• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 44
  • 19
  • 15
  • 5
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 99
  • 62
  • 25
  • 22
  • 16
  • 16
  • 15
  • 14
  • 14
  • 13
  • 12
  • 12
  • 12
  • 11
  • 11
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
91

Mirages de la démocratie. L'indétermination de l'action publique participative : Comparaison transnationale des politiques participatives des conseils régionaux du Nord-Pas de Calais et de Toscane. / The mirages of democracy. The indecision of participatory public action : Transnational comparison of Nord-Pas-de-Calais and Tuscany Regional council's participatory policies.

O'Miel, Julien 08 December 2015 (has links)
Dans le courant des années 2000, plusieurs Conseils régionaux en Europe ont produit une action publique spécifique sur la démocratie participative (Poitou-Charentes, Catalogne, Rhône-Alpes, Nord-Pas-de-Calais, Toscane…). La thèse analyse de manière comparée les dynamiques d'institutionnalisation des « politiques de participation » menées par deux Conseils régionaux : la Toscane et le Nord-Pas-de-Calais. De prime abord, la comparaison donne à voir des politiques régionales structurées de manière relativement similaire : renforcement de la dimension participative de l'action publique régionale ; soutien à la mise en oeuvre de dispositifs participatifs locaux et mise en oeuvre d'un dispositif de débat publicrégional sur les grands projets d'infrastructures.Adossée à une comparaison transnationale éclairant les processus de circulation desdispositifs et le rôle d'experts de la démocratie participative, la thèse montre que la similarité de ces politiques publiques tient en partie à la circulation de standards internationaux et à l'homologie de position de ces institutions dans l'ordre politico-administratif national. Néanmoins, en prêtant attention au cas particulier de la circulation du modèle du débat public français, dans et entre ces deux Régions, et à son appropriation différenciée, l'analyse amène à relativiser la thèse de la convergence mimétique de ces politiques publiques. Ellesapparaissent en effet différentes au regard de leur structure et des dispositifs participatifs qu'elles produisent.La question de la convergence/divergence de ces politiques régionales est rendue d'autant plus complexe que les acteurs régionaux de ces offres régionales, pris dans les contraintes inhérentes au jeu institutionnel, participent d'une remise quasi-permanente de la politique sur le métier de la réforme. L’analyse révèle alors une mise en institution à la fois ordinaire (élus délégués, fonctionnaires spécialisés, budgets dédiés) et indéterminée de la démocratie participative : les orientations politiques peinent à se définir tandis que les dispositifs sontsans cesse re-questionnés. L'étude sur le long terme de la mise en oeuvre de ces politiques et de leur réforme donne en effet à voir un arrimage institutionnel ambivalent, à la fois durable et toujours en mouvement, autrement dit, inconsistant. / Over the course of the 2000s, several Regional councils in Europe produced specific public policies of participatory democracy (Poitou-Charentes, Catalonia, Rhône-Alpes, Nord-Pas-de-Calais, Tuscany, etc.) This thesis is a comparative analysis of the dynamics of institutionalisation of “participatory policies” held by two Regional councils: Tuscany and Nord-Pas-de-Calais. At first glance, the comparison shows the structures of the two regional policies are relatively similar : strengthening of the participatory dimension within regionalpublic action; public support for the implementation of local participatory planning and implementation of regional public discussion planning in the framework of major infrastructure projects. Along with a transnational comparison enlightening the processes of participatory planning's circulation and the role of the experts within the field of participatory democracy, the thesis shows that the analogy between these two public policies stands partly in the effective circulation of international standards as well as in the similar position held bythe two institutions within the national politico-administrative system. However, paying attention to the special case of the circulation of the public discussion's french model within and between those two regions, and its differentiated appropriation, the analysis leads to put in perspective the thesis that states the mimetic convergence of these public policies. They actually seem to be different with regard to their structure and the participatory planning they produce.The question of the convergence/divergence of these two regional policies is even more complex as the regional players providing the participatory offers at regional level, caught up in the constraints of the “institutional game”, contribute to the nearly perpetual reassessment of the policy through successive reforms.T h e analysis then reveals how participatory democracy is institutionalised (elected delegates, specialized civil servants, and dedicated budgets) in an ordinary and undetermined manner: political orientations are hardly defined while the participatory dispositions are continuously reassessed. The long-term study of the implementation process of the policies and their reforms actually shows an ambivalent institutional effort, both sustainable and constantly in motion, but altogether inconsequential.
92

