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Pierre Menard : kamikaze antihistórico

Alegría Sabogal, Diego Cristóbal 09 May 2011 (has links)
El presente trabajo consiste en una relectura del cuento Pierre Menard, autor del Quijote de Jorge Luís Borges como cuento fantástico y en relación con las teorías postestructuralistas. El texto en cuestión se presenta a sí mismo como un comentario crítico a la reciente muerte de un autor. Según nos dice el narrador, este autor, Pierre Menard, habría escrito dos capítulos de El ingenioso hidalgo Don Quijote de la Mancha, idénticos a los que Miguel de Cervantes redactara a inicios del siglo XVII. El narrador entonces compara los dos textos, el de Menard y el de Cervantes, los interpreta desde sus contextos históricos y las vidas de sus autores, y juzga que el de Menard tiene mayor valor en su significado, por más que ambos textos sean idénticos.
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El proceso de secularización de la mística en tres cuentos de Jorge Luis Borges

Mendoza Chacón, Jeampierre Martín 24 September 2019 (has links)
La presente tesis analiza los cuentos “La escritura del Dios”, “El Aleph” y “El Congreso” de Jorge Luis Borges. Los tres cuentos son paradigmáticos en la narración de experiencias místicas. La crítica que se ha ocupado de estos relatos ha acentuado sus afinidades con los escritos místicos de las diferentes tradiciones religiosas y filosóficas de Occidente y de Oriente. Sin embargo, no hay investigaciones dedicadas a profundizar en la singularidad propia de la mística borgeana a partir del análisis de su literatura. Se comprende la importancia de cubrir este vacío si consideramos que J. L. Borges era un escritor agnóstico, y que su contexto cultural no es el mismo del de personalidades como san Juan de la Cruz o el místico sufí Farid ud-Din Attar. En tal sentido, este trabajo argumenta que las experiencias místicas que narran los cuentos borgeanos se distinguen por su secularidad, tal como este concepto es elaborado en la sociología contemporánea. Se sostiene, así, como tesis principal, que el análisis conjunto de los tres cuentos revela un proceso de secularización, desarrollado en tres etapas correspondientes a cada relato, de la mística tradicional. Respectivamente, estas tres etapas son la desconfesionalización, la desobjetivación y la recuperación de la experiencia mística. Nuestra metodología consiste, principalmente, en el análisis textual de los cuentos mencionados, atendiendo a la interrelación de las categorías narrativas; la discusión de la bibliografía existente sobre el tema investigado, y el manejo de las teorizaciones contemporáneas sobre mística y secularización.
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L'écriture comme intensité : la vision métaphorique à travers l'oeuvre de Reinaldo Arenas

