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Coordination et conflits dans le mouvement altermondialiste européen : l'expérience de trois réseaux thématiques dans le cadre du Forum Social Européen (2005-2010).

Moissonnier, Loic 23 November 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur le mouvement altermondialiste dans sa déclinaison européenne, en s'intéressant en particulier au processus du Forum Social Européen tel qu'il a été initié à Florence en novembre 2002. Plus spécifiquement, nous nous intéressons à des réseaux thématiques qui se sont constitués au fil des éditions du Forum Social Européen avec l'objectif de renforcer la coordination entre les différents participants au Forum, sur des thèmes économiques et sociaux liés à l'intégration européenne. Ces réseaux ont été constitués dans le sillage des grandes manifestations altermondialistes de portée européenne qui se sont développées dans les années 90-2000. Rapidement après leur création, ces réseaux ont cependant réuni de moins en moins de participants et ont finalement disparu en tant qu'espaces d'organisation collective. Cette thèse vise principalement à expliquer l'échec de ces réseaux. La mise en relation de la création de nos réseaux thématiques avec les mobilisations de l'altermondialisme européen, qui semblent s'essouffler au milieu des années 2000, nous incite à les analyser dans le cadre d'un processus de démobilisation au niveau européen. Celui-ci se traduit par des conflits entre les participants restant sur les modes de fonctionnement collectif au sein des réseaux ou sur les stratégies collectives à mettre en œuvre, et finalement à de nouveaux retraits de participants. La distinction de plusieurs phases entre 2005 et 2010 nous permet par ailleurs d'envisager cette combinaison entre démobilisation et conflits à plusieurs niveaux. Tandis que la fin de campagnes altermondialistes en Europe nous permet d'observer des conflits entre les acteurs sur le rôle de réseaux thématiques comme structures potentielles d'action collective, la baisse de la participation dans le cadre spécifique du Forum Social Européen fait naitre des conflits sur le rôle que devraient endosser ces réseaux dans ce processus. Finalement, le fort déclin de la participation dans le FSE d'Istanbul en 2010 aboutit à la disparition des réseaux thématiques étudiés. Au-delà de leur échec, ce travail se termine néanmoins par la mise en évidence des apports de ces expériences sur la constitution d'un groupe d'acteurs à l'échelle européenne entretenant des objectifs proches.
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Une production engagée : sociologie des labels, chartes et systèmes participatifs de l'économie solidaire. / A committed production. Sociology of solidarity economy's labels, charters and participatory systems.

Rodet, Diane 12 November 2013 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux certifications avec « label », chartes et systèmes participatifs de l’économie solidaire, ou « dispositifs de qualité ». Elle contribue à l’analyse sociologique de ces dispositifs, dans un secteur qui connaît leur multiplication et leur diversification depuis les années 1990. L’enquête repose sur des entretiens au sein de douze réseaux (commerce équitable, AMAP, SEL…), des observations, l’analyse de documents et la passation d’un questionnaire. La genèse des dispositifs met en évidence leur rôle dans la construction d’une identité collective. Leur fonctionnement soulève des enjeux démocratiques. Les représentations de la confiance et de la qualité qui les sous-tendent révèlent le positionnement des collectifs vis-à-vis de la production standard et les uns par rapport aux autres. Leurs usages économiques et identitaires s’inscrivent dans la démarche contestataire des membres les plus actifs. L’hétérogénéité entre les attentes de ces derniers et celles des autres adhérents concourt aux difficultés liées à l’instauration des dispositifs de qualité. Ceux-ci ne sont pas uniquement destinés à l’orientation des acheteurs mais également à la promotion, par des producteurs engagés, de valeurs se voulant alternatives à celles de l’économie classique. / This thesis focuses on solidarity economy’s certification labels, charters and participatory systems, as “quality devices”. It contributes to the sociological analysis of these devices, in a sector in which they are increasing in number and have become more diverse since the 1990’s. This investigation relies on interviews in twelve networks (fair-trade, community-supported agriculture, LETS…), observations, document analysis and the administration of a questionnaire.The history of these measures accounts for the role they play in the construction of a collective identity. The way they operate raises democratic issues. Their underlying representations of confidence and quality reveal the positioning of these networks on standard production and in relation to each other. Their uses as economic and identity-shaping tools need to be viewed as part of a protest strategy adopted by the networks’ most active members. Differences in expectations among network members give rise to difficulty in implementing quality measures. They are not only intended to help buyers but also created by committed producers in order to promote values they consider as “alternative” in regards to classical economy.
