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Fondements métaphysiques des probabilités leibniziennes par le degré de perfection des mondes possibles

Boucher, Jean-Philippe 08 1900 (has links)
No description available.
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Le problème de l’expérience consciente : une tentative de dissolution / The problem of conscious experience : an attempted dissolution

Kammerer, François 01 December 2016 (has links)
L’expérience consciente pose un problème au physicalisme métaphysique. Il semble en effet difficile de comprendre comment une chose purement physique, telle que le cerveau, peut avoir des expériences conscientes. La stratégie des concepts phénoménaux constitue la voie actuellement la plus suivie par ceux qui désirent répondre à cette difficulté et défendre le physicalisme métaphysique. Elle consiste à rendre compte de nos intuitions anti-physicalistes concernant la conscience dans un cadre purement physicaliste, par une théorie de nos concepts d’expériences conscientes. Ce travail de thèse consiste en une présentation et en une discussion critique de cette stratégie. Ce travail montre que les différentes versions actuelles de cette stratégie échouent toutes à rendre compte de nos intuitions anti-physicalistes, parce qu’elles ne parviennent pas à rendre compte du caractère cognitivement substantiel de notre saisie de la conscience, et parce qu’elles manquent d’expliquer la robustesse conceptuelle de ces intuitions. Ce travail de thèse propose également une nouvelle théorie des concepts phénoménaux qui résout ces difficultés. Cette théorie analyse les concepts phénoménaux comme des concepts dotés d’un contenu cognitif substantiel, en vertu duquel ces concepts caractérisent les expériences conscientes comme des états mentaux situés dans une relation épistémologique particulièrement intime à l’égard du sujet dont ce sont les expériences. Cette théorie permet de dissoudre le problème métaphysique de la conscience d’une manière satisfaisante. / Conscious experience constitutes a problem for physicalism. Indeed, it seems difficult to understand how something purely physical (such as the brain) can have conscious experiences. The phenomenal concept strategy is perhaps the most popular strategy for those who want to address this problem and defend physicalism. This strategy tries to account for our anti-physicalist intuitions regarding consciousness from within a purely physicalist framework, by way of a theory of our concepts of conscious experiences. This dissertation consists firstly in a presentation and a critical discussion of current versions of the phenomenal concept strategy. It tries to show that the various theories belonging to this strategy (broadly construed) all fail to give a satisfying account of anti-physicalist intuitions regarding consciousness; first, because they cannot give an account of our cognitively substantial grasp of consciousness (a grasp which is at the basis of our anti-physicalist intuitions); second, because they cannot explain the conceptual robustness of those intuitions. This dissertation also seeks to put forth a new theory of phenomenal concepts, one able to address those difficulties. This new theory describes phenomenal concepts as concepts that possess substantial cognitive content, in virtue of which they characterize conscious experiences as mental states which stand in a particularly intimate epistemological relation with the subject who has them. I argue that this theory manages to solve the various difficulties encountered by other theories of phenomenal concepts, thus allowing us to dissolve the metaphysical problem of consciousness in a satisfying way.
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La doctrine de la science de Fichte : le dépassement de la dichotomie du sujet et de l'objet

Proulx, Francis 02 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire cherche à exposer la solution (qui est ici désignée comme idéalisme pratique ou transcendantal) que le philosophe allemand Johann Gottlieb Fichte proposa, dans le contexte de sa Doctrine de la science de 1794 et 1795 et de sa Doctrine de la science nova methodo de 1796 à 1799, au problème, traditionnel dans l'histoire de la philosophie, du dépassement de la dichotomie de l'objet et du sujet et, par voie de conséquence, à celui du dépassement du dualisme du réalisme et de l'idéalisme. Ce n'est qu'après avoir bien pris soin de développer (à l'intérieur d'un premier chapitre) les trois principes fondamentaux de cette doctrine, ainsi que leur articulation au sein d'une philosophie théorique (à l'intérieur d'un deuxième chapitre) et d'une philosophie pratique (à l'intérieur d'un troisième chapitre) que la solution fichtéenne à cette question est éclairée. Une telle réponse, qui s'exprime en termes d'identité de l'objet et du sujet, fait intervenir un Sujet absolu (Moi absolu), puisque cette identité sujet-objet n'est chez Fichte rien d'autre que ce Sujet absolu. Tandis qu'on montre (dans le deuxième chapitre) que la doctrine théorique de Fichte permet de rendre compte de la mise en finitude de l'infinitude du Sujet absolu (à travers l'entrée du sujet fini (Moi fini) dans une opposition dichotomique avec l'objet (Non-Moi) suite à un choc), on montre ensuite (dans le troisième et dernier chapitre) que la doctrine pratique de Fichte permet aussi, à l'inverse, de rendre compte de la mise en infinitude de la finitude du sujet fini à travers la sortie de son opposition dichotomique avec l'objet grâce à un effort vers une identification de l'objet (qui lui est bien sûr opposé) avec lui-même et, à plus forte raison, grâce à un effort vers une mise en identité de lui (en tant que sujet fini) avec lui-même (en tant que Sujet absolu). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sujet/Objet, Idéalisme/Réalisme, Métaphysique, Philosophie allemande.