Réparation pour les victimes de travail forcé dans les chaînes de production transnationales: une étude comparée de l'apport du devoir de vigilance au Canada, en France et en Californie

Falardeau-Papineau, Julie 11 1900 (has links)
Aucune loi internationale n’a su réagir à la fragmentation de la production transnationale jusqu’à présent pour protéger les travailleurs contre le travail forcé. En réponse à ce phénomène, le droit de la responsabilité sociale et le devoir de vigilance des entreprises se sont développés afin d'accroître l'imputabilité des entreprises transnationales envers les impacts sociaux de leurs activités tout particulièrement le long de leur chaîne de valeur. Jusqu'à récemment, le devoir de vigilance était surtout soutenu par des normes internationales à caractère volontaire et par l'autorégulation des entreprises (Kerr, Janda et Pitts, 2009). Depuis peu, quelques États ont légiféré afin d'augmenter la portée et l'efficacité du devoir de vigilance en ce qui concerne le respect des droits fondamentaux des travailleurs et la protection de l’environnement en France par le biais de « plan de vigilance » ou par rapport à l’élimination du travail forcé en Californie et au Royaume-Uni. Ces lois obligent les entreprises à produire des rapports expliquant les relations et les conditions de travail des ouvriers le long de la chaîne de valeur. En comparaison, au Canada, le devoir de vigilance s'appuie sur des développements jurisprudentiels dont la portée est incertaine (Drouin, 2016). Trois modèles d'encadrement de ce devoir émergent alors: un modèle jurisprudentiel et deux modèles législatifs. L’objectif de ce mémoire est d’évaluer le potentiel du devoir de vigilance à inciter les entreprises transnationales à mieux réparer l’utilisation du travail forcé dans leur chaîne de production pour les victimes. Les trois modèles d’encadrement qui seront analysés sont le modèle jurisprudentiel du Canada, le modèle législatif général de la France et le modèle législatif visant spécifiquement l’abolition du travail forcé de la Californie. Les questions auxquelles nous tenterons de répondre sont les suivantes : Le renforcement du devoir de vigilance permet-il de réparer l’utilisation du travail forcé dans les chaînes de production transnationales? Quels éléments permettent d’accroître l’accès à la réparation pour les victimes de travail forcé dans les chaînes de production transnationale? / International law concerning the use of forced labour in global production chains has yet to be enacted. In response to this phenomenon, corporate social responsibility law and the principle of due diligence have been developed to increase transnational businesses’ accountability towards the social impacts of their activities along the supply chain. Until recently, due diligence was mainly supported by voluntary international norms and by business’ selfregulation mechanism (Kerr, Janda and Pitts, 2009). A few States recently passed legislation that a increases the scope and the efficiency of due diligence. The efforts of France on the matter have focused on the respect of workers’ fundamental rights and of the environment while similar legislative endeavours in California and in the UK have concerned themselves with the specific issue of forced labour. In comparison, in Canada, due diligence is based on jurisprudential developments with an uncertain scope (Drouin, 2016). Three frameworks of due diligence emerge: two legislative models and one jurisprudential models. This thesis seeks to assess the potential of the duty of diligence principle in enticing transnational corporations to remedy the use of forced labour through their supply chains. Three models will be evaluated: the Canadian jurisprudential model, the French general legislative model and the Californian legislative model specifically targeting the abolition of forced labour. The questions we will seek to answer are the following: Does the enhancement of the duty of diligence enable victims of forced labour in transnational production chains to obtain remedies? What are the key elements promoting access to remedy for victims of forced labour in transnational production chains?
93

Canadian reds : the Young Communist League of Canada, international communism and the Soviet experience (1917-1939)

