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Le libéralisme politique et l’éducation à l’autonomie individuelle

Cormier, Andree-Anne 12 1900 (has links)
Ce mémoire explore la question des conséquences de l’interprétation rawlsienne du pluralisme éthique pour la légitimité de l’autonomie individuelle comme objectif d’éducation publique. Rawls (1993, 2003) soutient que seuls des objectifs éducatifs strictement politiques peuvent guider l’élaboration des politiques publiques en matière d’éducation obligatoire et justifier une intervention étatique dans l’éducation des enfants. Or, puisque Rawls définit l’autonomie individuelle comme un idéal éthique privé, il conclut qu’elle n’est pas un objectif légitime d’éducation publique. La thèse principale qui est défendue dans le cadre de ce mémoire est que Rawls est aveugle aux implications réelles de sa propre théorie politique en matière d’éducation commune, qui, contrairement à ce qu’il soutient, exigent précisément la promotion de l’autonomie individuelle comme idéal éthique (et non politique). Cette thèse remet en question le principe de neutralité de l’État envers toutes les doctrines éthiques, y compris l’idéal d’autonomie individuelle, qui caractérise et distingue la théorie rawlsienne des versions classiques du libéralisme. La deuxième partie de cette étude considère une stratégie possible pour sauver la neutralité du libéralisme politique, qui consiste à définir le concept d’autonomie individuelle de manière procédurale et éthiquement neutre. Ce chapitre montre que, indépendamment de la plausibilité strictement conceptuelle d’une telle caractérisation de l’autonomie individuelle, elle n’est pas appropriée au projet éducatif rawlsien, parce que celui-ci demande la valorisation de la pensée critique, et comporte donc un élément éthique incontournable. Enfin, la troisième partie de cette étude explore la problématique des moyens de promotion de l’autonomie individuelle et, plus spécifiquement, de la légitimité des écoles séparées religieuses. Elle soutient, d’un côté que l’école religieuse peut avoir une importante valeur instrumentale vis-à-vis du développement de l’autonomie individuelle, mais de l’autre côté, que l’école commune est nécessaire à un certain stade de développement. / This study explores the consequences of the rawlsian interpretation of ethical pluralism for the legitimacy of individual autonomy as a goal of public educational policies. Rawls (1993, 2003) affirms that the only educational goals that can legitimately justify public policies and the state’s intervention in children’s education are strictly political goals. Now, Rawls defines personal autonomy as a private ethical ideal. Therefore, he concludes that personal autonomy is not a legitimate goal of public education. The main thesis defended in this study is that Rawls fails to realize the implications of his own political theory for educational policies. His ideal of citizenship demands in fact a public promotion of individual autonomy. One effect of this thesis is to challenge the principle of the state’s neutrality towards all ethical doctrines, which characterizes and distinguishes Rawls’ theory from the classical versions of liberalism. The second part of the study considers an alternative strategy that aims at defending the principle of neutrality by redefining the very concept of personal autonomy in procedural and non-ethical terms. However, this study shows that, independently of its conceptual plausibility, a purely procedural notion of personal autonomy is not appropriate in the context of the rawlsian educational project. Rawls’ political theory demands in fact the valorization of the practice of autonomy and involves thereby an unavoidable ethical partiality for certain ways of life. Finally, the third part of this study explores the normative debate about the means needed for the promotion of personal autonomy in public education. More specifically, it focuses on the question of the legitimacy of religious schools. It argues, on the one hand, that religious schools can play an important instrumental role for the development of personal autonomy, but that, on the other hand, common schooling is, at the certain stage, necessary for a full development of children’s personal autonomy within a pluralistic society.
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Le conflit dans la communauté pluraliste chez Chantal Mouffe

Gagnon-Tessier, Louis-Charles January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le libéralisme multiculturel de Will Kymlicka en perspective

Collin, Annie-Ève January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Paternalisme et acrasie