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La pensée omnidimensionelle. Modèles d'analyse quantique de l'Idéologie générale et des idéologies restreintes

Côté, Luc January 2000 (has links) (PDF)
La présente thèse se veut d'abord l'ébauche d'une nouvelle base sur laquelle fonder une théorie de l'Idéologie qui soit efficace à la fois pour la description et la prédiction scientifique des phénomènes sociaux qui relèvent des orientations idéologiques au sein des sociétés. Par là, on cherche à unifier les diverses approches antérieures sur le sujet, de façon à ce qu'elles se complètent plutôt que de s'opposer les unes aux autres. Inspirée à l'origine par l'initiative de Louis Althusser, on s'en est cependant quelque peu détaché en utilisant et en adaptant des concepts appartenant à la physique contemporaine, conjugués à une métaphysique d'allégeance matérialiste dérivée des écrits de Schopenhauer sur la "Volonté". Celle-ci est prise comme moteur de l'identité plus ou moins consciente que prennent les différentes formes locales et ponctuelles de la matière universelle. Cette identité étant particulièrement "active" chez l'être humain, on prend sa forme humaine comme une exagération de l'instinct animal ou de l'inertie observable chez les choses. Suit alors une réflexion sur les différentes façons avec lesquelles peut se concrétiser un "apaisement" de la volonté (dans un "bonheur" correspondant à l'état de repos inertiel de la matière) d'entités humaines à travers les représentations arbitraires qui les font interagir entre-elles avec un égoïsme inconscient, justifié politiquement par une prétention de connaissance plus juste de la "Volonté" universelle. Ayant pour prémisse que toutes les volontés relatives sont incluses dans cette insaisissable "Volonté" universelle, on se lance alors dans une étude des relations politiques entre lesdites entités. La problématique centrale étant celle du positionnement relatif des multiples conceptions possibles du monde dans lequel l'être humain évolue, on s'est en premier lieu concentré sur l'élaboration d'une grille d'analyse tridimensionnelle dont les paramètres pouvaient servir à la classification desdites conceptions du monde. Établie en tenant compte de principes de Relativité (inspirés de Albert Einstein), cette grille est volontairement voulue malléable lorsqu'il s'agit d'y évaluer les relations entre entités idéologiques restreintes. Par la suite, on tente de découvrir un principe de généralisation par lequel on pourrait étendre notre analyse au champ Idéologique global. Cette tentative est cependant elle-même relativisée rapidement puisqu'on y admet que son efficacité sine qua non devrait provenir d'une conscience transcendante interdite par sa propre logique. Les conclusions qu'on tire de cette démarche sont un peu paradoxales puisqu'on affirme, en s'appuyant sur un principe d'incertitude adapté de la théorie quantique, que tout système idéologique peut être utilisé efficacement pour prédire les orientations sociales d'un groupe qui l'utilise volontairement. Cependant, un tel système ira totalement à l'encontre de l'objectif de maximisation générale du "bonheur" par lequel on parvient à l'imposer aux entités relatives constituant le groupe social en question. En même temps, on prétend qu'un tel système idéologique peut effectivement donner une description juste du type de bonheur recherché par tous les membres d'un groupe. Dans un tel cas, ledit système sera par contre inutile pour la prédiction des orientations sociales prises par ce groupe. On suggère alors que, pour maximiser réellement le potentiel "bonheur" amené par un système social, une position anarcho-nihiliste anti-historiciste est nécessaire. Loin d'être la promotion du chaos, cette position est simplement annoncée comme une dialectique négative cherchant à éviter des situations définies, à l'inverse des traditionnelles dialectiques positives basées sur la promotion téléologique.