Pankratova Dyakonova, Daria 12 1900 (has links)
La thèse représente une première tentative de construire un narratif sur la Ligue de la jeunesse communiste du Canada (fondée en 1923) pendant la période de l'entre-deux-guerres, jusqu'ici absente des recherches existantes sur le communisme ou le socialisme canadiens. La thèse porte sur l'évolution des relations entre la Ligue de la jeunesse communiste (LJC), l'Internationale communiste (ou Komintern) et l'Internationale des jeunes communistes, où les communistes soviétiques ont joué un rôle prédominant. Cette recherche met en lumière de nombreux changements mineurs et majeurs dans la politique de la LJC, façonnés par les contextes nationaux et internationaux dans lesquels l’organisation a dû agir. La thèse soutient que malgré un enthousiasme sincère pour la ligne de l'Internationale et l'expérience soviétique, les jeunes communistes canadiens souvent avait de la difficulté d’appliquer les directives de l'Internationale au Canada. Ni le Komintern, ni le mouvement communiste au Canada n'étaient monolithiques. Au contraire, il y a eu de nombreux conflits à trois niveaux: entre le mouvement communiste international et la Ligue; entre la Ligue et le Parti communiste du Canada (PCC); et entre les groupes locaux ou linguistiques de la Ligue et son leadeurship national. La répression de la gauche par l’État dans les années 1920s et 1930s, les problèmes de financement et le nombre de membres dérisoire ont également entravé la mise en œuvre des politiques de l’Internationale. En même temps, le faible niveau de contrôle permettait un certain degré de flexibilité et d’autonomie dans les politiques de la Ligue canadienne. Suivant la position de l’International des jeunes communistes, la jeunesse communiste canadienne a mis un accent particulier sur le militantisme anti-capitaliste et anti-impérialiste, puis anti-fasciste et anti-nazi. Cependant, la Ligue semblait avoir agi de manière indépendante en ce qui concerne les revendications immédiates de la jeunesse canadienne et les politiques culturelles, en particulier pendant la Grande Dépression. La Ligue s'est engagée conjointement avec d'autres organisations de jeunesse pour promouvoir les demandes immédiates des jeunes, même lorsque Moscou n’encourageait pas une telle stratégie. Les initiatives venaient souvent des organisateurs locaux, même si les autorités canadiennes étaient convaincues que Moscou était à l'origine de chaque action de la Ligue. Dans les années 1930 en particulier, la LJC, à travers un réseau d’organisations sociales et culturelles, a eu accès à des jeunes de différentes orientations politiques - la gauche socialiste, le centre-gauche et même les «forces bourgeoises». L’impact et la portée de la LJC ont encore été renforcés par la fait que les sympathisants de l'organisation appartenaient à des milieux sociaux divers et incluaient non seulement des jeunes travailleurs et fermiers, mais aussi les étudiants du secondaire et de l'université, les artistes, les sportifs et les jeunes cols blancs, dont beaucoup appartenaient à des organisations religieuses de jeunesse. Pour ces jeunes, la LJC était le lieu qui fournissait les solutions marxistes à des questions brulantes de l’époque, telles que le chômage des jeunes et l’absence de sécurité sociale, l’injustice sociale ou encore la montée du fascisme et de l’impérialisme au Canada et à l’étranger. / The dissertation represents the first attempt to construct a narrative about the Young Communist League of Canada (founded in 1923) during the inter-war period, so far absent in existing research on Canadian communism or socialism. The thesis focuses on the evolution of the relationship between the Young Communist League (YCL) and the Communist International and Young Communist International where Soviet Communists played a predominant role. It sheds light on numerous minor and major changes of policy shaped by the national and international contexts in which these organisations had to act. The dissertation argues that despite genuine enthusiasm toward the International’s line and the Soviet experience, Young Canadian Communists often found it difficult to implement the International’s directives in Canada. Neither the International nor the communist movement in Canada was monolithic. On the contrary, there appear to have been numerous conflicts on three levels: between the International and the League; between the League and the Communist Party of Canada; and between local or linguistic groups in the League and its national leadership. The state repression of the left during the whole inter-war period, derisory level of funding and membership numbers also impeded the implementation of the International’s policies. At the same time, the International’s weaker levels of control allowed for a certain degree of flexibility and autonomy in the Canadian League’s policies. Following the position of the Young Communist International, the Canadian communist youth placed special emphasis on anti-capitalist and anti-imperialist, and later anti-fascist and anti-Nazi, militancy. However, the League appeared to have acted independently as far as immediate demands of the youth and cultural policies were concerned, especially during the Great Depression era. The League engaged in joint activism with other youth organisations, even when Moscow did not encourage such strategy. The initiatives often came from local grassroots organizers, although Canadian authorities were convinced that Moscow was behind each and every action of the League. In the 1930s in particular the YCL, through a network of social and cultural organisations, gained access to youth of different political orientations – the socialist left, centre-left and even “bourgeois forces.” The YCL’s impact and outreach were further increased by the fact that the organisation’s sympathizers, if not members, belonged to diverse social backgrounds and included not only young workers and farmers but also High School and University students, artists, sportsmen, young white collars, many of them belonging to religious youth groups. For these young people, the YCL was the place that provided Marxist solutions to burning questions of the time such as youth unemployment and absence of welfare, social injustice, growth of fascism and imperialism in Canada and abroad.
94