Fecteau Robertson, Julien 08 1900 (has links)
Ce mémoire propose une analyse des justifications du paternalisme étatique dans les cas d’acrasie. Nous explorerons d’abord quelques théories et conceptions de l’acrasie, démontrant la nécessité de développer une conception de l’agent acratique qui soit en quelque sorte subdivisible. Mous exposerons par la suite en quoi cette conception de l’individu remet en question certains présupposés fondamentaux du libéralisme. Notre second chapitre sera consacré à une redéfinition de certains principes libéraux en fonction de notre conception de l’individualité. Cette redéfinition nous permettra d’expliquer comment l’intervention étatique de type paternaliste peut être parfois justifiée d’un point de vue libéral. Le cœur de notre argumentation mettra l’accent sur l’importance pour l’État d’assurer l’autonomie de ses citoyens en concevant leur raison comme faculté d’intégration personnelle. Notre troisième chapitre tentera d’explorer divers exemples de cas concrets où les principes développés plus tôt pourront s’appliquer. / The purpose of this master thesis is to analyze paternalistic justifications for State intervention in cases of acrasia. We first start by exploring some theories and conceptions of acrasia showing the necessity to develop a conception of the acratic agent as somehow subdivisible. We then show that this conception of the individual challenges some of the most central presuppositions for political liberalism. Our second chapter means to redefine some liberal principles according to our conception of individuality. This redefinition will enable us to explain how paternalistic State intervention can sometime be justified from a liberal point of view. Our argumentation will focus on the importance for the State to ensure the autonomy of its citizens by securing the role of their reason as a faculty of personal integration. Our third chapter means to explore diverse practical cases in which the principles developed earlier can apply.
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Will Kymlicka et les angles morts du libéralisme - Vers une théorie non-libérale du droit des minorités?

Armstrong, Frédérick 11 1900 (has links)
Will Kymlicka a formulé une théorie libérale du droit des minorités en arguant que l'on doit protéger les cultures minoritaires des influences extérieures, car, selon lui, ces cultures fournissent aux individus un contexte de choix significatif qui permet la prise de décision autonome. Il limite donc la portée de sa théorie aux minorités « culturelles », c'est-à-dire les minorités nationales et immigrantes, qui peuvent fournir ce contexte de choix significatif aux individus. Évidemment, les injustices vécues par ces deux types de minorités, aussi sévères soient-elles, n'épuisent pas les expériences d'injustices vécues par les membres de groupes minoritaires et minorisés (i.e. minorités sexuelles, femmes, Afro-Américains, etc.). On pourrait donc être tenté d'élargir la portée de la théorie du droit des minorités pour rendre compte de toutes les injustices vécues en tant que minorité. Toutefois, je défends la thèse selon laquelle cette extension est impossible dans le cadre d'une théorie libérale, car une de ses méthodes typiques, la « théorie idéale », limite la portée critique des thèses de Kymlicka et parce que l'autonomie individuelle a un caractère si fondamental pour les libéraux, qu'ils ne peuvent rendre compte du fait que certaines décisions individuelles autonomes peuvent contribuer à perpétuer des systèmes et des normes injustes. / Will Kymlicka defends a liberal theory of minority rights, arguing that we must protect minority cultures from outside influences, as these cultures provide individuals with a meaningful context of choice that allows autonomous decision-making. This defence of minority rights limits the scope of his theory by focusing on 'cultural' minorities, that is to say, national minorities and immigrants, which can provide individuals with this meaningful context of choice. Obviously, the injustices experienced by these two types of minorities, however severe they are, do not exhaust the injustices experienced by members of minority groups and minoritized groups (i.e. sexual minorities, women, African Americans, etc.). One might be tempted to expand the scope of the theory of minority rights to account for all the injustices experienced as a minority. However, I argue that this extension is not possible within a liberal theorical framework where 'ideal theory' limits the critical force of Kymlicka’s thesis and in which the centrality of individual autonomy prevents liberals to realize that certain individual decisions contribute to the perpetuation of unjust systems, values and norms.
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Le libéralisme et les courants idéologiques au Canada français, de la fin des rébellions des Patriotes de 1837 à la période entourant l'avènement de la Confédération canadienne de 1867

Ouellet, Bernard January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
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L'institution policière et la notion d'égale protection du citoyen

Belzile, Frédéric 04 1900 (has links)
No description available.
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L’influence de la théorie du droit social d’origine française sur la pensée juridique serbe durant le XXe siècle. / The influence of the theory of social law of French origin on the Serbian legal thought in the 20th century .

