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Refonder le lieu théâtral et la position spectatrice entre fiction et réalité : Vilar, Brook, Grotowski et Kantor face au public

Joli-Coeur, Sophie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The psychoanalytical controversy over desire in Shakespeare's Hamlet : from oedipus to anti-oedipus

Mchiri, Mourad January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Relire la scène maternelle : Deuil et photographie chez Roland Barthes et Hervé Guibert

Najm, Daoud January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le motif du masque dans l'oeuvre littéraire et photographique de Claude Cahun

Hétu, Julie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Théâtre et philosophie chez Gilles Deleuze. La notion de dramatisation / Theatre and philosophy by Gilles Deleuze, The notion of dramatisation

Jude, Ismaël 20 January 2012 (has links)
La notion de « dramatisation » a été formulée par Gilles Deleuze en 1967 dans Différence et répétition pour être délaissée ensuite. Cette recherche tâche de clarifier le sens de ce concept en distinguant une acception « dramatique » d’une acception « scénique ». Deleuze n’ayant cependant pas énoncé explicitement de théorie de la scène, une partie de l’entreprise vise à déduire, des textes de Deleuze et des auteurs qui lui servent de référence, l’hypothèse de cette définition. La formulation de cette hypothèse s’inscrit dans un environnement problématique déterminé par les ouvrages de Denis Guénoun et Esa Kirkkopelto. La notion prend son sens dans le cadre d’une critique de « la représentation », dont seraient captifs Platon, Aristote, Kant et Hegel, et d’une élaboration du concept de répétition à partir de Kierkegaard et Nietzsche. Une interprétation de la méthode de division platonicienne, de la méthode transcendantale kantienne et de l’éternel retour nietzschéen contribue ainsi à énoncer l’agencement conceptuel du drame, de la scène et de la répétition / The notion of “dramatisation” was formulated by Gilles Deleuze in his 1967 text Difference and Repetition, only later to be abandoned. This piece of research sets out to clarify the meaning of this concept by distinguishing its “dramatic” acceptance from its “scenic” one. Since Deleuze never explicitly expressed his theory of the stage this thesis project intends to determine from Deleuze’s texts, as well as from the authors to whom he himself referred, the hypothesis at work within the philosopher’s definition of this term. The statement of this hypothesis takes place in a problematic conceptual environment, as described in the works of Denis Guénoun and Esa Kirkkopelto. The notion of “dramatisation” derives its meaning through a critique of a particular understanding of “representation” within which Plato, Aristotle, Kant and Hegel are held captive, as well as through a certain construal of Kierkegaard and Nietzsche’s concept of repetition. Interpretations of Plato’s method of dichotomous division, Kant’s transcendental method and Nietzsche’s eternal return contribute in this thesis to articulating the way in which drama, the stage and repetition combine.
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L'ob-scène de la pensée et la parole poétique chez Nietzsche, Heidegger, Camus, Blanchot et Bataille / The ob-scene of the thought and the poetic diction

Poullain, Yasmine 16 February 2013 (has links)
Nous cheminerons vers la possibilité pour la parole d’exprimer malgré l’usure du langage sous la quotidienneté qui arase le sens, l’intuition d’une complétude qui lui échappe et la laisse parcellaire au monde face à l’incommensurable altérité de celui qui l’écoute ou qui la lit. Avec Camus, mais aussi Nietzsche et Bataille, nous comprendrons la pensée comme une expérience; une transgression des frontières vers une extériorité irréductible de l’être. La pensée de la nuit, du neutre et du rien questionneront alors la possibilité même d’une pensée dans le cadre d'un rapport. Pensée devenue expérience de pensée, fragmentée dans et par une extériorité intrinsèque, ilots de sens disséminés qui disent plus dans le non- dit et la résonnance ; la pensée est confrontée à son propre ob-scène. L’approche heideggérienne de l’oeuvre d’art puis de la parole ainsi que la pensée de Blanchot qualifient dès lors la parole poétique comme seule parole pouvant penser et dire cette solitude essentielle du penser; mais en le maintenant suspendu dans le champ de l’indicible, de l’absence, du sens retenu et de l’écart entre être et exister. / We first question the possibility for the speech to express despite the day-to-day existence which flattens the meaning and despite the perception of a fleeing integrity which lets it into pieces face the scene of the world as the deep alterity of whom is listening. Then, walking with Camus, Nietzsche and Bataille, we will understand the thinking as an experience that has to break boundaries up to the inextinguishable exteriority of Being. Helped by the concepts of the Night (Hegel and Bataille), of the Neuter (Blanchot) or of the Nothing (Heidegger), we will from there interrogate the possibility left for the thought to build itself out of a frame of relations from the otherness. The thought broken up in as by its self-otherness faces its own ob-scene. Islets of meanings, speaking more in what stays unsaid or by reverberations the thought finds in the poetic diction, as approched by heidegger and Blanchot, the only speech qualified to think and deliver the essential seclusion of the act of thinking. Though this parole lets it straddling the fence of what is unutterable, of the absence, of the meaning keept unsaid as the irreducible gap between being and existing.
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La scène de première rencontre de Baudelaire à Breton : du choc à l'échec amoureux / The scene of first meeting from Baudelaire to Breton : from shock to loving failure

