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Opérationnaliser et mesurer le soutien managérial aux besoins psychologiques des employés : une recherche à méthodologie mixte

Paiement, Anne-Marie 11 1900 (has links)
De nombreuses études ont montré la pertinence de soutenir les besoins psychologiques d’autonomie, de compétence et d’affiliation des employés au travail, tel que postulé par la théorie de l’autodétermination. Or, une incertitude subsiste quant aux comportements qu’un gestionnaire devrait adopter pour offrir l’opportunité à ses employés de satisfaire leurs besoins psychologiques au travail. D’ailleurs, les recherches s’en tiennent aux connaissances issues de milieux autres que celui du travail. En conséquence, l’opérationnalisation et l’instrumentation du soutien aux besoins psychologiques des employés s’appuient principalement sur des modèles validés auprès d’autres populations, notamment les athlètes et entraîneurs, les élèves et enseignants ainsi que les enfants et parents. Cette thèse vise à mieux comprendre comment un gestionnaire peut concrètement, de par ses comportements, favoriser la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux d’autonomie, de compétence et d’affiliation de ses employés au travail. De plus, elle a pour objectif de développer un instrument psychométrique du soutien aux besoins psychologiques des employés, qui est valide pour le contexte organisationnel. Le premier article de la thèse décrit une étude à devis qualitatif. Celle-ci vise à identifier des comportements réellement émis par des gestionnaires en milieu de travail qui favorisent la satisfaction des trois besoins psychologiques des employés. Afin de répondre à cet objectif, trois groupes focus ont été conduits auprès d’employés et de gestionnaires. Une analyse de contenu qualitative a permis d’identifier 141 comportements regroupés en 12 pratiques de gestion. En plus d’apporter une compréhension plus approfondie de la façon dont s’expriment les pratiques de gestion préalablement proposées par la théorie de l’autodétermination, cette étude met en lumière de nouveaux comportements que peuvent adopter des gestionnaires pour favoriser la satisfaction des besoins d’autonomie, de compétence et d’affiliation des employés. Le deuxième article de la thèse décrit le développement et la validation d’un outil de mesure du soutien aux besoins psychologiques des employés, qui fut réalisé par l’entremise de deux études quantitatives. L’étude 1 (N = 312 travailleurs francophones canadiens) a permis d’établir, en adoptant une approche exploratoire, la structure factorielle de l’instrument. Elle a également permis d’étayer la validité critériée et la validité divergente de l’instrument, en investiguant ses relations avec trois concepts issus de la théorie de l’autodétermination, soit la satisfaction des besoins psychologiques, la motivation au travail ainsi que la perception de contrôle psychologique de la part du gestionnaire. L’étude 2, conduite auprès d’un second échantillon (N = 334 travailleurs francophones canadiens), a permis de vérifier la structure de l’instrument à l’aide d’une approche confirmatoire. De plus, elle a permis de soutenir la validité convergente de l’outil de mesure en vérifiant ses liens avec le leadership transformationnel et le leadership habilitant. Elle a également vérifié la validité critériée de l’instrument en investiguant ses liens avec trois indicateurs du fonctionnement de l’employé, soit l’engagement, la santé psychologique et la performance au travail. Les résultats suggèrent que le soutien aux besoins psychologiques des employés s’opérationnalise par cinq pratiques de gestion, soit de 1) reconnaître les forces et la contribution des employés, 2) laisser de la latitude aux employés quant à la façon et le moment de compléter son travail, 3) démontrer un souci envers les intérêts et le bien-être des employés, 4) guider les employés afin qu’ils réalisent efficacement leur travail, et 5) développer les compétences des employés par le biais de discussions et d’opportunités d’apprentissage. Cette thèse contribue à l’avancement des connaissances en fournissant des bases qui permettront d’unifier la recherche sur le soutien aux besoins psychologiques des employés. / Many studies conducted within the framework of self-determination theory have shown the relevance of supporting the psychological needs of autonomy, competence and affiliation of employees at work. Because research is limited to knowledge from non-work environments, there remains uncertainty regarding the behaviours a manager should adopt to provide employees with the opportunity to meet their psychological needs at work. As a result, the operationalization and instrumentation of managerial need support rely primarily on those of need support validated with populations other than employees and managers, such as athletes and coaches, students and teachers, as well as children and parents. This dissertation aims to better understand how managers can concretely, through their behaviours, promote the satisfaction of employees’ psychological needs of autonomy, competence and affiliation at work. In addition, it aims to develop a psychometric instrument aligned with this operationalization of managerial need support that is ecologically valid for the organizational context. The first article of the thesis describes a qualitative study. This study aims to identify behaviours actually emitted by managers in the workplace that promote the satisfaction of the three psychological needs of employees. To meet this objective, three focus groups were conducted with employees and managers. A qualitative content analysis identified 141 management behaviours grouped into 12 management practices. In addition to providing a deeper understanding of management practices previously articulated by self-determination theory expressed in the workplace, this study highlights previously ignored practices and behaviours that can be adopted by managers to foster employees’ needs of autonomy, competence and affiliation at work. The second article of the thesis describes the development and validation of a measure of managerial need support through a series of two quantitative studies. Study 1 (N = 312 French-Canadian workers) establishes, by taking an exploratory approach, the structure of the instrument. Then, it verifies the criterion validity and the divergent validity of the instrument by investigating its relationship with three concepts rooted in self-determination theory: the satisfaction of employees’ psychological needs, employees’ work motivation as well as their perception of psychological control from their manager. Study 2, conducted with a second sample (N = 334 French-Canadian workers), takes a confirmatory approach in validating the structure of the instrument. In addition, it establishes the convergent validity of the measurement tool by verifying its links with transformational leadership and empowering leadership. It also verifies the criterion validity of the instrument by investigating its links with three indicators of employees’ functioning at work: engagement, psychological health and work performance. The results suggest that managerial need support is operationalized through five management practices, that is, 1) recognizing the strengths and contributions of employees, 2) offering flexibility to employees about how and when to complete one’s work, 3) demonstrating a concern for the interests and well-being of employees, 4) guiding employees to effectively perform their work, and 5) developing employees’ skills through discussions and concrete learning opportunities. This thesis contributes to the advancement of knowledge by providing a common base that will unify research conducted on managerial need support.
