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Défis de quelques pratiques artistiques contemporaines de la jeune scène iranienne / Non communiqué

Sadeghinia, Sara 27 October 2012 (has links)
La culture en général et l’art, en particulier, occupent une position unique dans la structuration d’une société. En dépit des conflits, des convulsions politiques et idéologiques qu’a connu depuis un siècle, l’Iran d’aujourd’hui n’est plus un pays sous le joug politique d’une théocratie obscurantiste. Contrairement aux discours bruyants et actions hostiles de dirigeants islamiques qui provoquent si facilement l’attention du grand public en Occident, l’expression artistique iranienne reste très peu connue du public du monde entier. C’est à partir d’une réalisation plastique personnelle qu’ont été évalués que les véritables représentants et porte-parole d’une société iranienne progressiste ne sont plus ses politiques, mais bien ses artistes. Les artistes iraniens essaient de montrer la voix d’un autre Iran, celle d’un pays à l’histoire plurimillénaire, mais toujours aussi épris de culture et avide de liberté.Très attachées à leur histoire et leur culture, les oeuvres des artistes iraniens s’élaborent entre héritage et innovation. Lesquelles font état d’univers où un langage symbolique, ostensiblement hybride, se construit entre traditions ancestrales et modernité postrévolutionnaire. Par le biais de différents types médiums contemporains, comme la photographie, la performance, l’installation, la vidéo, ces oeuvres témoignent de la recherche d'un geste et d'un langage susceptibles de reconstruire la mosaïque du réel. Le regard des artistes, construit par leurs codes culturels, ne les empêche cependant pas de prendre en considération les actuels problèmes sociaux et politiques. Par contre, les artistes iraniens détournent intelligemment la réalité de façon métaphorique et symbolique pour transmettre le contenu de leur message au monde entier. De cette manière, l’art contemporain iranien, a pu s’épanouir sur la scène internationale et a pu attirer l’attention de quelques collectionneurs du marché de l’art et de commissaires d’exposition internationaux, durant ces dernières décennies. / Culture in general and art in particular, occupy a unique position in the structure of society. Despite the conflicts, political and ideological convulsions has been known for a century, Iran today is no longer a country under the political yoke of theocracy obscurantist. Unlike the noisy speech and actions hostile Islamic leaders who so easily cause the attention of the general public in the West, Iranian artistic expression is very little known to the public worldwide. This is from a personal realization plastic what evaluated as true representatives and spokespersons of Iranian society progressive are no longer policies, but its artists. Iranian artists trying to show the voice of another Iran, a country with a history thousands of years, but still as loving culture and eager for freedom. Very attached to their history and culture, the works of Iranian artists to develop between heritage and innovation which indicate universe where a symbolic language, ostensibly hybrid builds between traditions and modernity post-revolutionary. Through different mediums contemporaries, such as photography, performance, installation, video, these works reflect the research gesture and language may reconstruct the mosaic of reality. The regard of artists, built by their cultural codes, however, does not prevent to consider the current social and political problems. By against, Iranian artists intelligently divert the reality of metaphorical and symbolic way to transmit the content of their message to the world. In this way, Iranian contemporary art, has been able to flourish on the international scene and has attracted the attention of some collector’s art market and international exhibition curators, in recent decades.