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L’écologie, réponse à la crise de sens? : le défi philosophique de la crise écologique selon la perspective de Hans Jonas

Fyfle, Steve 08 1900 (has links)
La plupart des philosophes s’entendent aujourd’hui pour affirmer qu’il y a une crise de sens en Occident. J.-F. Mattéi l’a démontré sans équivoque dans son ouvrage intitulé La crise de sens (2006). Selon lui, la crise se traduirait par cinq aspects: crise spirituelle, crise religieuse, crise de l’art, crise économique et finalement, crise de la culture. À notre avis, cela est exact, mais incomplet, car Mattéi néglige d’évoquer la crise la plus importante : la crise écologique. L’argument qui nous amène à en postuler la plus haute importance est simple : s’il n’y a plus d’environnement favorable au maintien de la vie humaine, c’est la fin de l’humanité. L’aspect environnemental de la crise ne peut donc pas être occulté de la réflexion concernant son ensemble, car pour nous, elle est l’occasion d’un questionnement philosophique appelé à répondre à cette crise. Dans un livre intitulé Écologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin nous oriente en ce sens en y posant les trois questions suivantes : 1. Est-il possible de qualifier éthiquement ce à quoi nous convie aujourd’hui la préoccupation écologique? 2. Quel rapport au monde et à l’avenir la préoccupation écologique est-elle à même d’instaurer? 3. Quelles sont les possibilités pour que la démarche écologique devienne un lieu éthique à même d’instaurer un rapport homme-nature dans le présent et l’avenir? Ainsi, le questionnement que soulève la crise écologique amène à réfléchir sur le sens et la finalité de la vie humaine et sur la conception même de l’être humain dans son rapport au monde. Le propos de ce mémoire est de répondre à ces dernières questions en nous inspirant des principes éthiques mis en avant dans Le Principe Responsabilité (1990) de Hans Jonas, et cela, dans le but d’en faire ressortir sa pertinence face au défi environnemental actuel. En d’autres termes, nous tâcherons de répondre à la question suivante : Pour la société actuelle et son prolongement, quels sont les aspects les plus pertinents de la thèse de Hans Jonas (1903 – 1993) dans son Principe Responsabilité (1990) concernant la résolution de la crise de sens? À cette fin, le mémoire comporte deux chapitres dont le premier, qui forme le cœur du mémoire, comporte trois parties principales liées aux trois questions posées précédemment. Le deuxième et dernier chapitre comporte premièrement une analyse critique du Principe responsabilité et par la suite son appréciation critique. Méthodologiquement, nous entendons éclairer la nécessité de la responsabilité éthique face à la crise écologique en mettant l’accent sur les thèmes de l’altérité et de la solidarité. C’est de cette manière que nous espérons montrer que la crise écologique actuelle ouvre des avenues possibles à la résolution, au moins partielle, de la crise de sens à laquelle nous sommes actuellement confrontés. / Most philosophers agree today that there is a crisis of meaning in the Western world. J.-F. Mattei, for example, in La crise de sens (2006), unequivocally demonstrates this. According to him, this crisis has five dimensions: spiritual, religious, artistic, economic, and finally, cultural. This is true in my view, although incomplete, because Mattéi does not address the most important crisis: the ecological crisis. The argument that leads me to postulate the utmost importance of this ecological crisis is simple: if the environment is no longer able to sustain human life, humans cease to exist. The environmental aspect of the crisis can thus not be subtracted from a reflection on the overall crisis since, in my view, it offers an opportunity for a philosophical questioning to address this crisis. In the book entitled Écologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin orients us in this direction by raising the following three questions : 1. Is it possible to frame our ecological concerns in ethical terms? 2. How can ecological concerns affect our relationship with the world and with the future? 3. How can the present ecological reflection establish an ethically viable link between man and nature, both now and in the future? The questions raised by the environmental crisis thus lead us to think about the meaning and the finality of human life and also about the concept of human beings in their relationship to the world. The purpose of this memoir is to address these questions by finding inspiration in the ethical principles outlined in The Imperative of Responsibility (1979, English 1984) by Hans Jonas (1903 – 1993), in order to bring out their relevance for the current environmental challenge. In other words, I will answer the following question: In today's society and for the future, what are the most important aspects in Hans Jonas' book on “The Imperative of Responsibility” with regards to the resolution of the crisis of meaning? To accomplish this, the memoir is divided in two chapters. The first is the body of the memoir which contains three main parts related to the three questions raised above. The second and final chapter contains an initial critical analysis of The Imperative of Responsibility followed by an appreciation by Hans Jonas. Methodologically, I intend to shed light on the need for ethical responsibility in face of the ecological crisis by focusing on the themes of otherness and solidarity. In this way, I hope to show that the ecological crisis opens up possible avenues for the resolution, at least in part, of the crisis in meaning we are now facing.
