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Caractérisation de substances naturelles en contexte archéologique : apport des études moléculaires, isotopiques et de la datation au 14C / Characterization of natural substances in an archaeological context : contribution of the molecular and isotopic studies and of the 14C dating

Courel, Blandine 07 September 2016 (has links)
Ces travaux d'archéométrie concernent l’étude moléculaire par GC-MS de marqueurs lipidiques (biomarqueurs) préservés au sein de sols archéologiques et de substances végétales impliquées en tant qu'ingrédients dans la confection d’artefacts. Des analyses complémentaires en isotopie du carbone de composés individuels et des mesures de datation au 14C (AMS MICADAS) de la matière organique totale des sols, d'extraits lipidiques et d'un composé individuel (miliacine) ont également été effectuées. Cette approche a permis:- de montrer l’existence de la culture de millet dès l’âge du Bronze en Alsace, les sols associés à cette culture et leur contenu organique ayant été piégés et préservés dans des silos à grains enterrés datés de l’âge du Fer.- d'identifier la nature de structures archéologiques comme étant d'anciennes latrines et une aire de stabulation de bétail via l'identification de stéroïdes fécaux.- d'établir des critères chimiotaxonomiques fiables basés sur l'analyse des lipides pour l’authentification de résines de styrax et de liquidambars.- d'identifier la nature d'une résine issue de Styrax officinalis ayant été incorporée dans l’enduit organique ornant un crâne décoré (IXème millénaire av. J.-C., site de Nahal Hemar, Israël).- de mettre en évidence l’emploi de brai de bouleau comme agent collant lors de la confection d’un bijou daté du Premier âge du Fer. / In this archaeometric study, lipid biomarkers from archaeological soils and organic substances originating from plants found on artefacts were investigated by GC-MS. In addition, the stable carbon isotopic composition of individual lipids and the 14C age (AMS MICADAS) of soil organic matter, lipid extracts and one isolated compound (miliacin) were determined. Such an archaeometric approach allowed:- the existence of a millet cultivation during the Bronze Age in Alsace to be unveiled for the first time based on preserved molecular remains of this cereal in agricultural soils trapped within grain silos dated from the Iron Age.- the function of uncharacterized archaeological structures to be identified as ancient latrines and a stall area based on the identification of faecal steroidal markers.- reliable chemotaxonomic criteria for the authentication of styrax resins and liquidambar gums to be established using specific organic markers (triterpenoids, notably).- the vegetal component of an organic coating decorating a skull from the 9th millennium BC (Nahal Hemar site, Israel) to be identified as a resin from Styrax officinalis.- the use of birch bark tar as adhesive for the making of a jewellery dated from the Iron Age to be discovered.
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Approches archéométriques des productions faïencières françaises au XVIIIe siècle : le cas de la manufacture Babut à Bergerac (env. 1740 - 1789) / Archeometrical approaches to french faiences productions of the eighteenth century : the manufacture Babut in Bergerac (circa 1740 - 1789)

Emery, Laetitia 26 June 2012 (has links)
La faïence est une céramique caractérisée par son revêtement vitreux blanc opaque, grâce à l’adjonction d’oxyde d’étain ; sur ce fond on peut apposer les décors polychromes. Résultant d’une technologie abbaside (VIIIe siècle), elle connait son apogée en France au XVIIIe siècle. Les précédentes études menées sur la faïence moderne ont mis en évidence la nécessité de procéder à une approche pluridisciplinaire pour appréhender ce matériau complexe, ses techniques de fabrication, et cerner les enjeux de sa production. Ce travail de recherche s’inscrit dans la continuité pour s’élargir aux productions faïencières du Sud Ouest de la France quelques peu délaissées du point de vue archéométrique. La manufacture Babut, première faïencerie établie à Bergerac, fut sélectionnée dans ce but. La production perdure sur cinquante ans environ, jusqu’à la Révolution Française.En prenant en considération ces observations, cette thèse a permis tout d’abord d’identifier la production du point de vue des matériaux et des techniques, de mettre en place un référentiel géochimique, ainsi qu’établir un corpus stylistique de base pour cette manufacture. Ensuite l’étude a porté sur l’évaluation du potentiel de méthodes d’analyses non destructives pour l’attribution de provenance directe à partir de la surface des glaçures. Et enfin ce travail a permis d’examiner la place de la faïence bergeracoise et de sa production au sein du tissu industriel régional, et les replacer dans le contexte plus général de la production faïencière française à l’aube de la Révolution industrielle. / Faiences are ceramics defined by a white and opaque glaze, due to the addition of tin oxide decorated or not. This technology appeared during the Abbasid period (VIIIth) and was imported in France around the XIIIth century; they peaked in the XVIIIth century. The previous studies realized on the modern faïences, underline the importance of proceeding to a pluridisciplinarity approach to comprehend this complex material, in the frame of a more global research program on faiences, this work focuses on the production of the South West of France, which have only received limited archaeometrics studies over the last years. The manufacture selected is the fabric of Jean Babut established in the city of Bergerac. The production lasted fifty years until the French Revolution. By analysing all the different results, this work establishes the possibility to proceed to the identification of the production site from technical and material standpoints, to establish a reference group based on the chemical analysis and to design a stylistic reference corpus. A non-destructive methodological approach was developed to evaluate the potential of non-destructive methods to reattribute faiences to a center of production. In addition, this work also reestablishes the production of faiences in the local industrial context and in the french production before the Industrial Revolution.
