• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 290
  • 170
  • 71
  • 18
  • 17
  • 13
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 616
  • 616
  • 283
  • 281
  • 198
  • 194
  • 175
  • 173
  • 124
  • 105
  • 100
  • 88
  • 81
  • 74
  • 47
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
581

Forever England : femininity, literature, and conservatism between the wars /

Light, Alison, January 1991 (has links)
Revision of thesis (Ph. D.)--University of Sussex. / Includes bibliographical references (p. [263]-273) and index.
582

The surveillance of the Chinese in Canada during the Great War

Rowe, Allan January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
583

La série Mad Men : une élégie de la révolution créative dans les années soixante

Traistaru, Felicia 08 1900 (has links)
No description available.
584

Palimpsestes de la femme nouvelle dans le récit moderniste au féminin : 1900-1940

Dugas, Marie-Claude 05 1900 (has links)
No description available.
585

Un antisémitisme latent ?La criminalisation du juif de Cureghem par la Sûreté Publique et ses institutions partenaires (1880 – 1930)

Zian, Yasmina 03 May 2018 (has links)
En Allemagne, l’expérience de la Première Guerre mondiale a radicalisé les mouvements antisémites. La rancœur engendrée par la défaite a servi à cimenter la haine du juif .Mais qu’en est-il en Belgique ?Dans ce pays, pendant la période étudiée (1880-1930), aucun mouvement ne se déclare antisémite. De plus, le pays sortant victorieux de la Première Guerre mondiale, l’expérience de guerre n’apporte pas de l’eau au moulin des quelques défenseurs de l’antisémitisme comme idéologie. Pourtant des recherches révèlent la présence d’un antisémitisme latent en Belgique avant les années trente, pendant que d’autres indiquent que les attitudes des autorités belges pendant la Deuxième Guerre mondiale sont largement imprégnées d’un habitus xénophobe et de « réflexes parfois inconscients d’exclusion ou de marquage social ».Afin d’interroger ces résultats, cette thèse de doctorat a pour objectif d’approcher les mécanismes de criminalisation des étrangers juifs de Cureghem par la Sûreté publique. Pour ce faire, nous questionnons le concept d’antisémitisme latent à un niveau chronologique (avant, pendant et après la Première Guerre mondiale), social (les représentations présentes au sein de la police à l’égard des juifs étrangers) et politique (les pratiques et l’habitus de la police). Il s’agit donc d’analyser les représentations des agents sur ce groupe d’étrangers, de déceler les conséquences de ces dernières sur les pratiques policières pour finalement appréhender l’évolution de cet antisémitisme tout au long de la période 1880-1930.Cette thèse de doctorat met en évidence quatre constatations majeures :D’abord, la guerre a permis de complexifier et perfectionner l’appareil étatique de surveillance. Ensuite, l’hostilité de la police des étrangers à l’égard des étrangers d’origine juive ne s’exprime pas de façon systématique. En effet, les fonctionnaires de la police des étrangers mobilisent leurs préjugés dans des contextes particuliers. Malgré la présence d’une représentation négative du juif chez les fonctionnaires, ceux-ci peuvent également pratiquer une forme d’« abstention volontaire » dans l’expression de préjugés anti-juifs. Aussi, s’il atteste de la réalité d’une hostilité à l’égard des juifs, ce travail prouve également que les étrangers d’origine juive ne sont pas les seuls à connaître des discriminations. En fonction de l’époque et du lieu, il arrive à la police des étrangers de criminaliser différents groupes. Cette attitude est mise en évidence grâce à l’étude de groupe comme les Italiens colporteurs avant la guerre ou les Italiens antifascistes dans les années vingt.Enfin, ce travail révèle que les étrangers d’origine juive ne sont pas identifiés seulement comme étant juifs, mais aussi comme Polonais, Russes ou Hollandais. Les catégories nationales jouent un rôle prédominant dans la construction des représentations sur le juif. De même, le genre devient une catégorie pertinente quand il s’agit du contrôle, mais également de la punition d’un étranger. Un dernier élément important se dégage de cette recherche :cette thèse démontre que le terme « racisme institutionnel » (V. Sala Pala, 2010 ) peut être utilisé pour qualifier l’attitude de la police des étrangers. Ce qui, grâce à l’analyse de cette institution étatique dont la tâche est d’apprécier l’intérêt de la présence d’un étranger sur le territoire national, sert également à porter un certain éclairage sur l’actualité. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
586