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L'Opéra de Paris de Louis XIV au début du XXe siècle : régime juridique et financier / The Paris Opera since the reign of Louis XIV until the beginning of the twentieth century : legal and financial framework

Monnier, Franck 06 December 2012 (has links)
Dès le XVIIIe siècle, l’Opéra de Paris est considéré comme un « établissement public ». Ses missions sont nombreuses. Le théâtre doit proposer traditionnellement aux spectateurs des ouvrages lyriques appartenant à un genre national, mais son rôle est aussi de représenter le pouvoir politique, de servir les relations diplomatiques, ou encore de soutenir un pan de l’artisanat. Le fonctionnement du « service public de l’Opéra » soulève des questions d’ordre public et de gestion. Un encadrement normatif a été mis en place. La police des spectacles a été réformée et adaptée aux singularités de l’établissement : le régime de la censure, la surveillance policière, comme les dispositifs de lutte contre les incendies ont été l’objet de mesures précises. La gestion du théâtre a connu plusieurs bouleversements. Les autorités ont hésité entre un système ambigu de délégation à des entrepreneurs subventionnés et un mode de gestion en régie directe. Ces réformes institutionnelles ont eu des incidences sur la condition juridique des interprètes, comme sur le déroulement des carrières et l’organisation de leur caisse de pensions. Toutes les informations nécessaires à l’élaboration de ce travail ne se trouvent pas dans les règlements. La méthode a été de croiser les sources juridiques avec les archives administratives et les bilans comptables, afin de confronter la marche effective de l’établissement avec le fonctionnement « idéal », imaginé dans les bureaux, loin des difficultés matérielles d’exécution. Cette étude révèle la force normative des usages en matière d'administration, ainsi que le phénomène de détournement des textes par les administrateurs. Ce mode de fonctionnement, souvent ignoré de la bureaucratie, demeure le seul élément de stabilité à l’Opéra, depuis le règne de Louis XIV jusqu’à la IIIe République. / Since the eighteenth century, the Paris Opera has been considered to be a “public service corporation”. Many missions were assigned to the theatre: the Opera should traditionally offer the viewer lyrical opuses in a national genre, but it’s role was also to represent the authorities, serve foreign affairs and support a section of the craft industry. The functioning of the "public service of the Opera” raises questions of public order and management. A legal framework was implemented. The police for the theatres was reformed and adapted to the peculiarities of the activity: censorship, police surveillance and fire fighting arrangements were organized by specific measures. The administration of the Opera underwent several upheavals. The authorities hesitated between an ambiguous system of delegation to subsidized contractors and direct state control (or local government control). These institutional reforms had an impact on the legal status of the artists, on the development of their careers and on the organization of their pension fund. All the information necessary for the development of this work is not to be found in the legal regulations. Our method was to cross the legal sources with administrative records and balance sheets, in order to compare the actual running of the theatre with it’s "ideal" functioning, planned in offices, far from the material difficulties of the actual execution. This study reveals the normative force of customary uses in administration, as well as the phenomenon of diversion of the rules by the administrators and the staff. This mode of functioning, often unknown to the bureaucracy, remains the only element of stability in the Opera, since the reign of Louis XIV until the Third Republic.
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La désinvolture : Esthétique et éthique de l'art (de vivre) postmoderne. L'art contemporain italien au regard de la "Sprezzata desinvoltura" de Baldassar Castiglione / The "desinvoltura” : Aesthetics and ethics of postmodern (living) art. Italian contemporary art with regard to Baldassar Castiglione's “Sprezzata Desinvoltura”.

Métaux, Sandra 14 January 2012 (has links)
L’Italie, berceau de la sprezzata desinvoltura de Castiglione, est assurément le pays où l’ambiguïté des relations entre art, politique et images médiatiques est la plus forte. Le pavillon Italien des biennales de Venise de 2009 et 2011 illustre ce jeu complexe des apparences, qui « fait des mondes » ou « illumine des nations ». En relisant l’histoire de l’art à travers le prisme du concept de Castiglione, la thèse nous donne à voir que le monde (de l’art) est lui-même l’effet de l’ambivalence de cette désinvolture. Loin d’avoir assujetti l’art à leurs concepts, les grands hommes, qu’ils soient rois, philosophes ou hommes d’affaires seraient des effets de cette désinvolture de l’art. Comme Monsieur Jourdain, ils feraient de l’art sans le savoir. Exit Machiavel ! Il est aujourd’hui urgent de penser cette « ruse de l’art » qui mène le monde. Tel est l’enjeu fondamental de cette thèse qui, s’appuyant sur le schème nietzschéen de l’éternel retour, distingue plusieurs figures de la désinvolture, historiques, philosophiques et esthétiques. / Italy, the cradle of Castiglione’s sprezzata desinvoltura, is undoubtedly the country where the ambiguous relationship between art, politics and media is the strongest. The Italian pavilion of the Venice Biennale in 2009 and 2011 illustrates the complex game of appearances, which are “making worlds" or "lighting up nations." Reading again the history of art through the prism of Castiglione’s concept, the thesis shows us that the world (of art) is itself the effect of this “disinvoltura” ambivalence. Far from having subjugate art to their concepts, the great men, whether kings, philosophers or businessmen are the effects of this casualness (“desinvoltura”) of art. Like Monsieur Jourdain, they would make art without knowing it. Exit Machiavelli! It is now urgent to think this "ruse of art" that leads the world. These are the fundamental stakes of this thesis, that basing itself on the Nietzschean eternal return schema, distinguishes several casualness figures, historical, philosophical and aesthetic.
