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L'Orient et l'Occident dans La Goutte d'Or de Michel Tournier / The Orient and the Occident in Michel Tournier's novel The golden droplet

Abouzeid, Fadwa Mohammad 02 February 2018 (has links)
Cette étude se propose d'examiner les rapports entre l'Orient et l'Occident dans La Goutte d'or de Michel Tournier. Dans le cadre d'un voyage initiatique en Occident effectué par un jeune berger nord-africain, l'auteur jette la lumière sur l'image que chacun des deux mondes se forge de l'autre tout en montrant dans quelle mesure cette représentation influence la communication et le dialogue entre eux. Le fond et la forme du roman mettent l'accent sur la possibilité d'un échange culturel bénéfique entre l'Orient et l'Occident, et ce en dépit des différences qui les séparent et des conflits qui les opposent. Notre recherche examinera d'abord l'angle sous lequel se présente la relation entre l'identité et l'altérité dans le roman à travers l'analyse de la crise identitaire du héros et de son influence sur ses rapports avec l'Autre occidental dans le contexte de l'immigration. Nous passerons ensuite à l'examen de ce que l'auteur appelle "civilisation de l'image" et "civilisation du signe". Nous analyserons les différentes formes sous lesquelles se présentent l'image et le signe dans le roman, ainsi que les raisons pour lesquelles les religions monothéistes sacralisent ou prohibent les représentations figurées, analyse qui nous permettra de dégager la conception tourniérienne de chacune de ces deux entités distinctes, l'image et le signe, et de saisir la nature ambivalente de la relation de l'une à l'autre. Nous étudierons finalement l'influence de l'Orient arabe sur Michel Tournier qui marie dans sa Goutte d'or des éléments empruntés à la tradition arabo-islamique à d'autres appartenant à la littérature et la mythologie occidentales dans le cadre d'une structure inspirée des Mille et une Nuits. / This study aims to examine the relationship between Orient and Occident in Michel Tournier's novel The Golden Droplet. Through an initiatory journey to the West carried out by a young North African shepherd, the author sheds light on the image that each of these two worlds has of the other while showing how this representation influences communication and dialogue between them. The content and the form of the novel focus on the possibility of a beneficial cultural exchange between Orient and Occident, in spite of the differences separating them and the conflicts opposing them. Our research will first examine how the relationship between identity and otherness is perceived in the novel through the analysis of the hero's identity crisis and its impact on his relationship with the Western other in the immigration context. Then we will review what the author calls "civilization of the image" and "civilization of the sign". We will analyze the different forms in which are presented the image and the sign in the novel and why monotheistic religions sanctify or prohibit figurative representations, analysis which will allow us to degage Tournier's conception of each of these two separate entities, the image and the sign, and grasp the ambivalent nature of the relationship of one to the other. Finally, we will study the influence of the Arab East on Michel Tournier who married in his Golden Droplet elements from the Arab-Islamic tradition to others belonging to Western literature and mythology through a structure inspired by the Arabian Nights.
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Un monde en un mot du bouddhisme chinois : études autour du terme xiang à partir du Sūtra du diamant de Kumārajīva / A world in one word of Chinese Buddhism : studies about the concept xiang from Kumārajīva's Diamon Sūtra

