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Le supply chain management et la culture : la mise en oeuvre du supply chain management dans le contexte culturel chinois / Supply chain management and culture : the supply chain management in the chinese cultural context

Wang, Feng 02 February 2010 (has links)
Partant d'un triple constat, à savoir l'importance de la démarche de "Supply Chain Management" (SCM) dans le management, la nécessaire prise en compte de la culture dans la mise en œuvre de cette démarche de gestion et une première évocation de la cohérence entre la culture chinoise et le SCM, l'objectif de notre recherche est d'analyser la mise en œuvre du SCM dans le contexte culturel chinois.La première partie de cette recherche a pour objectif tout d'abord d'effectuer une revue de littérature permettant de définir des conditions comportementales pour la mise en œuvre du SCM, d'étudier le concept de culture et les éléments culturels chinois puis, d'émettre des propositions de recherche ainsi que de construire un modèle conceptuel.La deuxième partie vise à développer la méthodologie en Sciences de gestion et à justifier notre choix à propos des méthodes de recherche mobilisées dans le travail empirique. Pour cela, nous avons mis en place un travail de terrain par une analyse qualitative de données recueillies lors d'entretiens semi-directifs et basée sur une observation de longue durée.Au travers de ces analyses, il en résulte que les éléments culturels chinois sont positivement corrélés aux conditions de la mise en œuvre de la démarche de SCM. / Based on a triple observation, namely the importance of Supply Chain Management approach in the management, the necessary taking into account of the culture for the implementation of this approach and a first impression of the accordance between the Chinese culture and the SCM, our research aims to analyze the SCM implementation in the Chinese cultural context.The first part of this resarch is designed for a litterature review which allows defining behavioral conditions for SCM implementation, analyzing the concept of culture as well as Chinese cultural elements, and then putting forward theoretical propositions and constructing a conceptual model.The second part intends developping the methodology of Management Science and explaining our choices of research methods mobilized in empirical analysis. After that, we realize the fieldwork through a qualitative analysis of dates collected from semi-directive interviews and a long period observation.Based on these analyses, we conclude that Chinese cultural elements positively correlate with conditions for SCM and the Chinese culture is a favorable context for SCM implementation.
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Zhu Xi et Lu Jiuyuan. Description d’une relation lettrée dans la Chine des Song (second XIIe siècle) : un essai d’anthropologie du savoir / Zhu Xi and Lu Jiuyuan. Description of a relationship between two literai in Song China (late 12th c.) : an attempt at an anthropology of knowledge

Dutournier, Guillaume 14 November 2014 (has links)
Centrée sur les rapports de Zhu Xi (1130-1200) et Lu Jiuyuan (1139-1193), lettrés-fonctionnaires de la dynastie Song généralement perçus comme des représentants majeurs de ce qu’on appelle le « néoconfucianisme », cette étude fait fond sur les acquis de l’histoire intellectuelle de la période pour proposer une perspective nouvelle sur les formes de controverse dans la Chine traditionnelle. En partant d’une description pragmatique des propos et actions de ces lettrés, ainsi que d’une traduction originale de certains des textes que ceux-ci produisent et pratiquent, on s’y efforce, à rebours des approches objectivantes, de s’en tenir strictement au point de vue indigène. La description des règles présupposées par les acteurs permet de dégager un système de valeurs conscientes, qui hiérarchise le sens autour de l’idée de « savoir » et interroge en retour notre conception moderne du savoir. La compréhension profonde de cet ordre du sens réclame la formulation d’une anthropologie adéquate, dont on trouve l’inspiration dans les concepts et la méthode de Louis Dumont et qui conduit ici à un essai d’anthropologie du savoir. Au plan analytique, cette perspective d’ensemble manifeste sa productivité dans le surcroît d’intelligibilité qu’elle apporte quant à la relation de Zhu Xi et Lu Jiuyuan, et plus largement quant aux dynamiques collectives qui traversent leurs rapports. Au plan disciplinaire, elle confirme l’importance du regard anthropologique pour l’histoire de la Chine, et en retour le caractère précieux de la sinologie pour l’anthropologie. / By focusing on the relations between Zhu Xi and Lu Jiuyuan, two scholar-officials of the Song dynasty generally seen as major representatives of what is often called “neoconfucianism”, this dissertation uses the insights of the intellectual history of the period to propose a new perspective to study the patterns of controversy in traditional China. Taking as a starting point both a pragmatic description of the words and deeds of these two literati and an original translation of some texts they produce and put into practice, it attempts to stick to an emic point of view against any objectivist bias. The description of the assumptions of the actors (i.e., the rules that pattern their speech and actions) enables us to reconstruct a system of conscious values hierarchized under the idea of “knowledge”, and thereby puts into question our modern conception of knowledge. In order to achieve a deep understanding of this order of meaning, one needs to elaborate a suitable anthropology, for which the concepts and method developed by Louis Dumont have proved to be of fundamental value, leading to an attempt at an anthropology of knowledge. On an analytical level, the overall perspective we propose contributes to the intelligibility of the relation between Zhu Xi and Lu Jiuyuan, and, more generally, to the collective dynamics underlying this relation. On a disciplinary level, it confirms both the importance of an anthropological approach for the understanding of Chinese history and, in return, the importance of sinology as a source of precious insights for anthropology.