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L'intention entrepreneuriale des jeunes artistes : le cas des étudiants des écoles d'art de Bretagne / Young artists' entrepreneurial intents

Bertholom, Garlonn 03 September 2012 (has links)
Loin de l’image romantique de l’artiste dénué de tout sens des réalités, tous les secteurs des arts mettent aujourd’hui en place des débats où au terme d’artiste s’adjoint fréquemment celui d’entrepreneur pour qualifier la transformation des activités artistiques. Acteurs majeurs de l’économie créative, les artistes suscitent un intérêt grandissant de la part des observateurs et des chercheurs. Parallèlement, l’encouragement de l’entrepreneuriat dans l’enseignement supérieur et particulièrement dans les filières non commerciales, constitue un enjeu majeur de dynamisation des économies occidentales. Afin d’accompagner ces débats, nous avons étudié la formation des intentions entrepreneuriales des jeunes artistes pour mieux cerner leurs composantes ainsi que les eprésentations sous-jacentes au désir d’entreprendre chez ce public particulier. Trente et un entretiens ont été réalisés auprès d’étudiants des écoles d’art de Bretagne. Les analyses de contenu ont permis de déceler un lien significatif entre l’identité artistique des étudiants et leur intention de créer leur structure. Les résultats permettent d’identifier les différentes composantes de l’intention entrepreneuriale des jeunes artistes ainsi que les représentations sur lesquelles elles se fondent. La discussion des résultats permet, enfin, de montrer que la construction d’une identité artistique forte et la construction d’une intention entrepreneuriale évoluent conjointement et se renforcent mutuellement. / Far from the romantic image of the artist which lacks all sense of reality, today there ismuch discussion about the term artist being frequently linked to that of entrepreneur in allsectors of the arts to reflect the transformation in artistic activities. As major players in thecreative economy, artists are provoking a growing interest among observers and researchers. At the same time, the policy of developing entrepreneurship as a specific discipline in higher education - particularly in non-business studies – constitutes a major challenge to stimulate Western economies. In order to make a contribution to the discussion, we studied and analyzed the development of young artists’ entrepreneurial intentions and the social representations underlying that development.We conducted thirty-one interviews with students in arts schools in Brittany. The findings show a significant link between the artistic identity of the students and their entrepreneurial intent. They also enable us to identify the specificities of that intent. Lastly, the findings show that the building of a strong artistic identity and the construction of an entrepreneurial intent jointly mature and reinforce each other.