Labarias, Eva 04 1900 (has links)
En observant le foisonnement de métaphores de la lumière et de la vision dans l’œuvre de Reinaldo Arenas – l’accentuation de la couleur, l’éblouissement, la brûlure et le dédoublement – cette thèse s’interroge sur la vision de l’écriture formulée dans et à partir de ces images, et sur les implications de cette vision. Constatant à travers cette réflexion l’inscription à même le langage des images de la lumière et de la vision – de la réflexion à la clarté, en passant par l’image et la lucidité – cette thèse délibère, à travers l’œuvre de Reinaldo Arenas et celle de Jorge Luis Borges, sur une définition de l’écriture comme intensité, notion et image empruntées au registre du sensible par le détour de la physique. Le premier chapitre s’intéresse à la couleur comme phénomène de la vision, du sensible, de l’affect et de la nuance, ainsi qu’à la métaphore de la cécité abordée par Borges et par Paul de Man comme phénomène de la lecture, points d’entrée à une réflexion sur l’écriture. Le second chapitre aborde la notion d’éblouissement en tant qu’intensité de la lumière et temporalité de la prise de conscience lucide, définissant ainsi une vision du temps et les affinités entre la temporalité de l’écriture et celle de l’image poétique. Le troisième chapitre, réitérant la question de la relation au temps – historique et narratif –, réaffirme les inflexions du langage en fonction de la lumière, c’est-à-dire la relation entre l’aspect « lumineux » du langage, l’intensité de la lumière et l’intensité de l’écriture (entendue comme écriture littéraire), en explorant le seuil (la destruction par le feu) mis en lumière par l’image du phénix, figure mythique et littéraire de la transformation des images, selon la définition de l’imagination proposée par Gaston Bachelard. Enfin, la double conclusion (une conclusion en deux parties, ou deux conclusions réfléchies l’une dans l’autre), relie les images poétiques de la lumière évoquées et leurs implications en examinant la portée d’une vision de l’écriture comme intensité. Cette idée est élaborée à travers l’image finale du double, figure littéraire constitutive et omniprésente à la fois chez Arenas et chez Borges, image non seulement de la relation entre le personnage et son double (qui relève de l’hallucination ou de l’imagination, images, encore une fois, de la vision), mais aussi de la relation entre l’auteur et le texte, le lecteur et le texte, l’écriture et le temps. La double conclusion vise le dédoublement et redoublement comme figures de l’intensité dans l’écriture. Le lien entre la vision métaphorique et l’écriture comme intensité est donc articulé par la métaphore, telle qu’entendue par Borges, élargie à l’image poétique dans la perspective de Gaston Bachelard ; elle s’appuie sur la vision de la littérature pensée et écrite par Arenas. La réflexion est double : dans le texte et sur le texte, au plan poétique et au plan d’une réflexion sur l’écriture d’Arenas ; sur l’écriture et, implicitement, sur la littérature. / Plunging into the work of Cuban writer Reinaldo Arenas, this thesis examines the connection between Arenas’ exuberant choice of metaphors related to light and vision – such as color, dazzle, fire, the double – and the potential meanings and implications of a narrative strategy based on such images. By underlining the persistence, within language itself, of images related to light and vision – such as reflection, clarity, lucidity and illumination –, as well as by examining the work of Reinaldo Arenas as well as of Jorge Luis Borges, this thesis offers a definition of writing as an experience characterized by intensity. The first chapter analyzes how color as a visual phenomenon relates to the emotional realm and to the senses, as well as to their nuances ; following which, it exposes the metaphor of blindness within the experience of reading, as evoked by Borges and Paul de Man, leading to a reflection on writing. The second chapter deals with the notion of dazzle as being, at once, a visual experience, and the very moment of awareness, thus reflecting on the concept of time, and on the understanding of writing, although perceived as linear, as grounded in a temporality similar to that of the poetic image. The third chapter expands on the notion of a relationship between historical time, fictional time, narration, and light, emphasis being placed on the parallel between light intensity and narrative intensity, based on the “igniting” origins of language. Drawing on Gaston Bachelard’s definition of imagination, it discusses the notion of threshold (where ignition leads to destruction) symbolized by the Phoenix, a mythical and literary figure of the transformation of images. Finally, the two-fold conclusion (a double conclusion or two reflecting conclusions) brings together the metaphors related to light that have been discussed in the previous chapters within the perspective of writing as an experience characterized by intensity. Through the metaphor of the double that pervades and informs Arenas’ as well as Borges’ works, the relational and double nature of narration comes to life at the intersection between the character and his doubles (also an effect of vision as a creation of imagination or hallucination), between the author’s expression and the reader’s interpretation, between literature and time. The metaphors related to doubling recurring in Arenas’ work offer a sense of intensification which summons up a vision of writing characterized by intensity. Thus, the connection between poetic thinking and narration is established through a metaphor, as defined by Borges and expanded through Gaston Bachelard’s notion of poetic imagery, and it is grounded in Reinaldo Arenas’ constant play between formal expression and narrative content. Implicit is a double reflection, on literature and time.
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The practice of memory in hypertext wor(l)ds

Klei, Alice van der January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'écriture comme intensité : la vision métaphorique à travers l'oeuvre de Reinaldo Arenas

