• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 129
  • 13
  • 12
  • 5
  • 1
  • Tagged with
  • 175
  • 92
  • 47
  • 31
  • 30
  • 27
  • 27
  • 27
  • 26
  • 25
  • 24
  • 22
  • 21
  • 21
  • 21
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
171

La réussite éducative des élèves du primaire issus de l’immigration et l’implication parentale dans le suivi scolaire

Tardif-Grenier, Kristel 06 1900 (has links)
No description available.
172

Le programme FADéPI et l'implication parentale dans la démarche du plan d'intervention

Veilleux, Josianne 11 1900 (has links)
Au Québec, l’enfant est actuellement au centre de son éducation. Les intervenants gravitant autour de lui sont donc appelés à collaborer tout au long de son parcours scolaire afin de l’aider à atteindre son plein potentiel. Cette dynamique de collaboration est d’autant plus nécessaire lorsqu’il s’agit d’élève handicapé ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (ÉHDAA) pour qui la réussite éducative n’est pas toujours évidente. Le régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire du Québec (Gouvernement du Québec, 2020a) prescrit que des renseignements doivent être fournis une fois par mois aux parents d’enfants ayant des difficultés. Cette transmission de renseignements a pour but de favoriser la collaboration des parents et de l’école. Malheureusement, cette collaboration n’est pas toujours effective et de nombreux facteurs d’obstacles entravent la relation école-famille (Bouchard, St-Amant et coll., 2000 et Kalubi et Lesieux, 2006). Toutefois, en milieu scolaire, le plan d’intervention (PI) est un outil reconnu pour aider l’élève HDAA dans son cheminement scolaire puisqu’il incite, entre autres, à la collaboration entre l’école et la famille et demande l’implication des parents (Gouvernement du Québec, 2004). À cet égard, le PI est une démarche qui s’inscrit dans un « cycle de vie d’un PI dynamique et continu (Myara, 2017, p.52) », au travers d’une collaboration-école-famille permettant de mieux identifier les besoins de l’élève HDAA et d’y répondre. Cette recherche a pour but d’identifier les différentes formes de collaboration-école-famille qui existent entre les enseignants et les parents lors du cycle de vie d’un PI et de déterminer si le programme de formation et d’accompagnement à l’élaboration des PI (FADéPI) permet aux parents de s’y impliquer davantage. Ce faisant, nous avons adopté une approche de recherche mixte qui a été menée auprès de cinq intervenants scolaires et de deux parents d’élèves HDAA. Les données ont été recueillies par le biais d’analyse de canevas de PI, de questionnaires et d’inventaires. L’analyse des résultats semble révéler que bien que les parents participent habituellement aux rencontres de PI, ils n’arrivent pas toujours préparés comme le souhaiteraient les intervenants scolaires. De plus, bien que la littérature soutienne que la collaboration est essentielle à la réussite éducative de l’élève, elle ne semble pas toujours facile à obtenir. Toutefois, il existe diverses formes et périodes de collaboration, divers modes de collaboration et différents niveaux de collaboration, à l’intérieur de la démarche de PI, qui varient selon le degré de relation, le niveau de compétence de l’élève et de la complexité de ses besoins. Quant à l’impact du programme FADéPI sur l’implication parentale, il semble d’une part qu’il pourrait faciliter la participation et l’implication parentale de différentes façons. Toutefois, cette participation ne serait pas nécessairement active et ne découlerait pas d’un véritable partenariat (Bouchard et coll., 1996 et Deslandes, 1999), puisque malgré le désir d’atteindre un but commun et la confiance mutuelle, il ne semblerait pas y avoir une réelle recherche de consensus dans la prise de décision ni même une reconnaissance réciproque d’expertise qui permettrait de créer une relation d’égalité entre