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Émanation et métaphysique de la lumière dans Vérité et méthode de Gadamer

Doyon, François 10 1900 (has links)
Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude. / My thesis shows the presence and role of metaphysics in Truth and Method. It attempts to show that Gadamer builds upon Neoplatonism to overcome the subjectivism of modernity and offers a metaphysics in this regard. It explains how Gadamer reclaims the legacy of Greek thought to criticize modernity, placing his interpretation of Plato compared to that of Heidegger, I argue that Gadamer appropriates Plotinus’ concept of being in such a way that it may lean to think of self-presentation of being in the hermeneutic experience of truth. In that sense, art is going to be a source of truth under the leadership of Neoplatonism. Gadamer gives an ontological dignity to art through the concept of emanation, a concept which suggests that there is a real presence of the represented in its representation, the latter derived from the represented without weakening it, providing it instead with more being. The concept of emanation then gives Gadamer an opportunity to affirm the indissoluble bond that unites words and things. Thomas Aquinas’ doctrine of the inner word indeed implies the link that Plato had covered up by making language, like logic, a mere domination instrument of the real. The use of the Neoplatonic concept of emanation makes it possible to overcome the logos of Greek philosophy and to better account for the being of language. I then show how Gadamer radicalized his thinking as he says that the being that can be understood is language, which means that being, as in Plotinus, is self-presentation. To this end, Gadamer links the being of language to Neoplatonic metaphysics of light. The last pages of Truth and Method recall indeed that the splendor of beauty is an expression for the truth of being. The concept of hermeneutic truth is then connected to its metaphysical origins. Truth is a display for the being in which we can partake only if one gets overwhelmed by its light. Far from being a matter of methodical control, the experience of truth requires to be possessed by what must be understood. In this way, I demonstrate that Gadamer found in Neoplatonism elements to challenge the dictatorship of the modern subject, which must be reversed because it hides the real relationship of man with truth by ignoring the finitude of its concrete existence. The criticism of modern subjectivism led by Neoplatonism opens the way to a metaphysics of finitude.
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Vinícius de Moraes e a poesia metafísica

Santos, Juliana January 2007 (has links)
Souvent, les critiques divisent la production poétique de Vinicius de Moraes en deux phases, la phase mystique et la phase sociale. La “première” est composée des oeuvres suivantes: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos Poemas (1938) et Cinco elegias (1943). La “deuxième phase” comprend principalement: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) et Novos Poemas II (1959). Certains théoriciens, tels que Renata Pallotini et Otto Lara Resende, considèrent la production initiale de Moraes – tournée vers les questions métaphysiques – comme un expérimentalisme esthétique; d’après eux, cette production a vite été abandonnée pour céder la place au véritable poète, qui se consacra à la lyrique à tendance sociale et amoureuse. D’autres critiques, comme Antonio Candido et David Mourão Ferreira, ne partagent pas cette opinion et défendent l’idée d’une réélaboration de ces débuts en une sorte d’“humanisation du sentiment religieux”. Sur la base de ces points de vue, le présent travail analyse la poésie initiale de Moraes, avec l’accent sur ses principales caractéristiques et ses influences. D’autre part, il présente quelques poèmes de la production finale de l’auteur et certaines créations musicales, dans le but de montrer le parcours des fondements et du symbolisme religieux dans la production artistique du poète. L’étude se penche tout d’abord sur la fortune critique de Moraes, puis analyse des compositions poétiques et musicales, en s’appuyant sur le texte biblique et les fondements théoriques de la lyrique, de la métaphysique et de l’imaginaire. La recherche a permis de caractériser la poésie inaugurale en ce qui concerne la question de la religiosité. Partant de là, il a été possible de mettre en évidence la permanence de ces éléments à caractère métaphysique, aussi bien au niveau de la poésie finale que de la chanson, ce qui va à l’encontre de la thèse de l’artificialisme de sa production initiale. / Freqüentemente, os críticos dividem a produção poética de Vinicius de Moraes em duas fases, intitulando-as fase mística e social. Fazem parte da chamada “primeira fase” as seguintes obras: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos poemas (1938) e Cinco elegias (1943). A “segunda fase” é composta principalmente pelos seguintes livros: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) e Novos poemas (II) (1959). Alguns estudiosos, como Renata Pallotini e Otto Lara Resende, consideram a produção inicial de Vinicius, voltada para questões metafísicas, como um experimentalismo estético, logo abandonada para dar lugar ao verdadeiro poeta que se apresentaria em um segundo momento, dedicado à lírica de tendência social e amorosa. Outros críticos, como Antonio Candido e David Mourão Ferreira, contrariando tal posicionamento, defendem a idéia de uma reelaboração destes princípios para uma espécie de “humanização do sentimento religioso”. Partindo desses posicionamentos, este trabalho dedica-se ao estudo da poesia inicial de Vinicius, destacando as suas principais características e influências, e ainda à apresentação de alguns poemas da sua produção final e de algumas criações musicais, como forma de lançar luz sobre o percurso dos fundamentos e do simbolismo religiosos na produção artística do poeta. Inicialmente, foi feita uma revisão da fortuna crítica de Vinicius e, em seguida, realizou-se a análise das composições poéticas e musicais, tomando por base o texto bíblico e os fundamentos teóricos da lírica, da metafísica e do imaginário. A pesquisa permitiu caracterizar a poesia inaugural, no que tange à questão da religiosidade e, a partir disso, dar visibilidade à permanência destes elementos de caráter metafísico, tanto na poesia final quanto na canção, o que contraria a tese do artificialismo de sua produção inicial.
