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Passion et raison dans le stoïcisme

Ross, Daniel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Philosophie et religion dans le stoïcisme impérial romain. Étude de quelques cas : Cornutus, Perse, Epictète et Marc-Aurèle / Philosophy and religion in the imperial stoicism

Pià Comella, Jordi 03 December 2011 (has links)
Comment les Stoïciens concilient-ils l’exigence d’une piété intérieure, reposant sur l’obéissance à un dieu rationnel avec la défense des rites traditionnels ? Après avoir étudié les oscillations constantes chez les Stoïciens grecs entre la légitimation et la condamnation des cultes civils, nous montrons que les Stoïciens impériaux, Cornutus, Perse, Épictète et Marc- Aurèle, prolongent le débat sur la relation entre philosophie et religion sous une perspective différente, en l’acclimatant au contexte politico-religieux de la Rome impériale et en l’adaptant à la nature du destinataire et aux stratégies persuasives de chaque œuvre. / How can the stoics reconcile the research of rational piety based on moral perfection with the legitimization of the ritualism and traditional representation of pagan gods? After studying the constant oscillation between the legitimization and condemnation of traditional rites in ancient stoicism, we demonstrate that the roman stoics, Cornutus, Persius, Epictectus and Marcus Aurelius, address the same question, but with two essential specifics : adapting it to the political-religious context of Imperial Rome and paying particular attention to their readers as to the pedagogic strategist to grant its moral conversion.
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Passion et raison dans le stoïcisme

Ross, Daniel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Sapientia contemptrix doloris : le corps souffrant dans l'œuvre philosophique de Sénèque / Sapientia contemptrix doloris : suffering body in Seneca’s philosophical works

Courtil, Jean-Christophe 25 October 2013 (has links)
Sénèque respecte scrupuleusement l’orthodoxie stoïcienne en affirmant à plusieurs reprises que la santé physique, en tant qu’« indifférent » moral, ne doit en aucun cas être un objet d’attention. Toutefois, parallèlement à ces considérations, il compose une œuvre dans laquelle la souffrance physique occupe une place considérable. La présente étude, à travers l’examen des théories et des représentations du dolor physique dans l’œuvre philosophique de Sénèque, se propose de résoudre ce paradoxe apparent et de déterminer précisément les fonctions d’un tel emploi. Dans un premier moment, après avoir défini la notion de dolor physique et établi une typologie précise, nous démontrons l’omniprésence du motif du corps souffrant et en dégageons les raisons externes, qu’elles soient socio-anthropologiques et culturelles, politiques, littéraires et même personnelles. Dans un deuxième temps, nous étudions la dimension médicale des représentations de la souffrance, afin de définir chez le philosophe le niveau de sa connaissance des auteurs spécialisés et l’origine possible des théories pathologiques et thérapeutiques qui affleurent dans son œuvre. Dans un troisième temps, nous envisageons le dolor physique au sein de la pensée philosophique de Sénèque. Nous nous employons à démontrer que le dolor physique possède une fonction éthique de premier ordre et que Sénèque ne se limite à présenter des éléments dogmatiques, mais développe également une série d’exercices pratiques permettant de sortir vainqueur du combat contre la douleur physique. / Seneca scrupulously respects Stoic orthodoxy by repeatedly asserting that physical health, as a moral “indifferent”, should never be an object of attention. However, alongside these considerations, he composed a work in which physical suffering holds an important place. The intent of this study, through the analysis of theories and representations of physical dolor in Seneca’s philosophical works, is to solve this apparent paradox and to accurately establish the functions of such use. In a first time, after having defined the notion of physical dolor and established a precise typology, we demonstrate the omnipresence of the pattern of the suffering body and draw external reasons for it, whether they might be socio-anthropological and cultural, political, literary and even personal. In a second time, we study the medical aspect of the representations of suffering in order to define in the philosopher the level of his knowledge of specialized authors and the possible origin of the pathological and therapeutic theories that emerge in his work. In a third time, we consider the physical dolor in Seneca’s philosophical thought. We apply to demonstrate that the physical dolor has a first order ethical function and that Seneca does not confine himself to submitting dogmatic elements, but he also develops a series of practical exercises that allow to emerge victorious from the fight against physical pain.
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Voluntas : force d’âme, libre arbitre et volonté du peuple chez Cicéron. / Voluntas : Willpower, free will, and the will of the people in Cicero