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Essai sur l'articulation des sources du droit dans l'approche du droit de propriété / Essay on the articulation of sources of law : in the approach of the comparison of the property law

Chen, Fei 16 December 2014 (has links)
Le droit de propriété est le fondement du système social occidental tant au niveau juridique qu'au niveau idéologique. Pourtant, la vénération de ce droit implique l'existence de la pensée binaire qui engendre une concurrence (pour ne pas dire confrontation) permanente : privé-public, individualisme-collectivisme, moi-autrui. C'est ainsi qu’il est difficile de comprendre l'existence d'une pensée sinisée dans laquelle la notion du droit de propriété fait défaut. Quand les règles du droit deviennent un support des règles du rite alors que le but du droit ne consiste plus en la recherche de la justice mais de l'harmonie, un autre mode de pensée est dès lors apparu. Ce mode de pensée, négligé pendant longtemps par les théoriciens attire néanmoins de plus en plus l’attention aujourd'hui. Mais en quoi consiste-t-il ? Quels effet pourrait-il donner au droit de propriété? Est-il possible de l'articuler avec la pensée binaire dans le domaine juridique ? Cette thèse essaye de traiter ces questions dans l’approche du droit comparé. / The property law is the foundation of Western social system both at the legal level and at the ideological level. However, the veneration of this category of law implies the existence of binary theories creating permanent competition (if not using the word "confrontation") : Private-public, individualism-collectivism, me-others... Thus, it is difficult to understand the existence of a Sinitic thought in which the concept of property is lacking. That is why when the regulation of law become a carrier of the rules of the rite, while the purpose of the law is no longer the pursuit of justice but of harmony, another way of thinking has therefore appeared. This way of thinking, long neglected by theorists, nevertheless attracts more and more attention today : But what does it consist of ? What effects it could give to the property rights ? Is it possible to articulate with binary thinking in the legal field ? This thesis attempts to address these issues in the approach of comparative law.