Wang, Han-Chi 03 May 2017 (has links)
Le Sūtra du diamant est réputé et populaire aussi bien en Orient qu’en Occident. Il s’est très tôt introduit en Chine et n’a pas cessé de faire l’objet de multiples traductions du Ve au VIIIe siècle ; il en existe six versions distinctes, toutes traduites par d’éminents moines, sous le contrôle officiel de la Cour Impériale. Toutefois, seule la première version de Kumārajīva (407) a été la cible de commentaires et d’annotations au cours du temps. Ceci nous permet d’approfondir la raison pour laquelle sa version mérite d’être étudiée dans ses différences par rapport aux autres versions. De là nous mettons en évidence la prédominance de l’emploi du terme xiang相 comme le concept le plus récurrent dans cette version. Il semble en effet que xiang ne dérive pas d’un seul et unique mot équivalent en sanskrit, d’où l’intérêt de notre recherche sur le décalage textuel entre l’original indien et sa traduction, ainsi que sur l’osmose culturelle entre le bouddhisme et la pensée traditionnelle chinoise. Dans cette optique nous axerons notre approche selon trois plans parallèles : philologique, philosophique et esthétique de la traduction. Nous évoquerons d’abord les facteurs extérieurs des textes-source et des textes-cible, puis nous entreprendrons l’analyse textuelle comparative entre les versions sanskrites et les traductions chinoises, en mettant en avant simultanément le sens terminologique et philosophique du texte. Comme xiang (phénomène) est aussi un concept clé dans l’ensemble des textes bouddhistes, nous élargirons notre vision dans une sphère plus globale, en nous référant à d’autres textes connexes. Nous finirons par l’étude de l’utilisation du terme, et son retentissement culturel dans le monde chinois dans la perspective traductologique, ce qui nous conduira également à réfléchir à la traduction bouddhique en français. / The Diamond Sūtra is renowned and popular in both the East and West. It was introduced very early in China and has not ceased to be the subject of numerous translations from the 5th to the 8th century; There are six distinct versions, all rendered by eminent monks, under the official control of Imperial Court. However, only the first translation of Kumārajīva (407) was the target of so many comments and annotations over time. This allows us to demand why this version merits further study of its differences to other versions. From here we find the use of the term xiang 相 as the most recurrent theme in the text. It seems that xiang is not derived from one single equivalent in Sanskrit, hence the focus of our research on the textual shift between the Indian origin of the word and its translation, as well as on the cultural osmosis between Buddhism and Chinese culture. With this view, our approach is based on three parallel axes: philological, philosophical researches and aesthetic study of translation. We will first deal with the questions about external factors of the source texts and the target texts. Then we undertake the comparative textual analysis between the Sanskrit and all Chinese translations, highlighting the terminological and philosophical meaning of the text. Since xiang (phenomenon) is also a key concept in Buddhist jargon, we suppose to reframe and refine our perspective by referring to other related texts. We will conclude with the use of the term and its cultural repercussions in the Chinese world from a translatological view, which leads us to think, going forward, about Buddhist translations into French.
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Les représentations en mathématiques / Representations in mathematics

Waszek, David 16 December 2018 (has links)
Pour résoudre un problème de mathématiques ou comprendre une démonstration, une figure bien choisie est parfois d’un grand secours. Ce fait souvent remarqué peut être vu comme un cas particulier d’un phénomène plus général. Utiliser une figure plutôt que des phrases, reformuler un problème sous la forme d’une équation, employer telles notations plutôt que telles autres : dans tous ces cas, en un sens, on ne fait que représenter sous une nouvelle forme ce qu’on sait déjà, et pourtant, cela peut permettre d’avancer. Comment est-ce possible ? Pour répondre à cette question, la première partie de cette thèse étudie ce qu’apporte un changement notationnel précis introduit par Leibniz à la fin du XVIIe siècle. La suite de ce travail analyse, et confronte à l’exemple précédent, plusieurs manières de penser les différences représentationnelles proposées dans la littérature philosophique récente. Herbert Simon, étudié dans la deuxième partie, s’appuie sur le modèle informatique des structures de données : deux représentations peuvent être « informationnellement » équivalentes, mais « computationnellement » différentes. Les logiciens Barwise et Etchemendy, étudiés dans la troisième partie, cherchent à élargir les concepts de la logique mathématique (en particulier ceux de syntaxe et de sémantique) aux diagrammes et figures. Enfin, certains philosophes des mathématiques contemporains, comme Kenneth Manders, remettent en cause la notion même de représentation, en soutenant qu’elle n’est pas éclairante pour comprendre l’usage de figures, formules ou autres supports externes en mathématiques. C’est à ces critiques qu’est consacrée la quatrième et dernière partie. / When solving a mathematical problem or reading a proof, drawing a well-chosen diagram may be very helpful. This well-known fact can be seen as an instance of a more general phenomenon. Using a diagram rather than sentences, reformulating a problem as an equation, choosing a particular notation rather than others : in all these cases, in a sense, we are only representing in a new form what we already knew; and yet, it can help us make progress. How is this possible? To address this question, the first part of this thesis explores the benefits afforded by a specific notational change introduced by Leibniz in the late seventeenth-century. The rest of this work analyses, and puts to the test of the preceding case study, several ways of understanding representational differences which have been put forward in the recent philosophical literature. Herbert Simon, studied in the second part, relies on a comparison with the notion of data structures in computer science: two representations, he writes, can be “informationally” equivalent yet “computationnally” different. The logicians Barwise and Etchemendy, studied in the third part, try to broaden the concepts of mathematical logic (in particular those of syntax and semantics) to cover diagrams and figures. Finally, some contemporary philosophers of mathematics, for instance Ken Manders, argue that the notion of representation itself is not helpful to understand the use of diagrams, formulas or other external reasoning tools in mathematics. Such arguments are the focus of the fourth (and last) part.
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Le cadre de la parole et le cadre du signe : un rendez-vous développemental