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L'art emblématique d'Henri Peacham à travers l'étude de Minerva Britanna (1612)

Corre, Julie 07 June 2013 (has links)
Henry Peacham fait publier, en 1612, un ouvrage qu’il a longuement retravaillé à partir de manuscrits qui en constituent la matrice. Ainsi, Minerva Britanna voit le jour alors même que l’Angleterre pleure la mort du jeune Henri, prince héritier de la couronne et destinataire du recueil d’emblèmes d’Henry Peacham. Cette thèse propose une étude de l’art emblématique de ce polygraphe anglais peu connu et peu acclamé par la critique. Elle prend appui sur l’examen minutieux de son recueil, Minerva Britanna et s’attache à démontrer la qualité graphique des pictura emblématiques ainsi que la polyvalence des thèmes abordés par l’emblémiste.Un premier temps aborde la question de l’art emblématique d’Henry Peacham sous un angle biographique et bibliographique. Cette partie initiale nous donne l’occasion de découvrir la genèse de l’ouvrage ainsi que sa composition avant de nous pencher sur le développement du genre emblématique en Angleterre. L’étude vise plus précisément à démontrer que l’ouvrage de Peacham prend des accents militants et que l’auteur se veut le porte-parole des artistes anglais dont le statut demeure très instable.La deuxième partie se penche sur la question générique. On remarque que Minerva Britanna tient à la fois du conduct book anglais mais également du genre des specula principum en passant par celui du memento mori. Cela nous permet de mettre en évidence la polyvalence de ce recueil d’emblèmes mais également l’éclectisme du style peachamien. Ce deuxième temps est, en outre, l’occasion de faire le point sur les sources de l’auteur et sur la manière dont il clame son désir d’originalité tout en revendicant ses diverses sources d’inspiration.Enfin, une troisième partie vise à démontrer Minerva Britanna constitue une analyse des premières années du règne jacobéen. Il est ainsi question de politique intérieure puisque le recueil évoque tour à tour la philosophie du règne, la notion d’absolutisme monarchique, mais aussi les difficultés d’ordre religieux auxquelles doit faire face le roi. La politique extérieure du royaume est scrutée de près. Minerva Britanna témoigne en effet de l’épineux projet d’Union entre l’Angleterre et l’Écosse, ce qui nous amène également à nous pencher sur la question de l’identité nationale ainsi que sur l’ouverture au monde du royaume d’Angleterre. / Henry Peacham had a masterpiece published in 1612: Minerva Britanna. This collection of emblems represents the outcome of years of work on several manuscripts which he revised and which make up the main sources of the book. Minerva Britanna was published at the time when England was mourning for Prince Henry, deceased heir to the throne and addressee of Peacham’s book of emblems. This thesis aims at putting forward the worth of the emblematic art of this polygraph English artist who is not very famous and not often praised by critics. This analysis is based on a detailed study of Minerva Britanna and its purpose is to demonstrate the graphic quality of the emblematic picture as well as the variety of the themes treated by the emblemist.First, I shall deal with Henry Peacham’s emblematic art from a biographical and bibliographical angle. This will also enable the reader to discover the book’s genesis as well as its composition before analyzing the development of the emblematic genre in England. I will show that Peacham’s book takes on militant overtones and that the artist wants to present himself as the spokesman of English artists whose status was greatly unstable.Then, I will turn to the notion of genre. I will show to what extent Minerva Britanna can be seen as typical of the English “conduct book”, but also as representative of the specula principum and memento mori genres. This will clearly put forward the variety of this emblem book but also the eclecticism of Peacham’s style. I shall deal with the importance of the author’s source material in order to prove that Peacham skilfully handles both his thirst for originality and his desire to honour those who inspired his work.Finally, a third and last part will show that Minerva Britanna is also a historical analysis of the first years of James as King of England. I shall deal with domestic politics so as to examine the philosophy of James’s rule and the notion of monarchic absolutism but also the religious difficulties that the King had to face. James I’s foreign policy will also be under study. I shall demonstrate that Minerva Britanna is a testimony of the burning issue that was the Union scheme between England and Scotland. This will lead me to consider the question of national identity as well as England’s position concerning the New World.