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Virtud y consecuencia en la literatura histórica y filosófica pre-Han y Han: el dilema ético en la filosofía y sociedad china

Guarde Paz, César 14 June 2012 (has links)
La presente tesis tiene como objetivo exponer las diferentes conceptualizaciones de la noción de “virtud” en el pensamiento chino antiguo (770 a.C.–220 d.C.) en relación a los motivos de “elección”, “dilema ético” y “consecuencia”, a través de tres momentos discursivos interrelacionados: los textos poético-literarios, filosóficos e históricos. Con tal fin, este estudio se estructura a través de un capítulo introductorio que recoge el estado de la cuestión dilemática, tanto en la filosofía occidental como en China y, especialmente, en el confucianismo. A partir de aquí, y una vez han sido discutidos y definidos los conceptos centrales de “virtud” en la filosofía pre-imperial, se analiza, en primer lugar, la tensión existente entre los textos rituales que tenían como función principal contener el ethos confuciano y, por otro lado, los textos poéticos cuya edición la tradición atribuye a Confucio y que presentan, además, motivos que contradicen las normas sociales establecidas. A este respecto, la poesía se dibuja como un depósito de información histórica que debe ser aprendido y que es, a su vez, fuente principal de reflexión creativa. En ella se recoge una tensión entre la tradición social y los deseos individuales, llamando a la reflexión crítica sobre ambos. En la segunda y tercera parte se discute el dilema moral en el tejido filosófico chino, centrándose nuestro análisis en los conflictos entre lo civil y lo público que aparecen a lo largo de los textos puramente filosóficos y, finalmente, los motivos de elección y dilema en la literatura histórica, profundamente confuciana y con una función inequívocamente didáctico-moral, abarcando dos textos fundacionales de la historiografía Han: la obra de Sima Qian, Shiji o Registros Históricos, y el Lienüzhuan o Biografías de Mujeres Ejemplares. Desde esta perspectiva, y tomando los diversos ejemplos repartidos a lo largo de la historiografía pre-Han y Han, parece evidente que el particularismo moral defendido por el confucianismo no permite aceptar la existencia de virtudes cardinales (“overriding principles”). Tanto el confucianismo como la tragedia griega desafían así una concepción ontológica de la moral y nos obligan a preguntarnos si las soluciones prima facie alcanzan a enunciar lo que realmente ocurre en determinadas partes del tejido de lo moral, a cuestionar esa petitio principii según la cual la mejor teoría moral debería eliminar la existencia de conflictos entre virtudes aparentemente excluyentes, por existir un orden superior cognoscible de “verdad” o “sistema” moral. Al no existir un sustrato deontológico que defina la ética china, son las vicisitudes y vivencias particulares de cada agente moral las que establecen el desarrollo de la acción, por lo que ante una situación concreta no puede establecerse una prescripción moral del tipo de deber objetivo. No hay una teoría filosófica confuciana propiamente dicha en el sentido de un tratado aristotélico, aunque el método es, en ocasiones, semejante al diálogo platónico. Lo que el confucianismo propone es una invitación a entender el significado del “ser” moral a través de la ejemplificación de un agente moral responsable, que, con sus acciones, transcienda los límites del lenguaje y, tal vez más específicamente, del lenguaje escrito. La conclusión de este estudio destaca, precisamente, los motivos rectores de lo que denominaremos una ética de la virtud particularista, así como los posibles senderos que con esta lectura se abren para el estudio intercultural de las relaciones entre el confucianismo y los derechos humanos (para los que es necesaria la idea de individualismo que tradicionalmente se le ha negado a aquél) o la posición social de la mujer. / The thesis has the primary objective to investigate and show the different conceptualizations of “virtue” in ancient Chinese thought (770 BC-220 AD) and its relation with the leitmotifs of “election,” “ethical dilemma,” and “consequence”. In order to achieve this purpose, this study is divided in five main parts: an introductory chapter that gathers the necessary philosophical prerequisites to understand the current state of the art in moral dilemmas East and West; a second chapter is included to illustrate recent philological and philosophical research in the definition of the different moral concepts at stake: li (propriety), yi (righteousness), xiao (filial deference), de (virtue, charisma), and the most important ren. The three remaining chapters focus on the three-dimensional configuration of the Confucian text: poetry, philosophy, and history, and the moral dilemmas they personally address. Chapter 3 compares the ritual texts of the Confucian tradition with the Classic of Poetry or Shijing, identifying a core conflict that is left unresolved in Chinese tradition: the social mores of the ritual texts forbid or punish behavior that is actually praised or accepted by the poetry collected, edited, and approved by Confucius. Chapter 4 discusses moral dilemmas in philosophical texts and authors (Analects, Mencius, Hanfei, etc.), outlining parallelisms between Confucian and Classic Greek cases of conflict between civil and public cases of conflict. Finally, chapter 5 raises the issue of tragedy or tragic thought in Confucianism, studying the historical literature of the Han period and two of its most representative texts: the Historical Records or Shiji of Sima Qian and the Biographies of Exemplary Women by Liu Xiang. In the former, we refer to the stories of Yurang and Nie Zheng, carefully describing its points of contact with the tragic legends of Ajax and Antigone.