les participants. D’autre part, nous avons remarqué que l’accès à un canevas de PI, sur une plateforme, qui documente des objectifs observables, mesurables, qui met en exergue la progression des apprentissages de l’élève, et donne la possibilité aux parents de communiquer en mode synchrone ou asynchrone, favorise les connaissances des parents relatifs au PI de leur enfant et facilite la communication. / In the province of Quebec, children are the focal point of their own education. Teachers and professionals surrounding the student are called upon to collaborate throughout the her or his academic experience in order to help her or him reach their full potential. This collaborative dynamic is even more so essential when it comes to students with a disabilities or for whom educational success is not always obvious. The basic education regulation for preschool, elementary and secondary education in Quebec (Gouvernement du Québec, 2020a) requires that information be provided at least once a month to parents of children with different needs. The purpose of shared information is to encourage collaboration between parents and the school. Unfortunately, this collaboration is not always efficient and many factors hinder a fruitful relationship between the student’s school and family (Bouchard, St-Amant et al., 2000 and Kalubi and Lesieux, 2006). In a school environment, the individualized education program (IEP) is a recognized tool for helping the because students with different needs, it stimulates, among other things, collaboration between the school and the family and requires parent involvement (Government of Quebec, 2004). Actually an IEP is a process which takes part of a dynamic and continuous IEP life cycle (Myara, 2017, p.52)”, throughout a school-family collaboration allowing one to identify and respond to students different needs. This research aims to identify the different forms and modes of school-family collaboration that exist between IEP team members and parents during an IEP life cycle of and determine whether or not the training and support program for IEP development of IEPs (TSIEP) Program allows parents to become more involved. In our method, we adopted a mixed research approach. This was done with the participation of five school resource members and two parents of students with different needs. Data was collected through the analysis of IEPs documents, questionnaires and inventories. The results seems to reveal that although parents usually attend IEP meetings, they do not always arrive as prepared as the school counselors would like. Additionally, although the literature argues that collaboration is essential to a student's educational success, it does not always seem easy to achieve it. However, there are various forms, modes, levels and periods of collaboration during the IEP process, which vary according to the degree of the different relationships, the students competencies and the complexity of her or his needs. As for the impact of the FADéPI program on parental involvement, it seems on the one hand that it could facilitate parental participation and involvement in different ways. However, this participation would not necessarily be proactive and would not result from a true partnership (Bouchard et al., 1996 and Deslandes, 1999), since despite the desire to achieve a common goal and mutual trust, it would not seem there is a real search for consensus in decision-making or even a reciprocal recognition of expertise which would make it possible to create an equal relationship between the participants. On the other hand, we noticed that access to an online IEP template or model, which documents observable, measurable goals, highlights students progress and provides parents with the opportunity to communicate in synchronous or asynchronous mode, promotes parents' knowledge of their child's IEP and facilitates communication.
173