Polonais-es et Juif-ve-s polonais-es réfugié-e-s à Lyon (1935-1945) : esquives et stratégies / Polish refugees and Polish jewish refugees in Lyon (France) 1939-1945 : sidesteps and strategies

Prempain, Laurence 05 December 2016 (has links)
Laurence Prempain consacre sa thèse de doctorat d’histoire aux Polonais-es et Juif-ve-s polonais-es venu-e-s vivre à Lyon (France) entre 1935 et 1945. Dans une première partie, elle présente le cadre géographique (Lyon) ainsi que sa méthodologie (approche par le genre, choix de la microhistoire, le silence comme source) et sa volonté de donner à entendre leurs voix afin de les placer au coeur de sa démarche. Pour cela, suite au dépouillement de quelque 600 dossiers administratifs constitués par le bureau de contrôle des étrangers (préfecture du Rhône), les lettres qu’ils-elles ont écrites ont été collectées pour ce qu’elles mettent au jour de la lutte de leurs auteur-e-s pour vivre et survivre. L’historienne part du postulat que les Polonais-es et Juif-ve-s polonais-es venu-e-s en France composent une population hétérogène n’ayant en commun qu’un rattachement à une citoyenneté, mais qu’ils-elles n’en demeurent pas moins des réfugié-e-s économiques, politiques ou de guerre. Ainsi, un temps considéré-e-s comme les bienvenu-e-s, les ressortissant-e-s polonais-es sont tous-tes, à un moment de leur parcours de vie, considéré-e-s comme indésirables. Aussi, la deuxième partie est consacrée à l’exploration des procédés auxquels la Troisième République, puis le régime de Vichy ont recours : expulsions, refoulements, exclusions, internements sinon déportation. Par ailleurs, l’auteure s’intéresse aux sorties de guerre et démontre l’existence d’une dimension genrée de l’épuration, comme expression d’une tentative de réappropriation de l’autorité. L’attention est également portée sur l’organisation du rapatriement des étranger-ère-s déporté-e-s raciaux et politiques. Enfin, dans une troisième partie, elle affirme que loin de subir, ces hommes et femmes agissent et développent des stratégies évolutives. Au travers des lettres qu’ils-elles ont écrites, de ce qui est dit mais aussi passé sous silence, elle établit que ces stratégies semblent relever de ce qu’elle choisit de nommer esquive et transgression. L’une s’accommode des limites quand l’autre s’y oppose délibérément. Esquive et transgression se complètent. Il est montré qu’à l’arbitraire sans cesse croissant du régime de Vichy, répondent des stratégies de plus en plus transgressives, dont relèvent notamment le passage de frontière, l’entrée en clandestinité et en résistance. Le passage d’une forme de stratégie à l’autre dépend de l’individu, du contexte, de ses habiti, de son parcours et de son identité. L’historienne conclut qu’en 2016, la crise des réfugié-e-s qui secoue l’Europe résonne des mêmes voix, de celles et ceux qui cherchent à protéger leurs vies et à vivre dans la dignité / Laurence Prempain dedicates her PhD (History) to the study of the Poles and Polish Jews who came to live in Lyon (France) between 1935 and 1945. In the first part, she presents the geographical framework (Lyon), her methodology (Gender approach, microhistory and silence as a source) and her will to understand their voices and place them to the heart of her work. For that purpose, upon the examination of approximately 600 administrative files amassed by the « bureau des étrangers » (préfecture du Rhône), the letters they wrote have been then systematically collected to shed light on their authors’ struggle to live and survive. The historian starts from the postulate that Poles and Polish Jews in France make up a heterogeneous population, only sharing a common citizenship, nonetheless they remain economic, political and war refugees. Thus, once considered welcomed, all Polish nationals are , at their life, considered as unwanted, « indésirables ». Therefore, the second part investigates the processes used by the Third Republic and then the Vichy Regime to get rid of them: expulsions, driving back, exclusions, internments or deportation. Moreover, the author raises the question of the war ends and demonstrates that purges have a gendered dimension, which can be seen as an attempt of reappropriation of the authority. She also focuses on the foreign deportees repatriation’s organisation. Finally, in a third part, she asserts that far from being subjected, these men and women have acted and developped evolutive strategies. Through the letters they wrote, through what is said and what is silenced, she establishes that those strategies are a matter of what she names sidestep and transgression. The first one adapts itself with the limits while the other is deliberately opposed to it. Sidestep and transgression complete each other. It is also showed that to the arbitrary of the richy regime respond strategies more and more transgressive, such as clandestinity, cross borders and resistance. The moving from a strategy to another one, depends on the person, the context, the habits, the life course and the identity. The historian concludes that in 2016, the refugees crisis that shakes Europe resonates of the same voices, of those who are looking for protecting their lives and to living in dignity..
587