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Recherches comparatives sur les doctrines pédagogiques, éthiques, politiques et philosophiques d'Isocrate et de Confucius : Aux origines des traditions humanistes occidentales et chinoises / Comparative Researches on Isocrates’ and Confucius’ Pedagogics, Ethics, Politics and Philosophical Theories : A Probe into the Origins of the Occidental and Chinese Humanist Traditions

Chong, Yize 16 December 2014 (has links)
Isocrate et Confucius entreprennent d’abord l’éducation de la vertu puis préparent à une vie harmonieuse, ils demandent principalement aux disciples de se perfectionner. De plus, les deux maîtres ont chacun leur propre ambition de l’enseignement : Isocrate a l’intention de cultiver le rhéteur accompli, afin de faire savoir aux disciples la réflexion à propos de la méthode philosophique de « doxa » pour rechercher la vérité, de persuader et de guider moralement ses auditeurs, de contribuer au service de la Grèce. Pour Confucius, il introduit l’idéal du « Jun Zi » qui est le standard de la vertu et de la perfection humaines, qui respecte les rites anciens, agit avec les qualités de Ren et du juste milieu et recherche aussi la voie harmonieuse entre les êtres humains et l’Univers. La sagesse d’Isocrate et de Confucius poussent davantage la société de leur époque vers la paix et vers le bonheur. Isocrate offre l’idée de la diffusion des valeurs athéniennes dans toute la Grèce et Confucius engage transmettre les rites de Zhou et forme le fondement de la civilisation traditionnelle chinoise—le confucianisme. Cependant, aujourd’hui, l’influence des deux Maîtres demeure différente : Isocrate n’est pas autant étudié que Confucius. De toute façon, les deux grands Sages contribuent à l’éducation des êtres humains : soit dans le domaine de la rhétorique, soit dans la recherche de sagesse, et laissent aux gens d’aujourd’hui des inspirations importantes à l’humanité, ils méritent d’être respectés et considérés comme auteurs d’un héritage important. / Both Isocrates and Confucius attached first importance to ethics education and then to harmony education. They required especially their disciples to attain self-improvement spiritually. In particular, the two greatmasters also put forward their unique teaching objectives respectively. Isocrates hoped to train perfect rhetoricians, let them grasp "doxa"--the philosophical method of meditation, to seek the truth, and use their moralorations to persuade and lead the audience to eventually devote the public to serving the Greek cause. Confucius hoped to cultivate an image of"gentleman", who was not only a perfect human moral standard, but also anobserver of etiquette, a follower of benevolence and the doctrine of the mean,and an explorer to follow the path to the harmony of human and the universe. The wisdom of Isocrates and Confucius greatly promoted the pace of progress of social peace and the happiness of the general public in their respective times. Isocrates introduced the concept of "Greek" (Hellenisation) for the entire Greek territory while Confucius advocated to restore rites andlaid the foundation for the traditional Chinese culture, Confucianism. But their influence today varies greatly: Isocrates has not been inherited and researched as much as Confucius. In a word, these two great sages have made remarkable contributions to human kind with Isocrates in rhetorics and Confucius in humanistic wisdom. They have all left us modern people humanistic spirit of enlightenment. They are worthy of being respected and inherited.
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Les vieilles enseignes, partie intégrante du patrimoine culturel immatériel de Pékin

Du, Lili 26 November 2012 (has links) (PDF)
Depuis son adoption de la " Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel " en 2003, la Chine a lancé au niveau national, le répertoire de son patrimoine culturel immatériel, et a élaboré, mis en action des mesures pour sa sauvegarde. Pékin, ancienne capitale des cinq dynasties, possède une source abondante du patrimoine culturel immatériel. Les vieilles enseignes pékinoises représentent un vecteur particulier du patrimoine oral, l'art de la dénomination, l'art de l'enseigne, la culture traditionnelle à travers le Confucianisme ainsi que des savoir-faire. Cependant, par rapport à la valorisation économique, la valorisation culturelle de ces entreprises a été longtemps négligée. En recourant à la formulation du patrimoine culturel immatériel, le présent travail a voulu explorer et étudier la pluralité du patrimoine immatériel des vieilles enseignes pékinoises, afin de montrer son enjeu dans le développement et la pérennité de ces enseignes ainsi que pour la préservation de la culture locale de Pékin.