Paulson, Alexander 18 December 2017 (has links)
La volonté : peu de termes reviennent dans des débats aussi nombreux et aussi divers ; peu se prêtent à un aussi large éventail de registres, de l’ordinaire au sacré. Mon travail voudrait introduire à la notion de volonté chez Cicéron, et aux nouveaux champs sémantiques ouverts par lui pour la postérité. Le rôle accordé à lui jusqu’ici dans les généalogies de la volonté a été au mieux mineur. Mais les archives numériques confirment un fait curieux : tout le corpus latin antérieur à Cicéron contient environ 25 occurrences de voluntas ou de ses formes déclinées. Dans le seul corpus cicéronien, le mot apparaît 644 fois. Sa théologie pense l’univers en tant qu’il est déterminé par la mens ac voluntas des dieux, et fait passer le progrès de l’âme par la contemplation de la volonté divine. La voluntas est centrale dans sa réflexion sur l’émotion et la responsabilité en contexte judiciaire. Dans ses traités philosophiques, il adapte l’éthique stoïcienne et fait de la volonté le siège de la progression morale. En outre, c’est Cicéron et non Lucrèce qui a le premier examiné la liberté du vouloir humain : lorsqu’il entreprit, à trente-six ans, l’accusation de Verrès, puis dans le De fato, où sa défense de la libera voluntas mobilise le Portique et l’Académie contre le Jardin. Enfin, Cicéron invente la volonté du peuple telle que nous la connaissons. Le plus grand orateur romain, pionnier de la pensée politique de langue latine, fait de la voluntas populi la force agissante d’une république souveraine. Son idée de la volonté populaire contient d’ailleurs en germe les problèmes de représentativité des élites que nos démocraties électorales cherchent encore à résoudre. / The will : few words feature in so many distinct debates, nor range so vastly from the simple to the sacred. This thesis is intended to provide a thorough study of the notion of will in Cicero, and of the new semantic pathways he opens for posterity. The role attributed to him in genealogies of the will has been relatively minor. But digital archives confirm a curious fact: all extant Latin texts prior to his lifetime yield around two dozen occurrences of voluntas and its cognates. In the texts we have, Cicero uses the word 644 times. His theology examines the character of the world determined by the mens ac voluntas of the gods, and the improvement of the soul in the contemplation of divine will. Voluntas propels and inspires Cicero’s study of emotion in criminal liability. In the Tusculan Disputations and De officiis, he adapts Stoic ethics to propose the will as locus of moral progress. Further, it was Cicero, not Lucretius as some have argued, who first considered the “freedom” of human will – as a 36-year-old prosecutor, and then in the De fato, where his argument for libera voluntas marshals the Stoa and Academy to repudiate the Epicureans. Finally, Cicero invents “the will of the people” as we know it. Rome’s greatest orator and the pioneer of political thought in Latin, he makes voluntas populi the catalyzing force of a sovereign republic. So too does he sow problems of elite “trusteeship” into his notion of popular will, problems which electoral democracies still struggle to resolve.
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La diversité de nos passions ! Corps, âmes et sagesse dans les Essais de Montainge / «La diversité de nos passions !» Body, soul and wisdom in the Essais of Montaigne