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Les unions d'artistes, qu'ossa m'fait faire? : la subjectivation des artistes à travers les pratiques de leurs associations

Gauthier, Maude 03 1900 (has links)
Ce mémoire explore la formation des artistes comme entrepreneurs d’eux-mêmes à travers les pratiques de leurs associations professionnelles. Le premier chapitre brosse un portrait du champ culturel québécois et y situe plus spécifiquement les associations qui font l’objet de ce mémoire. L’approche adoptée en est une de gouvernementalité et ce chapitre s’attarde aussi aux sujets constitués dans le dispositif du champ culturel. Le deuxième chapitre aborde les questions méthodologiques soulevées par l’étude : la construction d’une archive et les détails des entretiens conduits. L’archive foucaldienne a été adaptée afin d’y inclure des entretiens. L’objectif était de pouvoir analyser à la fois la subjectivation impliquée par les pratiques des associations et l’exercice du pouvoir sur soi par les artistes. Les troisième, quatrième et cinquième chapitres rendent compte des analyses effectuées. Le troisième chapitre vise à définir l’inclusion dans les associations, c’est-à-dire quels artistes ont accès à leurs services. Avant même que les artistes puissent investir sur eux-mêmes à travers les services des associations, le processus d’adhésion implique déjà une certaine entreprise de soi. Ce chapitre jette les bases du suivant en introduisant la notion de sécurité sur le marché du travail. Le quatrième chapitre aborde plus précisément le sujet entrepreneur de soi qui investit dans sa sécurité à travers des services offerts par les associations : la formation et les caisses de sécurité. Il présente aussi le membership comme investissement en soi, qui donne accès à d’autres investissements, et explore l’inflexibilité des associations comme frein à l’entreprise de soi à travers l’idée d’expérience. Le cinquième chapitre, prenant en compte que les parcours des artistes ne sont isolés, les situe dans un contexte plus large que celui des associations. Il aborde ainsi les notions de marché, de passion et de responsabilisation. La conclusion de ce mémoire en résume le propos général et offre une réflexion épistémologique ainsi qu’une réflexion sur la position schizophrénique du sujet dans le contexte néolibéral. / This thesis explores the subjectification of artists as entrepreneurs of self through their professional unions’ practices. From a governmentality perspective, the first chapter of this thesis describes the cultural field in Quebec, the role played by the unions under study in this ‘dispositif’ and the formation of subjects. The second chapter addresses methodological questions : the construction of the archive and details about the interviews conducted. The foucaldian archive was adapted to incoporate interviews in order to analyse once at a time the subjectification implied through unions’ practices and the self-exercise of power by artists. The next three chapters present the analysis. The first chapter of analysis addresses the inclusion in unions (who has access to unions’ services). Even before artists can invest in themselves through unions’ services, the membership process already implies some enterprise of self. This chapter also introduces the notion of security on the labour market. The next chapter concentrates on the subject entrepreneur of self who invests in his security through unions’ services : professional training and savings banks. It presents membership as an investment in itself, which gives access to other investments, and explores, through the idea of experience, unions’ inflexibility as curbing the enterprise of self. Since artists’ careers are not isolated, the last chapter of analysis locates them in a broader context through the notions of market, passion and responsibilization. The conclusion summarizes the thesis and offers an epistemological questioning as well as a brief discussion on the schizophrenic subject in the neoliberal context.
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Montrer le monde. Volume 3, Publications

Amilhat Szary, Anne-Laure 15 December 2011 (has links) (PDF)
Recueil de publications en 5 parties 1. Détour par l'histoire 2. Développement - Périphéricité 3. Gouvernance - Comparatisme 4. Frontières - Intégration continentale 5. Art - Artistes Il n'y a pas d'âge pour faire une " égo-géographie ", disait J. Lévy (1995) au moment de tracer la sienne. L'exercice demandé me semble plus ressortir de l'" auto-histoire " : il constitue à la fois le récit et le discours qui le justifie. Cela ne peut se faire sans procéder aussi à un " éco-récit " : remettre en contexte, revenir sur les liens, les rencontres et toutes les choses petites ou grandes qui font la " vie de laboratoire " (Latour et Woolgar 1996). Dans la construction de ce mémoire, le choix de quatre chapitres thématiques me permet de mettre en avant des compétences variées... mais force la séparation entre les thèmes identifiés, et ce d'autant plus que leur présentation successive peut donner l'impression d'une temporalité linéaire. Cet effort de reconstitution des ruptures créatives ayant l'inconvénient de m'amener à atténuer les tendances plus générales de mon travail, une proposition de travail sur la frontière mobile clôt le mémoire. Si l'on dire que, de façon plus générale, traversé et questionné par la globalisation, l'espace n'est plus composé que de lieux définis par leur caractère " mobile " (Retaillé 2005, Retaillé 2011), alors les frontières ne représenteraient qu'une déclinaison spécifique d'un nouveau rapport à l'espace : il semble au contraire qu'elles constituent un lieu qui permette de penser autrement les liens entre catégories géographiques, voire la nature de la construction des objets géographiques eux-mêmes. Mes recherches récentes portent ainsi sur l'exploration des conséquences de cette hyper-mobilité sur des espaces qui, économiquement, mais aussi socialement ou anthropologiquement, continuent de représenter des limites et de servir de cadre structurel. Ceci passe par la résolution de trois problèmes dont la résolution oriente mon travail actuel : a. La limite internationale ne constitue plus une ligne stable ; b. Tous les types d'inscription matérielle ont un caractère provisoire, même ceux qui paraissent les plus stables comme les murs ; c. Les liens entre les différentes frontières du monde se trouvent renforcés.