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Le montage des peintures coréennes sous la dynastie Joseon (1392-1910) / The Mounting of Korean Paintings during the Joseon dynastye (1392-1910)

Kim, Meejung 25 January 2018 (has links)
Les peintures coréennes datant de la dynastie Joseon (1392-1910) ont été très souvent remontées à la manière chinoise ou japonaise. Il est possible d’en reconstituer la configuration grâce à de rares exemples de rouleaux suspendus ayant conservé leurs montages d’origine. Il en est ainsi du Portrait de Kang Sehwang par Yi Myeonggi, qui date de 1783, et aujourd’hui conservé au Musée national de Corée, à Séoul, ou encore des Bambous sous la pluie de Yi Chong, datant de 1622 et appartenant au Musée Guimet, dont l’originalité tient à l’inclusion d’un colophon calligraphié. Dans ce genre de peintures réservées aux lettrés, le schéma d’encadrement au moyen d’une bordure blanche ainsi que d’un encadrement supérieur et inférieur de couleur bleue apparaît comme étant semblable. On peut étendre le travail de reconstitution grâce aux archives royales, où des commandes de paravents de diverses natures sont enregistrées. Le genre mal connu des « souvenirs de réunions », à mi-chemin entre peinture et écriture, révèle des montages originaux sous forme de rouleaux suspendus. L’examen d’autres genres de peintures, qu’elles soient commémoratives, édificatrices, ou même chamaniques montre l’étendue des solutions de montages, ce qui tient à l’extrême variété des papiers coréens utilisés. La conception de formats géants pour les peintures bouddhiques, surtout après la Guerre d’Imjin (1592-1598), ne peut s’expliquer sans les propriétés de résistance du papier coréen. L’examen technique et esthétique des montages de peintures coréennes apporte ainsi un nouvel éclairage à l’histoire de la peinture coréenne, depuis la fin de la dynastie Goryeo jusqu’aux bouleversements politiques apparus en 1910. / During the 20th century, most Korean paintings dating from the Joseon dynasty (1392-1910) have been remounted by using the Chinese technique or the Japanese one. Yet, it is possible to reconstruct their original appearance by studying a couple of Korean scrolls that have kept their original mounts. The Portrait of Kang Sehwang by the painter Yi Myeonggi, dated 1783, that belongs to the National Museum of Korea in Seoul, is one of them. Bamboos under the Rain, painted by Yi Chong in 1622, kept by the Guimet Museum in Paris, is a further example, its original feature being the inclusion of a colophon with a calligraphy. In these paintings intended for scholars, the design of the frame, taking the form of a white border with a blue upper and lower part, seems to have been widespread. One may extend the reconstruction of the Korean mounts by analysing the content of the royal archives: the commissioning of screens were documented in detail, revealing all kind of information about their material. Studying the lesser known genre of the “memories of meetings”, at the border between painting and writing, is particularly instructive as some of these have kept their original mounts. Examination of further categories of paintings, whether commemorative, votive or even shamanist, reveal a large extent of solution of mountings, and this is due to the varieties of Korean paper. The making of giant format for Buddhist paintings after the Imjin War (1592-1598) was largely the result of the resistant properties of the Korean paper named hanji.