Les figures de la maternité / Motherhood figures

Térel, Julie 09 December 2016 (has links)
Les évolutions sociétales - émancipation de la femme, maîtrise de la fécondité, acceptation del’homosexualité, multiplication des formes de conjugalité, nouveaux modèles familiaux, médicalisation de laprocréation - ont bouleversé le rapport entre maternité de fait et maternité juridique.La femme qui revendique le statut de mère n’est plus nécessairement celle qui a porté et mis au mondel’enfant. Les techniques d’assistance médicale à la procréation ont ouvert le champ des possibles enpermettant à la femme de réaliser son désir d’enfant, indépendamment des contraintes temporelles oubiologiques. Pourtant, la mère gestationnelle apparaît, aujourd’hui encore, comme la figure certaine de lamaternité. Elle a vu ses droits accrus par un mouvement d’harmonisation du droit de la filiation, jusqu’àdevenir l’égale de l’homme. Elle a cessé d’être identifiée par son statut conjugal, et est désormais définie parréférence au fait biologique maternel de l’accouchement. L’enfantement marque alors la singularité de lamaternité en tant que figure de rattachement, car elle est le seul vecteur d’identification spatio-temporelle del’enfant. Un ordre public fort en la matière est donc de rigueur : l’accouchement, qui détermine l’état civil del’enfant, ne devrait pas pouvoir être dissimulé. En revanche, la fonction maternelle de parenté devraitdavantage être soumise à la volonté de la femme qui se revendique mère. La mère gestationnelle, qui devraittoujours pouvoir établir un lien de filiation, devrait également pouvoir refuser l’établissement d’un tel lien,au profit d’une autre figure maternelle plus incertaine car reposant sur la volonté d’être mère, volontééventuellement corroborée par un lien génétique. Autrement dit, la filiation maternelle de l’enfant devraitpouvoir être transférée afin d’être en concordance avec la réalité sociologique.La multiplication des figures de la maternité conduit ainsi à une rénovation de la conception traditionnelle dela maternité, par un rééquilibrage du rôle joué par les éléments objectifs et subjectifs / A number of developments in society - the emancipation of women, birth control, the acceptanceof homosexuality, the diversification of couple arrangements, new family models, the increasingly medicalapproach to procreation - have shaken up the link between motherhood in fact and motherhood in law.The woman claiming the title of mother is no longer necessarily the one who bore the child and brought itinto the world. Assisted reproductive technology has opened up possibilities by allowing women who want achild to have one, regardless of restrictions related to time or biology. However, the “gestation mother”remains to this day the definite mother figure. Her rights have increased through the harmonisation of thelaws of filiation, eventually making her the man’s equal. She is no longer identified by her marital status andis now defined in relation to the biological process of giving birth. Giving birth hence highlights thespecificity of motherhood as an attachment figure, being the only means of identification in space and timefor the child. A strong public policy is therefore required in this area: giving birth should not be concealable,since it determines the child’s status in law. On the other hand, the maternal parenting role should dependmore on the will of the woman who claims the title of mother. The gestation mother, who should always beable to ascertain the filiation, should also be able to refuse such filiation, in favour of another mother figurenot as firmly ascertained, since her status is dependent on the will to be the mother, a will possiblycorroborated by filiation. The child’s maternal filiation should be transferrable in order to reflect the socialreality.The multiplication of mother figures has thus led to an overhaul of the traditional conception of motherhood,by rebalancing the role played by objective and subjective elements.
174

Les droits de l'enfant a l'épreuve des droits parentaux : l'exemple du rattachement familial de l'enfant / The rights of the child against parental entitlements : the example of children affiliation to the family

Gris, Christophe 19 December 2013 (has links)
Les mutations profondes qui ont eu lieu dans notre manière de vivre : aspiration à l'égalité ; féminisme ; généralisation des familles recomposées ; acceptation sociale de l'homosexualité ; société de consommation ; dématérialisation et réappropriation de l'identité de l'individu sur les réseaux numériques... ont accompagné un changement radical de la manière de penser le rattachement familial de l'enfant. La mention du nom des parents dans l'acte de naissance ou la reconnaissance de l'enfant sont autant de supports dont le potentiel reste à explorer. Pour sa part, l'adoption est désormais fondée sur un lien plus abstrait de volonté qui exige de ne peut-être plus s'intéresser aux circonstances qui l'ont entourée. Enfin, en parallèle de la filiation génétique et de la filiation volontaire se dessine une nouvelle catégorie de filiation : le lien de filiation polygonéique, fondé sur le fait et mu par l'affection que l'on porte à l'enfant auquel il conviendra de donner un contenu juridique dans l'intérêt de l'enfant. Au delà de toutes ces formes d'appropriation générationnelle se pose dès lors la question de savoir où se trouvent les nouveaux droits de l'enfant. L'enfant a-t-il le droit à des parents en particulier ? Quels seront les critères d'égalité entre les enfants à l'avenir ? Quels bénéfices pourra-t-il tirer de ces évolutions ? Quelle doit-être la place de sa parole ? Plus que jamais il devient nécessaire de repenser un cadre juridique prévisible et stable pour le rattachement familial de l'enfant qui tienne compte du nouvel ordre public de la famille : les droits de l'enfant. / The profound changes in our way of life, (desire for equality, feminism, generalization of reconstituted families, social acceptance of homosexuality, consumer society, individuals’ identity becoming immaterial on digital networks), have gone along with a radical change in the way of thinking of how children are affiliated to a family. The mention of both parents’ names on a birth certificate, or the recognition of a child are two promising medium, yet to be examined. Concerning adoption, it is founded upon a more abstract link based on volition, meaning that it may no longer require to take into account the circumstances surrounding the adoption. Finally, parallel to genetic filiation and voluntary filiation, a new category of filiation is taking shape: polygoneic filiation (multi-parental filiation), which is based on facts and pushed by the affection felt for the child, and which will require a legal content in the best interests of the child. Beyond all these forms of belonging to a family, we can then wonder what will become new rights for children. Will a child have the right to have specific parents? What will be the criteria for equality between children in the future? What benefits will the child attain after these evolutions? What importance should be given to his/her views? More than ever, it will be crucial to re-examine an equable and predictable legal framework for family bonds which would take into consideration the new public order of the family: the rights of the child.
175