Ducey Kaufmann, Virginie 26 January 2007 (has links) (PDF)
Notre hypothèse de travail est qu'il existerait un rendez-vous développemental entre ce que nous nommons le cadre de la parole et le cadre du signe. Tandis que le cadre de la parole (Speech Frame) s'établit sous la forme du babillage canonique, vers 7 mois, le cadre du signe (Sign Frame) se manifeste tout d'abord sous la forme du pointage dit impératif vers 9 mois, avant de donner lieu au pointage dit déclaratif. Ce dernier apparaît avec les premiers mots, tandis que le cadre de la parole permet à ce moment-là de coproduire (coarticuler) voyelle et consonne (Sussman et al. 1999). Les places respectives des ingrédients de ce rendez-vous développemental autour du premier mot restent encore à explorer.<br />Dans la présente contribution, nous avons voulu tester l'existence d'un rapport harmonique entre cadre de la parole et cadre du signe. Pour cela, il nous a fallu tout d'abord obtenir la distribution des fréquences de babillage, puis celle des durées des pointers. Nos résultats sur 6 sujets, suivis sur 12 mois, montrent qu'avec un mode de babillage à 3Hz et des strokes de pointers de 600-700 ms (1.5Hz), nous pouvons rendre compte du gabarit (template) des premiers mots. En effet, ces mots «prosodiques» pouvant varier d'une à deux «syllabes», il est nécessaire de faire appel à la notion de pied (foot) comme une unité de contrôle métrique ancrée dans le pointer. Ceci rendra compte des observations courantes dans la littérature à condition qu'au lieu de compter seulement des syllabes/mot, on mesure le pas des cycles mandibulaires entrant dans le stroke des pointers.
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Réinterprétation de l’iconographie votive géométrique carthaginoise à travers une approche transdisciplinaire: le « duo céleste », le losange, l’« idole-bouteille », le « signe de Tinnit » et l’étendard (VIIe/VIe – IIe s. av. J.-C.) / Reinterpretation of the geometric iconography on the votive stelae of Carthage through a transdisciplinary approach: the disk and the crescent, the lozenge, the “bottle idol”, the “Tinnit sign” and the standard (VIIth/VIth – IInd bc)

Ammar, Mohammed Ali 16 December 2009 (has links)
Durant le premier millénaire, entre le VIIe/VIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ, les Carthaginois ont élevé des stèles votives dans un sanctuaire à ciel ouvert. Dédiées à la dyade Baal Hamon et Tinnit Pane Baal, ces sculptures montrent sur leur surface décorée une iconographie qui se compose, en grande partie, de signes et symboles géométriques: un losange, une image céleste composée d’un disque et d’un croissant, une « idole-bouteille », le signe dit « de Tinnit » et un étendard nommé « caducée » dans la littérature. À ce jour, les informations liées à l’interprétation de ces images sont restées largement disparates et fragmentaires et aucune synthèse approfondie n’a encore été publiée à leur sujet. Afin d’aboutir à des résultats tangibles, il s’avère indispensable de mettre à plat l’ensemble des connaissances acquises sur le sujet. À cette fin, une nouvelle approche méthodologique basée sur une typologie raisonnée, c’est-à-dire diachronique et limitée à la seule métropole carthaginoise, sera mise en place. En outre, cette démarche doit être définie en adéquation avec le contexte régional tyrien, berceau de l’idéologie religieuse carthaginoise. Au-delà du rapport de ces images avec les divinités invoquées, la typologie à promouvoir doit, en même temps, nous permettre de clarifier le contexte chronologique propre à chacun de ces éléments figurés. / During the first millennium, between the VIIth/VIth and IInd century bc, the Carthaginians have erected votive stelae in an open air precinct. Dedicated to the dyad Baal Hamon and Tinnit Pane Baal, those sculptures show on their decorated surface an iconography mostly composed of geometric signs and symbols: a lozenge, a celestial pattern made up of a disk and a crescent, a “bottle idol”, the “Tinnit sign” and a standard named “caduceus” in the literature. To date, the information tied up with the interpretation of those images are largely disparate and fragmentary and no thorough synthesis has been published on their subject. In order to reach tangible results, it is necessary to gather all known data’s on the subject. To that end, a new methodological approach, based on a diachronic typology limited to the sole Carthaginian metropolis, will be put in place. Moreover, this approach must be defined in adequacy with the Tyrian regional context, cradle of the Carthaginian religious ideology. Beyond the links of those images with of the invoked divinities, the typology to promote must allow us, in the same time, to clarify the chronological context peculiar to each of the studied items.
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Vie ou mort de l'homme-signe dans La pornographie de Witold Gombrowicz et Le naufragé de Thomas Bernhard