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La notion de lǐ 禮, « ritualité », dans la pensée de Xunzi (IIIème siècle avant notre ère)

Fredette-Lussier, Arnaud 08 1900 (has links)
La ritualité, qu’elle soit de nature religieuse ou éthique, ou encore qu’elle relève de l’ordre de la coutume, ponctue la vie des individus, des groupes et des communautés, souligne et entretient les liens sociaux et ancre le monde humain dans le monde naturel. La philosophie confucéenne confère une place centrale à cette notion de lǐ 禮, « ritualité », et c’est probablement, au sein de cette école, Xunzi (IIIème siècle av. n. è.) qui lui accorde le plus grand rôle philosophique. Toutefois, une multitude de tensions anime ce concept de « ritualité » qui se situe à la jonction du Naturel et du Culturel, de l’éthique et du sacré, du matériel et de l’intangible, du profane et du religieux. Ce mémoire se base sur l’exégèse d’extraits pertinents du Xunzi, et, grâce à l’étude du champ sémantique et lexical de la ritualité ainsi que l’analyse étymologique des concepts clefs lui étant rattachés, apporte un nouveau regard sur la notion de lǐ. Nous restituons le souffle cosmique – fractales d’oppositions binaires mettant en relation le microcosme au macrocosme – à l’œuvre dans la pensée du lettré, et y exposons les liens intimes unissant la ritualité au sens moral. Nous soutenons qu’une approche intégrant et différenciant l’en acte du potentiel dans la pensée de Xunzi fournit une solution au problème de la nature humaine telle que conçue par le philosophe. Notre conception de la représentation et de la cosmologie procure une nouvelle vision, respectivement, du symbolisme rituel et de l’ordre cosmologique. Nous mettons au jour la manière dont la ritualité crée le sens moral de l’individu, intègre l’homme à sa société et la société à l’ordre du monde et découvrons une pensée qui extirpe le divin de la dimension religieuse transcendante pour faire de l’humanité et de la moralité de l’Homme les dépositaires du sacré. / Rituality, whether of a religious or ethical nature, or even as a matter of custom, punctuates the lives of individuals, groups and communities, emphasizes and maintains social ties as well as it anchors the human world in the natural world. Confucian philosophy gives a central place to this notion of lǐ 禮, "rituality", and it is probably, within this school of thought, Xunzi (3rd century BC) who gives it the greatest philosophical role. However, a multitude of tensions animates this concept of "rituality" which lies at the junction of the Natural and the Cultural, the ethical and the sacred, the material and the intangible, the profane and the religious. This master dissertation is based on the exegesis of relevant excerpts from the Xunzi. By the study of the semantic and lexical field of rituality as well as the etymological analysis of the key concepts associated with it, we provide a new vision to the reader concerning the interpretation of lǐ. We restore the cosmic breath – fractals of binary oppositions relating the microcosm to the macrocosm – at work in the thoughts of the scholar and expose the intimate links uniting rituality to inner moral sense. We argue that an approach integrating and differentiating actuality from potentiality in Xunzi's philosophy provides a solution to the problem of human nature – as conceived by the thinker. Our conceptions of representation and cosmology shed a new light on, respectively, ritual symbolism and cosmological order. We uncover the way in which rituality creates the inner moral sense of individuals, integrates man into society and society into the order of the world. We discover a thinker that extirpates the divine from the transcendent religious dimension to make humanity and human morality the custodians of the sacred.