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Prediction of Psychosis Using Big Web Data in the United States

Tadisetty, Srikanth 15 August 2018 (has links)
No description available.
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Impacts des conditions de logement sur la santé psychologique et le bien-être d’adultes inuits au Nunavut et au Nunavik : une intervention de relogement issue d’investissements publics dans la construction et la rénovation de logements sociaux

Perreault, Karine 01 1900 (has links)
Problématique. La crise du logement qui sévit dans le Nord canadien depuis plus de 50 ans engendre des conséquences sérieuses sur la santé psychologique et le bien-être des Inuit, le peuple autochtone ayant historiquement occupé le territoire aujourd’hui connu comme l’Inuit Nunangat. La situation du logement y est actuellement caractérisée par un manque criant de logements, une large proportion de logements non convenables et les taux de surpeuplement des ménages les plus élevés au Canada. Intervention et question de recherche. Le projet de thèse se déroule dans le contexte d’une intervention de relogement au Nunavut et au Nunavik – deux des quatre régions formant l’Inuit Nunangat – et s’intéresse à son fort potentiel de réduction des inégalités sociales de santé mentale entre les Inuit et les autres Canadiens. En 2014-2015, des investissements publics ont mené à la construction et la rénovation de centaines de logements sociaux, permettant ainsi à des familles inuites de déménager et d’améliorer considérablement leurs conditions de logement. Le cadre de référence de Dunn, qui conceptualise le logement comme déterminant social de la santé des populations, ainsi que la théorie de la sécurité ontologique de Giddens ont été mobilisés pour répondre à la question suivante : comment les conditions de logement influencent-elles la santé psychologique et le bien-être d’adultes inuits et de leur famille, dans le contexte d’une intervention de relogement au Nunavut et au Nunavik ? Plus spécifiquement, la thèse s’intéresse aux mécanismes qui relient le surpeuplement des ménages au sentiment d’avoir un chez-soi et ensuite à la santé psychologique et au bien-être d’adultes inuits et de leur famille. Devis de recherche, principales variables d’intérêt et participants. L’étude s’appuie sur une approche collaborative impliquant des partenaires régionaux. Le devis utilisé est un devis mixte explicatif, par lequel les résultats issus d’une enquête réalisée dans 12 communautés inuites sont ensuite approfondis par une série d’entrevues réalisées dans une de ces communautés. Dans l’enquête, un logement est considéré comme surpeuplé s’il comprend plus d’une personne par pièce (>1 PPP). Le sentiment d’avoir un chez-soi est quant à lui opérationnalisé selon les repères conceptuels de la sécurité ontologique du chez-soi. Les perceptions que les participants entretiennent envers leur environnement domestique sont mesurées selon huit construits : espace, identité, sécurité, contrôle, intimité, relations, satisfaction et localisation. Finalement, la santé psychologique est mesurée à l’aide de l’échelle de détresse psychologique de Kessler à 6 items. Dans les entrevues, le surpeuplement et le sentiment d’avoir un chez-soi sont explorés comme un ensemble de processus socio-psycho-affectifs découlant des expériences et des représentations du chez-soi qui influencent le bien-être des individus et de leur famille. Au total, 102 participants ont complété les questionnaires pré- et post-relogement de l’enquête réalisée au Nunavut et au Nunavik, alors que 25 participants ont été rencontrés pour des entrevues semi-dirigées dans une communauté du Nunavut, parmi lesquels 14 figuraient sur la liste d’attente d’un logement social et 11 autres avaient déménagé dans un nouveau logement social un à trois ans auparavant. Résultats intégrés. La thèse montre que le surpeuplement des logements est associé négativement au sentiment d’avoir un chez-soi puisqu’il crée des contraintes multiples et soutenues au quotidien et qu’il limite le contrôle que les individus ont sur leur vie. La nécessité de partager des ressources essentielles et limitées (nourriture, eau, espace) avec un trop grand nombre de personnes dans le ménage génère des dilemmes moraux et crée des tensions sociales, qui deviennent difficiles à contenir et peuvent donner lieu à des épisodes de violence. Pour plusieurs, la pénurie de logements est source d’instabilité résidentielle puisqu’elle les force à se déplacer d’un logement à l’autre (itinérance cachée). L’ensemble de ces situations génère de l’inquiétude de la part des parents au sujet du bien-être de leurs enfants, en plus de s’accompagner d’un sentiment d’impuissance et d’engendrer de la détresse. À la suite du relogement, la réduction du nombre d’adultes dans le ménage et l’augmentation du sentiment d’avoir un chez-soi sont associées à un déclin cliniquement significatif de la détresse psychologique. Concrètement, le chez-soi que les familles se sont créé offre la stabilité et la sécurité que plusieurs attendaient pour entreprendre des étapes de vie signifiantes, comme se marier ou agrandir la famille, tout en permettant d’éduquer les enfants d’une manière plus autonome et dans un cadre plus sain. L’ensemble de ces processus a permis aux familles (immédiates et élargies) de redéfinir leurs relations en dehors des contraintes du surpeuplement et de reprendre contact avec des pratiques culturellement valorisées, rendues possibles par la liberté de choix et l’espace qu’offre le nouveau chez-soi. Discussion. L’intervention a permis aux familles de mettre en place des processus relationnels et identitaires qui correspondent à la définition d’une « personne saine » dans une perspective inuite, c’est-à-dire une personne vivant en harmonie avec sa famille et dans un environnement favorable aux pratiques culturelles. Pour plusieurs, ces pratiques s’inscrivent dans un processus de guérison. L’interprétation des résultats à la lumière de la théorie de la sécurité ontologique révèle que, d’une part, les conditions de logement non convenables contribuent à la perpétuation des traumas intergénérationnels et, d’autre part, que la mise à l’échelle des opportunités que génère le relogement sous la forme de « politiques du chez-soi » pourrait représenter une source de résilience sociale dans la société inuite contemporaine. Toutefois, le contexte socioéconomique et politique de ces régions, largement déterminé par l’histoire coloniale récente, continue d’influencer la situation du logement et limite de plusieurs façons l’ampleur des bénéfices du relogement sur la santé psychologique et le bien-être. Les logements sont encore aujourd’hui construits d’une manière à accommoder un mode de vie occidental et demeurent inadéquats culturellement. Même pour la fraction de la population qui accède à un nouveau logement, la pauvreté, l’insécurité alimentaire et les taux de surpeuplement dans les