Bourkhis, Rimel 22 April 2013 (has links)
Partant du sonnet « À une passante » de Baudelaire pour aboutir aux écrits de Breton en parcourant un florilège de textes traitant de la première rencontre, nous avons exploré dans un premier temps les spécificités de la scène poétique relativement à la scène romanesque étudiée par Jean Rousset. Dans un second temps, nous avons cherché à saisir les nouvelles caractéristiques du scénario moderne par rapport aux configurations classique et romantique. En adressant à l’inconnue croisée dans une rue de Paris le poème qu’elle a suscité l’instant d’un coup d’œil fugitif, Baudelaire crée un poncif amoureux nouveau. Dans ce sonnet, le cadre spatio-temporel, les acteurs, la rencontre et l’amour portent l’empreinte de la modernité jusqu’à en devenir l’emblème. D’autres poètes reprendront sur le mode de l’imitation ou de la variation le modèle baudelairien, et notamment la figure de la passante. Le poème de la première rencontre devient alors le lieu de la célébration d’une nouvelle figure féminine mais surtout d’une nouvelle lyrique qui n’est rien de moins qu’une érotique de la distance séparatrice. Chaque poème nous montre à sa façon que l’unique scène signifiante est celle du désir (qui déchire le poète et son lecteur) et que l’écriture d’une rencontre sans issue est l’ultime échappatoire contre l’absence. / Starting from the sonnet "To a passer-by" of Baudelaire to lead to the writings of Breton by traversing a group of texts treating of the first meeting, we initially explored specificities of the poetic scene compared to the romantic scene studied by Jean Rousset. In a second step, we sought to understand the new features of modern scenario compared ti the classical and romantic settings. By sending to unknown crossed in a street of Paris the poem that she aroused the moment all at once of escaped eye, Baudelaire creates a new loving common place. In this sonnet, the spatiotemporal frame, the actors, the meeting and the love carry the imprint of the modernity until become the emblem. Other poets will take back on the mode of simulation or of variation the baudelerian model, and notably the figure of the passer-by. The poem of the first meeting becomes then the place of the celebration of a new feminine figure but especially of the lyric news which is nothing at least than an erotic of dividing distance.
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Rire au théâtre à la fin du XVIIIe siècle : portée sociale, littéraire, philosophique, morale et politique / Laughing to the theater at the end of the eighteenth century : Social, literary, philosophical, moral and political impact

Fournier, Stéphanie 14 May 2013 (has links)
Les années 1760 voient l’apparition de petits établissements théâtraux à Paris, boulevard du Temple, en concurrence avec les trois théâtres officiels de la Capitale : l’Opéra, la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Leur institutionnalisation sous la Révolution entraîne leur prolifération mais implique aussi une nouvelle conception du théâtre qui n’est plus un art subventionné au service du Roi, mais qui fonctionne comme une véritable entreprise dont l’objectif est de réaliser des bénéfices nécessaires à sa survie en attirant un public de plus en plus nombreux. Cette thèse s’intéresse en premier lieu aux représentations théâtrales dans leur totalité afin de comprendre comment naissaient des succès de scène ou des acteurs-« vedettes » incarnant de nouveaux types théâtraux. Elle cherche à analyser le théâtre de cette période comme un phénomène de société induisant de nouveaux modes de création centrés sur la réception d’un public à conquérir. Cette étude privilégie l’angle du rire, effet supposé du comique théâtral, mais aussi manifestation effective des spectateurs au cours des représentations, comme un marqueur important du succès des pièces jouées dans ces théâtres, et comme un révélateur essentiel, dans ses diverses significations et dans son évolution, du rapport tendu entre les théâtres, l’élite intellectuelle, les instances morales et politiques, au cours d’une période de bouleversement historique intense. Au-delà, il s’agit de revaloriser tout un pan du patrimoine théâtral comique de la fin du XVIIIe siècle, patrimoine délaissé et pourtant dominé par des œuvres, auteurs et acteurs d’importance. / During the 1760’s years, new small theatres are setting up on the “boulevard du Temple” in Paris, in competition with the three official theatres of the Capital: the Opéra, the Comédie-Française and the Comédie-Italienne. Their institutionalization during the Revolution brings about their proliferation but also implies a new conception of the theatre, which is not anymore a subsidized art in the service of the King, but a real company which intend to survive by making profits, trying to attract more and more audience. This thesis first intends to analyse the performances in their totality and to understand how were created success plays or star actors embodying theatrical characters. It tries to understand the theatre of this period as a society phenomenon inferring new modes of creation focused on the audience’s reception. This study is centred on laughter, as a supposed effect of the theatrical comic but also as an effective audience’s demonstration during performances, attesting the success of dramas performed in these theatres and revealing, by its diverse meanings and its evolution, tense relations between theatres, intellectual elite, moral and political authorities, during a period of major historic upheaval. Beyond, this work aims at revalue a whole piece of a neglected funny theatrical heritage at the end of the eighteenth century, that nonetheless could boast important comedy writers, plays and actors.
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O lugar da ficção - Le lieu de la fiction / Le lieu de la fiction

