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Fragments d'une déposition / Fragments of a deposition

Chesnier, Claire 24 March 2018 (has links)
Cet écrit traverse l'encre de la peinture par la sienne propre. Elle a ce corps en partage, à la fois fraternel et inconciliable. L'encre de l'écrit a voulu ici se frayer un chemin de liquidité dans la peinture, donnant à son mouvement l'ébranlement de la couleur, qui est un geste de la matière elle-même. Mon geste, lui, bu par le papier et retiré dans des plis de vagues, opère un glissement jusqu'au blanc d'une page sur la table qui se déploie jusqu'à cet objet singulier qu'est la thèse en arts. De fait, comme la peinture accompagne dans son sillage d'ombres le questionnement d'un regard, son itinéraire sans tracé, l'écrit depuis la peinture, se retourne sur son propre objet — d'une encre à l'autre. La construction d'une parole en prise avec une errance d'atelier est délicate. Elle mêle son corps résonant d'images à celui des mots des poètes, travaillant un langage inconnu au creux de l'impasse même que constituent les mots, la prise de parole. La voix du peintre est la seule que je connaisse. Elle est issue de l'abandon et du dessaisissement à l’œuvre. Elle engage la pensée dans le faire, au milieu d'une déposition qui est celle, multiple, d'un corps d'encre, d'une peinture en éclat, d'un geste et sa dépose, d'une voix et de ses fragments. La déposition appelle le sol. C'est bien de ce sol dont il est question tout au long de cet écrit. Un fondement, comme fondation mais aussi comme ce qui fond sous les pas. Liquide, fluide, mouvante. Une déprise qui est aussi un ancrage, une attache qui est aussi un débord. / This writing goes through the ink of painting through its own. It has this body to share, both fraternal and irreconcilable. Here the ink of writing sought to pave a liquid way in painting, giving to its movement the trembling of color, which is a gesture of matter itself. As for my gesture, drunk by the paper and withdrawn in folds of waves, operates a drift to the white of a page on the table, that unfolds to this singular object that is the thesis in fine arts. In fact, as painting accompanies in its shadowy wake the questioning of a gaze, its course without outline, writing from painting, turns on its own object - from one ink to another. The construction of a discourse in touch with the wandering of the studio is delicate. It merges its body resonant with images with that of words from poets, working an unknown language in the very core of the impasse that constitutes words, access to speech. The painter's voice is the only one I know. It is the result of the abandonment and divestment at work. It engages thought in making, in the midst of a deposition which is, multiple, that of a body of ink, of a radiant painting, of a gesture and its removal, of a voice and its fragments. Deposition calls for the ground. It is that very ground that is being discussed throughout this writing. A grounding, as foundation but also as what melts under the steps. Liquid, fluid, moving. A release that is also an anchor, a tie that is also an overflow.
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L'accord de la théorie et de la pratique chez Pyrrhon et Sextus Empiricus

Assaf, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'émergence d'une nouvelle conception de l'expertise dans les dialogues de jeunesse de Platon

van der Vaeren, Odile 28 April 2011 (has links)
Platon problématise un moment philosophique charnière : le coup de force donné par Socrate à la conception de l’expertise. La problématique s’inscrit, d’un point de vue externe, dans un contexte de crise des valeurs de la démocratie athénienne à la fin du Ve siècle, et d’un point de vue interne, dans l’exploitation platonicienne de l’expertise technicienne en vue d’établir une véritable epistèmè, une science-vertu. La souplesse originale de langage à laquelle Platon soumet le champ des trois termes relatifs au savoir, epistèmè, technè et sophia, participe à la problématisation de l’expertise comme mise en condition de ce qui force à penser. Une conception nouvelle de l’expertise émerge de la mise en scène, dans les dialogues de jeunesse, d’une pratique de questionnement et d’examen à laquelle tantôt Socrate se soumet lui-même, tantôt il soumet ses interlocuteurs. Cet angle d’approche tant de l’Apologie que des autres dialogues de jeunesse met en évidence des pratiques d’expertise impliquant un rapport autre à la connaissance qui est révolutionnaire : un examen critique, interrogatif et inventif, empreint de conscience de son ignorance et de souci de soi. La conception de l’expertise réévaluée est exploitée, à trois niveaux de la problématique de la justice traitée dans la République : elle intervient comme levier interrogateur des conceptions traditionnelles et sophistiques de la justice, elle participe à la compréhension de la définition de la justice et elle préside au projet de cité idéale.
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Henrik Ibsen, drames de l'aporie (de « Une maison de poupée » à « Quand nous nous réveillons d'entre les morts ») / Henrik Ibsen Dramas of Aporia ( from « A Doll’s house » to « When we dead awaken »)