communautés continuent d’avoir des répercussions sur les relations familiales et les processus de réappropriation culturelle, limitant ainsi la portée de l’intervention. Implications. La thèse appuie les revendications des partenaires de recherche qui militent pour des investissements accrus dans le logement abordable pour atteindre leurs objectifs de promotion de la santé mentale et favoriser le développement des communautés. Les résultats sont appliqués à la Loi sur la stratégie nationale sur le logement, qui reconnaît le droit au logement convenable comme un droit humain fondamental. Sur la base des effets observés et des expériences des participants, la thèse propose de revoir les principes à la base du système d’habitation dans le Nord et de réviser les critères d’acceptabilité du logement en les fondant sur les droits de la personne, pour finalement poser les bases d’un continuum de logement porteur de santé dans l’Inuit Nunangat. Les investissements que de telles propositions exigent sont nécessaires pour rapprocher les Inuit d’un véritable droit au logement convenable et, ce faisant, pour promouvoir des conditions de vie qui favorisent la dignité et le bien-être. / Introduction. The housing crisis that has plagued Northern Canada for over 50 years has led to serious consequences on the psychological health and well-being of the Inuit, the Indigenous group who has historically occupied the territory now known as Inuit Nunangat. The housing situation in this area is characterized by a severe housing shortage, a large proportion of inadequate housing and by rates of household overcrowding that are among the highest in Canada. Intervention and research question. The doctoral project takes place in the context of a rehousing intervention in Nunavut and Nunavik, two of the four Inuit regions within Inuit Nunangat. It focuses on the strong potential of this intervention to reduce social inequalities in mental health that exist between the Inuit and other Canadians. In 2014-2015, governmental investments for this area led to the construction and renovation of hundreds of social housing units. This enabled Inuit families to relocate and significantly improve their housing conditions. Using Dunn's framework of conceptualizing housing as a social determinant of population’s health, as well as Giddens' theory of ontological security, the thesis seeks to answer the following question: how do housing conditions influence the psychological health and well-being of Inuit adults and their families, within the context of a rehousing intervention in Nunavut and Nunavik? Specifically, the thesis investigates the mechanisms that link household overcrowding to the sense of home and to the psychological health and well-being of Inuit adults and their families. Study design, Main Outcomes of Interest, and Participants. The thesis’s project was conducted using an integrated knowledge translation approach involving regional partners. Using a mixedmethods sequential explanatory design, the research collected data from a survey carried out in 12 Inuit communities, followed by a series of interviews conducted in one of these communities to gain a deeper understanding of the survey data. In the survey, household overcrowding is defined as the presence of more than one person per room in a dwelling (>1 PPP), and sense of home is operationalized according to conceptual components of the ontological security from the home. Participants' perceptions of their home environment are measured across eight constructs: space, vii identity, safety, control, privacy, relationships, satisfaction, and location. Lastly, the psychological health is measured using the psychological distress Kessler 6-item scale. In interviews, overcrowding and sense of home are explored as a set of social-psycho-affective processes arising from the experiences and representations of home that influence the well-being of individuals and their families. A total of 102 participants completed pre- and post-rehousing survey questionnaires in 12 communities in Nunavut and Nunavik, and 25 participants were met for semi-structured interviews in a Nunavut community, among whom 14 participants were on a waiting list for social housing, and 11 others had moved to new social housing one to three years prior. Integrated findings. The thesis demonstrates that housing crowding is negatively associated with sense of home as it creates multiple and sustained constraints on daily routines and therefore limits the control that individuals have on their lives. Overcrowding implies sharing essential and limited resources, such as food, water, and space, with many other people in the household, thus creating moral dilemmas and tensions that are difficult to appease, which can escalate into verbal and physical violence. For many, the housing shortage causes residential instability, since it forces people to constantly move from one dwelling to another (hidden homelessness). All of these situations generate concern on the part of parents about the well-being of their children, as well as a sense of powerlessness and distress. Following rehousing, a reduction in the number of adults in a household and an increase in the sense of home are associated with a clinically significant decline in psychological distress. Specifically, the homes that families are able to create for themselves provide stability and security that many need to make significant life decisions, such as getting married or expanding the family, all the while allowing children to be raised more independently and within a healthier environment. Taken together, these processes have allowed families (immediate and extended) to redefine their relationships without the constraints of overcrowding and to reconnect with cultural practices, all of this made possible by freedom of choice and the less constrained space that the new home offered. Discussion. The rehousing intervention allowed the families to set up relational and identity processes that correspond to the definition of a “healthy person” from an Inuit perspective. This includes living in harmony with family members and maintaining an environment that favours cultural connectedness. For many, these practices are part of a healing process. Interpretation of viii the results in light of ontological security theory firstly reveals that unsuitable housing conditions contribute to the perpetuation of intergenerational trauma, and secondly, that scaling up the opportunities brought about by the intervention in the form of "home policies" can act as a source of social resilience in the contemporary Inuit society. However, the socioeconomic and political context of these regions, largely determined by recent colonial history, continues to influence the housing situation, and limits the extent of the rehousing benefits on psychological health and well-being in many ways. Housing today in Inuit Nunangat is still built to accommodate