La lutte contre la traite des personnes à des fins d'exploitation sexuelle au Canada: une étude à la lumière du droit international

Williams, Véronique 12 1900 (has links)
No description available.
95

AUßENKULTURPOLITIK IM UMBRUCH: NEUE WEGE NATIONALER TRADITION: Eine Fallstudie über die Zusammenarbeit europäischer nationaler Kulturinstitute

Lajter, Wiktoria Agnieszka 08 November 2016 (has links)
Die vorliegende Arbeit untersucht das Feld der Außenkulturpolitik. Unter diesem Begriff wurde bisher die Kulturpolitik eines Staates im Ausland verstanden. Diese Studie betrachtet jedoch nicht die traditionelle Außenkulturpolitik von Nationalstaaten, ihr Fokus liegt vielmehr auf außenkulturpolitischen Veränderungsprozessen im europäischen Raum, die aus einer transnationalen Perspektive betrachtet werden. Den Ausgangspunkt bildet die Feststellung, dass die außenkulturpolitischen Institutionen in Europa mit ihren historisch gestellten Aufgaben und starren bürokratischen Strukturen den gegenwärtigen sozio-politischen Anforderungen nicht gerecht werden. Diese Studie betrachtet, wie die außenkulturellen Institutionen mit dieser Situation umgehen und welche Veränderungen daraus für das Feld der internationalen Kulturbeziehungen resultieren. Um diesen Prozess zu verdeutlichen, wird im Rahmen einer Fallstudie erforscht, wie die nationalen Kulturinstitute in Brüssel zwischen 1998 und 2008 mit ihrer kritischen Situation als Kulturvermittler umgegangen sind. Im Fokus stehen jedoch nicht die einzelnen Kulturinstitute, sondern ein Verbund, der 1998 von sechs in Brüssel ansässigen Kulturinstituten gegründet wurde. Die Fallstudie ist an die Beziehung und die Wechselwirkung zwischen drei kulturpolitischen Akteuren geknüpft: den Nationalstaaten der EU, der Europäischen Union und nationalen Kulturinstituten.:Inhaltsverzeichnis 1. Einleitung und Fragestellung der Arbeit 1.1 Begriffsbestimmung: Außenkulturpolitik, internationale Kulturbeziehungen oder kulturelle Zusammenarbeit 1.2 Governance of Culture und ihre Relevanz für die Arbeit 1.3 Stand und Relevanz der Forschung über Außenkulturpolitik 1.4 Methodische Vorgehensweise 1.5 Aufbau der Arbeit 2. Kultur unter den Nationen 2.1 Kultur und Politik auswärts 2.2 Nationen, ihre Narrationen und das Paradox des Kulturellen 2.3 Kultur im Ausland und der politische Apparat 2.3.1 In der Tradition eingebettet 2.3.2 Protagonisten der Außenkulturpolitik 2.3.3 Ständige Vertretung des Kulturellen 2.3.4 Kulturelle Ziele zwischen „Innen“ und „Außen“ außenkulturelle Prioritäten Instrumente der auswärtigen Kulturpolitik 2.3.5 Direkte Beteiligung der Regierung 2.3.6 Zielländer und die Rezipienten Eigenes Land als Zielland der Außenkulturpolitik 2.3.7 Nichtstaatliches Umfeld 2.4 Paradigmenwechsel in der nationalen Außenkulturpolitik - Neue Wege der Tradition 2.4.1 Kontinuität und Wandel 2.4.2 Warum die Ideen von gestern heute nicht funktionieren Zwischenresümee 3. Kultur in den Außenbeziehungen der Europäischen Union – Entstehung eines neuen Politikfeldes 3.1 Institutionelle Zusammensetzung 3.2 Die Meilensteine auf dem Weg zur europäischen Außenkulturpolitik 3.2.1 Die Meinung der Nationen - Die Schlussfolgerung zur Förderung der kulturellen Vielfalt 3.2.2 Der Wille des Volkes - Beschluss über die kulturelle Dimension der Auswärtigen Aktionen der EU Zusammenfassung 3.3 Kulturpolitische Ziele und (europäische) Narrationen. 