Châtel, Jonathan 09 December 2009 (has links)
À travers un corpus composé des onze derniers drames d’Henrik Ibsen, cette étude utilise le concept d’aporie pour procéder à une analyse de la fabrique de l’écriture ibsénienne. D’un point de vue philosophique, psychanalytique, poétique, l’aporie met en péril le discours, en révèle les défaillances et problématise la production du sens. Ainsi, cette notion, appréhendée comme un outil heuristique, offre la possibilité de remonter le cours des drames qui s’achèvent systématiquement par des fins ouvertes. Elle permet alors d’identifier : un processus ironique de déconstruction des pratiques discursives, une dimension existentielle, une théâtralité spécifique, diverses figures dramaturgiques attestant de la nature critique de l’œuvre. En vertu d’un saut qualitatif dans la dramaturgie ibsénienne à partir du Constructeur Solness, l’analyse chronologique des pièces se divise en deux parties. La question est de savoir en quel sens et selon quels moyens le théâtre d’Henrik Ibsen interroge l’impact de la fiction dans le monde de vie du lecteur-spectateur. / This study uses the concept of aporia to develop an analysis of Henrik Ibsen's writing, with specific focus on his last eleven plays. From a philosophical, psychoanalytical or poetic point of view, the aporia is that which jeopardizes discourse, exposing its failings and problematizing the production of meaning. The notion of aporia, taken as a heuristic tool, therefore provides a means to examine the systematically open-ended nature of the plays. The study identifies: an ironic process which serves to deconstruct discursive practices, an existential dimension to the plays, a specific form of theatricality and various dramatic figures bearing out the critical nature of Ibsen's work. In accordance with a qualitative shift in Ibsen's work [from The Master Builder on], the chronological analysis of the dramas is divided in two parts. The overall aim of the research is to assess to what extent and in what ways Henrik Ibsen’s theatre investigates fiction's impact on the world of the reader - audience.
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Julien Gracq, texte et sexe : lecture d'une aporie érotique / Julien Gracq, sex and text : Interpreting an erotic aporia