Bozic, Marko 18 December 2013 (has links)
Par une analyse du discours de la théorie juridique serbe du XXe siècle, cette thèse contribue non seulement à la description des traits distincts de la pensée juridique serbe, mais aussi à la détermination de la possibilité de la réception des concepts libéraux par une société transitoire, dont la culture politique est bien différente de celle de la société occidentale. En ce sens, l’influence modeste de la théorie du droit social d’origine française indique le conservatisme de l’élite universitaire serbe, qui ne faisait pas confiance à la société et à ses capacités autonomes. Cette élite s’est rendu compte que la société serbe était toujours traditionaliste, patriarcale et pauvre en institutions civiles bien établies. C’est pourquoi l’idée libérale d’une société civile qui englobe l’État, et dont ce dernier n’est qu’une entité au service des citoyens, leur est connue, mais peu convaincante. Au contraire, leur programme libéral s’appuie sur l’idée de l’État de droit qui s’opposerait à l’énergie des masses populaires et, par ses institutions élitistes, présuppose la société des individus libres. Croyant fort à la société comme la source ultime de l’activité législative et judiciaire, les théories françaises du droit social ont lancé une idée inadmissible pour la théorie serbe: la domination de la société sur l’État. Cependant, cette aversion des théoriciens serbes vis-à-vis de la société autonome ne révèle pas seulement le manque de la tradition libérale dans leur pensée. Elle explique aussi les raisons d’une transplantation difficile des institutions démocratiques occidentales et, en général, d’une dure transition de la société post-communiste serbe. / The discourse analysis of the Serbian theory of law in the 20th century in the thesis contributes not only to the description of the distinctive features of the Serbian legal thought but also to the establishment of a possibility for the reception of liberal concepts by a society in transition, whose political culture differ from the western society. In that sense, a modest influence of the theory of social law of French origin indicates a conservatism of the Serbian university elite, who did not have faith in the Serbian society and its capacities. This elite was aware of the fact that the Serbian society was still traditionalistic, patriarchal and poor in the institutions of the civil society. Therefore, although they were familiar with the liberal idea of the civil society that includes the state, according to which the state is nothing else but a citizens’ service, it was unconvincing. On the contrary, their liberal program relied on the idea of the Legal state which would stand against the energy of the masses and which would put the existence of a society of free individuals before its elitist institutions. Firmly believing in the society as the final source of the legislative and judicial activity, these French theories of social law launched an idea which was unacceptable for the Serbian theory: the idea of the domination of the society over the state. Still, an aversion towards the autonomous society of Serbian theoreticians does not only reveal the lack of liberal tradition in there thought. It explains the causes of the problematic mapping of the western democratic institutions, but also a difficult transition of the Serbian post-communist society in general.
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L'éducation libérale entre contrainte et émancipation

Héon, Arthur-Friso 12 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objet les théories libérales de l’éducation, et en particulier les théories issues de la tradition analytique anglo-américaine. Il s’intéresse à la manière dont ces théories tentent de concilier leur visée émancipatrice, nourrie par l’attachement historique du libéralisme à la valeur de liberté individuelle, avec la nature contraignante de la scolarisation. Notre prémisse veut en effet qu’il existe une tension normative entre d’une part la visée émancipatrice de ces éducations, et d’autre part les méthodes de la scolarisation contemporaine, laquelle consiste en une intervention planifiée dans la vie d’une personne, visant à façonner ses connaissances, compétences, valeurs et conceptions du monde en recourant notamment à la coercition et à la discipline. Les théories de l’éducation se voulant émancipatrices affichent ainsi une volonté paradoxale : elles souhaitent libérer par la contrainte, produire chez l’élève un gain de liberté grâce à une privation initiale de liberté. Nous soutenons que, bien qu’il ne s’agisse pas d’une contradiction insoluble, il s’agit néanmoins d’un problème que ces théories doivent considérer, au risque de contredire leurs fins par leurs moyens ou de s’appuyer sur une conceptualisation inconséquente. Dans notre développement, nous étudions trois des courants théoriques aujourd’hui dominants dans la pensée libérale de l’éducation : l’éducation libérale « classique » inspirée de l’humanisme, l’éducation citoyenne visant à façonner une société libérale respectueuse et démocratique, et enfin l’éducation appliquant le principe libéral de neutralité et se limitant à l’instruction factuelle. Chacune de ces éducations nous paraît échouer à traiter adéquatement notre tension normative, et cela principalement en raison de leur attachement au modèle curriculaire d’éducation. La thèse principale de ce mémoire veut que la planification curriculaire d’une éducation, prédéterminant ses fins, contenus et méthodes, soit forcément incompatible avec une visée émancipatrice, puisqu’elle constitue d’emblée un déni des volontés et valorisations autonomes des élèves. Nous concluons d’ailleurs ce mémoire en esquissant un modèle non-curriculaire d’éducation qui selon nous parvient à concilier avec succès visée émancipatrice et interventionnisme pédagogique. / This master’s thesis is about liberal theories of education, and particularly those from the analytical tradition. It studies the way these theories try to accommodate an end of emancipation, resulting from liberalism’s historical attachment to the value of individual liberty, with the authoritarian nature of schooling. Our premise states that there is a normative tension between such an end of emancipation and the methods of contemporary schooling, which consists in a planned intervention in the life of another person, aiming to model their knowledge, skills, values and understandings of the world while using coercion and discipline. The emancipatory theories of education therefore display a paradoxical will : they wish to free by coercion, to produce a gain of liberty through an initial loss of liberty. We argue that, though it is not an inescapable contradiction, the emancipatory theories of education need to address this tension, in order not to contradict their ends with their means or to rely on an inconsistent conceptualization. Our three chapters each study one the main theoretical currents in contemporary liberal philosophy of education : the « classical » liberal education, inspired by humanism, the civic education aiming to produce a respectful and democratic liberal society, and the factual education applying the liberal principal of neutrality. These educations all seem to fail to address our normative tension, mainly because of their attachment to the curricular model of education. Our main thesis states that the curricular planning of an education, prescribing its ends, contents and methods, is necessarily inconsistent with an end of emancipation, since it already constitutes a negation of the student’s autonomous will and valorizations. Hence, we conclude this thesis by outlining a non-curricular model of education, which could accommodate better an end of emancipation with the authoritarian intervention that is schooling.
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Le libéralisme négatif : une réponse au problème de la justification du libéralisme politique / Negative liberalism : of political liberalism's justification