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L'industrie potière à Québec au XVIIe siècle : une étude archéométrique des terres cuites communes qualifiées de fabrication locale

Lamontagne, Huguette 26 June 2018 (has links)
Les archéologues québécois ne se sont penchés qu'au cours des dernières décennies sur l'utilisation des méthodes scientifiques pour caractériser l'origine des terres cuites grossières ou communes (TCC) que nous retrouvons en Nouvelle-France. Alors que l'archéologie européenne incluait largement les outils que sont, par exemple, l'examen en lames minces, la spectrométrie et le traitement statistique des données, c'est au début de la décennie 1980, avec les travaux d'André Proulx et de Lueger et Olivier que des techniques d'analyse quantitatives ou archéométriques furent appliquées à la céramologie québécoise. Ce projet de recherche a eu recours à l'analyse pétrographique, à la tomodensitométrie (CT-SCAN) et à différents outils informatiques et statistiques pour éclairer la provenance et les caractéristiques de tessons de terres cuites grossières par l’étude de leur pâte. Ces tessons sont issus de quatre sites de la région de Québec et associés à des contextes du XVIIe siècle: la maison des Jésuites (CeEt-27), l'îlot des Palais (CeEt-30), le Parc des Braves (CeEt-677) et le domaine Maizerets (CfEu-1). Le but était de prouver de façon satisfaisante que ce qu'on qualifiait de fabrication locale portait bien son nom. Par ricochet nous avons pu nous pencher sur la qualité de la fabrication de la céramique étudiée et tenter de reconnaître la signature de différents potiers, sans être pour autant capables de les identifier. Parallèlement, en recoupant certaines informations, on a cherché à établir un référentiel, reliant la couleur de la pâte et celle de la glaçure, applicable aux terres cuites grossières. L'utilisation de la tomodensitométrie, en plus de l'analyse pétrographique, a amené un questionnement sur les avantages et inconvénients respectifs de ces deux méthodes d’analyse. / Quebec archaeologists have been interested in applying scientific methods to the study of earthenware found in New France since the last few decades. European archaeologists used tools such as thin section layer analysis, spectrometry and statistics far before. In the 1980s André Proulx and Lueger and Oliver applied quantitative analysis to the study of Quebec ceramics. This project combines petrographic analysis, tomodensitometry (CT-SCAN) and statistical tools to examine the problem of ceramic provenance via the study of their pastes. Sherds were selected from 4 sites in Quebec City dating to the XVIIth century : la maison des Jésuites (CeEt-27), l'îlot des Palais (CeEt-30), le Parc des Braves (CeEt-677) and le domaine Maizerets (CfEu-1). The main purpose was to prove to our satisfaction that what we call local earthenware was indeed locally made. With the use of a CT-SCAN we were able to examine the quality of the manufacturing process and we tried to identify the work of different potters, ideally associating a particular manufacture to a specific potter. The use of the CT-SCAN together with petrographic analysis allows us to question both the advantages and disadvantages related to these methods.
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Caractérisation par analyse élémentaire (PIXE et ICP-MS/-AES) d'un verre naturel : l'obsidienne. Application à l'étude de provenance d'objets archéologiques.