Desrosiers, Israël January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire se présente comme une réflexion qui vise à démontrer que le développement de la conscience, qui est analogue à l'avancement du signe peircien, nécessite la participation de l'altérité sous peine de conduire au dépérissement de l'identité. L'altérité amène à la conscience un non-dit qui, une fois rendu présent, entraîne l'altération et la disparition de l'identité ou, au contraire, l'amène à se développer indéfiniment. Tel est l'enjeu des personnages principaux des romans La pornographie de Witold Gombrowicz et Le naufragé de Thomas Bernhard, en l'occurrence le narrateur Witold Gombrowicz et le narrateur anonyme. L'ensemble de ma réflexion se déroule en trois temps. Le premier chapitre, Pour une sémiotique du récit de soi, reconstitue les événements marquants qui ont fondé les enjeux des oeuvres littéraires étudiées qui sont fondamentaux pour la présente recherche, à savoir, pour Gombrowicz, l'expérience de l'altérité apportée par l'exil, et pour Bernhard, l'isolement et la résistance à l'intérieur de la culture autrichienne. Les difficultés inhérentes à leurs expériences illustrent comment chez ces auteurs le sujet perçoit le monde et comment il essaie de se définir à l'intérieur de cette représentation. Au second chapitre, Écriture de l'altérité, la théorie du signe de C.S. Peirce permet d'analyser La pornographie et Le naufragé afin de saisir les actions et les modalités reliées à l'acceptation et au rejet de l'altérité chez les deux narrateurs. Le troisième chapitre, L'icône, lieu de la relance ou de l'entropie du signe, examine de façon comparative le développement diégétique des deux romans par la notion peircienne de l'icône face à l'acceptation ou le rejet de l'expérience de l'altérité qui modifie rétroactivement la perception et l'identité des narrateurs des deux romans. La notion de l'icône permet de comprendre pourquoi le récit de l'un s'inscrit comme une promesse d'ouverture alors que celui de l'autre traduit un échec et une fermeture de la conscience. Au terme de la présente réflexion, il est permis d'affirmer que l'acceptation ou le rejet de l'altérité provoque d'importants changements chez les narrateurs, tant sur le plan de la perception et de la représentation du monde que de l'identité. Le personnage narrateur de Gombrowicz assume l'expérience de l'altérité y trouvant une opportunité de se confronter à la réalité et de reconstruire son identité; au contraire, celui de Bernhard s'engage dans une tentative de résistance pour protéger son individualité en s'acharnant à épurer sa perception du monde de tous changements possibles issus de l'altérité, combat à la fois ardu et fatal puisqu'il conduit inévitablement à la figure du suicide. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Altérité, Icône, Identité, Sémiotique, Signe.
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L'efficacité d'un enseignement visuel, orthographique et explicite sur l'amélioration du traitement graphique des identités phonémiques /e/ et /ε/ chez les apprenants adultes en francisation