a western lifestyle and remains culturally inadequate. Additionally, even for the fraction of the population that accesses new housing, poverty, food insecurity, and overcrowding rates in communities continue to impact family relationships and cultural reclaiming processes, limiting the scope of the intervention. Implications. The thesis supports research partners who advocate for increased investment in affordable housing, so that existing objectives for mental health promotion and community development can be achieved. The results are applied to the National Housing Strategy Act, which recognizes the right to adequate housing as a fundamental human right. Based on the observed effects and the experiences of the participants, the thesis proposes: i) to revisit the principles underlying the housing system; ii) to revise the criteria for housing acceptability in keeping with the concept that adequate housing is a recognized fundamental human right, and iii) the thesis lays the foundation for what could form a healthy housing continuum in Inuit Nunangat. The investments that the thesis proposes are a necessary element in the establishment of housing rights for the Inuit, ensuring better living conditions that foster dignity and well-being.
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Développer le soutien aux besoins psychologiques des employés : évaluation des effets affectifs, comportementaux et motivationnels d’une formation destinée aux gestionnaires

Beaulieu, Geneviève 09 1900 (has links)
Alors que la théorie de l’autodétermination (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2008) propose un bassin de connaissances pouvant être d’une réelle utilité pour aider les travailleurs et les organisations à croître et à prospérer, peu d’études ont porté, à ce jour, sur l’évaluation d’interventions visant à implanter ces connaissances sur le terrain en milieu organisationnel. En ce sens, la présente thèse a pour but de vérifier l’impact d’une formation visant le développement des habiletés de soutien aux besoins psychologiques des gestionnaires sur les comportements en emploi de ces gestionnaires ainsi que sur la satisfaction des besoins psychologiques, la motivation et la santé psychologique de leurs employés. Pour ce faire, 17 gestionnaires provenant de deux organisations canadiennes du secteur public ont participé à un programme de formation d’une durée de trois journées non consécutives. Ils ont également répondu à des questionnaires un mois avant la formation ainsi que trois à quatre mois après le début de celle-ci afin d’évaluer leurs apprentissages ainsi que leurs comportements de soutien aux besoins psychologiques en emploi. Par ailleurs, 55 de leurs employés ont répondu à des questionnaires préformation et postformation au sujet de leur perception à l’égard des comportements de soutien aux besoins psychologiques de leur supérieur immédiat ainsi que de leur propre niveau de satisfaction des besoins psychologiques, de motivation au travail et de santé psychologique. L’étude a été menée à l’aide d’un devis de recherche de type prétest et post-test à groupes non-équivalents, sans groupe contrôle. Afin de renforcer ce devis, la stratégie de référence interne a été utilisée auprès des employés (Haccoun & Hamtiaux, 1994). Les résultats suggèrent que, dans la mesure où des gains étaient possibles par le biais d’une formation plus traditionnelle (c.-à-d., que le potentiel des gestionnaires à s’améliorer davantage par rapport à leur niveau de base était suffisant et que les habiletés visées se développaient bien par le biais d’une telle formation), les gestionnaires ont développé leurs habiletés de soutien aux besoins psychologiques et, selon leur perspective, transféré leurs apprentissages au travail. Toutefois, les employés de ces gestionnaires n’ont pas perçu de changement statistiquement significatif entre les deux temps de mesure quant aux habiletés de soutien aux besoins psychologiques de leur supérieur immédiat en emploi et les retombées escomptées de la formation chez les employés n’ont pas été observées. À la lumière de ces résultats, le dernier chapitre de la thèse discute de l’importance de l’analyse des besoins, de l’implication de l’environnement organisationnel dans les initiatives de formation ainsi que de l’ajout de méthodes d’apprentissage complémentaires aux formations plus traditionnelles afin d’en assurer l’efficacité. Par ailleurs, les contributions, limites et pistes de recherches futures de la thèse y seront exposées. / Although the self-determination theory (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2008) provides a pool of knowledge that could be highly useful to help workers and organisations thrive and grow, few studies have focused on assessing interventions introducing such knowledge in practical organisational settings. In this respect, the present dissertation aims to evaluate the impact of a training program for developing psychological needs support skills of managers on work behaviours of these managers as well as on the level of satisfaction of psychological needs, motivation and psychological health of their employees. Hence, 17 managers from Canadian public sector organisations took part in a three-day training program (non-consecutive days). They also completed questionnaires a month prior to training as well as three to four months following training onset in order to assess their learning progresses and psychological needs support behaviours at work. Furthermore, 55 of their employees completed pre-training and post-training questionnaires on their perception of their manager’s psychological needs support behaviours as well as on their own level of psychological needs satisfaction, work motivation and psychological health. The study used a pre-post test non-equivalent group design, without control groups. Such design was further strengthened with internal referencing strategy (IRS) with employees (Haccoun & Hamtiaux, 1994). Results suggest that, insofar as progresses were possible with more traditional training (i.e., that the managers’ improvement potential as compared to their baseline was sufficient and that targeted skills developed properly with such training) managers have increased their psychological need support skills and, based on their perceptions, transferred training at work. However, employees of these managers did not perceive statistically significant changes between both measurement times as regards their manager’s psychological needs support skills, and expected outcomes of training on employees have not been observed. In light of these results, the last chapter of the dissertation discusses the importance of needs assessment, of organisational environment involvement in training initiatives and of additional training methods that are complementary to more traditional trainings to ensure their effectiveness. Furthermore, research contributions, limits and avenues are presented.