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L'universalité des droits humains dans le contexte du pluralisme axiologique inhérent aux relations internationales : le cas du confucianisme

Drolet, Marie-Josée 05 1900 (has links)
Résumé La démonstration qui est ici à l’œuvre s’apparente, dans une certaine mesure, à celle qu’élabore Amartya Kumar Sen dans 'The Argumentative Indian'. Dans cet ouvrage, Sen discute de l’héritage intellectuel et politique de l’Inde et de la manière dont cette tradition est essentielle pour le succès de la démocratie et des politiques séculières de l’État indien. Pour notre part, nous ne nous intéressons point à l’Inde, mais à la Chine, notamment à l’héritage intellectuel, politique et moral des lettrés confucéens de l’Antiquité chinoise et à la pertinence de revisiter, aujourd’hui, la réflexion confucéenne classique pour mieux penser et fonder les droits humains en Chine. Plus précisément, notre réflexion s’inscrit au sein du débat contemporain, qui a lieu à l’échelle internationale, entourant les soi-disant valeurs asiatiques et les droits humains. Pour les partisans de la thèse des valeurs asiatiques, les valeurs asiatiques seraient associées au modèle de développement dit asiatique, lequel se distinguerait du modèle « occidental » en étant en outre réfractaire aux droits humains. Ces droits ayant une origine occidentale et étant, à maints égards, en rupture avec les valeurs asiatiques, ils ne seraient ni souhaitables en Asie (notamment en Chine) ni compatibles avec les valeurs asiatiques (spécialement avec les valeurs confucéennes). Dans notre thèse, nous réfutons ce point de vue. Par l’entremise d’une analyse de la 'Déclaration universelle des droits de l’homme' de 1948 et d’un examen des quatre textes fondateurs du confucianisme classique que sont : les 'Entretiens' (Lunyu), le 'Mencius' (Mengzi), la 'Grande Étude' (Daxue) et la 'Pratique du Milieu' (Zhongyong), nous démontrons que cette compréhension des choses s’avère injustifiée. Les droits humains ne sont pas incompatibles avec les valeurs confucéennes et leur adoption est souhaitable en Asie (notamment en Chine), tout comme elle l’est en Occident. De fait, la philosophie des droits humains et la pensée confucéenne classique ont de nombreuses affinités conceptuelles, axiologiques et normatives. Loin d’être en rupture, ces univers théoriques convergent, car ils ont tous deux à cœur l’être humain, ses besoins vitaux et son épanouissement au sein de la communauté. Notre démonstration s’appuie, pour une large part, sur l’analyse d’un concept phare de la pensée éthique et politique confucéenne, soit la notion d’humanité ou du sens de l’humain (ren) ainsi que d’une autre notion qui lui est étroitement liée, soit celle de l’homme de bien ou de la personne moralement noble (junzi). / Abstract The demonstration elaborated here is similar, to a certain extent, to the one developed by Amartya Kumar Sen in The 'Argumentative Indian'. In his work, Sen discusses India’s intellectual and political inheritance, and the way this tradition is essential for the success of the democracy and secular politics of the Indian State. For our part, our interest lies not with India, but with China, quite particularly with the intellectual, political and moral legacy of the early Confucian scholars, and the relevancy to revisit, nowadays, Classical Confucian teachings in order to conceive and establish human rights in China. More precisely, our reflection lies within the contemporary debate, which takes place on an international scale, surrounding the so-called Asian values and human rights. For the advocates of the Asian values thesis, Asian values would be associated with the so-called Asian development model, which would distinguish itself from the « Western » model by resisting for instance human rights. These rights, having a western origin and being, in many respects, in breach with Asian values, would be neither desirable in Asia (particularly in China) nor compatible with Asian values (specifically with Confucian values). In our thesis, we refute this point of view. By the intervention of an analysis of the 'Universal Declaration of Human Rights' of 1948 and an examination of four texts founders of the Classical Confucianism who are: the 'Analects' (Lunyu), the 'Mencius' (Mengzi), the 'Great Learning' (Daxue), and the 'Practice of the Mean' (Zhongyong), we demonstrate that this understanding of things is unjustified. Human rights are not incompatible with Confucian values and their adoption is desirable in Asia (including China), quite as it is in Western countries. Actually, the philosophy of human rights and the Classic Confucian thought have numerous conceptual, axiological and normative affinities. Far from being in opposition, these theoretical views converge, because they both care about the human being, his vital needs, and his self-fulfillment within the community. Our demonstration leans, for the most part, on the analysis of a key concept of the Confucian ethical and political thought that is the notion of humanity, or humaneness (ren) and the closely related notion of gentleman, or morally noble person (junzi).