Bergeron, Caroline 12 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail de recherche était de développer une intervention qui tiendrait compte des caractéristiques des apprenants immigrants adultes en francisation pour parvenir à surmonter leurs difficultés de représentations graphiques de /e/ et de /ε/. Le recensement de la littérature nous a permis de démontrer qu'un enseignement visuel, orthographique et explicite (VOE) axé sur les régularités graphotactiques serait davantage adapté à l'adulte en FL2. Afin de vérifier l'efficacité de notre intervention de quatre semaines, nous avons formé un groupe expérimental et un groupe témoin dont nous avons comparé les performances aux épreuves (dictées et rédactions) de prétest et de post test en tenant compte de trois catégories orthographiques particulières : les accents, les autres représentations graphiques et les terminaisons verbales. Les résultats ont démontré que notre intervention en enseignement VOE avait permis l'amélioration significative des performances du groupe expérimental en rédaction dans la catégorie orthographique des terminaisons verbales, de même qu'une amélioration positive en accents. Par contre, l'intervention a eu peu d'impact sur l'amélioration des performances générales du groupe expérimental en dictée, de même que sur l'amélioration des autres représentations graphiques de /e/ et de /ε/, que ce soit en dictée ou en rédaction. Il est possible que la nature même des épreuves ait influencé l'issue des résultats, notamment pour les dictées qui font appel aux compétences de distinction phonémique des apprenants. Les analyses montrent que les résultats ont été influencés par la différence de niveau des deux classes qui constituaient le groupe expérimental. Ainsi, la classe la plus forte (expérimentale 1) a davantage bénéficié de l'intervention que la classe la plus faible (expérimentale 2) et ce, en dictée comme en rédaction. Par conséquent, il semble qu'un niveau seuil en français soit nécessaire pour favoriser les apprentissages suite à un tel type d'intervention, sens dans lequel abondent les données qualitatives que nous avons recueillies. Enfin, des études de cas nous ont permis de voir que les erreurs d'accents sont les plus fréquentes chez les quatre participants sélectionnés et que pour certains, les performances en accents sont liées à celles des autres représentations graphiques. Il est possible que notre intervention ait gagné en efficacité si les règles de segmentation des syllabes avaient été combinées aux régularités graphotactiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : adulte, immigrant, français langue seconde, orthographe, accents, terminaisons verbales, régularités graphotactiques.
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Recherche de charginos et neutralinos dans le canal dimuon de même signe auprès de l'expérience D0-FNAL

Lesne, V. 11 July 2006 (has links) (PDF)
Dans le cadre du modèle mSUGRA qui décrit un mécanisme de brisure simple de la supersymétrie, des sparticules avec des masses au-delà des limites fixées par les expériences de LEPII peuvent être produites au Tevatron, collisionneur $p\overline {p}$ délivrant une énergie de 1.96 TeV dans le centre de masse. Un canal privilégié pour la découverte de la supersymétrie au Tevatron est la production associée du plus léger chargino,$\tilde {chi}_1^± $ et du second plus léger neutralino, $\tilde {chi}_2^0$. Les modes de désintégration leptoniques, $\tilde {chi}_2^0\to\tilde {chi}_1^0 $ l +l -et $\tilde {chi}_1^± \to\tilde {chi}_1^0 $ l ±\nu_l, conduisent à une signature claire avec trois leptons et une quantité significative d'énergie transverse manquante. De manière à augmenter la sensibilité au signal dans des régions de l'espace des paramètres conduisant à un troisième lepton très mou présentant une faible efficacité de reconstruction, une sélection avec deux leptons de même signe et de l'énergie transverse manquante a été développée. Le cas particulier du canal dimuon de même signe est étudié dans ce manuscrit. Aucune preuve de l'existence de la supersymétrie n'a pu être mise en évidence à partir des données acquises entre avril 2002 et février 2006 par le détecteur DØ du Tevatron et représentant une luminosité intégrée de 0.9 fb−1.Des limites sur le produit de la section efficace de production du signal fois le rapport d'embranchement en trois leptons, $\sigma (p\overline {p}\to\ tilde {chi}_1^± \tilde {chi}_2^0)$ ×BR(3ℓ), ont alors été déterminées en fonction de la masse du $\tilde {chi}_1^± $. Les résultats ainsi obtenus par la sélection dimuon de même signe ont été combinés avec les résultats de sélections trilepton. Pour des configurations de type mSUGRA avec des désintégrations leptoniques favorisées, une limite de 140 GeV/c2 est obtenue sur la masse du $\tilde {chi}_1^± $.
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PATRIMOINE ET CONSTRUCTION D'URBANITÉ DANS LES PETITES VILLES. LES STRATÉGIES IDENTITAIRES DE LA REQUALIFICATION DES CENTRES-VILLES EN ISÈRE

Perigois, Samuel 24 October 2006 (has links) (PDF)
La problématique de la petite ville et la pertinence des objets urbains doivent être reconsidérées avec les recompositions territoriales et les processus contemporains de métropolisation. Le constat d'une multiplication d'opérations de requalification des centres des petites villes depuis deux décennies amène à repenser les modes de production urbaine. Notre hypothèse est que la requalification des centres-villes s'inscrit dans un processus de patrimonialisation qui participe à une nouvelle conception de l'urbanité à travers une mise en scène des espaces centraux. On interroge donc la constitution de nouvelles figures de l'urbanité et l'émergence de nouveaux discours sur les figures de la petite ville à travers l'instrumentalisation des valeurs patrimoniales dans le champ de l'aménagement et de l'urbanisme.<br />Les notions de patrimoine, d'identité et d'urbanité sont examinées à partir d'un échantillon de vingt<br />petites villes du département de l'Isère. L'étude des procédures de requalification et des stratégies des acteurs met en évidence des modalités d'une construction politique d'un type d'urbanité. Notre<br />recherche analyse particulièrement la production de centralité et les implications physiques et<br />symboliques des opérations de revalorisation et esthétisation des espaces publics. Ces dernières<br />mobilisent des signes de temps long et d'une « ancienneté » générique comme en témoigne le<br />recours banalisé aux mobiliers urbains « de style » ainsi qu'aux artefacts renvoyant à des imaginaires<br />du passé urbain.
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Les processus d'implicitation et de tacitation : contribution à l'étude des sémioses dans l'enseignement scientifique