Ferrari, Emiliano 28 June 2011 (has links)
La considération des passions dans les Essais met au jour un phénomène complexe et transversal, où se manifeste le grand présupposé de l’anthropologie de Montaigne : l’homme est une unité indivisible de corps et d’âme. Comme l’homme, les passions sont des phénomènes mixtes qui ont une double étiologie : elle peuvent naître dans le corps ou dans l’âme. Par sa propre constitution, l’homme est donc naturellement sujet à un « nombre infiny des passions », et la sagesse des Essais n’est que la capacité de gouverner et modérer les forces passionnelles pour réaliser la perfection humaine qui seule soit possible : savoir « jouyr » de son propre être singulier. L’éthique demandera ainsi une connaissance préalable des limites et des pouvoirs physiologiques et psychologiques qui sont propres à l’homme, car la sagesse doit être efficace et réellement utile. La connaissance du corps conduira à une critique de l’hylémorphisme psychologique et à l’affirmation de l’indépendance des dynamiques corporelles : l’expérience des actes involontaires, l’affectivité organique, les passions sensibles se développent sans aucune référence animique mais, au contraire, ils affectent profondément l’âme. La connaissance psychologique, quant à elle, cherchera à saisir, par l’introspection directe, les dynamiques qui constituent les passions de l’âme. Cette connaissance permettra à l’âme de découvrir son propre pouvoir d’engendrer des passions, ce qui lui permettra de gérer les conflits et les tensions entre les passions par le moyen d’autres passions. Se dessine ainsi, dans le livre III des Essais, une discipline de l’âme qui est une gestion de ses propres mouvements passionnels mais aussi des passions corporelles : l’âme doit en fait pratiquer un constant retour à son corps, et par cela intensifier l’unité psychosomatique. C’est dans cette unité, toujours à rétablir, que l’homme a accès à la jouissance de son être et à la perfection morale. / The study of the emotions in the Essais of Montaigne shows a complex phenomenon, which demonstrate the great assumption of the Montaigne’s anthropology: man is an undividable unity of body and soul. Like human being, the emotion is a mixture experience that has a double aetiology: it raise in the body and in the soul. For his particular constitution, man is naturally subject to « nombre infiny des passions », and the wisdom of the Essais is nothing else that the ability of governing and harmonising the emotional forces, for realise the only human possible perfection: enjoy the proper life in his immanent singularity (sçavoir jouyr loiallement de son estre). For that goal, the moral philosophy needs to know the real physiological and psychological powers and limits of human being, because wisdom must be useful et practicable. The knowing of the body in the Essais will lead to a deconstruction of the hylomorphic psychology and to the affirmation of the independence and autonomy of the body’s dynamism: the experience of the involuntary actions and sensible emotions arise without any reference to the aristotelic psyché, and the soul fell this events as affections. On the other side, the psychological knowledge tries to understand, b the introspection, the psychological acts (linked to imagination and judgement) that constitutes the emotions of the soul. By that understanding, the soul discover his power of arising the emotions, that witch give him the concrete possibility of manage the conflicts and the tensions between passions, using the power of other different passions. This process, in the third book of the Essais, sketch a real discipline of the soul that is an administration of the soul’s emotions («passions de l’ âme») and of the body’s emotions («passions corporelles»): the soul has to rest in connection with his body, and in doing so it can intensify the psychosomatic unity. It is in that unity, constantly reaffirmed, that man has access to the enjoyment of his proper being and to the moral perfection.
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Responsabilité et engagement dans le stoïcisme / Responsibility and commitment in Stoic philosophy

D'Jeranian, Olivier 28 November 2015 (has links)
Cette recherche prend pour objet d’étude la conception stoïcienne de la responsabilité, éclairée par la thématique contemporaine de l’engagement. Les différents niveaux du discours – ontologique, physique, psychologique, moral et politique – réinterrogent également, par leur articulation problématique, l’unité des stoïciens. On résume traditionnellement leur fatalisme à un «compatibilisme», dans la mesure où ils conjuguaient liberté et déterminisme. Cette compatibilité est au principe même de la notion de responsabilité, dont il s’agit de comprendre comment, de la physique à la morale, mais aussi, du stoïcisme hellénistique au stoïcien impérial, elle reçoit un traitement autant inédit qu’équivoque. On s’interrogera ainsi sur l’articulation du concept de «cause» (αἴτιον) avec celui de «ἐφ' ἡμῖν» (ce qui dépend de nous), concepts qui mettent en jeu la problématique de l’imputation – où il s’agit de fonder la responsabilité humaine – dans son lien avec celle de l’assomption, où il s’agit de la reprendre à son propre compte en accomplissant son rôle et ses devoirs. Ces deux versants de la responsabilité mobilisent toutes les branches du système stoïcien, et leur caractère organique. On montre que la responsabilité reçoit une extension maximale, parce que son analyse est synthétique. Le passage de la responsivité ontologique à l’assomption morale, qui ouvre, de Chrysippe à Épictète et Marc Aurèle, à une éthique de la responsabilité et à un engagement philosophique, qui fait fond sur l’idée d’acceptation et de renversement, constituera le point de mire de notre questionnement. / This research studies the Stoic conception of responsibility, informed by the contemporary theme of commitment. Different levels of the discourse - ontological, physical, psychological, moral and political - will also question anew, by their problematic articulation, the unity of the Stoics. Traditionally, their fatalism is summarized by a "compatibilism", insofar as they associate freedom and determinism. This compatibility is at the very principle of the concept of responsibility, which we should understand by how it receives a treatment as unique as equivocal, from its physics to its morals, but also from the Hellenistic to the Imperial stoicism. We will thus wonder about the articulation of the concept of "cause" (αἴτιον) with that of "ἐφ' ἡμῖν" (that which is up to us), concepts that involve the issues of attribution - where it comes to build up human responsibility - and assumption, where it comes to seize it again by performing one's role and duties. Those both sides of responsibility mobilize all the branches of the Stoic system and their organic character. We show that responsibility receives a maximal extension, because its analysis is synthetic. The shift from ontological responsiveness to moral assumption that leads, from Chrysippus to Epictetus and Marcus Aurelius, towards an ethics of the responsibility and a philosophical commitment, which builds on the idea of acceptance and overthrow, will be the focus of our inquiry.
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Amor fati : entre stoïcisme et nietzschéisme