3.3.1 Europäische Außenkulturpolitik: kleine und große Interessen 3.3.2 Vorteile für die EU aus einer europäischen Außenkulturpolitik 3.4 Vergleich: nationale und europäische Außenkulturpolitik Zwischenresümee 4. Die Kunst der Kulturvermittlung und ihre Organisation 4.1 Kultur und ihre Dimensionen in der (Außen)Kulturpolitik 4.1.1 Kulturvermittlung - Zwischen Tradition und Wandel 4.2 Kultur als Teil der Bürokratie 4.2.1 Das Besondere am Kulturbetrieb 4.2.2 Kulturbetrieb - eine ziellose Organisation? 4.3 Neue Form des Organisierens: Netzwerk 4.3.1 Begriffserklärung: Kooperation, Netzwerk und Organisation Kooperation vs. Netzwerk Netzwerk vs. bürokratische Organisation 4.3.2 Motivation zur Netzwerkarbeit 4.3.3 Erfolgsfaktoren des Netzwerkmanagements Gemeinsame Kommunikation 4.3.4 Umgang mit Differenzen im Netzwerk Zwischenresümee 5. Verortung der Kooperation zwischen den nationalen Kulturinstituten in Europa 5.1 Europäische Kulturhäuser 5.2 Verstärkung der Vernetzung zwischen den Kulturschaffenden in Europa 5.3 Ein europaweites Netzwerk der nationalen Kulturinstitute 5.4 Verortung dieser Studie 6. Fallstudie A: Nationale Kulturinstitute als politische Spieler in der transnationalen Realität 6.1 Die ersten Spuren der Vernetzung nationaler Spieler in Brüssel 6.2 Gemeinsam aber unterschiedlich - Kurzprofile der beteiligten Kulturinstitute im Vergleich 6.3 Zwischen Politik und Kultur 6.4 Gemeinsam trotz Unterschiede 6.5 Neue Wege der Zusammenarbeit 6.6 Die Entwicklung der Beziehung zur EU-Kommission 6.7 Intensivierung der Beziehungen mit der EU-Kommission 6.8 EUNIC-Netzwerk und die kulturelle Außenbeziehungen der EU – im Vorausblick Zwischenresümee 7. Fallstudie B: CICEB Netzwerk – die andere Art des Organisierens 7.1 Zwischen Konkurrenz und Zusammenarbeit 7.2 Strukturen und Organisation des CICEB- Netzwerks 7.3 Organisatorische und strukturelle Knacknüsse 7.3.1 Interne Lösungsvorschläge 7.4 Die Beziehungen bilden das Netzwerk 7.5 Memorandum of Understanding/ Absichtserklärung 7.6 Erweiterung des Netzwerks (2006-2007) 7.7 EUNIC-Gründung 7.8 Von CICEB zu EUNIC Brüssel -Modus Operandi 7.8.1 Presidency Support team Zwischenresümee 6. Fallstudie C: Vermittlung von Symbolen und Werten durch CICEB-Netzwerk 7.9 Eure und unsere Kultur 7.10 Gemeinsame Projekte zwischen 1998 und 2003 - Beispiel 7.11 Zwischen bilateraler und multilateraler kultureller Zusammenarbeit 7.12 Neue Grundlagen kultureller Zusammenarbeit 7.13 Additive und integrative Kulturprojekte 7.14 Gemeinsame Projekte zwischen 2004 und 2006 - Beispiele Zwischenresümee 8. Zusammenfassung 9. Ergebnisse und Ausblick
96

Une histoire de diffusion : la politique de l’adoption de la Convention judiciaire d’intérêt public en France