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L'église s'engage dans la politique / The politic engagement of roman catholic church

Pinheiro, Mario Doraci 17 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour but d’analyser l’engagement institutionnel de l’Église catholique et des groupes pentecôtistes sur le terrain politique et agraire du Brésil à partir de l’organisation de la Conférence nationale des évêques du Brésil (CNBB) en 1952. Nous discutons la façon dont l’Église catholique commence la lutte d’abord pour « alphabétiser » et « rapprocher » ses fidèles perdus par l’idéologie socialiste développée par les ligues paysannes, puis pour empêcher l’accroissement du front communiste dans les campagnes. L’engagement social de l’Église catholique n’est pas désintéressé car les militaires brésiliens, avec l’aide américaine, déclarent le « coup d’État » en 1964. L’Église catholique brésilienne se divise en deux pôles, progressiste et conservateur. Le côté progressiste de la théologie de la libération se voit empêché et interdit par Rome. Mais cette minorité religieuse arrive à créer la Commission pastorale de la terre (CPT) qui contribuera au retour de la démocratie, à la création du Parti des travailleurs (PT) en 1980, considéré alors comme le parti de Dieu, et du Mouvement des paysans sans terre en 1984. / This thesis aims to analyse the institutional engagement of the Roman Catholic Church and other Pentecostal groups, regarding the land reform and agrarian policies launched in Brazil after the organisation of the Brazil’s Conference of Catholic Bishops (CNBB) held in 1952. We underline that it is necessary to highlight the way how the Roman Catholic Church started its actions by “teaching to read and write” and “recovering” their members those who were dragged into the socialist ideology developed by peasant’s leagues, in order to prevent the growing of the communist front in the countryside. At that time, the catholic’s social movement objectives were under eminent danger, due the Brazilian army aided by the U.S. government, declared a coup in 1964. The Roman Catholic Church in Brazil is divided into two wings: a left and a conservative. The left wing has launched the “Liberation Theology” prohibited by the head of the church in Rome. However, this religious left minority succeeded by organizing the Land’s Pastoral Commission, which contributed to the return of democracy, as well as the organization of the Worker’s Party in 1980, considered by the believers as the God’s will and the foundation of the Landless Worker’s Movement in 1984.
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Pas de mouvement sans AG : les conditions d'appropriation de l'assemblée générale dans les mobilisations étudiantes en France (2006-2010) : contribution à l'étude des répertoires contestataires / No movement without AG : the conditions of appropriation of general assembly in French student mobilizations (2006-2010) : a contribution to the study of contentious repertoires

Le Mazier, Julie 12 November 2015 (has links)
La thèse s'attache à rendre compte des conditions pratiques et symboliques d'appropriation par les étudiants grévistes de la seconde moitié des années 2000 en France d'une forme d'organisation, l'assemblée générale (AG), qui fait partie de leur répertoire contestataire depuis les années 1960. Il s'agit ainsi de comprendre comment des formes d'action se reproduisent d'une mobilisation à l'autre, c'est-à-dire comment des acteurs en viennent à avoir recours à l'une plutôt qu'à d'autres qu'ils connaissent, comment ils en font l'apprentissage et comment ils la transforment à la marge en la pratiquant. Elle s'appuie principalement sur une enquête ethnographique menée sur les mobilisations qu'ont connu trois sites universitaires entre 2006 et 2010. Les usages des AG sont façonnés par les luttes internes aux groupes sociaux, politiques et syndicaux impliqués dans l'espace de ces mobilisations, de sorte que leur succès tient à la fois à une entreprise symbolique de justification de ces dernières au nom de la « démocratie » par des courants minoritaires, et à leur plasticité. Elles sont en effet investies de toute une palette de rôles – qui n'ont parfois rien à voir avec des normes « démocratiques ». Elles sont ainsi promues par des militants auxquelles elles permettent d'avoir le sentiment de peser sur une masse d'étudiants, et cela d'autant plus qu'ils appartiennent à de petites organisations qui sont loin de pouvoir mobiliser autant d'adhérents. / This dissertation illuminates the practical and symbolic conditions of appropriation of general assemblies (assemblées générales – AG) by striking students in the second half of the 2000s in France. This mode of organization has been part of their contentious repertoire since the 1960s. It tries to understand the recurrence of ways of action from a mobilization to another, that is, how actors come to resort to one of them instead of others they know, how they learn how to practice it and how they slightly transform it in the process. It is mostly based on an ethnographic investigation about the mobilizations of three higher education sites between 2006 and 2010. The uses of AG are shaped by internal conflicts among the social, political and union groups which are involved in the space of these mobilizations, so that their success stems from both the symbolic entreprise of justification of them in the sake of « democracy » by minority currents, and their plasticity. Indeed, they play a whole set of roles – which sometimes have nothing to do with « democratic » norms. They are promoted by activists to whom they give the feeling that they influence a mass of students, especially as they belong to organizations which are far from being able to mobilize as many members.