Labarias, Eva 04 1900 (has links)
En observant le foisonnement de métaphores de la lumière et de la vision dans l’œuvre de Reinaldo Arenas – l’accentuation de la couleur, l’éblouissement, la brûlure et le dédoublement – cette thèse s’interroge sur la vision de l’écriture formulée dans et à partir de ces images, et sur les implications de cette vision. Constatant à travers cette réflexion l’inscription à même le langage des images de la lumière et de la vision – de la réflexion à la clarté, en passant par l’image et la lucidité – cette thèse délibère, à travers l’œuvre de Reinaldo Arenas et celle de Jorge Luis Borges, sur une définition de l’écriture comme intensité, notion et image empruntées au registre du sensible par le détour de la physique. Le premier chapitre s’intéresse à la couleur comme phénomène de la vision, du sensible, de l’affect et de la nuance, ainsi qu’à la métaphore de la cécité abordée par Borges et par Paul de Man comme phénomène de la lecture, points d’entrée à une réflexion sur l’écriture. Le second chapitre aborde la notion d’éblouissement en tant qu’intensité de la lumière et temporalité de la prise de conscience lucide, définissant ainsi une vision du temps et les affinités entre la temporalité de l’écriture et celle de l’image poétique. Le troisième chapitre, réitérant la question de la relation au temps – historique et narratif –, réaffirme les inflexions du langage en fonction de la lumière, c’est-à-dire la relation entre l’aspect « lumineux » du langage, l’intensité de la lumière et l’intensité de l’écriture (entendue comme écriture littéraire), en explorant le seuil (la destruction par le feu) mis en lumière par l’image du phénix, figure mythique et littéraire de la transformation des images, selon la définition de l’imagination proposée par Gaston Bachelard. Enfin, la double conclusion (une conclusion en deux parties, ou deux conclusions réfléchies l’une dans l’autre), relie les images poétiques de la lumière évoquées et leurs implications en examinant la portée d’une vision de l’écriture comme intensité. Cette idée est élaborée à travers l’image finale du double, figure littéraire constitutive et omniprésente à la fois chez Arenas et chez Borges, image non seulement de la relation entre le personnage et son double (qui relève de l’hallucination ou de l’imagination, images, encore une fois, de la vision), mais aussi de la relation entre l’auteur et le texte, le lecteur et le texte, l’écriture et le temps. La double conclusion vise le dédoublement et redoublement comme figures de l’intensité dans l’écriture. Le lien entre la vision métaphorique et l’écriture comme intensité est donc articulé par la métaphore, telle qu’entendue par Borges, élargie à l’image poétique dans la perspective de Gaston Bachelard ; elle s’appuie sur la vision de la littérature pensée et écrite par Arenas. La réflexion est double : dans le texte et sur le texte, au plan poétique et au plan d’une réflexion sur l’écriture d’Arenas ; sur l’écriture et, implicitement, sur la littérature. / Plunging into the work of Cuban writer Reinaldo Arenas, this thesis examines the connection between Arenas’ exuberant choice of metaphors related to light and vision – such as color, dazzle, fire, the double – and the potential meanings and implications of a narrative strategy based on such images. By underlining the persistence, within language itself, of images related to light and vision – such as reflection, clarity, lucidity and illumination –, as well as by examining the work of Reinaldo Arenas as well as of Jorge Luis Borges, this thesis offers a definition of writing as an experience characterized by intensity. The first chapter analyzes how color as a visual phenomenon relates to the emotional realm and to the senses, as well as to their nuances ; following which, it exposes the metaphor of blindness within the experience of reading, as evoked by Borges and Paul de Man, leading to a reflection on writing. The second chapter deals with the notion of dazzle as being, at once, a visual experience, and the very moment of awareness, thus reflecting on the concept of time, and on the understanding of writing, although perceived as linear, as grounded in a temporality similar to that of the poetic image. The third chapter expands on the notion of a relationship between historical time, fictional time, narration, and light, emphasis being placed on the parallel between light intensity and narrative intensity, based on the “igniting” origins of language. Drawing on Gaston Bachelard’s definition of imagination, it discusses the notion of threshold (where ignition leads to destruction) symbolized by the Phoenix, a mythical and literary figure of the transformation of images. Finally, the two-fold conclusion (a double conclusion or two reflecting conclusions) brings together the metaphors related to light that have been discussed in the previous chapters within the perspective of writing as an experience characterized by intensity. Through the metaphor of the double that pervades and informs Arenas’ as well as Borges’ works, the relational and double nature of narration comes to life at the intersection between the character and his doubles (also an effect of vision as a creation of imagination or hallucination), between the author’s expression and the reader’s interpretation, between literature and time. The metaphors related to doubling recurring in Arenas’ work offer a sense of intensification which summons up a vision of writing characterized by intensity. Thus, the connection between poetic thinking and narration is established through a metaphor, as defined by Borges and expanded through Gaston Bachelard’s notion of poetic imagery, and it is grounded in Reinaldo Arenas’ constant play between formal expression and narrative content. Implicit is a double reflection, on literature and time.
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Mil años de ciencia ficción hermética latinoamericana [1492-2500]: En tres episodios: Borges, la conspiración; Sor Juana y Antônio Vieira, íntimos herejes; Bizarros profetas ciberculturales