Duval, Benoît January 2016 (has links)
Les Pensées de Marc-Aurèle représentent un véritable chant du cygne pour le concept grec d'amor fati. Dans le sillon initié par la tradition stoïcienne, Marc-Aurèle, en déployant cette idée, ne met ainsi en lumière qu'un concept qui se trouve en filigrane depuis fort longtemps dans la pensée antique. L'amor fati, ou littéralement « l'amour du destin », bénéficie en effet d'un échafaudage logique et conceptuel déjà riche et développé. Or, le christianisme émergeant à l'époque de Marc-Aurèle, par son idéologie à la fois puissante et populaire, a relayé l'amor fati aux oubliettes pour plusieurs siècles. C'est sous la plume de Friedrich Nietzsche, à la fin du XIXe siècle, que l'amor fati connait sa renaissance la plus éloquente. Un changement majeur est toutefois flagrant : l'amor fati nietzschéen est loin, au premier abord, de s'inscrire dans la foulée d'un néostoïcisme. Systématicité d'un côté et aphorisme de l'autre, ordre d'un côté et chaos de l'autre, raison d'un côté et affect de l'autre, ataraxie d'un côté et joie extatique de l'autre : les couples antimoniques s'additionnent et rendent pour le moins suspecte la thèse du partage du même concept. Cette radicale transfiguration opérée par Nietzsche de l'amor fati suggère l'incommensurabilité des paradigmes stoïcien et nietzschéen. Peut-être empruntent-ils simplement les mêmes mots pour signifier une réalité toute différente? Afin de dissiper l'ambiguïté, l'analyse minutieuse de l'amor fati que développent les stoïciens de l'époque impériale (Marc-Aurèle et Épictète en tête de liste) et Friedrich Nietzsche devient nécessaire.
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Structure et exercices pédagogico-thérapeutiques des Lettres à Lucilius de Sénèque

Trudel, Vincent 16 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 12 janvier 2024) / Les 124 Lettres à Lucilius de Sénèque constituent, selon toute vraisemblance, un exemple de direction philosophique. Sénèque s'y entretient avec son correspondant de sujets divers, le conseille dans ses études et lectures, commente son progrès et lui prescrit différentes pratiques et des exercices spécifiques qui évoluent au gré de l'avancement de Lucilius. Bien que cette œuvre ait été abondamment étudiée, aucune étude d'ensemble sur les exercices n'a été réalisée sur les Lettres à Lucilius à ce jour, et seules des informations parcellaires ont été révélées à propos de leur structure ou de celle de la direction de Sénèque. Si les Lettres sont effectivement le lieu d'une transmission par Sénèque à Lucilius de renseignements sur des pratiques, de prescriptions d'exercices, de consignes d'apprentissage et de conseils thérapeutiques, nous pouvons concevoir que ces éléments suivaient une certaine structure ou méthode conforme aux principes du stoïcisme et adaptée à l'état de Lucilius. Qui plus est, si Sénèque avait véritablement l'intention de transmettre par voie épistolaire à Lucilius des consignes et prescriptions réelles au sujet de pratiques concrètes, il a nécessairement dû fournir à Lucilius, dans ses missives, des informations suffisamment détaillées à leur sujet pour que son correspondant puisse les appliquer correctement, c'est-à-dire conformément aux indications de Sénèque, à son mode de vie. À partir de critères de définition précis, élaborés en analysant d'autres textes stoïciens anciens traitant de l'ἄσκησις philosophique, nous avons donc analysé les Lettres à Lucilius dans le but d'y identifier des exercices. Le thème de ces exercices en conjonction avec les éléments textuels exposés par Sénèque à travers son propos et les doctrines du stoïcisme ancien permettent de discerner une structure pédagogico-thérapeutique dans la direction de Sénèque et dans ses prescriptions d'exercices qui évoluent de manière cohérente avec le progrès de Lucilius. / Seneca's 124 Moral Letters to Lucilius form, in all likelihood, an example of philosophical direction. Seneca corresponds with his addressee on various subjects, advises him regarding his studies and readings, comments on his progress and prescribes various practices and specific exercises which evolve according to his progress. Although this work has been extensively studied, no global study has been made to date about the exercises in the Moral Letters to Lucilius and only fragmentary information has been revealed about their structure or that of Seneca's mentoring to Lucilius. If the Letters are indeed the place of a transmission by Seneca to Lucilius of information on practices, prescriptions on exercises, learning instructions and therapeutic advices, we can conceive that they followed a certain structure or method in conformity with the principles of Stoicism and adapted to Lucilius' level. Moreover, if Seneca really intended to transmit real instructions and prescriptions about concrete practices to Lucilius by epistolary means, he must necessarily have provided Lucilius, in his letters, with sufficiently detailed information about those exercises so that his correspondent can apply them correctly, that is to say, to his way of life in accordance with Seneca's indications. Based on precise definition criteria, developed by analyzing other ancient Stoic texts dealing with the philosophical ἄσκησις, we have therefore analyzed the Moral Letters to Lucilius with the goal of identifying exercises in them. The theme of these exercises in conjunction with the textual elements exposed by Seneca through his words and the doctrines of ancient Stoicism allow us to identify a pedagogical-therapeutic structure in the direction of Seneca and in his prescriptions of exercises as they follow Lucilius' evolution.
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Être résistance : illustration d’une nouvelle théorie de la résistance chez le dernier Foucault