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La santé psychologique au travail : une modélisation ancrée dans la théorie de la conservation des ressources

Malo, Marie 06 1900 (has links)
Si la santé psychologique au travail retient de plus en plus l’attention de la communauté scientifique et des milieux de pratique, certains aspects du phénomène restent néanmoins à explorer. Notamment, les études se sont peu attardées au fonctionnement de l’individu dans l’organisation, focalisant plutôt sur les expériences subjectives associées au bien-être et à la détresse psychologiques. En outre, l’état des connaissances sur les mécanismes sous-jacents à la santé psychologique au travail demeure embryonnaire. Faute d’écrits sur la question, la compréhension du construit s’avère partielle. Devant ce constat, la présente thèse vise à modéliser la santé psychologique au travail en y intégrant des indicateurs du fonctionnement de l’employé. Dans cette optique, cinq études, regroupées en deux articles, ont été menées auprès de quatre échantillons indépendants (Article 1 : NA = 296, NB = 350, NC = 139; Article 2 : NB = 330, NC = 128; ND = 389). Le premier article a pour objet de développer une conceptualisation et une mesure du fonctionnement de l’individu dans l’organisation. Prenant appui sur les travaux en socialisation organisationnelle et sur la théorie de la conservation des ressources (Hobfoll, 1989, 2001), l’ajustement cognitif au travail est proposé à titre d’indicateur additionnel de la santé psychologique au travail. Des analyses factorielles exploratoires et confirmatoires, de même que des analyses de cohérence interne, d’invariance temporelle et de régression, confirment les qualités psychométriques de l’instrumentation et étayent la validité de l’ajustement cognitif au travail comme indicateur de la santé psychologique au travail. Le second article s’appuie sur la conceptualisation du fonctionnement de l’employé présentée dans le premier article pour tester une modélisation de la santé psychologique au travail. Se fondant sur la théorie de la conservation des ressources (Hobfoll, 1989, 2001), la santé psychologique au travail est modélisée comme un processus incluant quatre indicateurs, soit le bien-être psychologique, la détresse psychologique, l’ajustement cognitif et les réponses comportementales de stress au travail. Deux mécanismes distincts sont mis de l’avant pour expliquer les relations unissant les indicateurs positifs de santé psychologique au travail (c.-à-d., le bien-être psychologique et l’ajustement cognitif) et celles caractérisant les indicateurs négatifs (c.-à-d., la détresse psychologique et les réponses comportementales de stress). Des analyses acheminatoires et d’invariance transculturelle révèlent la présence des deux mécanismes et montrent que, au-delà de l’influence des demandes en emploi, le bien-être psychologique exerce un effet médiateur sur la relation positive entre des ressources personnelles (c.-à-d., optimisme et résilience) et organisationnelle (c.-à-d., climat de travail) et l’ajustement cognitif au travail. Les résultats mettent également en exergue le rôle médiateur de la détresse psychologique sur la relation négative entre les mêmes ressources et les réponses comportementales de stress au travail. Une discussion générale précise la portée des résultats présentés dans le cadre des deux articles. / While psychological health at work is gaining attention from academics and practitioners, certain aspects of the phenomenon need deeper exploration. Notably, scant research has examined individual functioning in the workplace; the majority of studies focused on subjective experiences related to psychological well-being and distress instead. Moreover, little is known about the mechanisms underlying psychological health at work. These shortcomings result in a partial understanding of the construct. In light of these observations, the present thesis aims to develop a model of psychological health at work, integrating indicators of employee functioning. To achieve this goal, five studies divided into two articles were conducted using four independent samples (Article 1: NA = 296, NB = 350, NC = 139; Article 2: NB = 330, NC = 128; ND = 389). The first article proposes a conceptualization and a measurement of individual functioning at work. Building on organizational socialization literature and on conservation of resources theory (Hobfoll, 1989, 2001), we conceptualize cognitive adjustment as a psychological health indicator. Exploratory and confirmatory factor analyses, as well as reliability, temporal invariance and regression analyses, confirm the psychometric qualities of the instrument and support the validity of cognitive adjustment at work as, indeed, an indicator of psychological health. Drawing from the conceptualization of employee functioning reported in the first article, the second article tests a model of psychological health at work. Based on conservation of resources theory (Hobfoll, 1989, 2001), psychological health at work is conceptualized as a process, which includes four indicators, namely psychological well-being, psychological distress, cognitive adjustment, and behavioural stress responses at work. Two distinct mechanisms are put forward explaining the relations between positive indicators (i.e., psychological well-being and cognitive adjustment), and the relations between negative indicators (i.e., psychological distress and behavioural stress responses). Path and cross-cultural invariance analyses acknowledge both mechanisms, and demonstrate that, beyond the impact of job demands, psychological well-being exercises a mediating effect on the positive relations between personal (i.e., optimism and resilience) and organizational (i.e., work climate) resources, and cognitive adjustment at work. Results also highlight that psychological distress mediates the negative relations between the same resources and behavioural stress responses at work. A general discussion covers in deeper details the implications of the findings emanating from both articles.