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La langue de quatre auteurs-compositeurs-interprètes Québécois : analyse stylistique /

Girard, Pierre. January 1999 (has links)
Mémoire (M.Ling.)--Université du Québec à Chicoutimi, 2000. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Le discours identitaire dans l’art contemporain en Tunisie : de la tunisianité à l’arabité (1956-1987) / The discourse on identity in the contemporary art in Tunisia : from Tunisianity to Arabity (1956-1987)

Nakhli, Alia 20 February 2013 (has links)
Cette thèse porte sur la fabrique visuelle identitaire dans l’art contemporain, en Tunisie postcoloniale, de 1956 à 1987. Période coïncidant avec la construction d’un État-nation moderne, sur le modèle occidental. Dans une première partie, la recherche focalise sur la mise en place d’une iconographie académique figurative célébrant les us et coutumes ainsi que les scènes populaires. Ce qui a généré une esthétique officielle, véhiculant une image de la nouvelle nation tunisienne, conforme au discours politique exaltant le sentiment national de la tunisianité. Avec le constat d’échec de l’expérience socialiste, en 1969, le changement d’orientation idéologique imposait une recomposition identitaire qui visait la réhabilitation de la dimension arabe de l’identité nationale, et ce, afin de ressusciter l’enthousiasme populaire né avec l’Indépendance. La deuxième partie met en évidence la corrélation entre la crise politique et l’apparition d’une nouvelle esthétique de « l’authenticité » qui célèbre un nouveau principe fédérateur : celui de l’arabité. La thèse retrace la chronologie des manifestations artistiques panarabes, organisées sous la tutelle de l’Union nationale des artistes plasticiens arabes et auxquelles la Tunisie a pris part de façon active. La volonté d’« arabiser » l’art, s’est alors incarnée, outre dans les recherches picturales sur les signes et symboles populaires, dans un courant artistique panarabe baptisé hurûfiyya (lettrisme). / This thesis focuses on identity visual factory of contemporary art, in post-colonial Tunisia, from 1956 to 1987. This period coincides with the building of modern nation-State, in compliance with western pattern. In the first part, the research focuses on the setting of a representational academic iconography, celebrating the traditions as well as the popular scenes. This has generated an official aesthetic, conveying a new image of the Tunisian nation, in accordance with the political discourse exalting the national feeling of tunisianity. With the admission of failure of the socialist experience in 1969, the ideological shift imposed a rethinking of identity the aim of which was to rehabilitate the Arabic dimension of the national identity, in order to resuscitate the popular enthusiasm of the early years of the independence. The second part shows the correlation between the political crisis and the appearance of a new aesthetic of “authenticity”, celebrating a new federative principle: the arabity. The thesis traces the chronology of the pan-arab artistic manifestations, organized under the supervision of the national union of plastic arab artists and to which Tunisia took an active part. The willingness to “arabize” the art was then embodied in a pan-arab artistic current, baptized hurûfiyya (lettrism) in addition to researchs on pictorial popular signs and symbols.
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D'artiste à exposant

Goulet Letarte, Félipe 03 1900 (has links)
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