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Philosophie et histoire dans la pensée d'Eric Weil / Filosofia e historia no pensamento de Eric Weil

Castelo Branco, Judikael 11 October 2017 (has links)
La philosophie d’Eric Weil présente une structure systématique dont l’interprétation des composants n’est pas facilement concevable. Le titre “Philosophie et histoire dans la pensée d'Eric Weil” propose une lecture complète du système weilian visant à sa compréhension à travers un élément qui traverse tout son travail : l’histoire. Notre hypothèse est que Weil présente une manière originale de penser à l’histoire qui, sans constituer une “philosophie particulière”, peut être un principe herméneutique pour l’interprétation de sa pensée. Nous voulons montrer que la question de l’histoire représente une position originale en s’éloignant de l’inspiration hegelienne et de la pensée heideggerienne; et fondamental, parce que la pensée de Weil ne peut être comprise sans référence à la réflexion sur l’histoire et à l’homme qui pose des questions sur l’histoire. Notre thèse se développe à partir de la tâche qui exige à la fois la présentation des problèmes inhérents à la conception d’une philosophie de l’histoire et la détermination du fil qui pointe vers son unité interne et son articulation avec le reste du système. Par conséquent, à chaque nouvelle étape, l’hypothèse est prise : la réflexion sur l’histoire sert de clé herméneutique légitime à approcher le travail weilien. Une première exigence a un caractère historique-exposant : énumérer les textes qui abordent les questions de la réflexion sur l’histoire. Il faut également lire systématiquement l’ensemble des textes et leur relation avec le système de philosophie articulé dans la Logique de la philosophie, en supposant que l’idée du système est la pierre angulaire de la validité de toute interprétation. Il ne s’agit donc pas de découper le corpus weilien en vue de l’indication des lieux où apparaît la question, mais de reconstruire l’unité entre les différentes parties de son travail. Notre enquête prend le travail de Weil en se concentrant sur l’histoire dans sa dimension logique-philosophique sans dispenser de la perspective histoire-politique. C’est donc une approche logique-argumentative qui tente de comprendre une philosophie qui est à la fois dialectique et critique. Nous avons divisé le travail en quatre chapitres. Le premier abordait la métaphilosophie dans la pensée weilienne à partir de son inspiration kantienne. Notre hypothèse fondamentale est le retour à l’affirmation du kantisme de Weil. Nous commençons par la définition de la philosophie en tant qu’acte humain de celui qui a librement choisi de comprendre le monde, une activité éminemment scientifique et transmissible et essentiellement historique. Le deuxième insère Eric Weil parmis les philosophes qui pensent l’histoire, plus précisément, il rélie Weil à la tradition d’une “critique de la raison historique” qui s’étend de Dilthey à Weber et à Aron. Le troisième prend les conditions des discours sur le sens de l’histoire dans le système des catégories discursives. Autrement dit, nous suivons la succession catégorielle de la Logique de la philosophie. Ce dernier constitue une deuxième partie du travail et reprend la tâche annoncée comme la récupération de la fonction sociale du philosophe, de la lecture weilienne de la Révolution française. / The philosophy of Eric Weil presents a systematic structure whose interpretation of the components is not easily conceivable. The title “Philosophy and history in the thinking of Eric Weil” proposes a comprehensive reading of the Weilian system aiming at its comprehension through an element that crosses all his work: history. Our fundamental hypothesis is that Weil is the original way of thinking about history, which, even without being a “particular philosophy”, is a hermeneutical principle for the interpretation of its thought. In our view, the theme has not yet found the deserved deepening among those who have been willing to think about Weilian philosophy both by the way the question of the relationship between philosophy and history is usually raised or as a tangent theme in the work or as a brand of his “Hegelianism”. We show that the question of history is taken from an original philosophical perspective by distancing itself from both Hegelian “inspiration” and Heideggerian thought; and fundamental, because Weil’s thinking can not be understood without reference to the reflection on history and the man who is interested in it. Our thesis develops from the task that demands both the presentation of the problems inherent to the design of a philosophy of history, and the determination of the thread that points to its internal unity and to its articulation with the rest of the system. Therefore, with each new step the hypothesis is taken that the reflection on the history serves as legitimate hermeneutic key of the work