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Aggression and accountability : how caregivers and law enforcers cope

Geoffrion, Steve 02 1900 (has links)
Objectif. L’objectif est de comprendre comment les intervenants en relation d’aide et les agents des forces de l’ordre composent avec la violence au travail et le stress lié à l’imputabilité. Un cadre théorique basé sur l’identité professionnelle est proposé afin de comprendre la modulation de la santé psychologique au travail et testé via le Professional Quality of Life des intervenants en protection de la jeunesse. Les facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail et des impacts psychologiques de cette banalisation sont également étudiés. Méthodologie. Un sondage mené auprès d’un échantillon représentatif constitué de 301 intervenants en protection de la jeunesse a permis d’examiner le Professional Quality of Life. Les effets de l’exposition à la violence en milieu de travail, à l’exposition au matériel traumatique et du stress lié à l’imputabilité sur la fatigue de compassion ont été analysés à l’aide d’équation structurelle. Les effets indirects attribuables au genre, au soutien organisationnel perçu, à l’adhésion à l’identité professionnelle, aux stratégies d’adaptation et à la confiance en ses moyens pour gérer un client agressif ont été mesurés. Pour l’examen des facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les résultats d’un sondage mené auprès de 1141 intervenants en relation d’aide et des forces de l’ordre ont été analysés à l’aide de régression linéaire. L’analyse des réponses des 376 intervenants de cet échantillon ayant rapporté avoir été perturbé par un acte de violence au travail a permis de mesurer l’impact de la banalisation sur les conséquences psychologiques suite à une victimisation au travail. Les effets indirects attribuables à la banalisation de la violence ont été mesurés. Des analyses différenciées en fonction du sexe ont également été menées. Résultats. L’exposition à la violence, le sentiment d’imputabilité et l’évitement amplifiaient la fatigue de compassion chez les intervenants en protection de la jeunesse sondés. Les attitudes masculines, l’adhésion à l’identité professionnelle, la confiance en ses moyens pour gérer les clients agressifs l’atténuaient. Quant aux facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les participants masculins étaient plus enclins que les femmes à la normaliser. Les agents des forces de l’ordre percevaient davantage la violence comme tabou que les intervenants en relation d’aide. Les facteurs organisationnels avaient tous un effet négatif sur le tabou entourant la violence au travail. Finalement, l’âge, les victimisations antérieures, les blessures graves et percevoir la violence au travail comme un tabou augmentaient le nombre de conséquences psychologiques suite à une victimisation. Les analyses différenciées en fonction du sexe ont identifié des facteurs de prédiction spécifiques aux hommes et aux femmes. Implications. Lors de déploiement de stratégies organisationnelles afin d’aider les employés à gérer avec les stress liés au travail, les organisations doivent considérer l’identité professionnelle de leur travailleur ainsi que des différences en fonction du sexe et du genre. / Objective. The goal of this thesis is to understand how caregivers and law enforcers cope with workplace aggression and accountability. Relying on identity theory, a theoretical framework is put forth to understand mental health at work and examined through an adapted version of the Professional Quality of Life for child protection workers. Individual and organizational predictors of trivialization of workplace aggression are also investigated. The impact of trivializing workplace aggression on psychological wellbeing is assessed. Method. To examine the Professional Quality of Life, a survey conducted among a representative sample of 301 Canadian child protection workers was utilized. The effects of exposure to workplace aggression, exposure to traumatic material and stress emanating from accountability on compassion satisfaction and fatigue were evaluated in a path analysis model. The indirect effects through gender roles, perceived organizational support, adherence to professional identity, coping ability and confidence in coping with patient aggression were also tested. To identify predictors of workplace aggression, responses to a survey research conducted among a convenience sample 1141 Canadian caregivers and law enforcers were computed in linear regression modeling. Using the same dataset but only selecting victims of workplace aggression resulting in a sub-sample of 376 Canadian caregivers and law enforcers, individual and organizational factors were used in path analysis modeling in order to predict psychological consequences. Normalizing and tabooing were introduced as intervening variables. For the objectives regarding trivialization of workplace aggression, between group differences analyses were also conducted for women and men. Findings. Exposure to workplace aggression, felt accountability and avoidant coping strategies increased compassion fatigue among child protection workers while masculine attitudes, adherence to professional identity and confidence in coping with client aggression decreased it. As for predictors of trivialization of workplace aggression, male respondents were more likely than women to think that workplace aggression was normal. Law enforcers were more likely than caregivers to taboo workplace aggression. Organizational factors were all significant negative predictors of tabooing violence. Finally, being older, prior direct victimization, injury requiring hospitalization and tabooing workplace aggression were positively associated with negative psychological consequences following workplace aggression victimization. Gender-based analyses revealed specific predictors for males (e.g. normalizing). Implications. When developing and disseminating policies to help workers to cope with specific work-related stress, organizations must consider the “professional identity” promoted by the job as well as the gender of the workers. Adapted to these identities, they should sensitize workers on the impact of aggression and accountability in order to break the taboo while fostering strategies that dampen the impact of these stressors.