Bellot-Gurlet, Ludovic 17 December 1998 (has links) (PDF)
L'obsidienne a été utilisée comme matière première de l'industrie lithique au cours de périodes préhistoriques. Ce matériau possède des propriétés spécifiques qui caractérisent son lieu d'origine. La rareté de ses sources et l'intérêt dont l'obsidienne a fait l'objet par le passé en font pour le préhistorien un marqueur remarquable d'échanges et de contacts humains à grande distance. <br /> Nous montrons les avantages relatifs, pour la détermination de la composition chimique, de l'analyse sous faisceau d'ions par PIXE -Particle Induced X-ray Emission-, qui permet des mesures non destructives, et par plasma couplé par induction : ICP-AES -Inductively Coupled Plasma-Atomic Emission Spectrometry- et ICP-MS -Inductively Coupled Plasma-Mass Spectrometry-, qui nécessitent des prélèvements réduits mais donnent accès à un large spectre d'éléments.<br /> En Amérique andine (Colombie, Equateur) où les données sur la circulation de l'obsidienne étaient encore très limitées, nous avons apporté des données nouvelles sur les sources et commencé l'exploitation (PIXE, ICP) de plusieurs collections de pièces archéologiques préhispaniques. Les mesures par ICP ont permis une caractérisation plus complète des sources de la région. Nos résultats constituent la base de données la plus détaillée disponible à ce jour.<br /> Au Proche-Orient (Syrie, Turquie), nous avons apporté des informations sur cinq sites néolithiques de la moyenne vallée de l'Euphrate (10 400-4 500 ans av. J.-C). Nos résultats ICP confirment la prééminence de la Cappadoce comme source d'obsidienne au cours de cette période et l'émergence d'apports d'Anatolie orientale. Ils montrent aussi la difficulté de discriminer entre elles, par leurs compositions, plusieurs sources anatoliennes.<br /> En raison des difficultés de distinction entre sources, nous avons proposé l'utilisation d'une double caractérisation -composition chimique/datation par traces de fission- pour l'ensemble Colombie/Equateur, et dans certains cas au Proche-Orient.
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Tessellata vitrea in età tardoantica e altomedievale: archeologia, tecnologia, archeometria. Il caso di Milano / Tessellata vitrea in Late Antiquity and the Early Middle Ages: archaeology, technology, archaeometry. The case of Milan

NERI, ELISABETTA 30 March 2012 (has links)
La tesi indaga la produzione e la messa in opera delle tessere musive e dei sectilia parietali in paste vitree in epoca tardoantica e altomedievale, studiando in particolare il caso di Milano. Nella prima parte viene esaminato il processo di produzione del vetro musivo, poco noto nella documentazione edita, ma estremamente fecondo per la ricostruzione degli scambi commerciali e culturali del periodo esaminato. Con vari strumenti (etnoarcheologia, ricettari, analisi archeometriche, resti archeologici, fonti economiche, stime quantitative, documentazione di restauro) vengono rintracciati gli indicatori di riconoscibilità di un atelier che produce piastre musive colorate e a foglia d’oro, i marker di cronologia, provenienza e tecnologia ottenibili dalle analisi chimiche sul vetro musivo e l’esito materiale dei gesti eseguiti da chi mette in opera rintracciabili sui frammenti. Nella seconda parte sono affrontate le problematiche specifiche del caso milanese. In particolare viene riconsiderata l’ipotesi dell’esistenza di una bottega milanese per la realizzazione e la posa di tessellata vitrea. A fronte di una bibliografia contraddittoria sulla datazione e il contesto culturale in seno a cui sarebbero nate queste competenze, vengono valutati i resti archeologici di decorazioni musive parietali (lacerti e tessere sciolte) e vengono caratterizzati con analisi archeometriche. Viene così determinata la diffusione dell’arte, contestualizzato quanto ancora conservato e stabilito quali apporti commerciali e culturali ha comportato la realizzazione dei mosaici milanesi. I resti archeologici, le fonti letterarie, le attestazioni iconografiche, le analisi archeometriche, pur nella loro difficile lettura, permettono di riconoscere tre momenti di diffusione dell’arte musiva: l’età tardo-imperiale, l’età gota e i secoli finali dell’altomedioevo. Per ogni periodo vengono analizzati tre casi significativi: la basilica di San Lorenzo (fine IV-inizi V sec.), il battistero di San Giovanni alle Fonti (fine V-VI sec.) e la basilica di Sant’Ambrogio (V-VI e X sec.). La ricerca contribuisce a diverse problematiche aperte: la tecnologia del vetro, gli elementi di continuità e innovazione rispetto alle tecniche romane, la decorazione parietale dei monumenti milanesi, le scelte dei committenti che hanno finanziato gli edifici, l’investimento necessario, le relazioni intraprese per realizzare