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L'universalité des droits humains dans le contexte du pluralisme axiologique inhérent aux relations internationales : le cas du confucianisme

Drolet, Marie-Josée 05 1900 (has links)
Résumé La démonstration qui est ici à l’œuvre s’apparente, dans une certaine mesure, à celle qu’élabore Amartya Kumar Sen dans 'The Argumentative Indian'. Dans cet ouvrage, Sen discute de l’héritage intellectuel et politique de l’Inde et de la manière dont cette tradition est essentielle pour le succès de la démocratie et des politiques séculières de l’État indien. Pour notre part, nous ne nous intéressons point à l’Inde, mais à la Chine, notamment à l’héritage intellectuel, politique et moral des lettrés confucéens de l’Antiquité chinoise et à la pertinence de revisiter, aujourd’hui, la réflexion confucéenne classique pour mieux penser et fonder les droits humains en Chine. Plus précisément, notre réflexion s’inscrit au sein du débat contemporain, qui a lieu à l’échelle internationale, entourant les soi-disant valeurs asiatiques et les droits humains. Pour les partisans de la thèse des valeurs asiatiques, les valeurs asiatiques seraient associées au modèle de développement dit asiatique, lequel se distinguerait du modèle « occidental » en étant en outre réfractaire aux droits humains. Ces droits ayant une origine occidentale et étant, à maints égards, en rupture avec les valeurs asiatiques, ils ne seraient ni souhaitables en Asie (notamment en Chine) ni compatibles avec les valeurs asiatiques (spécialement avec les valeurs confucéennes). Dans notre thèse, nous réfutons ce point de vue. Par l’entremise d’une analyse de la 'Déclaration universelle des droits de l’homme' de 1948 et d’un examen des quatre textes fondateurs du confucianisme classique que sont : les 'Entretiens' (Lunyu), le 'Mencius' (Mengzi), la 'Grande Étude' (Daxue) et la 'Pratique du Milieu' (Zhongyong), nous démontrons que cette compréhension des choses s’avère injustifiée. Les droits humains ne sont pas incompatibles avec les valeurs confucéennes et leur adoption est souhaitable en Asie (notamment en Chine), tout comme elle l’est en Occident. De fait, la philosophie des droits humains et la pensée confucéenne classique ont de nombreuses affinités conceptuelles, axiologiques et normatives. Loin d’être en rupture, ces univers théoriques convergent, car ils ont tous deux à cœur l’être humain, ses besoins vitaux et son épanouissement au sein de la communauté. Notre démonstration s’appuie, pour une large part, sur l’analyse d’un concept phare de la pensée éthique et politique confucéenne, soit la notion d’humanité ou du sens de l’humain (ren) ainsi que d’une autre notion qui lui est étroitement liée, soit celle de l’homme de bien ou de la personne moralement noble (junzi). / Abstract The demonstration elaborated here is similar, to a certain extent, to the one developed by Amartya Kumar Sen in The 'Argumentative Indian'. In his work, Sen discusses India’s intellectual and political inheritance, and the way this tradition is essential for the success of the democracy and secular politics of the Indian State. For our part, our interest lies not with India, but with China, quite particularly with the intellectual, political and moral legacy of the early Confucian scholars, and the relevancy to revisit, nowadays, Classical Confucian teachings in order to conceive and establish human rights in China. More precisely, our reflection lies within the contemporary debate, which takes place on an international scale, surrounding the so-called Asian values and human rights. For the advocates of the Asian values thesis, Asian values would be associated with the so-called Asian development model, which would distinguish itself from the « Western » model by resisting for instance human rights. These rights, having a western origin and being, in many respects, in breach with Asian values, would be neither desirable in Asia (particularly in China) nor compatible with Asian values (specifically with Confucian values). In our thesis, we refute this point of view. By the intervention of an analysis of the 'Universal Declaration of Human Rights' of 1948 and an examination of four texts founders of the Classical Confucianism who are: the 'Analects' (Lunyu), the 'Mencius' (Mengzi), the 'Great Learning' (Daxue), and the 'Practice of the Mean' (Zhongyong), we demonstrate that this understanding of things is unjustified. Human rights are not incompatible with Confucian values and their adoption is desirable in Asia (including China), quite as it is in Western countries. Actually, the philosophy of human rights and the Classic Confucian thought have numerous conceptual, axiological and normative affinities. Far from being in opposition, these theoretical views converge, because they both care about the human being, his vital needs, and his self-fulfillment within the community. Our demonstration leans, for the most part, on the analysis of a key concept of the Confucian ethical and political thought that is the notion of humanity, or humaneness (ren) and the closely related notion of gentleman, or morally noble person (junzi).

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