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« Communication communautaire » : pratiques médiatiques des communautés indigènes du nord-ouest argentin / “Community communication” : media practices of indigenous communities in Northwest Argentina

Toulemont, Herlène 02 July 2015 (has links)
Cette recherche s’inscrit dans le champ de la « communication communautaire ». Apparue dans les années 1970, cette notion a évolué sur des controverses, donnant ainsi naissance à des définitions plurielles voire contradictoires. Elle est tantôt associée à la communication pour le développement, tantôt à la communication citoyenne, alternative et populaire. Malgré cette polysémie, la quantité de médias qui se rangent sous cette appellation est en forte expansion. L’objectif est donc d’avancer dans la compréhension de la notion de communication communautaire au prisme des pratiques médiatiques de communautés indigènes. D’abord, d’un point de vue théorique, je réalise une revue critique de la genèse de cette notion et des controverses scientifiques sur lesquelles elle s’est construite, en fonction d’aires culturelles et de positions idéologiques. Ensuite, d’un point de vue empirique, j’analyse des pratiques médiatiques communautaires à partir d’un travail de terrain de type ethnographique réalisé dans sept communautés indigènes situées dans le nord-ouest argentin. Je démontre que leurs pratiques s’élaborent sur trois niveaux : a) intracommunautaire : vers la communauté elle-même, b) intercommunautaire : vers les autres communautés, et c) extracommunautaire : vers « l’extérieur », c’est-à-dire le reste de la société. Elles utilisent et combinent tous les moyens de communication qu’elles ont à disposition (radios VHF, radios FM et Internet) afin de se ré-approprier leur culture et leur identité, porter leurs revendications, développer leur territoire et nouer un dialogue avec l'opinion publique. Finalement, la démarche dialectique, théorique et empirique, m’amène à proposer un nouveau concept : la « communication communautaire indigène ». / The research is about “community communication”. Born in the 1970’s, this notion was developed from controversies, creating various definitions, sometimes even contradictory ones. It is sometimes associated to communication for development, communication for citizens, alternative or popular communications. Despite the polysemy, an increasing number of media refered themselves as “community media”. My aim is to make a better understanding of the notion of community communication, through indigenous communities’ media practices. First, from a theoretical perspective, I executed a critical genealogy of this notion and scientific controversies on which it was built, based on cultural areas and ideological positions. Then, from an empiric perspective, I analyzed media practices from an ethnographic field work carried out in seven different indigenous communities in Northwest Argentina. I demonstrated that their practices are developed on three levels: a) intra community: towards the community itself, b) inter community: towards other communities, and c) extra community: towards the “outside”, meaning the rest of the society. Communities use and combine all communication tools available (VHF radio, FM radio, and the Internet) in order to re-appropriate their culture and identity, express their claims, develop their territories and create a dialogue with the public opinion. At last, this dialectic approach, theoretical and empirical, leads me to introduce a new concept: “the indigenous community communication”.