le opere. / The thesis studies the production and layout of wall mosaic tesserae and of glass paste sectilia in late antique and early medieval times, focusing in particular on the case of Milan. The first part examines the productive process of glass mosaics to reconstruct the commercial and cultural exchanges of the studied period. Different tools (ethnoarchaeology, technical recipes, archaeometric analyses, archaeological remains, economic sources, quantitative estimates, restoration reports) are used to track the indicators of a workshop producing coloured and gold-leaf mosaic plates, to identify the markers of mosaic glass history and technology from chemical analysis, and to detect the material results on the remains of the actions performed by the craftsmen. The second part investigates the specific issues of the case of Milan. In particular, it reconsiders the hypothesis of the existence of a Milanese workshop that manufactures and lays out glass tesserae, approached so far in a contradictory literature in term of chronology and cultural framework. The archaeological remains, literary sources, iconographic testimonies, and archaeometric analyses, despite their difficult interpretation, allow identifying three stages of diffusion of mosaic art in Milan: the late Imperial age, the age of the Goths, and the final centuries of the Early Middle Ages. Three significant cases are analyzed for each of these periods: the Basilica of San Lorenzo (late 4th-early 5th c.), the baptistery of San Giovanni alle Fonti (end 5th-6th c.) and the Basilica of Sant’Ambrogio (5th-6th and 10th c.). This research contributes to the state of several open questions: the technology of glass, the preserved or innovative features with respect to Roman techniques, the mural decoration of Milanese buildings, the choices of the customers who have financed the buildings, the investment required, the social and commercial relations established in order to carry out the works.
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Les perles mérovingiennes: typo-chronologie, fabrication et fonctions / Merovingian beads: typo-chronology, manufacturing and functions

Pion, Constantin 22 April 2014 (has links)
Les perles, principalement celles en verre, figurent parmi les productions artisanales les plus emblématiques et originales de la période mérovingienne. Jamais auparavant elles n’avaient connu un tel succès. C’est par centaines ou milliers d’exemplaires qu’on les retrouve dans les nécropoles de l’ancienne Gaule. Ce matériel surprend et séduit par la grande diversité de ses formes, de ses couleurs et de ses décors, témoignant sans doute le mieux du goût particulier des Mérovingiens pour la polychromie.<p>Cette thèse de doctorat avait pour principal objectif l’élaboration d’une typo-chronologie des perles du nord de l’ancienne Gaule mérovingienne (Ve-VIIe siècles). Un objectif à double visée destiné, d’une part, à mettre en évidence une éventuelle évolution des associations de perles et, d’autre part, à proposer aux archéologues un outil de datation innovant et précis.<p>L’examen approfondi des perles d’un point de vue technologique était une condition indispensable pour espérer atteindre le degré de précision requis pour l’élaboration d’une typo-chronologie. Le recours à l’archéologie expérimentale et aux sources ethnographiques a conduit à une bien meilleure compréhension des mécanismes – souvent complexes – de la fabrication des perles.<p>La typologie compte 20567 perles, classées en 556 types, provenant de 6 nécropoles situées en Belgique :Beerlegem (Flandre-Orientale), Bossut-Gottechain (Brabant wallon), Broechem (Anvers), Harmignies (Hainaut), Verlaine « Oudoumont » (Liège) et Viesville (Hainaut). Les occupations sont principalement datées entre ca. 470/480 et ca. 630/640.<p>L’élaboration de la typo-chronologie générale a combiné deux approches :la topochronologie – méthode permettant la mise en évidence de la tendance évolutive de chaque cimetière sur la base de la répartition topographique des types de perles –, et la méthode statistique de permutation matricielle. Ce travail a permis de mettre en évidence 5 groupes d’associations communs à tous les sites, d’une durée approximative d’une quarantaine d’années chacun.