Boucher, Simon 12 1900 (has links)
Depuis le début des années 2000, de plus en plus de pays décident d’introduire à leur droit pénal un nouvel outil de « justice négociée » utilisé pour des délits de corruption transnationale. Ainsi, cette troisième voie, s’ajoutant à la décision de poursuivre ou non, est maintenant utilisée pour les personnes morales par les procureurs aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, au Brésil, au Canada et ailleurs. De cette façon, les compagnies peuvent, sans reconnaissance de culpabilité, éviter un procès criminel par le paiement d’une amende et par des engagements de meilleure gouvernance. Dans cette recherche, notre attention se pose plus particulièrement sur le cas de la France. Longtemps pointé du doigt par les instances internationales comme un mauvais élève de la lutte à la corruption transnationale et avec une culture juridique particulière, il nous semble surprenant que Paris décide d’aller de l’avant, en 2016, avec une justice plus souple, inspirée de principes anglo-saxons. Comment pouvons-nous expliquer ce changement soudain ? Nous répondons à ce questionnement en nous inspirant des littératures sur les mécanismes de diffusion des politiques publiques qui s’attardent à comprendre comment le choix d’un gouvernement peut être influencé par les décisions d’acteurs externes. Représentant chacune un mécanisme causal, quatre hypothèses sont retenues, soit celles de coercition, de compétition, d’émulation et d’apprentissage. À travers un traçage de processus minutieux et surtout l’analyse des discours des politiciens français, nous arrivons à la conclusion que la diffusion des outils de « justice négociée » pour lutter contre la corruption transnationale amène une explication suffisante pour comprendre le changement législatif soudain de l’Hexagone. De façon plus générale, l’interaction des différents mécanismes de diffusion de politique nous amène à penser que l’utilisation d’une justice plus souple pour ce type de délit n’est pas près de s’arrêter. / Since the early 2000s, more and more countries have decided to introduce into their criminal law a new tool of "negotiated justice" for foreign bribery offenses. Thus, this third route, in addition to the decision to prosecute or not, is now used for legal persons by prosecutors in the United States, United Kingdom, France, Brazil, Canada and elsewhere. In this way, companies can, without admission of guilt, avoid a criminal trial through the payment of a fine and through commitments to better governance. In this research, our attention is particularly focused on the case of France. Long pointed out by international organizations as a bad student in the fight against transnational corruption and with a particular legal culture, it seems surprising to us that Paris decides to move forward with a more flexible justice, inspired by Anglo-Saxons principles, in 2016. How can we explain this sudden catching up? We respond to this questioning by drawing inspiration from literature on the mechanisms of policy diffusion, which focuses on understanding how the choice of a government can be influenced by the decisions of external actors. Each representing a causal mechanism, four hypotheses are retained, namely those of coercion, competition, emulation and learning. Through careful process tracing and especially the analysis of the speeches of French politicians, we come to the conclusion that the diffusion of the tools of “negotiated justice” to fight against foreign bribery provides a sufficient explanation to understand the sudden catching up of the Hexagon. More generally, the interaction of the different policy diffusion mechanisms leads us to believe that the use of more flexible justice for this type of crime is not about to stop.
97

De l'entraide pénale à l'Europe pénale / From cooperation in criminal matters to a criminal Europe