Defaye, Christelle 30 August 2016 (has links)
Lire une fiction gracquienne s’apparente à l’expérience du ravissement amoureux. Etre lecteur de Gracq, c’est accepter d’être ravi, capturé et enchanté tout à la fois. La dépossession herméneutique à laquelle le texte gracquien nous convie relève de l’expérience érotique. Présent comme thème, mais secondaire, mince, intermittent, l’érotisme semble exister dans le profil perdu du texte. Son cadre posé et aussitôt évidé de sa substance fait disparaître la scène sexuelle sous les yeux du lecteur-voyeur, dont l’attente est déjouée. La fiction organise l’escamotage du sexe, relançant sans cesse le désir à l’échelle du récit et de la lecture. L’imaginaire érotique, stéréotypé et obsessionnel, consacre sa présence-absence à la croisée de trois impossibles : le sexe, la femme, la mort. L’érotisme gracquien est donc bien un vide autour duquel tourne le lecteur et que cerne l’écriture. Aporétique, la voie de l’érotisme ? Ce n’est pas qu’elle ne mène à rien chez Gracq, c’est que le lecteur est invité à progresser dans cette aporie, à y digresser. L’érotisme est toujours déplacé, enfoui dans le palimpseste du paysage. Du dé-cor(ps) au corps à corps avec les mots, c’est l’usage de la langue qui est érotisé chez Gracq : il ne représente pas le sexe ; il le figure dans le texte, jusqu’à la jouissance et sous les yeux du lecteur, cet Autre. Dans l’œuvre de Julien Gracq, l’enjeu libidinal de la littérarité est de taille : l’érotique gracquienne transfigure la chair en chaire : du sexe au texte, l’auteur adopte une posture de séduction ; le texte fait écran entre lui et l’Autre qu’est le lecteur. Le sexe est devenu texte, limen, frontière, entre-deux irréductible, il est devenu l’hymen, espace de touche entre soi et l’autre ; la rencontre, pourtant représentée comme impossible, peut alors s’opérer. / Reading a fiction by Gracq feels similar to lovers’ delight. To become a Gracq reader, you must accept to be delighted, captured and enchanted all at once. The hermeneutic dispossession experienced through Gracq’s fiction is clearly erotic. No matter how secondary, thin and sporadic, the theme of eroticism may be, it seems to be running throughout the lost profile of the text. All set up and cleared of its substance, the sexual scene disappears from the eyes of the reader-voyeur whose expectation is frustrated. Fiction manages to cover up sex by setting desire within the plot and the reading. The presence-absence of erotic fantasy, as stereotyped and obsessive as it may be, is best consecrated at the crossroads of three impossible matters: sex, women and death. Eroticism by Gracq turns out to be a void around which the reader is waltzing and that the writing manages to grasp. Is the path of eroticism aporetic? It is not that this path is a dead end but rather that the reader is invited to advance and digress in this aporia. Eroticism is always moved, buried within the palimpsest of the landscape. With his successive unmoulding and moulding of words, it becomes clear that language is eroticised with Gracq. He doesn’t picture sex, he features it in his text until it pleases him –all this in the other, that is to say the reader’s eyes. In Julien Gracq’s work, the libidinal issue of literarity is at stake: Gracq’s eroticism transfigures flesh into a pulpit. From sex to text, the author takes on a posture of seduction. The text forms a screen between him and the Other, that is to say the reader. Sex has become text, limen, a border, an essential in-between. It has become the hymen, a touching space between one and the other. The meeting, though often portrayed as impossible, can then happen.
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L'émergence d'une nouvelle conception de l'expertise dans les dialogues de jeunesse de Platon

Vaeren, Odile van der 28 April 2011 (has links)
Platon problématise un moment philosophique charnière :le coup de force donné par Socrate à la conception de l’expertise. La problématique s’inscrit, d’un point de vue externe, dans un contexte de crise des valeurs de la démocratie athénienne à la fin du Ve siècle, et d’un point de vue interne, dans l’exploitation platonicienne de l’expertise technicienne en vue d’établir une véritable epistèmè, une science-vertu. La souplesse originale de langage à laquelle Platon soumet le champ des trois termes relatifs au savoir, epistèmè, technè et sophia, participe à la problématisation de l’expertise comme mise en condition de ce qui force à penser. Une conception nouvelle de l’expertise émerge de la mise en scène, dans les dialogues de jeunesse, d’une pratique de questionnement et d’examen à laquelle tantôt Socrate se soumet lui-même, tantôt il soumet ses interlocuteurs. Cet angle d’approche tant de l’Apologie que des autres dialogues de jeunesse met en évidence des pratiques d’expertise impliquant un rapport autre à la connaissance qui est révolutionnaire :un examen critique, interrogatif et inventif, empreint de conscience de son ignorance et de souci de soi. La conception de l’expertise réévaluée est exploitée, à trois niveaux de la problématique de la justice traitée dans la République :elle intervient comme levier interrogateur des conceptions traditionnelles et sophistiques de la justice, elle participe à la compréhension de la définition de la justice et elle préside au projet de cité idéale.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Aporia in the work of D. H. Lawrence / L'aporie dans l'œuvre de D.H. Lawrence