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Du bien-être psychologique au travail : fondements théoriques, conceptualisation et instrumentation du construit

Dagenais Desmarais, Véronique 03 1900 (has links)
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Du bien-être psychologique au travail : fondements théoriques, conceptualisation et instrumentation du construit

Dagenais-Desmarais, Véronique 03 1900 (has links)
Malgré la préoccupation croissante des chercheurs et praticiens pour la santé psychologique au travail, le concept de bien-être vécu au travail est encore mal compris de la communauté scientifique. En effet, peu d’efforts ont été consacrés à ce jour pour développer des connaissances sur le bien-être psychologique au travail arrimées à la réalité des employés. Cette thèse a donc pour objectif de développer une conceptualisation du bien-être psychologique au travail et une instrumentation psychométriquement fiable lui étant rattachée. Pour ce faire, deux études ont été réalisées. La première, de nature qualitative et exploratoire, fut menée auprès de 20 travailleurs canadiens francophones afin de répertorier, à partir d’incidents critiques vécus par ceux-ci, des manifestations de bien-être psychologique au travail. Celles-ci ont pu être classifiées selon un modèle en 2 axes, soit la sphère de référence dans laquelle le bien-être psychologique au travail se vit et la directionnalité selon laquelle il se développe. Ce modèle a ensuite été comparé aux conceptualisations génériques du bien-être psychologique existantes, et cette analyse a permis d’étayer la validité convergente et divergente du modèle. Dans un deuxième temps, l’Indice de bien-être psychologique au travail (IBEPT) a été créé sur la base des manifestations relevées lors de l’étude qualitative, afin d’en assurer la validité de contenu. Une version expérimentale de l’instrument a ensuite été soumise à une expérimentation auprès de 1080 travailleurs québécois. Les analyses factorielles exploratoires révèlent une structure interne en 25 items reflétant 5 dimensions, représentant elles-mêmes un construit de second ordre. La validité de construit de cette conceptualisation a ensuite été étudiée par l’analyse des intercorrélations avec une série de mesures du bien-être et de la détresse psychologique génériques. Les résultats appuient la validité convergente de l’instrument, et démontrent également sa validité divergente. Enfin, l’instrument affiche une cohérence interne satisfaisante. Au terme de cette recherche doctorale, les résultats des deux études sont interprétés en fonction de l’état actuel des connaissances sur le bien-être psychologique, les limites des études sont énoncées, et des pistes de recherche future sont avancées. / Despite growing concern by researchers and practitioners about psychological health at work, the concept of well-being in the workplace is still misunderstood in the scientific community. Indeed, little effort has been made to develop knowledge about psychological well-being at work that is tied to the reality of employees. This thesis aims at developing a conceptualization of psychological well-being at work and a related psychometrically reliable instrumentation. To do so, two studies were carried out. First, an exploratory qualitative study was conducted among 20 French-speaking Canadian workers to identify, using critical incidents they experienced, manifestations of psychological well-being. The manifestations were classified according to a 2-axis model, namely, the reference level at which psychological well-being at work is experienced and the directionality through which it emerges. This model was then compared to existing context-free conceptualizations of psychological well-being; this analysis offered support to the model's convergent and divergent validity. Second, the Index of Psychological Well-Being at Work (IPWBW) was created based on the manifestations identified in the qualitative study, in order to ensure the latter’s content validity. An experimental form of the questionnaire was administered to 1,080 Quebec workers. Exploratory factor analyses revealed an internal structure of 25 items and 5 dimensions, representing a second-order construct. The construct validity of the model was established by analyzing the intercorrelation pattern with various context-free measures of psychological well-being and distress. The results support the convergent validity of the instrument and demonstrate its divergent validity. Finally, the questionnaire shows satisfactory internal consistency. By way of conclusion, the results of the two studies are interpreted in the light of current knowledge on psychological well-being; the limits of the studies are outlined; and avenues for future research are proposed.
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Favoriser la santé psychologique des professionnels de la santé en début de carrière : l'importance du soutien à l'autonomie, de la concordance des tâches et de la conscience de soi

Moreau, Elise 10 1900 (has links)
Les études mettent en évidence des problèmes de santé psychologique chez les professionnels de la santé. Par contre, les facteurs permettant d’expliquer ces difficultés sont peu connus (p. ex., Cohen & Patten, 2005). Le but de cette thèse est d’étudier les déterminants de la santé psychologique des professionnels de la santé en se basant sur une théorie validée empiriquement. À cette fin, la théorie de l’autodétermination (Deci & Ryan, 1985, 2000) est utilisée comme cadre conceptuel et le soutien à l’autonomie (Black & Deci, 2000; Grolnick & Ryan, 1989) est proposé comme déterminant principal de la santé psychologique. Le premier article consiste en une recension des conséquences et corrélats associés au soutien à l’autonomie dans divers domaines de vie. Le deuxième article a pour objectif de tester un modèle prédictif de la santé psychologique auprès de médecins résidents. Le modèle propose que la concordance des tâches (Sheldon & Elliot, 1999) et la conscience de soi (Goldman & Kernis, 2002) sont deux sources distinctes d’autonomie qui prédisent de façon indépendante la santé psychologique. De plus, le soutien à l’autonomie de la part des superviseurs est suggéré comme étant un déterminant important de la concordance des tâches et de la conscience de soi. Au total, 333 médecins résidents de la province de Québec (Canada) ont rempli un questionnaire comportant différentes mesures. Des analyses par équations structurelles révèlent une excellente adéquation du modèle. Le troisième article examine l’influence du soutien à l’autonomie des collègues sur la satisfaction au travail ainsi que sur la santé psychologique des professionnels de la santé. Au total, 597 jeunes professionnels de la santé ont rempli un questionnaire incluant diverses mesures. Les résultats confirment que le soutien