<p>Au-delà d’un apport en matière de détermination chronologique, des analyses archéométriques – enrichies par l’étude technologique du matériel – ont permis d’avancer une série d’éléments neufs concernant l’origine et la circulation de plusieurs types de perles. Les résultats obtenus montrent que la succession des combinaisons de perles reflète en partie une évolution des mécanismes d’approvisionnement et des relations commerciales entre l’Orient et l’Occident. Ainsi, durant le dernier tiers du Ve et le premier tiers du VIe siècle, l’artisanat perlier semble peu développé en Occident. Le marché est essentiellement alimenté par des produits d’origine orientale – Proche-Orient (Egypte et côte syro-palestinienne) et, en moindre mesure, Moyen-Orient (Mésopotamie) et Asie du Sud (Inde et/ou Sri-Lanka) –, témoignant d’un maintien du grand commerce maritime et terrestre établi durant l’Antiquité. Le second tiers du VIe siècle constitue un moment-clé dans l’histoire économique et sociale de la perle. Entre ca. 530 et ca. 630, l’Europe occidentale s’affranchit de l’approvisionnement oriental et s’impose comme un centre de production autonome. Le ralentissement de ces importations à partir des années 530 pourrait répondre à un souhait d’affranchissement de l’Occident, alors que l’interruption de l’approvisionnement en perles orientales vers 630 pourrait quant à elle être liée au climat d’instabilité politique que connaît l’Empire byzantin et dont les conséquences auraient entraîné un déclin du commerce méditerranéen, particulièrement accentué dans la première moitié du VIIe siècle.<p>Enfin, cette étude a également abordé d’autres thématiques portant sur les usages et fonctions de cette catégorie de matériel et la réutilisation d’éléments de remploi (protohistoriques ou romains) dans les parures mérovingiennes. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Recherches sur Orange antique : carte archéologique et étude céramologique. : Étude sur l’origine et la chronologie des importations de céramiques sigillées italiques en Narbonnaise : le cas d’Orange. : suivi d’une Carte archéologique d’Orange et du nord-ouest du Vaucluse

Roumégous, Anaïs 01 December 2012 (has links)
Cette thèse se compose de deux volets indépendants mais complémentaires : d'une part une carte archéologique d'Orange et du nord-ouest du Vaucluse ; d'autre part une étude sur l'origine et la chronologie des importations de céramiques sigillées italiques en Narbonnaise à partir du cas d'Orange. La carte archéologique synthétise les découvertes archéologiques touchant une période comprise entre 700 av. et 700 ap. J.-C. Toutes les informations disponibles ont été prises en compte (manuscrits, rapports d'opérations, sources imprimées) afin de dresser un état de la bibliographie et de préciser nos connaissances des vestiges antiques du nord-ouest du département de Vaucluse. Le corpus ainsi constitué est la base d'une réflexion sur l'occupation de la zone durant l'Antiquité, l'organisation urbaine de la colonie d'Orange et les limites du territoire de la cité. L'aspect historiographique constitue également un point important de ce travail. L'étude céramologique renouvelle nos repères chronologiques sur le développement urbain de la cité durant le premier siècle de son existence grâce, notamment, à la datation de l'enceinte, des différentes constructions monumentales du site de l'hémicycle et des contextes précoces des quartiers d'habitations à l'est du théâtre. L'étude céramologique s'attache par ailleurs à identifier l'origine des sigillées italiques recueillies à l'occasion des différents chantiers de fouilles, ce qui permet de dresser un bilan complet des ateliers. / This thesis consists of two parts, independent but complementary : on the one hand, an archaeological map of Orange and the northwest of Vaucluse; on the other hand, a study of the origin and the chronology of the imports of ceramics called italian sigillata in Gallia Narbonensis based on the case of Orange. The archaeological map synthesizes the archaeological discoveries touching a period included between 700 BC and 700 AD. All the available information was taken into account (manuscripts, reports, printed sources) to draw up a state of the bibliography and specify our knowledge of the antique vestiges of the northwest of Vaucluse. The corpus so established is the basis of a reflection on the occupation of the zone during the Antiquity, the urban organization of the city of Orange and the limits of its political territory. The historiographical aspect also constitutes an important point of this work. The ceramic study renews our chronological points of reference on the urban development of the city for its first century of existence, with in particular the dating of the surrounding wall, the various monumental constructions of the site of the « hémicycle » and the early contexts of living districts east of the theater. Besides, the ceramic study attempts to identify the origin of the examined italian sigillata, drawing up first a ou synthesis of workshops producing this ceramic. Indeed, if the italian sigillat seems well known, we quickly notice that it was almost always considered a homogeneous whole, without taking into account the existence of multiple workshops, in the constitution of typologies and datings.