Roux-Demare, Francois-Xavier 24 September 2012 (has links)
L’entraide pénale se définit comme ce besoin des Etats de s’associer pour permettre la réalisation d’un objectif commun, celui de lutter plus efficacement contre le crime. A l’échelle européenne, les Etats ne vont pas se limiter à l’utilisation des mécanismes internationaux existants. Ils s’engagent dans un processus de coopération approfondi, provoquant une régionalisation de l’ensemble des normes favorisant la lutte contre la criminalité, plus spécialement la criminalité organisée. Cette évolution vers un système partenarial répond à une nécessité illustrée par le rapport déséquilibré entre la criminalité transnationale et l’ « entraide pénale classique ». Pour répondre à l’accroissement de cette criminalité et aux insuffisances des outils européens classiques, les Etats européens instaurent un socle de règles communes, protectrices des droits fondamentaux, ainsi que divers principes juridiques dont l’harmonisation et la reconnaissance mutuelle. Progressivement, la coopération pénale en Europe ne se fonde plus sur une logique d’entraide entre les Etats mais sur un objectif d’intégration pénale développé au sein de plusieurs organisations. Parmi elles, il convient de distinguer plus particulièrement le Conseil de l’Europe, la Communauté européenne devenue l’Union européenne, le Benelux et le Conseil nordique. Concomitamment, cette entraide pénale européenne apparaît désormais comme une réalité complexe due à une multiplication des espaces pénaux. L’espace pénal formé par le Conseil de l’Europe et la Cour européenne des droits de l’homme (C.E.D.H.) se distingue plus particulièrement de l’espace de liberté, de sécurité et de justice de l’Union européenne (E.L.S.J.) identifié par ses multiples agences (Europol, Eurojust, Frontex, etc.). Comment s’opèrent aujourd’hui les mouvements de coopération et d’intégration pénales entre les Etats européens ? N’est-il pas envisageable de repenser l’architecture pénale européenne ? La réponse à cette question passe par la redéfinition des espaces pénaux européens sous le concept d’ « Europe pénale » et la proposition de nécessaires modifications organisationnelles. / Judicial cooperation in criminal matters may be defined as the need for individual States to work together to achieve a common goal in fighting crime more efficiently. On a European scale, States will not stop at the use of international mechanisms. They are committed to a deeper cooperation process which leads to the regionalization of norms and thus favors the fight against crime, and more particularly organized crime. Such a move towards a system of partnership is necessary, as may be seen in the relationship between transnational crime and “traditional cooperation in criminal matters”. To meet this need, European States must introduce a set of common rules, protective of fundamental rights, along with different legal principles, such as harmonization and mutual recognition. Progressively, cooperation in criminal matters in Europe is no longer based on the logic of mutual assistance between States, but aims at several organizations developing a policy of integration. Organizations of note, amongst the many committed to this process, are the Council of Europe, the former European Community, now European Union, the Benelux countries and the Nordic Council. Moreover, European mutual assistance in criminal matters seems to take on a complex reality from now on, due to the multiplication of criminal areas. The area formed by the Council of Europe and the European Court of Human Rights (ECHR) is distinct from the European area of freedom, security and justice (AFSJ) identified by its many agencies (Europol, Eurojust, Frontex, etc.). Taken as a whole, this is a question of being interested in a process which leads to integration in criminal matters between European States. It might be useful to take this opportunity to suggest a re-definition of the European areas in criminal matters under the heading “Criminal Europe”. The necessary organizational modifications may thus be put forward.
98

Les codes de conduite sont-ils effectifs ? le cas de la maquiladora du Guatemala

Saulnier, Anne-Marie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
99

Reverse mission? : Einführung in afrikanische Perspektiven und die Rezeption in Deutschland / Reverse mission? : introduction to African perspectives and the reception in Germany

Ehmann, Matthias 02 1900 (has links)
Text in German, summaries in German and English / Die Arbeit beschreibt und reflektiert aus missionswissenschaftlicher Perspektive das häufig mit „reverse mission“ bezeichnete Phänomen afrikanischer Mission in Europa. Dafür beschreibt und vergleicht sie drei relevante Perspektiven afrikanischen Ursprungs, um das noch wenig untersuchte Phänomen wissenschaftlich zu fassen. Anschließend wer-den die Ergebnisse missionswissenschaftlich gedeutet und die Rezeption des Phänomens in der deutschsprachigen Theologie und in der deutschen kirchlichen Landschaft unter-sucht. So wird identifiziert, welche Aspekte des internationalen Diskurses in Deutschland besondere Beachtung finden und welche missionstheologischen Positionen dazu vertre-ten werden. Davon ausgehend werden Perspektiven und Desiderate auf dem Weg zu einer multikulturellen Missionsbewegung benannt. / The study describes and reflects a phenomenon of African Missions to Europe, which is often called “reverse mission”, from a missiological perspective. For this purpose it describes and compares three relevant Africanrooted perspectives in order to catch this not jet well researched phenomenon. The results are interpreted missiological and the reception of the phenomenon in German speaking theology and in German churches is researched in order to identify, which aspects of the international discourse are attracting special interest in Germany and which missiological views are advanced. On that basis perspectives and desiderata for the future discourse on the way to a multicultural mission movement are named. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / M. Th. (Missiology)

Page generated in 0.1291 seconds