Kinas, Fernando César 02 July 2010 (has links)
O tema central desta pesquisa é a investigação sobre o estatuto da ficção no teatro contemporâneo ocidental. Em sintonia com as transformações sociais da sua época, os contornos do teatro perderam nitidez. Neste momento de questionamentos radicais, a permanência, mutação ou desaparecimento da ficção é uma das características centrais na reconfiguração da arte teatral. Ao diagnosticar o ambiente de desconfiança em relação aos métodos e resultados da representação, investigamos este novo lugar que ocupa, ou pode ocupar, a ficção teatral. Através do debate teórico e da análise de experiências teatrais das últimas três décadas, identificamos uma preocupação com o real e com a inovação formal que não são incompatíveis com um projeto teatral crítico. / Le sujet central de cette recherche est une investigation sur le statut de la fiction dans le théâtre occidental contemporain. En ligne avec les transformations sociales de son temps, les contours du théâtre ont perdu de leur netteté. En ce moment de mise en question radicale, la permanence, la mutation ou la disparition de la fiction est l\'une des caractéristiques principales pour la reconfiguration de l\'art théâtral. En diagnosticant l\'environnement de méfiance par rapport aux méthodes et résultats de la représentation, nous avons étudié ce nouveau lieu qu\'occupe, ou peut occuper, la fiction théâtrale. Par le débat théorique et par l\'analyse des expériences théâtrales des trois dernières décennies, nous avons identifié une préoccupation avec le réel et avec l\'innovation formelle qui ne sont pas incompatibles avec un projet théâtral critique.
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A canção em cena : corpo e gesto nas vozes de Mônica Salmaso e Maria João

Petrucci, Ligia Antonela da Silva January 2018 (has links)
Basée sur le principe que la chanson est aussi un art de la scène, la recherche est dédiée à l'analyse des performances scéniques de la chanteuse brésilienne Mônica Salmaso et de l'auteur-compositeur-interprète portugaise Maria João. Afin de comprendre la force poétique particulière d'un concert de chansons, l'étude tente de percevoir les différences et les approximations entre les procédures scéniques des artistes lors des présentations réalisées dans le cadre du Projeto Unimúsica de la Universidade Federal do Rio Grande do Sul. Ce travail a comme concepts centraux la notion de geste, telle que proposée par Paul Zumthor – le geste, ici, fait référence au mouvement ou à l'attitude corporelle qui trouve son équivalent dans une certaine production de voix et vice versa; unis, ils projettent dans l'espace de performance le corps de celui qui chante (ZUMTHOR, 2005, 2010) – et le grain de la voix, presenté par Roland Barthes (2007, 2009) – mixte de timbre et de langage, matérialité corporelle qui fait vivre la parole chantée. Geste et grain sont également abordés sous la perspective d’une pensée contemporaine de la danse à travers les réflexions de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) et Laurence Louppe (2004, 2012) et mis en rapport avec l'idée de vocalité suggérée par Mirna Spritzer (2010, 2016) et de gestuelle orale évoquée par Luiz Tatit (2002). La méthodologie comprend, outre la collecte de documents (des disques, des enregistrements vidéo, des interviews et des témoignages imprimés ou enregistrés), l'observation de concerts, la réalisation d’entretiens ainsi que l'analyse des documents selon les cadres théoriques choisis. / A partir da premissa de que a canção é também uma arte da cena, a pesquisa se dedica à análise das performances de palco da cantora brasileira Mônica Salmaso e da cantora e compositora portuguesa Maria João. Para compreender a especial força poética de um concerto de canções, o estudo procura perceber as diferenças e aproximações entre os procedimentos cênicos das artistas, privilegiando as apresentações realizadas no Projeto Unimúsica da Universidade Federal do Rio Grande do Sul. O trabalho tem como conceitos centrais a noção de gesto, tal como é proposta por Paul Zumthor – gesto, aqui, diz respeito ao movimento ou à atitude corporal que encontra seu equivalente em uma certa produção de voz e vice-versa; unidos, eles projetam no espaço da performance o corpo daquele daquela que canta (ZUMTHOR, 2005, 2010) –, e o instigante grão da voz, de Roland Barthes (2007, 2009) – misto de timbre e linguagem, materialidade do corpo que dá vida à palavra cantada. Gesto e grão são também abordados pela perspectiva do pensamento contemporâneo da dança através das reflexões de Christine Roquet (2011, 2013), Isabelle Launay (2004, 2012) e Laurence Louppe (2004, 2012) e relacionados à ideia de vocalidade sugerida por Mirna Spritzer (2010, 2016) e à de uma gestualidade oral, evocada por Luiz Tatit (2002). A metodologia contempla, além do mapeamento documental (discos, registros em vídeo, entrevistas e depoimentos impressos ou gravados), a observação de concertos, a realização de entrevistas e a análise dos documentos de acordo com os referenciais teóricos escolhidos.

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