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La mobilisation sociale en Europe de l'Est depuis la crise financière de 2008 : une analyse comparative de l’évolution des réseaux militants en Hongrie et en Roumanie / Social Mobilization in Eastern Europe after the Financial Crisis of 2008 : a Comparative analysis on the evolution of activist networks in Hungary and Romania

Rammelt, Henry 14 December 2016 (has links)
La crise financière a démystifié le système capitaliste aux yeux de larges segments de la population d’Europe de l'Est, exacerbant le décalage entre les attentes suscitées par le processus de démocratisation et la situation, souvent difficile, d’un nombre important de citoyens. Dans ce contexte, l'indignation que certains d’entre eux expriment s'est dirigée contre la classe politique, donnant naissance à de nouvelles formes de mobilisation. Cette thèse analyse ces mobilisations dans un cadre comparatif incluant des réseaux militants en Hongrie et en Roumanie, sur la période 2008 - 2014. Quelles sont les caractéristiques des récentes vagues de protestations ? Ces protestations s’inscrivent-elles dans la continuité de répertoires d’action plus anciens ? Si la Roumanie et la Hongrie sont « en transition », quelles sont les mutations qui affectent les conditions de mobilisation ? Comment expliquer les différences de dynamiques que l’on observe dans les deux pays ? Pour répondre à ces questions, nous avons essayé de bâtir des passerelles entre deux champs de recherche, celui de la transition démocratique et celui des mouvements sociaux. En Roumanie comme en Hongrie, la prise en compte des transformations systémiques induites par la transition semble en effet essentielle à la compréhension des phénomènes de mobilisation récents. L'analyse détaillée des processus d'accumulation de capital social relationnel et cognitif qui en résulte - à l’origine de l’émergence de nouvelles générations d’activistes – constitue l’apport principal de notre travail. La démarche diachronique que nous avons adoptée nous a par ailleurs permis d’identifier et de caractériser les influences qu’un réseau militant peut avoir sur un autre et l’impact d’une protestation sur la suivante. Soucieux de produire des informations précises et circonstanciées sur l’environnement politique, économique et culturel dans lequel naissent les mobilisations étudiées, nous avons interrogé, à partir d’un sondage en ligne, des spécialistes de la société civile, des médias et de la vie politique des deux pays. Parallèlement, nous avons réalisé 26 entretiens approfondis avec des activistes en Hongrie et en Roumanie pour parvenir à définir les processus de mobilisation des ressources, les canaux de mobilisation utilisées, les caractéristiques des réseaux et des organisations en présence, mais aussi l’identité des activistes et, subséquemment, leur perception du contexte d’action dans lequel ils s’inscrivent. En prenant en compte l’ensemble de ces éléments, nous avons pu montrer comment l'accumulation d’expériences de mobilisations nourrissait les mouvements suivants, plus nombreux et plus visibles au fil du temps. Dans cette dynamique, les réseaux sociaux en ligne jouent un rôle essentiel. La socialisation politique sur Facebook a notamment contribué au développement d’une identité commune et à la transformation de l'indignation personnelle en engagement collectif. La multiplication des interactions sociales, une certaine similitude de goûts et de visions du monde, ainsi qu’un effort de réseautage ont permis à l'activisme en ligne de se transformer en activisme de rue. La nature et l’intensité de cet engagement diffèrent selon les deux pays. En Roumanie, « un militantisme récréationnel » puisant ses racines dans la simultanéité de la consommation culturelle et de l'implication civique est observable. A l’inverse, en Hongrie l’enthousiasme civique semble s’essouffler. Confrontés à un pouvoir politique stable, soutenu par la majorité de la population et capable de s'opposer fermement aux initiatives de la société civile, les mouvements de contestation hongrois n’ont pas réussi à déstabiliser le pouvoir en place. Cet exemple montre qu’une culture de protestation relativement vivace ne débouche pas automatiquement sur un fort niveau de mobilisation citoyenne. Par contraste, le cas de la Roumanie .... / In Eastern Europe the financial crisis of 2008 highlighted the gap between expectations concerning the new configuration of liberal and capitalist states on the one hand, and the social realities on the other. Waves of contention followed, which were provoked especially by austerity measures implemented by the respective governments. These were in their majority directed against the post-communist elites, which were held responsible for the perceived slow progress regarding economic performance and the democratization process in the years before. With the purpose of analyzing new forms of collective action and protests that appeared following this crisis, this dissertation is dedicated to study, in a comparative manner, activist networks in Hungary and Romania between 2008 and 2014.The following questions are in the center of the study: Are those recent waves of mobilization different from forms of protests prior to the crisis or can we observe a continuation of repertoires of contention? If Romania and Hungary are considered to be countries still located in the transition process, without having reached the “goal” of consolidated democracies, are the conditions