à l’autonomie perçu de la part des collègues prédit la santé psychologique et la satisfaction au travail. De plus, des régressions hiérarchiques démontrent que le soutien à l’autonomie des collègues contribue à la prédiction de la satisfaction au travail, du bien-être subjectif et des idéations suicidaires au-delà de ce qui est prédit par le soutien à l’autonomie des superviseurs. Les implications théoriques et pratiques de ces recherches sont discutées. / Past studies have revealed psychological health problems among health professionals, but less is known about the factors that may explain these difficulties (e.g., Cohen & Patten, 2005). The goal of this dissertation is to examine the antecedents of health professionals’ psychological health based on an empirically validated theory. To this end, self-determination theory (Deci & Ryan, 1985, 2000) is used as a conceptual framework and autonomy support (Black & Deci, 2000; Grolnick & Ryan, 1989) is proposed as a principal predictor of psychological health. The first article is a literature review of the consequences and correlates of autonomy support in various life domains. The second article aims at testing a predictive model of medical residents’ psychological health. Tasks self-concordance (Sheldon & Elliot, 1999) and self-awareness (Goldman & Kernis, 2002) are hypothesized to be two different pathways toward autonomy that should independently predict psychological health. The model further posits that perceived supervisors’ autonomy support should be an important determinant of both tasks self-concordance and self-awareness. A total of 333 medical residents from the province of Quebec (Canada) completed a questionnaire, which included various measures. Structural equation modeling analyses revealed an excellent model fit. The third article explores the contribution of colleagues’ autonomy support in the prediction of health professionals’ work satisfaction and psychological health. A total of 597 young health professionals from the province of Quebec (Canada) completed a questionnaire, which included different measures. Results confirmed that colleagues’ autonomy support predicts work satisfaction and psychological health. Furthermore, hierarchical regression analyses showed that colleagues’ autonomy support adds to the prediction of health professionals’ work satisfaction, subjective well-being, and suicidal ideation above and beyond supervisors’ autonomy support. The theoretical and practical implications of this research are discussed.
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Är goda vänner den bästa medicinen? : en studie om upplevd hälsa och olika dimensioner av socialt stöd och nätverk hos gymnasielever / Are good friends the best medicine? : a study of perceived health and different dimensions of social support and network among high school students

Svensson, Oskar January 2014 (has links)
Syfte och frågeställningar Syftet med studien var att undersöka samband mellan socialt stöd och nätverk gentemot upplevd fysisk och psykisk hälsa hos gymnasielever i årskurs tre. Frågeställningarna var huruvida det fanns några samband mellan socialt stöd och nätverk gentemot upplevd fysisk och psykisk hälsa, vilken form av socialt stöd och nätverk som var mest relevant och vilken roll dess storlek har, samt om det fanns några skillnader mellan könen i förhållandet till socialt stöd och nätverk. Metod Undersökningen är en explorativ och kvantitativ enkätstudie där totalt 326 individer från olika skolor i Eskilstuna, Stockholm och Filipstad ingick. Åldern på deltagarna varierade mellan 17 och 21 år och medelålder var 18 (±0,7) år. 198 var tjejer och 123 killar, fem personer ville ej svara på frågan eller uppfattade sig inte som något av alternativen. Deltagarna besvarade frågor med fasta svarsalternativ kring kvalitén på sitt sociala stöd och storleken på sitt sociala nätverk, samt om upplevd fysisk och psykisk hälsa. Därefter genomfördes olika korrelationsobservationer för att finna eventuella samband mellan de olika faktorerna. Deltagarna till studien har valts utifrån ett icke slumpmässigt, till viss del typiskt, bekvämlighetsmässigt urval. Resultat Signifikanta positiva samband noterades mellan graden av socialt stöd (kvalitet) och upplevd psykisk respektive fysisk hälsa. Starkast korrelation fanns mellan psykisk hälsa och socialt stöd (r = 0,46). Svaga positiva korrelationer fanns mellan antalet (kvantitet) vänner (r = 0,19) respektive familjemedlemmar och släktingar (r = 0,19) gentemot psykisk hälsa, och i förhållande till familj och släkt även den fysiska (r = 0,14). Inga signifikanta skillnader kunde ses mellan könen. Slutsats Studiens hypotes om en positiv samvariation mellan upplevd hälsa och socialt stöd och nätverk stämde i de flesta fall och kvalitet visade sig vara överordnad kvantitet. / Aim The purpose of this study was to examine relations between social support and networks, against the perceived physical and mental health of high school students in grade three. The question formulations were whether there was any correlation between social support and networks against perceived physical and mental health, which form of social support and network that were most relevant and what role its size has, and if there were any gender differences in relation to social support and networks. Method The study is an exploratory and quantitative survey in which a total of 326 individuals were included from various schools in Eskilstuna, Stockholm and Filipstad. The age of the participants ranged between 17 and 21 years, and mean age was 18 (±0.7) years, 198 were girls and 123 boys, five people did not answer the question or did not perceived themselves as either one of the options. The participants answered questions with response sets about the quality of their social support and the size of their social network and perceived physical and mental health. After that, observations were completed to find eventual correlations between the different factors. Participants for this study were selected on a non-random, somewhat typical, conveniences based method. Results Significant positive correlations were observed between the degree of social support (quality) and perceived mental and physical health Strongest correlation was found between mental health and social support (r = 0,46). Low positive correlation was found between the number (quantity) of friends (r = 0,19) and family/relatives (r = 0,19) in relation to mental health, and in relation to family and relatives also the physical health (r = 0,14). No significant differences were seen between the sexes. Conclusion The study’s hypothesis of a positive correlation between perceived health and social support and network sued in most cases, and the quality was shown to be superior to the quantity.

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