Abramovich, Nicolai 10 June 2019 (has links)
Le libéralisme politique se présente comme un système cosmopolite et universalisable. Pourtant, au cours des dernières décennies, il a souvent été accusé d’imposer arbitrairement une conception morale particulière. Comment expliquer cette apparente contradiction ? Ce travail vise à déterminer si le caractère « libéral » est nécessaire, même s’il n’est pas suffisant, pour qu’une société soit juste ; ou s’il s’agit d’un attribut contingent. Il se demande donc s’il est possible d’universaliser les principes du libéralisme politique. La thèse défendue est que seule une justification via negationis de la liberté peut être universalisable. Pour démontrer cela, nous mettrons en lumière qu’il existe une distinction qualitative entre les justifications négatives, qui font appel à la valeur politique de la liberté en tant qu’instrument de limitation du pouvoir ; et les justifications positives qui font appel à sa valeur morale, en tant que bien humain. De même, nous défendrons deux arguments : a) un principe d’asymétrie du bien et du mal, selon lequel l’évitement du mal détient une priorité épistémique et morale sur la production du bien ; et b) l’idée que le summum malum peut avoir un statut absolu et universel. Comme le soutient Judith Shklar, ce souverain mal est la cruauté. Contrairement au summum bonum, le summum malum est indépendant des éthiques particulières. Le libéralisme doit alors prouver que sa configuration politique permet d’éviter ou de réduire le mal politique pour pouvoir donner un statut normatif et universalisable aux libertés individuelles. C’est la structure argumentative du libéralisme négatif. / Political liberalism aspires to be a cosmopolitan and universal system. Yet, in the last decades, it has often been accused of arbitrarily imposing a particular conception of the good. How can we to explain this apparent contradiction? This study aims to determine if the liberal character is necessary to have a just society, even if it is not sufficient, or if it is a contingent feature. It tries to see if it is possible to universalize the principles of political liberalism. Our thesis is that only a justification of liberty via negationis can be universalized. In order to demonstrate this idea, we will highlight the qualitative distinction between the negative justifications that defend the political value of liberty as a tool to restrain power; and the positive justifications that defend its moral value, as a human good. Furthermore, we will defend two arguments: a) a principle of asymmetry of good and evil, which states that avoiding evil has an epistemic and moral priority over promoting good; and b) the idea that the summum malum can be absolute and universal. As defended by Judith Shklar, cruelty is that sovereign evil. Unlike the summum bonum, summum malum is independent from particular moralities. In order to give a normative and universal status to individual liberties, liberalism shall then prove that its political configuration allows to avoid or reduce political evil. That is the argumentative structure of negative liberalism.

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