and forms of collective action also undergoing profound transformations? If so, how can we explain the different dynamics in those two countries?Given the fact, that the analysis of social movements is becoming a multicentric subfield of social sciences, the present study draws on a diversity of analytical angles, not only stemming from approaches to investigate social movements and regime change, but also including additional theoretical avenues, in order to answer these main questions. Taking into account the transformation background of Romania and Hungary seems the appropriate perspective to understand recent mobilizations. For this purpose, this study analyzes processes of the accumulation of cognitive and relational social capital, shaping a new generation of activists. By doing so, the emphasis could be put on observing the effects of protests on subsequent mobilizations and the spillover/ interaction between activist networks over time. In a first step, I gathered comparable data on the political, economic and social environment, in which these networks arose, by carrying out expert on-line surveys in both countries. For a better understanding of mechanisms of resource mobilization, mobilization channels, network characteristics and organizational features, I conducted 26 in-depth interviews with activists from both countries. As a result, I was able to highlight the significance of protest-specific experiences for future mobilizations. Online social networks appear to play a key role in this dynamic in contemporary social movements, mainly through their capacity of generating a collective identity and transforming personal indignation into collective action. The nature and the intensity of this dynamic vary in the two countries. While I observed a growth of, what I called “recreational activism” in Romania, resulting from the concomitance of patterns of cultural consumption and civic involvement, a certain protest fatigue can be attested for the first years after the crisis in Hungary. Confronted with stable political configurations and a government that is widely supported by the electorate, movements contesting the power of Fidesz were not able to destabilize existing power structures in Hungary. Hence, this study shows that a longstanding culture of protest and of civic engagement does not necessarily lead, in different circumstances, to high levels of political activism of challengers to political power. Furthermore, the Romanian case suggests that rather the absence of such a culture, combined with a lack of precedent and experiences for both, engaged citizens and authorities can open spaces for renegotiating rules and provoke (lasting) political and cultural changes.
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No sentido do viver, o lutar; na luta, a construção de um lugar. Bairro Dias Macedo, Fortaleza, Ceará

Silva, Daniele Costa da January 2004 (has links)
SILVA, Daniele Costa da. No sentido do viver, o lutar; na luta, a construção de um lugar. Bairro Dias Macedo, Fortaleza, Ceará. 2004. 153 f. : Dissertação (mestrado) - Universidade Federal do Ceará, Pró-Reitoria de Pesquisa e Pós-Graduação, Mestrado em Desenvolvimento e Meio Ambiente, Fortaleza-CE, 2004. / Submitted by demia Maia (demiamlm@gmail.com) on 2016-05-03T16:52:14Z No. of bitstreams: 1 2004_dis_dcsilva.pdf: 2395344 bytes, checksum: 8629113be2ca4b84a3c7dc70996db31e (MD5) / Approved for entry into archive by demia Maia (demiamlm@gmail.com) on 2016-05-03T16:53:49Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2004_dis_dcsilva.pdf: 2395344 bytes, checksum: 8629113be2ca4b84a3c7dc70996db31e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-05-03T16:53:49Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2004_dis_dcsilva.pdf: 2395344 bytes, checksum: 8629113be2ca4b84a3c7dc70996db31e (MD5) Previous issue date: 2004 / Este estudo trata da ação dos movimentos sociais na construção do Bairro Dias Macedo - situado na periferia pobre de Fortaleza (Nordeste do Brasil), marcado, sobretudo, pela carência e precariedade de serviços urbanos – figura como um dos pioneiros na emergência de formas de organização dos moradores, notadamente a partir dos anos 1960. A abordagem adotada possibilita analisar a interação entre lutas urbanas e a produção do espaço no contexto da urbanização de Fortaleza, a qual se caracteriza pela forte segregação sócioespacial. A releitura crítica da história do bairro foi fundamental para a realização da pesquisa. Esta releitura põe em evidência o papel essencial dos moradores na luta pela sobrevivência no meio urbano, mas, igualmente, na reivindicação coletiva do direito à cidade; luta conduzida pelas organizações populares. A pesquisa empreendida levou à compreensão das relações entre mobilização dos habitantes e construção de laços identitários com o lugar. Permitiu, além do mais, apreender o sentimento de pertença originário das experiências coletivas e das formas de solidariedade para fazer face aos problemas do cotidiano. No início dos anos 1980, as mudanças políticas que marcaram a redemocratização do país abrem um período de redefinição da ação das organizações sociais. Neste período, observa-se novas dinâmicas sociais e territoriais no bairro Dias Macedo, especialmente com a intervenção de associações, de grupos de base, de militantes de esquerda, entre outros. Nos anos 1990, com a efervescência dos debates e dos movimentos em torno dos problemas ambientais, a agenda de reivindicações dos movimentos