Lépori, Roberto [UNESP] 18 February 2014 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2015-04-09T12:28:30Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2014-02-18Bitstream added on 2015-04-09T12:47:17Z : No. of bitstreams: 1 000813391.pdf: 1986149 bytes, checksum: d81810d695d36601d15589bb10e0ea44 (MD5) / A forma mais simples de apresentar os três episódios que compõem este trabalho é supor que o argentino Jorge Luis Borges ocupe provisoriamente o centro duma rede de obras e de escritores de ficção científica hermética latino-americana – uma rede que pode ser lida como uma conspiração. A figura de Borges – mistura heterodoxa de literatura e de “vida”, de revelações, de epifanias, de “mentiras verdadeiras”, de excessos intelectuais – permite ingressar na tradição da ficção científica herege desde o instante inicial quando os conquistadores invadiram o território que ainda não era América. O “kairós” histórico, político, cultural, ideológico, econômico do desencontro dessas duas cosmovisões provocou uma “guerra de imagens” e de discursos em cujo fragor mestiçaram-se desejos milenaristas europeus e concepções ameríndias também proféticas, também transcendentes e com idêntica impossibilidade – como o sonho dos seus invasores – de ser utopia em uma “terra sem mal”. Nessas heterodoxias misturadas – caóticas, potentes para pensar e híbridas na sua origem europeia – cozinhou-se o húmus da ficção científica hermética que, com maior ou menor intensidade, fermentou até explodir no século XX. Em consequência, o gnóstico e cabalístico Borges é um mecanismo textual, com suas árduas especulações e com suas conspirações, para ler duas linhas genéricas surgidas desse húmus herege – linhas que, por nascer dos códigos do pensamento heterodoxo, são principais, porém não únicas. A primeira eclode no século XVII entre Brasil e Lisboa. Responde à ideia do complô, da conquista do espaço, da invasão, do domínio total (macrocosmo). O padre jesuíta Antônio Vieira baseado no milenarismo português constrói, no contexto de uma vida polêmica, um peculiar córpus composto de sermões apocalípticos e satíricos; uma carta-tratado (“papel”) que justifica um silogismo ... / El camino más directo para presentar estos tres episodios es suponer que el argentino Jorge Luis Borges ocupa –de forma provisoria- el centro de una red de obras y de escritores de ciencia ficción hermética latinoamericana –red que puede ser leída como una conspiración. La figura de Borges –mezcla heterodoxa de literatura y de ´vida´, de revelaciones, de epifanías, de ´mentiras verdaderas´, de excesos intelectuales- permite acceder a esa tradición de ciencia ficción hereje desde el instante inicial en el que los conquistadores invadieron el territorio que no era América todavía. El ´kairós´ histórico, político, cultural, ideológico, económico del desencuentro de dos cosmovisiones provocó una ´guerra de imágenes´, y de discursos, en cuyo fragor se mestizaron anhelos milenaristas europeos y concepciones amerindias también proféticas, también trascendentes y con idéntica imposibilidad -que el sueño de sus invasores- de resultar utopía en una ´tierra sin mal´. En esas heterodoxias mezcladas -caóticas, potentes para pensar y ya híbridas en su origen europeo- se cocinó el humus de la ciencia ficción hermética que, con mayor o menor intensidad, fermentó por centurias hasta explotar en el siglo XX. El gnóstico y cabalístico Borges es, entonces, un mecanismo textual, con sus arduas especulaciones y con sus conspiraciones, para leer dos líneas genéricas surgidas de ese humus hereje -líneas que al desprenderse de los códigos del pensamiento heterodoxo son principales, pero no únicas. La primera eclosiona en el siglo XVII entre Brasil y Lisboa. Responde a la idea de complot, de conquista del espacio, de invasión, de dominio total (´macrocosmos´). El padre jesuita Antônio Vieira en base al milenarismo portugués construye, en el entramado no menos polémico de su vida, un peculiar corpus compuesto por sermones apocalípticos y satíricos; una carta-tratado (´papel´) que justifica un silogismo ...
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Écritures et architectures : (im)matérialité de l'image et de l'espace dans le roman court