weiliana. A first requirement has a historical-expository character: to list texts that deal with the questions of thought about history. One should also systematically read the set of texts and their relation to the philosophy system articulated in the Logique de la philosophie, assuming the idea of ​​system as the touchstone of the validity of any interpretation. It is not, therefore, a question of cutting the Weilian corpus in view of the indication of the places where the question appears, but of rebuilding unity between the different parts of his work. Our investigation takes Weil’s work by concentrating on history in its logical-philosophical dimension without dispensing with that historical-political. It is, then, a logical-argumentative perspective that tries to understand a philosophy that is intended dialectic and critical. To do so, we divided the work into four chapters. The first deals with metaphilosophy in Weilian thought from its Kantian inspiration. Our fundamental hypothesis is the return to the affirmation of Weil’s kantism, Kantianism taken up by a philosopher who read and understood Hegel. We start from the definition of philosophy as a human act of one who freely chose to understand the world in a quest for meaning understood as an eminently scientific and communicable activity and, above all, essentially historical. The second is Eric Weil in the wake of philosophers who think of history, always according to Kantian inspiration, which implies associating it with the tradition of a “critique of historical reason” that starts from Dilthey and extends to Weber and Aron. The third takes the conditions of discourses on the meaning of history to the system of discursive categories. Put another way, we follow the categorial succession of the Logique de la philosophie. On the one hand, we discern the motives that hinder a historical discourse from the Truth to the Self, and on the other, we follow the development of the foundational discourses of an understanding of the history of the category of God to Wisdom. The latter constitutes a second part of the work and takes up the task announced as the recovery of the social function of the philosopher, from the Weilian reading of the French Revolution. / A filosofia de Eric Weil apresenta uma estrutura sistemática cuja interpretação dos componentes não é facilmente concebível. O título “Filosofia e história no pensamento de Eric Weil” propõe uma leitura abrangente do sistema weiliano visando sua compreensão através de um elemento que atravessa toda a sua obra: a história. Nossa hipótese fundamental é a de que se encontra subjacente, em Weil, uma forma original de pensar a história, que, mesmo sem constituir uma “filosofia particular”, é uma princípio hermenêutico para a interpretação do seu pensamento. A nosso ver, o tema ainda não encontrou o aprofundamento merecido entre os que se dispuseram a pensar a filosofia weiliana tanto pela forma como normalmente se põe a questão da relação entre a filosofia e a história ou como um tema tangente na obra ou como uma marca do seu “hegelianismo”. Mostramos que a questão da história é tomada numa perspectiva filosófica original por se distanciar tanto da “inspiração” hegeliana como do pensamento heideggeriano; e fundamental, porque o pensamento de Weil não pode ser compreendido sem referência à reflexão sobre a história e sobre o homem que por ela se interessa. Nossa tese se desenvolve a partir da tarefa que demanda tanto a apresentação dos problemas inerentes ao projeto de uma filosofia da história, como a determinação do fio condutor que aponta para a sua unidade interna e para a sua articulação com o restante do sistema. Portanto, a cada novo passo retoma-se a hipótese de que a reflexão sobre a história serve de chave hermenêutica legítima da obra weiliana. Uma primeira exigência tem caráter histórico-expositivo: elencar os textos que abordam as questões próprias do pensamento sobre a história. Deve-se também ler sistematicamente o conjunto dos textos e da sua relação com o sistema da filosofia articulado na Lógica da filosofia, assumindo a ideia de sistema como pedra de toque da validade de qualquer interpretação. Não se trata, portanto, de recortar o corpus weiliano em vista da indicação dos lugares em que a questão aparece, mas de reconstruir a unidade entre as diferentes partes da sua obra. Nossa investigação toma a obra de Weil concentrando-nos sobre a história na sua dimensão lógico-filosófica sem prescindir daquela histórico-política. Trata-se, então, de uma perspectiva lógico-argumentativa que tenta compreender uma filosofia que se pretende dialética e crítica. Para tanto, dividimos o trabalho em quatro capítulos. O primeiro aborda a metafilosofia no pensamento weiliano a partir da sua inspiração kantiana. Nossa hipótese fundamental é o retorno à afirmação do kantismo de Weil, kantismo retomado por um filósofo que leu e compreendeu Hegel. Partimos da definição da filosofia como