sociais se amplia: doravante ela leva em conta o meio ambiente e sua conservação no processo de discussão política da cidade. A análise da evolução urbana desse bairro e de sua história de lutas mostra a importância das organizações sociais na produção do espaço. A intervenção dos atores sociais, que vivem a cidade, desvela as contradições do espaço urbano e engendra uma nova maneira de pensar esse espaço, de vivê-lo e torna possível a construção de uma nova urbanidade. / Cette recherche porte sur l’action des mouvements sociaux dans l’aménagement du quartier Dias Macêdo au long des trois dernières décennies du XX ème siècle. Ce quartier – situé dans un environnement pauvre de la ville de Fortaleza (Nordeste du Brésil), marqué surtout par la carence et par la précarité des services urbains - figure comme l’un des pionniers dans l’émergence des formes d’organisation des habitants, notamment à partir des années 1960. L’approche adoptée permet d’analyser l’interaction entre luttes urbaines et aménagement dans le cadre de l’urbanisation de Fortaleza, laquelle se caractérise par la forte ségrégation sócio-spatial. La relecture critique de l’histoire du quartier a été fondamentale pour mener à bien la recherche. Cette relecture met en évidence le rôle essentiel des habitants dans la lutte pour la survie en milieu urbain mais également dans la revendication collective du droit à la ville ; lutte conduite par les organisations populaires. La recherche entreprise amène à mieux comprendre les rapports entre mobilisation des habitants et construction des liens identitaires avec le « lieu ». Elle permet par ailleurs de saisir le sentiment d´appartenance originaire des expériences collectives et des formes de solidarité pour faire face aux problèmes du quotidien. Au début des années 1980, les changements politiques qui marquent la re-démocratisation du pays ouvrent une période de redéfinitions de l´action des organisations sociales. Dans cette période, on observe de nouvelles dynamiques sociales et territoriales dans le quartier Dias Macêdo, avec spécialement l´intervention des associations, de groupes de base, de militants de gauche parmi d´autres. Dans les années 1990, avec l´effervescence des débats et des mouvements autour des problèmes environnementaux, l´agenda de revendications des mouvements sociaux s´élargie : désormais, elle prend en compte l´environnement et sa conservation dans le processus de discussion politique de la ville. L´analyse de l´évolution urbaine de ce quartier et de son histoire de luttes montre l´importance des organisations sociales dans la production de l´espace. L´intervention des acteurs sociaux qui vivent la ville dévoile les contradictions de l´espace urbain et engendre une nouvelle manière de penser cet espace, d´y vivre et rend possible la construction d´une nouvelle urbanité.
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La critique artiste des lieux culturels en France : 1967-1977 / The artistic critique of "cultural sites" in France : 1967-1977

Herbin, Frédéric 29 November 2016 (has links)
Prenant comme bornes chronologiques les grandes mutations que connait le paysage institutionnel français, ce travail analyse comment les lieux culturels deviennent un terrain d'action critique pour les artistes. La première partie montre qu'avec l'indexation de l'oeuvre sur le contexte les pratiques in situ sont l'aboutissement de la logique d'ancrage dans la société que les courants artistiques des années 1960 promeuvent. En proposant une généalogie de ces pratiques à partir des oeuvres de Jean-Michel Sanejouant, Mark Brusse et Daniel Buren, l'auteur défend l'idée qu'elles constituent un préalable nécessaire à la mise en cause des lieux culturels. La seconde partie engage une discussion des catégories établies par l'historiographie - majoritairement anglo-saxonne. Si les récits développés au sujet des notions "Site specificity" et d'"Institutional critique" informent la reflexion, il est proposé en retour de les réviser à l'aune du cas français, notamment de l'oeuvre d'André Cadere. La troisième partie aborde les rapports que les pratiques artistiques critiques entretiennent avec les mouvements contestataires : après les soulèvements de 1968, les lieux culturels deviennent de véritables espaces de protestation. En s'intéressant à une série d'évènements significatifs, tels que les Biennales de Paris de 1969 et 1971, l'exposition "72-72" ou l'ouverture du Centre Georges Pompidou, l'auteur explore les multiples positions et modes d'action critiques qui s'invitent sur le terrain des lieux culturels : vision réformatrice, activisme, pratiques artistiques critiques. Ce travail constitue ainsi une investigation sur les rapports entre mouvements sociaux et critique artiste dans la France des années 1960-1970 / Taking as chronological markers the major changes that the French institutional landscape experiences, this work analyzes how cultural places become a field of critical action for artists. The first part shows that with the indexing of the work on the context in situ practices are the result of the logic of anchoring in society that 1960s artistic movements promote. By providing a genealogy of these practices from the works of Jean-Michel Sanejouand, Mark Brusse and Daniel Buren, the auhor argues that they are a necessary prerequisite for the questioning of cultural venues. The second part undertakes a discussion of the categories established by the historiography - mainly Anglo-Saxon. If the stories