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Design, Implementation and Analysis of a Description Model for Complex Archaeological Objects / Elaboration, mise en œuvre et analyse d’un mod`ele de description d’objets arch´eologiques complexes

Ozturk, Aybuke 09 July 2018 (has links)
La céramique est l'un des matériaux archéologiques les plus importants pour aider à la reconstruction des civilisations passées. Les informations à propos des objets céramiques complexes incluent des données textuelles, numériques et multimédias qui posent plusieurs défis de recherche abordés dans cette thèse. D'un point de vue technique, les bases de données de céramiques présentent différents formats de fichiers, protocoles d'accès et langages d'interrogation. Du point de vue des données, il existe une grande hétérogénéité et les experts ont différentes façons de représenter et de stocker les données. Il n'existe pas de contenu et de terminologie standard, surtout en ce qui concerne la description des céramiques. De plus, la navigation et l'observation des données sont difficiles. L'intégration des données est également complexe en raison de laprésence de différentes dimensions provenant de bases de données distantes, qui décrivent les mêmes catégories d'objets de manières différentes.En conséquence, ce projet de thèse vise à apporter aux archéologues et aux archéomètres des outils qui leur permettent d'enrichir leurs connaissances en combinant différentes informations sur les céramiques. Nous divisons notre travail en deux parties complémentaires : (1) Modélisation de données archéologiques complexes, et (2) Partitionnement de données (clustering) archéologiques complexes. La première partie de cette thèse est consacrée à la conception d'un modèle de données archéologiques complexes pour le stockage des données céramiques. Cette base de donnée alimente également un entrepôt de données permettant des analyses en ligne (OLAP). La deuxième partie de la thèse est consacrée au clustering (catégorisation) des objets céramiques. Pour ce faire, nous proposons une approche floue, dans laquelle un objet céramique peut appartenir à plus d'un cluster (d'une catégorie). Ce type d'approche convient bien à la collaboration avec des experts, enouvrant de nouvelles discussions basées sur les résultats du clustering.Nous contribuons au clustering flou (fuzzy clustering) au sein de trois sous-tâches : (i) une nouvelle méthode d'initialisation des clusters flous qui maintient linéaire la complexité de l'approche ; (ii) un indice de qualité innovant qui permet de trouver le nombre optimal de clusters ; et (iii) l'approche Multiple Clustering Analysis qui établit des liens intelligents entre les données visuelles, textuelles et numériques, ce qui permet de combiner tous les types d'informations sur les céramiques. Par ailleurs, les méthodes que nous proposons pourraient également être adaptées à d'autres domaines d'application tels que l'économie ou la médecine. / Ceramics are one of the most important archaeological materials to help in the reconstruction of past civilizations. Information about complex ceramic objects is composed of textual, numerical and multimedia data, which induce several research challenges addressed in this thesis. From a technical perspective, ceramic databases have different file formats, access protocols and query languages. From a data perspective, ceramic data are heterogeneous and experts have differentways of representing and storing data. There is no standardized content and terminology, especially in terms of description of ceramics. Moreover, data navigation and observation are difficult. Data integration is also difficult due to the presence of various dimensions from distant databases, which describe the same categories of objects in different ways.Therefore, the research project presented in this thesis aims to provide archaeologists and archaeological scientists with tools for enriching their knowledge by combining different information on ceramics. We divide our work into two complementary parts: (1) Modeling of Complex Archaeological Data and (2) Clustering Analysis of Complex Archaeological Data. The first part of this thesis is dedicated to the design of a complex archaeological database model for the storage of ceramic data. This database is also used to source a data warehouse for doing online analytical processing (OLAP). The second part of the thesis is dedicated to an in-depth clustering (categorization) analysis of ceramic objects. To do this, we propose a fuzzy approach, where ceramic objects may belong to more than one cluster (category). Such a fuzzy approach is well suited for collaborating with experts, by opening new discussions based on clustering results.We contribute to fuzzy clustering in three sub-tasks: (i) a novel fuzzy clustering initialization method that keeps the fuzzy approach linear; (ii) an innovative quality index that allows finding the optimal number of clusters; and (iii) the Multiple Clustering Analysis approach that builds smart links between visual, textual and numerical data, which assists in combining all types ofceramic information. Moreover, the methods we propose could also be adapted to other application domains such as economy or medicine.