ato humano próprio de quem escolheu, livremente, compreender o mundo numa busca de sentido entendida como atividade eminentemente científica e comunicável, e, acima de tudo, essencialmente histórica. O segundo, insere Eric Weil na esteira dos filósofos que pensam a história, sempre segundo a inspiração kantiana, o que implica associá-lo à tradição de uma “crítica da razão histórica” que parte de Dilthey e se prolonga até Weber e Aron. O terceiro leva as condições dos discursos sobre o sentido da história ao sistema das categorias discursivas. Dito de outro modo, seguimos a sucessão categorial da Lógica da filosofia. De um lado, discernimos os motivos que impedem um discurso histórico da Verdade ao Eu, e de outro, acompanhamos o desenvolvimento dos discursos fundantes de uma compreensão da história da categoria Deus até a Sabedoria. O último constitui uma segunda parte do trabalho e retoma a tarefa anunciada como a recuperação da função social do filósofo, a partir da leitura weiliana da Revolução francesa.
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Vinícius de Moraes e a poesia metafísica

Santos, Juliana January 2007 (has links)
Souvent, les critiques divisent la production poétique de Vinicius de Moraes en deux phases, la phase mystique et la phase sociale. La “première” est composée des oeuvres suivantes: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos Poemas (1938) et Cinco elegias (1943). La “deuxième phase” comprend principalement: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) et Novos Poemas II (1959). Certains théoriciens, tels que Renata Pallotini et Otto Lara Resende, considèrent la production initiale de Moraes – tournée vers les questions métaphysiques – comme un expérimentalisme esthétique; d’après eux, cette production a vite été abandonnée pour céder la place au véritable poète, qui se consacra à la lyrique à tendance sociale et amoureuse. D’autres critiques, comme Antonio Candido et David Mourão Ferreira, ne partagent pas cette opinion et défendent l’idée d’une réélaboration de ces débuts en une sorte d’“humanisation du sentiment religieux”. Sur la base de ces points de vue, le présent travail analyse la poésie initiale de Moraes, avec l’accent sur ses principales caractéristiques et ses influences. D’autre part, il présente quelques poèmes de la production finale de l’auteur et certaines créations musicales, dans le but de montrer le parcours des fondements et du symbolisme religieux dans la production artistique du poète. L’étude se penche tout d’abord sur la fortune critique de Moraes, puis analyse des compositions poétiques et musicales, en s’appuyant sur le texte biblique et les fondements théoriques de la lyrique, de la métaphysique et de l’imaginaire. La recherche a permis de caractériser la poésie inaugurale en ce qui concerne la question de la religiosité. Partant de là, il a été possible de mettre en évidence la permanence de ces éléments à caractère métaphysique, aussi bien au niveau de la poésie finale que de la chanson, ce qui va à l’encontre de la thèse de l’artificialisme de sa production initiale. / Freqüentemente, os críticos dividem a produção poética de Vinicius de Moraes em duas fases, intitulando-as fase mística e social. Fazem parte da chamada “primeira fase” as seguintes obras: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos poemas (1938) e Cinco elegias (1943). A “segunda fase” é composta principalmente pelos seguintes livros: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) e Novos poemas (II) (1959). Alguns estudiosos, como Renata Pallotini e Otto Lara Resende, consideram a produção inicial de Vinicius, voltada para questões metafísicas, como um experimentalismo estético, logo abandonada para dar lugar ao verdadeiro poeta que se apresentaria em um segundo momento, dedicado à lírica de tendência social e amorosa. Outros críticos, como Antonio Candido e David Mourão Ferreira, contrariando tal posicionamento, defendem a idéia de uma reelaboração destes princípios para uma espécie de “humanização do sentimento religioso”. Partindo desses posicionamentos, este trabalho dedica-se ao estudo da poesia inicial de Vinicius, destacando as suas principais características e influências, e ainda à apresentação de alguns poemas da sua produção final e de algumas criações musicais, como forma de lançar luz sobre o percurso dos fundamentos e do simbolismo religiosos na produção artística do poeta. Inicialmente, foi feita uma revisão da fortuna crítica de Vinicius e, em seguida, realizou-se a análise das composições poéticas e musicais, tomando por base o texto bíblico e os fundamentos teóricos da lírica, da metafísica e do imaginário. A pesquisa permitiu caracterizar a poesia inaugural, no que tange à questão da religiosidade e, a partir disso, dar visibilidade à permanência destes elementos de caráter metafísico, tanto na poesia final quanto na canção, o que contraria a tese do artificialismo de sua produção inicial.