Lebreton, Mélanie 28 November 2014 (has links)
Ces recherches doctorales démontrent comment l’aporie et ses voix/voies plurielles minent l’œuvre Lawrencienne: romans, essais, poèmes ou encore tableaux. Malgré le désir du lecteur de donner une voix/voie singulière – ou interprétation – à l’œuvre de D. H. Lawrence, seule une herméneutique et une vérité plurielle viennent à notre rencontre, nous laissant ainsi soumis à une impasse insurmontable. Tout au long de ce chemin doctoral, nul n’est à l’abri des culs de sacs et des trébuchements. Ainsi, une aporie génétique tisse le tissu textuel des premières ébauches de D. H. Lawrence, et la souveraineté logocentrique et herméneutique de l’homme est renversée. La rature s’impose et l’œuvre de D. H. Lawrence nous rappelle que le logos, et l’Être, résistent, pour mieux inscrire l’aporie dans son corpus. Les limites du langage, de la religion, du savoir, et de la représentation artistique de la réalité résonne désormais avec une question qui demeure sans réponse et en suspens. / This work of research aims at showing how aporia and its plural voices pervade D.H Lawrence’s work, be it through his novels, his essays, his poetry, or his paintings. Despite the reader’s desire to give one singular voice and meaning to D.H Lawrence’s work, plural meanings and multiples truths come our way, leaving us facing an uncrossable impasse. The road is paved with deadlocks and places to stumble upon. Indeed, genetic aporia weaves the very fabric of D.H. Lawrence’s first drafts and sketches, and the logocentric and hermeneutic sovereignty of man is put into question. In fact, we have to cross it out as Lawrence’s work reminds us that the logos, and Being, show some resistance, the result of which is to better inscribe aporia into his corpus. The limits of language, of religion, of knowledge, and of the artistic representation of reality resonate now with an everlasting and unanswered question.
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La décidabilité morale au regard de la métaéthique

Ducharme, Jean-Philippe 12 1900 (has links)
Notre pratique morale ordinaire, l’éthique normative ainsi que l’éthique appliquée présupposent que nos questions morales sont décidables non arbitrairement. Autrement dit, ces activités présupposent qu’il existe des réponses non arbitraires à nos questions morales. Le présent travail de recherche vise à questionner ce présupposé en explorant les réponses des trois principales familles de théories métaéthiques, soient le réalisme moral, l’antiréalisme moral et le constructivisme métaéthique, à la question « Les questions morales sont-elles décidables de manière non arbitraire? ». Notre but n’est pas de déterminer quelle théorie métaéthique est la meilleure, mais plutôt d’évaluer la possibilité que les questions morales soient décidables non arbitrairement. Nous défendrons que le réalisme moral semble compatible avec la décidabilité des questions morales et qu’au contraire, l’antiréalisme ainsi que le constructivisme semblent plus difficilement compatibles avec la décidabilité morale. Nous défendrons également que l’indécidabilité des questions morales, un problème pratique engendré par ces cadres métaéthiques, implique une aporie bien gênante. Si a priori on admet que ces trois familles de théories métaéthiques sont équiprobables, on pourrait alors affirmer grossièrement que nous avons deux chances sur trois de faire face, en pratique, au problème de l’indécidabilité morale et donc à l’aporie qu’elle implique. Cela justifiera pour nous l’intérêt d’explorer la possibilité d’une solution à cette aporie. Nous proposerons donc l’hypothèse selon laquelle la pratique du questionnement moral de manière aporétique, considérée comme une activité non cognitive, implique une certaine manière d’être qui n’est pas arbitraire. / Our ordinary moral practice, normative ethics and applied ethics presuppose that our moral questions are decidable non-arbitrarily. In other words, these activities presuppose that there are nonarbitrary answers to our moral questions. This very research aims to question this presupposition by exploring the answers of the three main families of metaethical theories, namely moral realism, moral antirealism and metaethical constructivism, to the question "Are moral questions decidable non-arbitrarily?". Our goal is not to determine which metaethical theory is the best, but rather to assess the possibility that moral questions are decidable non-arbitrarily. We will defend that moral realism seems to be compatible with the decidability of moral questions and that, on the contrary, antirealism and constructivism seem less compatible with moral decidability. Also, we will argue that the undecidability of moral questions, a practical problem generated by these metaethical frameworks, would involve a troublesome aporia. If a priori we admit that these three families of metaethical theories are equiprobable, we could then roughly affirm that we have two out of three chances to face the problem of moral undecidability and therefore the aporia it implies. This will justify for us the interest of exploring the possibility of a solution to this aporia. We will therefore propose the hypothesis according to which the practice of moral questioning in an aporetic way, considered as a non-cognitive activity, implies a certain way of being that is not arbitrary.
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Aporie du second degré : la forme à la quête d'une nouvelle autonomie : réflexions sur le rôle et le statut de la discursivité théorique dans l'art contemporain de la fin des années soixante à nos jours / Aporia of the second degree : the form in search of a new autonomy : reflections on the role and the status of theoretical discourse in contemporary art since the late sixties to the present

