 à 1755 : analyse générique et rhétorique (Lenglet-Dufresnoy, Bougeant, Porée, Jacquin)Voyer, Kevin 08 1900 (has links)
Cette étude examine comment différents textes du XVIIIe siècle traitent du roman. L’hypothèse est la suivante : le genre choisi pour parler du roman participe de manière intrinsèque à la critique ou à l’apologie véhiculée dans l’œuvre. Le corpus est composé de quatre textes plus ou moins (re)connus par les historiens de la littérature narrative : De l’Usage des romans (1734) de Lenglet-Dufresnoy, le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) du père Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) du père Porée et les Entretiens sur les romans (1755) du père Jacquin. À l’aide d’une méthode hybride d’analyse générique et d’analyse rhétorique du discours, cette étude s’intéresse aux genres employés par les auteurs du corpus (le traité, le roman, le discours académique et l’entretien) de même qu’à trois thématiques argumentatives reliées au roman (le poison, l’amour et la femme). / This study examines how different texts dealing with the 18th century novel. The hypothesis is that the literary genre chosen to speak of the novel plays an intrinsic role in the criticism or the apology conveyed in the work. The corpus is composed of four texts more or less known by historians of narrative literature: De l’Usage des romans (1734) by Lenglet-Dufresnoy, Le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) by father Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) by father Porée and Entretiens sur les romans (1755) by father Jacquin. Using a hybrid method of generic analysis and rhetorical analysis of discourse, this study focuses on the genres used by the authors of the corpus (the treaty, the novel, the academic discourse and the dialog) as well as three argumentative themes related to the novel (poison, love and woman).
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Rupture et continuité : étude comparative du clergé anglo-saxon du Xe siècle issu de la Regularis Concordia avec le clergé anglo-normand des XIe et XIIe sièclesSimard, Joël 04 1900 (has links)
Ce mémoire a pour but de comparer l’état du clergé anglo-saxon de la période de la Regularis Concordia du Xe siècle, avec celui du clergé anglo-normand d’après conquête situé entre 1060 et 1150. La base de cette recherche se fera à partir des sources narratives les plus pertinentes pour cette période. Mais celles-ci ne seront utilisées qu’en support puisque l’essentiel de ce mémoire sera basé sur le dépouillement des listes d’archevêques, d’évêques et d’abbés ayant vécu entre 1060 à 1150. Nous détaillerons leurs origines géographiques, les charges qu’ils ont occupées durant leur vie de même que leurs réseaux sociaux. Nous tenterons de démontrer que contrairement à l’idée reçue, il n’y eut pas de véritable réforme du clergé anglo-normand suite à la conquête, mais davantage une mise à jour de ce dernier, et qu’en fait, le modèle de gouvernance qui fut imposé au clergé anglo-normand au tournant du XIIe siècle fut largement inspiré du fonctionnement de l’Église normande. / This thesis aims at comparing the state of the Anglo-Saxon clergy from the Regularis Concordia period of the 10th century with the state of the Anglo-Norman clergy of the post- conquest era from 1060 to 1150. This research will be based on the most relevant narrative sources available for this period. However, they will be used only as support since the main part of the thesis will be based on various listings of archbishops, bishops and abbots, who have lived between 1060 and 1150. We will study in details their geographic origins, the positions they held as well as their social networks. We will try to demonstrate that contrary to preconceived ideas, a true reform of the Anglo-Norman clergy did not occur following the conquest. The Anglo-Norman clergy was simply updated. Also, the governance model, which was imposed to the Anglo-Norman clergy at the turn of the 12th century, was largely inspired by the functioning of the Norman Church.
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