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Vinícius de Moraes e a poesia metafísica

Santos, Juliana January 2007 (has links)
Souvent, les critiques divisent la production poétique de Vinicius de Moraes en deux phases, la phase mystique et la phase sociale. La “première” est composée des oeuvres suivantes: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos Poemas (1938) et Cinco elegias (1943). La “deuxième phase” comprend principalement: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) et Novos Poemas II (1959). Certains théoriciens, tels que Renata Pallotini et Otto Lara Resende, considèrent la production initiale de Moraes – tournée vers les questions métaphysiques – comme un expérimentalisme esthétique; d’après eux, cette production a vite été abandonnée pour céder la place au véritable poète, qui se consacra à la lyrique à tendance sociale et amoureuse. D’autres critiques, comme Antonio Candido et David Mourão Ferreira, ne partagent pas cette opinion et défendent l’idée d’une réélaboration de ces débuts en une sorte d’“humanisation du sentiment religieux”. Sur la base de ces points de vue, le présent travail analyse la poésie initiale de Moraes, avec l’accent sur ses principales caractéristiques et ses influences. D’autre part, il présente quelques poèmes de la production finale de l’auteur et certaines créations musicales, dans le but de montrer le parcours des fondements et du symbolisme religieux dans la production artistique du poète. L’étude se penche tout d’abord sur la fortune critique de Moraes, puis analyse des compositions poétiques et musicales, en s’appuyant sur le texte biblique et les fondements théoriques de la lyrique, de la métaphysique et de l’imaginaire. La recherche a permis de caractériser la poésie inaugurale en ce qui concerne la question de la religiosité. Partant de là, il a été possible de mettre en évidence la permanence de ces éléments à caractère métaphysique, aussi bien au niveau de la poésie finale que de la chanson, ce qui va à l’encontre de la thèse de l’artificialisme de sa production initiale. / Freqüentemente, os críticos dividem a produção poética de Vinicius de Moraes em duas fases, intitulando-as fase mística e social. Fazem parte da chamada “primeira fase” as seguintes obras: O caminho para a distância (1933), Forma e exegese (1935), Ariana, a mulher (1936), Novos poemas (1938) e Cinco elegias (1943). A “segunda fase” é composta principalmente pelos seguintes livros: Poemas, sonetos e baladas (1946), Pátria minha (1949), Antologia poética (1954), Livro de sonetos (1957) e Novos poemas (II) (1959). Alguns estudiosos, como Renata Pallotini e Otto Lara Resende, consideram a produção inicial de Vinicius, voltada para questões metafísicas, como um experimentalismo estético, logo abandonada para dar lugar ao verdadeiro poeta que se apresentaria em um segundo momento, dedicado à lírica de tendência social e amorosa. Outros críticos, como Antonio Candido e David Mourão Ferreira, contrariando tal posicionamento, defendem a idéia de uma reelaboração destes princípios para uma espécie de “humanização do sentimento religioso”. Partindo desses posicionamentos, este trabalho dedica-se ao estudo da poesia inicial de Vinicius, destacando as suas principais características e influências, e ainda à apresentação de alguns poemas da sua produção final e de algumas criações musicais, como forma de lançar luz sobre o percurso dos fundamentos e do simbolismo religiosos na produção artística do poeta. Inicialmente, foi feita uma revisão da fortuna crítica de Vinicius e, em seguida, realizou-se a análise das composições poéticas e musicais, tomando por base o texto bíblico e os fundamentos teóricos da lírica, da metafísica e do imaginário. A pesquisa permitiu caracterizar a poesia inaugural, no que tange à questão da religiosidade e, a partir disso, dar visibilidade à permanência destes elementos de caráter metafísico, tanto na poesia final quanto na canção, o que contraria a tese do artificialismo de sua produção inicial.

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