Lacroix, Emma 01 1900 (has links)
No description available.
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A mulher em Simões Lopes Neto e em Jorge Luis Borges : uma ausência presente?

Faé, Geneviève 19 May 2011 (has links)
Este trabalho analisa as marcas de regionalidade e suas consequências nas relações de gênero tanto na literatura regional de Simões Lopes Neto quanto na de Jorge Luis Borges, enfocando inicialmente a presença da ausência feminina na sociedade representada por ambos os autores. Assim, defende-se a hipótese de que a mulher, na vida do gaúcho simoniano e do compadrito borgeano, simboliza a desordem e a perdição, desembocando no aniquilamento masculino, acompanhado do feminino em alguns dos contos, nos quais a mulher faz parte do trágico desfecho. Nesse sentido, por estimular uma divisão radical de gêneros, as sociedades representadas nos contos privilegiam a identidade regional masculina, restando ao feminino mover-se em função de sua sexualidade, o que corrobora a relevância dos elementos regionais não só na produção simoniana, como também na borgeana, por vezes lida como universal , a despeito de suas implicaturas culturais. / Submitted by Marcelo Teixeira (mvteixeira@ucs.br) on 2014-05-13T17:02:23Z No. of bitstreams: 1 Dissertacao Genevieve Fae.pdf: 2971463 bytes, checksum: 848330e70b3dffaefec0fd668c83eb94 (MD5) / Made available in DSpace on 2014-05-13T17:02:23Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Dissertacao Genevieve Fae.pdf: 2971463 bytes, checksum: 848330e70b3dffaefec0fd668c83eb94 (MD5) / Este estudio analiza las marcas de regionalidade y sus consecuencias en las relaciones de género tanto en la literatura regional de Simões Lopes Neto cuanto en la de Jorge Luis Borges, enfocando inicialmente la presencia de la "ausencia" femenina en la sociedad representada por ambos los autores. De ese modo, se defiende la hipótesis de que la mujer, en la vida del "gaúcho" simoniano y en la del compadrito borgeano, simboliza el desorden y la perdición, desembocando en el aniquilamiento masculino, acompañado del femenino en algunos de los cuentos, en los cuales la mujer hace parte del trágico desfecho. En ese sentido, por estimular una división radical de géneros, las sociedades representadas en los cuentos favorecen la identidad regional masculina, restando al femenino moverse en función de su sexualidad, lo que corrobora la relevancia de los elementos regionales no sólo en la producción simoniana, sino también en la borgeana, por veces leída como "universal", a despecho de sus implicaciones culturales.
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Entre le jour et la nuit : la représentation du temps dans "Pedro Páramo", de Juan Rulfo, et "Relato de um certo Oriente", de Milton Hatoum

Pereira Milazzo, Daniel 08 1900 (has links)
No description available.
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Novos meios de expressão filosófica : o debate com o pensamento monadológico na obra de Jorge Luis Borges