developed about the concept "Site specificity" and "Institutional critique" inform the discussion, it was proposed in return for review in the light of the French case, especially the work of André Cadere. The third part discusses the reports that the critical artistic practices have with the protest movements : after the uprisings of 1968, cultural veneus become real protest sites. By focusing on a series of significant events such as the Paris Biennials of 1969 and 1971, the "72-72" exhibition or opening of thez Pompidou Centre, the author explores the multiple positions and modes of critical action that invite in the field of cultural venues : reforming vision, activism, critical artistic practices. This work is thus an investigation on the relationship between social movements and artist critic in France from 1960-1970
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O público organizado para a luta : Cinema do Povo na França e a resistência do movimento operário ao cinema comercial (1895-1914)

Mundim, Luiz Felipe Cezar January 2016 (has links)
La thèse examine la relation entre le mouvement ouvrier français et le cinéma au début du XXe siècle, plus précisément de 1895 à 1914. Elle s’articule autour de l’expérience spécifique de la coopérative Cinéma du Peuple, qui a duré d’octobre 1913 à juillet 1914. La coopérative Cinéma du Peuple participa à l’adhésion d’une partie des militants aux ressources du cinéma, sensible à partir de 1909, date à laquelle le processus d’industrialisation du film en France était déjà très avancé. Transmise au-delà de 1914, l’expérience du Cinéma du Peuple, première tentative ouvrière organisée d’appropriation du cinéma, a posé les fondements d’un nouveau terrain d’intervention en vue d’une hégémonie dans le champ culturel prolongée jusqu’à nos jours. L’hypothèse est que le public – catégorie d’analyse dans une échelle alternative de celle de masse, ou de spectateur – a montré, avec l’expérience du Cinéma du Peuple, qu’il n’est pas, par nature et de façon irrévocable, prisonnier des films commerciaux et des intérêts des distributeurs. À partir des notions de répertoire d’action, et de l’expérience de la domination idéologique par le cinéma commercial, nous nous efforçons de cerner les contours de ce public, pour partie confondu avec celui du mouvement ouvrier, notamment au moyen des trajectoires collectives et individuelles des initiateurs, propagandistes du Cinéma du Peuple et de ses spectateurs. En même temps, nous nous proposons de montrer à partir de l’analyse des films du Cinéma du Peuple le début de la formation d’un nouveau mode de représentation du monde ouvrier. / A tese examina a relação entre o movimento operário francês e o cinema no período de 1895 a 1914. Concentra-se na experiência da cooperativa Cinema do Povo que, tendo surgido em uma franca aproximação dos militantes com o cinema desde 1909, quando o processo industrialização do cinema na França já estava avançado, durou de outubro de 1913 a julho 1914. Transmitida para além de 1914, a experiência do Cinema do Povo, primeira tentativa organizada da classe trabalhadora de apropriação do cinema, lançou as bases de uma nova forma de intervenção frente à hegemonia do cinema comercial que se estende até os dias atuais. A hipótese é que o público – categoria de análise em escala alternativa à massa ou espectador – mostrou, com a experiência do Cinema do Povo, que não é de forma natural e irrevogável prisioneiro dos filmes comerciais e dos interesses dos distribuidores. A partir dos conceitos de repertório de ação, e a ideia de experiência da dominação ideológica do cinema comercial, nos esforçamos em identificar os contornos desse público que se identifica no movimento operário, principalmente por meio das trajetórias coletivas e individuais dos militantes. Ao mesmo tempo, temos a intenção de apresentar, a partir da análise dos filmes do Cinema do Povo, o início da formação de um novo modo de representação da classe trabalhadora. / The thesis examines the relationship between the French working class movement and the cinema at the beginning of the 20th century, specifically from 1895 to 1914. It focuses on the specific experience of the cooperative Cinéma du Peuple, which lasted from October 1913 to July 1914. The cooperative Cinéma du Peuple took part of militant cinema in France, wich was barely begun from 1909 on when the industrialization process of the film in France was already advanced. Transmitted beyond 1914, the experience of the Cinéma du Peuple, first working class movement organized attempt to film appropriation, laid the foundations of a new ground of intervention in a prolonged hegemony in the cultural field until the present days. The assumption is that the public – a category of analysis in an alternative scale than mass or spectator – showed, with the experience of Cinéma du Peuple, that it is not by nature and so irrevocable way a prisoner of the commercial films and the interests of distributors. From the concepts of repertoire of contention, and the experience of the ideological domination of commercial cinema, we strive to identify the contours of that public, partly coincident with the working class movement, mostly through collective and individual militants’ trajectories, propagandists of the Cinéma du Peuple and its public. At the same time, we intend to bring from the analysis of the Cinéma du Peuple’s films the beginning of the formation of a new mode of representation of the working class.