Sarcevic, Lara 08 November 2014 (has links)
Qu’elle soit le fait des artistes, des institutions muséales ou des acteurs économiques, désormais une nouvelle discursivité s’ajoute à la production critique traditionnelle des historiens, théoriciens et philosophes de l’art, et accompagne de manière quasi systématique les propositions plastiques des artistes contemporains. A cet accroissement discursif correspond aussi une démultiplication des fonctions du discours théorique qui se trouve parfois être utilisé comme le matériau plastique même des œuvres. Empreintes d’une plasticité toute singulière, les œuvres contemporaines étendent les possibles, au point de pouvoir se manifester sous n’importe quelle forme, voire de complètement disparaître. Cette extrême diversité résulte de l’adhésion à un nouveau principe artistique, le « second degré », ou l’auto-réflexivité de l’œuvre d’art, qui attribue à l'idée de l’œuvre une importance aussi grande qu'à la formulation matérielle de celle-ci. Ce qui est devenu indéterminé dans la forme plastique semble être compensé, en retour, par l'exigence d'une détermination conceptuelle accrue. Nous nous sommes attachés, dans notre recherche, à mettre en lumière l’origine du primat discursif dans la nouvelle situation paradigmatique des arts plastiques. Ne se limitant pas à la seule logique de médiation et de légitimation sociale des œuvres, la discursivité ouvre aussi un espace créatif et herméneutique nouveau impliquant le discours théorique comme geste créatif complémentaire à la forme plastique. / Whether by artists, museums or economic actors, now a new discursivity is added to the traditional critical production of historians, theoreticians and philosophers of art, and accompanies almost systematically the plastics works of contemporary artists. This discursive growth answers also to a proliferation of functions of the theoretical discourse, which is used, in some contemporary artistic practices, as the very plastic material of the work. Marked by a singular plasticity, contemporary art works extend the expressive possibilities to the point that the work can manifest itself in any form, and even completely disappear. This extreme diversity results from the adherence to a new artistic principle, the "second degree", or the self-reflexivity of the artwork, which attributes to the idea of the work, the same importance as its’ very material formulation. What became undetermined in the plastic form seems, in return, to be offset by the requirement for greater conceptual determination. We were committed, in our research, to highlight the origin of this discursive primacy in the new paradigmatic situation of visual arts. Not being limited only to the purpose of mediation and social legitimization of the art works, discursivity opens also a new creative and hermeneutic space, involving theoretical discourse as a creative act complementary to plastic form.
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Dialogue, philosophie, éducation et conscientisation

Petimeza, Chrisoula 04 1900 (has links)
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