L’enfant et la liberté religieuse à la lumière du droit international, européen et français / Child and Religious Freedom in the Light of International, European and French Law

Meddour, Sabrina 15 December 2011 (has links)
Le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion expressément reconnu à l’enfant par l’article 14 de la Convention internationale de New York adoptée en 1989 soulève de nombreuses questions. En raison de l’état de dépendance de l’enfant et de sa vulnérabilité, l’exercice de cette liberté apparaît particulièrement fragilisée. Les droits de l’enfant sont en effet menacés de toute part, tant par l’autorité publique, que par sa famille, ou par des tiers, voire par l’enfant lui-même. Les parents tout en étant les premiers protecteurs et les premiers « guides spirituels » de l’enfant pourront parallèlement représenter les premiers obstacles à l’exercice de sa liberté religieuse pleine et entière suscitant un conflit entre droits parentaux et droits de l’enfant. L’État s’érige d’ailleurs en protecteur lorsque ses parents lui font courir un risque au nom même de leurs convictions religieuses. Le juge pourra aussi connaître de conflits familiaux provoqués par un désaccord religieux. Garant de l’ordre public, l’État sera parfois amené à limiter la liberté religieuse de l’enfant et de ses parents en mettant en avant la primauté d’un intérêt social tel la sauvegarde du principe de laïcité. Il apparaît donc nécessaire de considérer la question de la liberté religieuse de l’enfant à la fois dans la sphère familiale et plus largement dans la société en nous interrogeant notamment quant à l’effectivité réelle du droit de liberté religieuse de l’enfant. Comme pour tout sujet touchant aux droits de l’enfant, la recherche de l’équilibre entre liberté et protection s’inscrit sur un chemin difficile dont témoigne l’étude du droit de l’enfant à la liberté religieuse. / The right to freedom of thought, conscience and religion expressly granted to the child under article 14 of the Convention on the Rights of the Child adopted in 1989 raises many questions. Regarding his particular dependence and vulnerability, the exercise of this liberty by the child appears particularly weaken. Children’s rights are indeed threatened from all quarters, so much by public authority as by their family or by third parties, if not by the child himself. Parents, while being his first protectors and first “spiritual guides”, can also represent the first obstacle to the full exercise of the child’s freedom of religion, therefore raising a conflict between parental and children’s rights. It is to be noticed that the State establishes itselfs as the protector of the child whenever parents endanger him even in the name of religious beliefs. The judge might also intervene within family conflicts resulting from religious disagreements. Ensuring public order as well, the State will in some cases subject child’s and parents’ freedom of religion to limitations deemed necessary in regard to the primacy of a particular social interest such as the protection of secularism. It seems therefore essential to consider the question of the child’s religious freedom within the family sphere as well as, to a larger extent, within society, while questioning the effectivity of the right of the child to religious freedom. As for any subject relating to children’s rights, the search for balance between freedom and protection is engaged on a difficult path as evidenced by this study on the right of the child to religious freedom.

Page generated in 0.1635 seconds