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Coordination et conflits dans le mouvement altermondialiste européen : l'expérience de trois réseaux thématiques dans le cadre du Forum Social Européen (2005-2010). / Coordination and conflicts in the European Global Justice Movement : three thematic networks within the European Social Forum (2005-2010)

Moissonnier, Loïc 23 November 2011 (has links)
Cette thèse porte sur le mouvement altermondialiste dans sa déclinaison européenne, en s'intéressant en particulier au processus du Forum Social Européen tel qu'il a été initié à Florence en novembre 2002. Plus spécifiquement, nous nous intéressons à des réseaux thématiques qui se sont constitués au fil des éditions du Forum Social Européen avec l'objectif de renforcer la coordination entre les différents participants au Forum, sur des thèmes économiques et sociaux liés à l'intégration européenne. Ces réseaux ont été constitués dans le sillage des grandes manifestations altermondialistes de portée européenne qui se sont développées dans les années 90-2000. Rapidement après leur création, ces réseaux ont cependant réuni de moins en moins de participants et ont finalement disparu en tant qu'espaces d'organisation collective. Cette thèse vise principalement à expliquer l'échec de ces réseaux. La mise en relation de la création de nos réseaux thématiques avec les mobilisations de l'altermondialisme européen, qui semblent s'essouffler au milieu des années 2000, nous incite à les analyser dans le cadre d'un processus de démobilisation au niveau européen. Celui-ci se traduit par des conflits entre les participants restant sur les modes de fonctionnement collectif au sein des réseaux ou sur les stratégies collectives à mettre en œuvre, et finalement à de nouveaux retraits de participants. La distinction de plusieurs phases entre 2005 et 2010 nous permet par ailleurs d'envisager cette combinaison entre démobilisation et conflits à plusieurs niveaux. Tandis que la fin de campagnes altermondialistes en Europe nous permet d'observer des conflits entre les acteurs sur le rôle de réseaux thématiques comme structures potentielles d'action collective, la baisse de la participation dans le cadre spécifique du Forum Social Européen fait naitre des conflits sur le rôle que devraient endosser ces réseaux dans ce processus. Finalement, le fort déclin de la participation dans le FSE d'Istanbul en 2010 aboutit à la disparition des réseaux thématiques étudiés. Au-delà de leur échec, ce travail se termine néanmoins par la mise en évidence des apports de ces expériences sur la constitution d'un groupe d'acteurs à l'échelle européenne entretenant des objectifs proches. / This thesis is about the Global Justice Movement (GJM) in its European dimension, focusing on the European Social Forum process which was launched in Florence in November 2002. More precisely, specific thematic networks have been created in the course of this process with the aim of strengthening coordination between different participants on economic and social issues linked with the European integration. These networks were created in the wake of some campaigns of the Global Justice Movement in Europe which developed in the years 1997-2005. However, fewer and fewer participants took part in the meetings of the networks, and they finally disappeared as spaces of collective organisation. This thesis is aimed at explaining the failure of these networks. We first analyze their creation as a sign of a larger process of demobilisation after 2005, concerning the whole GJM in Europe. This process leads to conflicts between remaining participants, about the internal functioning of the networks (modes of decisions, etc.) and the external collective strategies that should be defined. We distinguish several phases between 2005 and 2010 where we can find this combination between demobisation and internal conflicts in the networks. Although we observe conflicts between actors of the networks while some global justice campaigns are coming to an end in Europe (2005-2006), the decline of participation in the European Social Forum leads to conflicts about the role these networks should have in this process (2007-2010). Finally, the huge loss of participants in the ESF in Istanbul in 2010 led to the end of the thematic networks which are studied here. Beyond their failure, we point at the end of this thesis the positive contribution of these experiences that favoured the constitution of a coherent group of actors with similar objectives at the European level.

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