Tacheji, Marc-James M.J. 08 1900 (has links)
Dans le présent mémoire, je revisite l’oeuvre de Foucault à la lumière des analyses qu’il offre entre 1981 et 1984 dans ses derniers cours au Collège de France. À l’encontre de l’avis qui voit une rupture dans la pensée foucaldienne – opinion justifiée par la transition radicale qu’opère Foucault depuis l’étude de la relation entre pouvoir et savoir à l’analyse des techniques de subjectivation dans l’Antiquité – j’illustre qu’il y a continuité et complémentarité entre ses analyses des années 1970 et ses démonstrations des années 1980. Foucault trouve, au fondement de la pratique politique gréco-romaine, une éthique définie comme travail de soi sur soi. Aussi tente-t il, au travers de ses dernières analyses, de réactualiser l’askêsis comme fondement oublié de l’éthique, et l’êthos comme condition d’efficacité de la politique. Si, jusqu’en 1980, Foucault s’intéresse aux mécanismes et aux dispositifs permettant le gouvernement de la population, à partir de 1980, c’est la question du gouvernement de soi comme condition nécessaire du gouvernement des autres qui investit ses analyses. L’objectif de ce mémoire est d’illustrer, à partir de la redéfinition foucaldienne de l’éthique, la présence d’une nouvelle théorie de la résistance dans ses derniers cours au Collège de France. Par voie de conséquence, je propose implicitement des éclaircissements sur la fonction qu’occupent L’Usage des plaisirs et le Souci de soi, ultimes publications de l’auteur, au sein de son oeuvre. / In this dissertation, I revisit Foucault’s work through the various analyses he offered between 1981 and 1984 while teaching at the Collège de France. Against the opinion which sees a radical turn in Foucault’s thought – opinion which is seemingly justified by the author’s break with his past demonstrations on the relation between power and knowledge, and his shift towards the study of the various spiritual exercises in Antiquity – I illustrate that there is a continuity and a complementarity between his earlier studies and his later interests. Foucault uncovers, at the basis of Greco-roman political practice, an ethics defined as an exercise of the self. He then attempts, throughout his last years at the Collège de France, to reinstate askêsis as the long forgotten foundation of ethics, and the êthos as the condition of political efficiency. Until 1980, Foucault is mainly interested by the mechanisms and devices enabling the government of populations. From 1980 on, it is the question of the government of self as a necessary condition for the government of others which invests his analyses. My objective, throughout this dissertation, is to illustrate how Foucault’s redefinition of ethics allows him to advocate a new theory of resistance in his last years at the Collège de France. This dissertation therefore implicitly suggests further clarification pertaining to the function of Foucault’s last two publications (L’usage de plaisir and Le souci de soi) within his work understood as a whole.

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