Les écoutes radioélectriques et les services techniques des Transmissions dans la Résistance française, 1940-1945 : le Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), le Service des transmissions nationales (STN) et le « Groupe Romon » du Service de renseignements (SR) Alliance / The radio listening and the technical services of Transmissions in the French Résistance, 1940-1945

Romon, François 15 April 2015 (has links)
Une forme de résistance spécifique et méconnue : la continuation du combat contre l’envahisseur allemand menée au sein des services techniques des Transmissions de l’armée française, notamment du Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), dès le lendemain de l’armistice de juin 1940, et poursuivie jusqu’à la victoire finale. Une résistance initiée par des officiers des Transmissions au coeur même des institutions de l’Etat français, consistant à communiquer secrètement du renseignement militaire aux Forces alliées. Cette résistance latente débouche, après novembre 1942, sur une résistance active par la formation d’un réseau clandestin, le Service des transmissions nationales (STN), sous l’égide de NAP-PTT, puis sur son intégration, en octobre 1943, sous le nom de « Groupe Romon », au réseau Alliance, ainsi que sur l’entrée de nombreux opérateurs radio du GCR dans divers autres réseaux de résistance.Le cas d’une résistance intérieure, qui a contribué efficacement à la victoire finale des Forces alliées, malgré une répression systématique et féroce de l’occupant. / A specific and hardly known way of resistance: the continuation of the fight against the german invader led within the technical services of Transmissions of French army, especially the Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), the Radio control Group, immediatly after the armistice of June 1940 and carried on until the final victory. A resistance at the initiative of Transmission officers, which, at the heart of the institutions of the Etat français, French State, have secretly communicated military intelligence to the allied Forces. This latent resistance leads, after november 1942, up to an active resistance by the implementation of a clandestine network, the Service des transmissions nationales (STN), the National Transmissions Service, under the aegis of NAP-PTT, then to its integration, in october 1943, under the name « Groupe Romon », to the resistance network Alliance, as well as the commitment of numerous GCR transmitters in various other resistance networks.The case of a resistance from the inside which has effectively contributed to the final victory of the Allied, despite a systematic and ferocious repression from the occupant.
588

Le Surréalisme-Révolutionnaire et Cobra à l'épreuve de la violence: contribution à l'histoire des représentations

Debrocq, Aliénor 12 June 2012 (has links)
Créé le 8 novembre 1948 à Paris par huit peintres et écrivains belges, hollandais et danois, Cobra est l’acronyme de Copenhague, Bruxelles, Amsterdam. Le mouvement se propose rapidement de devenir un lien souple entre artistes et poètes de différents pays, par le biais d’un certain nombre de publications et d’expositions. Son existence officielle sera brève, puisqu’elle prend fin en 1951 avec le dernier numéro de la revue éponyme. Si les premières tentatives d’analyse historique et de synthèse sont venues des artistes et des poètes membres du mouvement, plusieurs études abouties ont vu le jour depuis les années 1970.<p>S’appuyant sur un certain nombre d’affirmations émanant des acteurs de Cobra comme des historiens ayant écrit sur le sujet, l’auteur s’est penché sur la question de la violence picturale et théorique au sein de ce mouvement. Picturale, par la propension des artistes à brouiller la lisibilité de la composition et des figures, par leur volonté de « faire brut » et enfantin, de « mal peindre », de maltraiter le sujet en le rendant méconnaissable, hybride, défiguré. Théorique, par un certain nombre de déclarations (pour la plupart, parues dans la revue Cobra) véhémentes, engagées, politiques, relatives au climat sociopolitique de l’après-guerre comme au contexte artistique et culturel contemporain.<p>Au cours des recherches, il est apparu que la violence de Cobra était plus ambiguë que ce qui avait été imaginé initialement. Elle relève en réalité d’une forme d’instrumentalisation émanant des acteurs, qui ont multiplié les effets rhétoriques, les attitudes et les déclarations allant dans ce sens, conduisant Cobra à user d’une violence « décorative » nettement instrumentée :un outil utilisé par les artistes dans la construction de leur image, de leur identité individuelle et collective. Cette piste a ainsi débouché vers d’autres résultats que ceux imaginés au préalable mais n’en a pas moins permis de réévaluer le mouvement sur le plan de l’histoire des représentations, en étudiant les stratégies développées par ses membres dans les œuvres et les discours. La mise en perspective critique de ceux-ci a permis de cerner la capacité rhétorique de certains membres de Cobra, qui ont valorisé l’image d’un mouvement artistique résolument « moderne », c’est-à-dire violent et revendicateur, tout en puisant leur inspiration dans certaines formes d’art primitives et brutes.<p>La thèse s’articule de façon thématique, autour de quatre pôles révélateurs des formes et du sens de la violence détectée dans les œuvres et les discours des Cobra :<p>Répondre à la guerre – Cobra face au siècle<p>Une violence générationnelle<p>Le primitif ou le jeu de la violence<p>Aspirations libertaires<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
589