Oliveira, Gustavo Palma de 19 December 2013 (has links)
The subject of this work is the analysis of the content of the fictional and essayistic production from the writer Jorge Luis Borges, mainly that one made during the 1930s and 1940s and thematizing metaphysical subjects. The aim is to investigate if is there a philosophical project underlying it, and what are the general lines of this project. The introduction includes brief remarks about the importance of the work of Borges to Western thought in the second half of the twentieth century. The first chapter discusses the limitations that are imposed to a philosophical project included in a fictional work, and of its critical efficacy. The next chapter investigates the metaphysical essays Borges wrote during the period in analysis, searching for their philosophical roots. This effort focuses on interpretations by Borges of the systems built by George Berkeley, David Hume and Francis Herbert Bradley, and leads to the discussion of the refutation of the conception of time that permeates British idealism, promoted by the writer through the application of the principle of the indiscernibility. The borgian refutation of time, however, undermines the notion of personal identity, which is self-evident. The third and final chapter shows up that Borges tried to solve this paradox by means of a critical plunge in Gottfried Leibniz´s philosophical system, no longer by means of the essayistic discourse , but through fictional prose. Accordingly, the final chapter includes an outline of the method by which Borges, drawing on the resources of modal fictional discourse, contests speeches such as philosophy itself, supposed to have higher truth- value. It includes, as well, the review of those short stories written by Borges which reverberate leibnizian categories, in order to show the application of that method and hence the meaning of those narratives, which is, according to our hypothesis, to display, each under a different point of view, the fundamental contradiction of Leibniz´s conceptual system. This contradiction is that, despite all the efforts of the philosopher in safeguarding human freedom before a perfect and infinite mathematical cosmology, and of the assertion of the independence of the individual monad, the human condition which emerges from this order is humiliating for men, reducing them to a single piece in a stiff cosmic system. / A presente dissertação tem por objeto o conteúdo da produção ficcional e ensaística do escritor Jorge Luis Borges, mais especificamente aquela composta durante as décadas de 1930 e 1940 e que tocam ou tematizam temas metafísicos. O objetivo é investigar se existe ali, subjacente, um projeto filosófico, e quais são as linhas gerais desse projeto. A introdução inclui breves considerações a respeito da importância da obra de Borges para o pensamento ocidental da segunda metade do século XX. O primeiro capítulo discute as limitações que se impõem a um projeto filosófico inscrito numa obra ficcional, e o horizonte de sua eficácia crítica. No capítulo seguinte, investigam-se os ensaios metafísicos que o escritor redigiu ao longo do período analisado, em busca de suas raízes filosóficas. Esse esforço concentra-se nas interpretações feitas por Borges dos sistemas edificados por Georges Berkeley, David Hume e Francis Herbert Bradley, e conduz à discussão da refutação, promovida pelo escritor por meio da aplicação do princípio dos indiscerníveis, da concepção de tempo que permeia a corrente idealista britânica. A refutação borgiana do tempo traz consigo, no entanto, o solapamento da noção de identidade pessoal, noção que, no entanto, é autoevidente. Tal paradoxo, demonstra-se no terceiro e último capítulo, Borges tentará resolvê-lo por meio de um mergulho crítico no sistema de Gottfried Leibniz, não mais pela via do discurso ensaístico, mas por meio da prosa ficcional. Nesse sentido, o capítulo final inclui um esboço do método pelo qual Borges, valendo-se dos recursos modais do discurso ficcional, coloca em discussão discursos de valor veritativo pretensamente superior, como é o caso da filosofia; bem como a resenha de contos escritos por Borges que ecoam categorias integrantes do sistema de Leibniz, com o objetivo de evidenciar a aplicação desse método e, por conseguinte, o sentido daquelas narrativas, que é, segundo nossa hipótese, de exibir, cada qual sob um ponto de vista diferente, a contradição fundamental do organismo conceitual leibniziano. Essa contradição consiste em que, malgrado todos os esforços do filósofo em resguardar a liberdade humana diante de uma cosmologia matemática perfeita e infinita, e não obstante a afirmação da independência individual da mônada, a condição humana que decorre dessa ordem é humilhante e nulificadora para o homem, pois o reduz a uma simples peça de um rígido sistema cósmico. / Mestre em Filosofia

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