Maitre, Jean-Philippe 13 December 2012 (has links) (PDF)
L'enseignement de notions nouvelles appelle l'usage de signes nouveaux pour les élèves, de signes dont l'enseignant sait la signification inconnue des élèves. Parce que le signe "ne peut ni faire connaître ni reconnaître [son] objet" (Peirce, 2.231), l'enseignant doit, pour instruire les enfants, "leur parler de ce qu'ils ne connaissent pas encore mais avec des mots qu'ils connaissent et comprennent" (Condorcet, 1791-1792/1989, p.278). Cohabitent alors, dans le discours de l'enseignant, des signes aux significations inconnues, et d'autres aux significations connues. Ces derniers doivent permettre la compréhension des premiers. Nous faisons comme première hypothèse que, en tant que signe, un terme (nom, groupe nominal ou verbe) dont l'enseignant présuppose la signification non-connue des élèves est utilisé en association avec d'autres termes dont la signification est présupposée connue. D'une part, la production d'un signe est un processus - une sémiose (Peirce, 1978 ; Morris, 1938). D'autre part, l'enseignant, relativement au terme inconnu, attend de l'élève la construction d'un concept - des connaissances agies (Piaget 1970 ; Vergnaud, 1990) - qui est un signifié nécessairement implicite au discours. Alors, nous parlons du processus d'implicitation. A l'inverse, nous posons comme seconde hypothèse que, pour l'efficacité de la communication, un terme dont l'enseignant présuppose la signification connue des élèves est produit sans autres termes pour aider à sa compréhension. Dans ce cas, toute part du signifié est tue ; nous parlons du processus de tacitation. Défendre ces deux hypothèses, c'est défendre que l'étude du discours de l'enseignant, restreinte à une étude de la mise en coprésence (ou non) de termes entre eux, permet la saisie d'une part des présuppositions de l'enseignant quant aux connaissances des élèves. C'est la thèse que nous soutenons. La réduction alors opérée des phénomènes langagiers est franche, notamment sur leurs aspects syntaxiques et pragmatiques. Il ne s'agit pas de négliger l'existence de ces aspects, mais de tester l'heuristique, pour l'enseignement, d'un principe fondamental associationiste du langage. A l'aide d'apports philosophiques (quand il s'agit de l'étude du signe et de la sémiose), épistémologiques et didactiques (quand il s'agit d'ancrer notre réflexion dans une théorie de la connaissance et des apprentissages) et linguistiques (quand il s'agit de justifier l'appel aux termes implicite et tacite), nous défendons d'abord théoriquement cette réduction (partie I, chap. I et II). A partir d'études de cas issues d'enseignements de mathématiques, nous construisons ensuite une méthodologie couplant l'observation d'enseignants - pour l'accès aux termes qu'ils utilisent - et des entretiens d'auto-confrontation - pour l'accès (indirect) à leurs présuppositions. Dans notre groupe de sujets (composés d'enseignants de mathématiques, sciences physiques et biotechnologies), lors de l'étude de 259 occurrences de termes, nous parvenons à prédire 80% des présuppositions des enseignants (partie I, chap. III). Forts de ce résultat donnant à l'implicitation et la tacitation un crédit empirique, nous proposons alors d'en repérer les instances dans l'intégralité de 10 séances d'enseignement de sciences physiques sur la quantité de matière. Nous montrons que l'étude de la répartition dans le temps des deux types de processus permet le repérage de moments d'enseignement distincts quant à 1. la gestion de l'hétérogénéité de la classe par l'enseignant et 2. la dépendance de la compréhension du discours par les élèves à leurs connaissances préalables (partie II, chap. IV et V). Les processus d'implicitation et de tacitation, par les éclairages nouveaux qu'ils apportent, peuvent participer aux débats qui portent sur les interactions verbales de la salle de classe.

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