Voir et entendre la destruction des Juifs d'Europe: histoire parallèle des représentations documentaires à la télévision allemande et française, 1960-2000

Maeck, Julie 03 May 2007 (has links)
Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe analyse l’aporie sur laquelle butent les documentaires à la télévision française et allemande, de 1960 à 2000. De Nuit et Brouillard du Français Alain Resnais aux séries de l’Allemand Guido Knopp, en passant par le Mein Kampf de Erwin Leiser, par Les Dossiers de l’écran consacrés à la diffusion d’Holocaust à la télévision française, par Shoah de Claude Lanzmann et d’autres films majeurs, tous s’affrontent à l’impossibilité de représenter, via l’image d’archives et le témoignage, de donner à « voir » et à « entendre » l’extermination de plus de cinq millions de personnes. L’examen minutieux de l’usage du témoignage et de l’image d’archives permet de dégager les stratégies mises en place, au fil du temps, par les réalisateurs pour contourner cette aporie. Les métamorphoses du statut et de la fonction des traces sonores et visuelles au sein du récit documentaire jettent également un éclairage sur la définition fluctuante de l’événement historique, sur les déplacements de regards et de sens portés sur le matériel iconographique et les souvenirs des acteurs de l’époque qui bousculent immanquablement la perception de l’histoire des Juifs sous le nazisme.<p>Parallèlement à cette analyse interne, proposant un savoir non plus livresque du film, mais, au contraire un savoir qui intègre ses qualités propres, que sont l’audio et le visuel, la focale s’élargit au contexte mémoriel de la réalisation et de la diffusion du film afin d’évaluer le degré de singularité du discours élaboré par son auteur. Le documentaire est-il créateur de débats et d’événements, de sources de représentations et de croyances ?Donne-t-il, au contraire, au débat l’occasion de s’exprimer, limitant alors son rôle à un effet de miroir – fidèle ou non – des mémoires collectives ?Au regard de la connexité des sources (orales, visuelles et scripturales) entre l’historien et le réalisateur de documentaires, se superpose une interrogation relative à la nature du discours énoncé par le film :est-il d’ordre historique ou métahistorique ?Est-il du domaine de la connaissance ou, au contraire, s’inscrit-il dans la perspective d’un discours sur l’histoire utilisant les données historiques pour servir des enjeux du temps présent qui imposent ce dont il faut se souvenir ?<p>Cette approche, replaçant les représentations documentaires dans leur propre contexte mémoriel et historiographique s’enrichit d’une perspective comparatiste entre les représentations documentaires allemandes et françaises qui a l’avantage de sortir des débats et enjeux nationaux relatifs au film documentaire.<p>Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe présente ainsi une histoire culturelle et critique de la mémoire télévisuelle de l’événement juif de la Seconde guerre mondiale<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
590

Entre rupture et continuité: le champ littéraire belge après la seconde guerre mondiale (3 septembre 1944-8 octobre 1960)

Freche, Bibiane 28 April 2006 (has links)
Le champ littéraire belge francophone du second après-guerre n'a jamais fait l'objet d'une étude approfondie et exhaustive. Après avoir rappelé les conditions littéraires et culturelles de la Seconde Guerre mondiale, nous étudions l'épuration du champ littéraire, à savoir la réorganisation de celui-ci, par des instances qui lui sont extérieures. Nous analysons ensuite les rapports entre les écrivains et les institutions publiques et littéraires, avant de nous atteler à la description du champ littéraire de l'après-guerre. Nous tentons d'y décrire la position et les prises de positions des différents agents en présence. Se déploie alors en filigrane l'image d'une institution littéraire faible, incapable de faire émerger un nombre conséquent des auteurs de l'époque. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0465 seconds