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Premières productions de céramiques turques en Anatolie occidentale : Contextualisation et études techniques / The First Production of Turkish Ceramics in Western Anatolia : Contextualisation and Technical Studies

Burlot, Jacques 11 September 2017 (has links)
Depuis les années 1990, des études archéométriques ont permis d’attester la production de nouveaux types céramiques en Anatolie occidentale, liée à l’installation de populations turques dans la région à partir de la fin du XIIIe siècle. Parmi ces nouveaux types figurent des céramiques dont les formes et les décors, très répandus dans le monde islamique, témoignaient de l’introduction de nouvelles techniques de fabrication.Sur la base d’un échantillonnage de 87 tessons découverts sur cinq sites turcs et trois sites de Crimée, l’étude, associant approche archéologique et analyses physico-chimiques, a permis de proposer des cadres chronologiques pour ces premières productions turques et de déterminer les techniques de fabrication de leurs revêtements – engobes et glaçures – servant au décor. La définition de ces techniques repose essentiellement sur des analyses élémentaires et structurales par MEB-EDS et par spectrométrie Raman, dont les résultats permettent de confirmer l’utilisation de nouvelles recettes et de nouveaux matériaux.Alors que les décors des céramiques byzantines étaient essentiellement constitués d’une glaçure plombifère transparente, colorée par une gamme réduite d’oxydes métalliques et reposant sur un engobe argileux, les décors des premières céramiques turques, d’époque beylik, produites dans la région, étaient bien plus variés. Leurs glaçures, témoignent d’une plus grande diversité, aussi bien dans la nature des fondants et des opacifiants, que dans celle des colorants utilisés.Considérée comme l’un des premiers types de céramiques ottomanes, la Miletus Ware présente le décor le plus élaboré. L’engobe n’est plus argileux, mais synthétique, préfigurant ainsi les productions plus tardives à pâte synthétique d’Iznik qui feront la renommée de la céramique ottomane au XVIe siècle. Notre étude a ainsi permis de caractériser et de contextualiser les évolutions techniques qui marquent la transition entre céramiques byzantines et ottomanes en Anatolie occidentale. / Since the 1990s, archaeometric studies have attested to the production of new types of ceramic in Western Anatolia, linked to the arrival of Turkish populations in the region from the end of the 13th century. Among these new types are ceramics whose shapes and decoration are very commonly found in the Islamic world, and which show the introduction of new techniques of fabrication.Taking a sample of 87 sherds discovered at five Turkish sites and three sites in the Crimea, this study, combining an archaeological approach with physicochemical analyses, enabled us to propose a chronological framework for these initial Turkish productions and to determine the techniques of fabrication of their coatings – slips and glazes – used for the decoration. The definition of these techniques relies in the main on elementary and structural analyses by SEM-EDS and by Raman spectroscopy, the results of which permit us to confirm the use of new recipes and new materials.While the decoration of Byzantine ceramics was essentially constituted of a high-lead transparent glaze, coloured by a reduced range of metallic oxides resting on a clay slip, the decoration of the initial Turkish ceramics, from the Beylik period, produced in the region, were much more varied. Their glazes attest to a greater diversity in the nature of the fluxes and opacifiers, as well as in the colorants used. Considered to be one of the first types of Ottoman ceramics, the Miletus Ware shows the most elaborate decoration. The slip is no longer clay-based but synthetic, prefiguring in this way the later production using synthetic paste of the Iznik Fritwares upon which the fame of 16th century Ottoman ceramics was based. Our study thus enabled us to characterise and contextualise the technical evolution which marked the transition from Byzantine to Ottoman ceramics in Western Anatolia.

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