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Umělecká kritika Ramsíse Junána / An artisan critique of Ramsis Yunan

Patrášová, Katarína January 2018 (has links)
The master thesis Art Criticism of Ramses Younan focuses on text analysis of theoretical work by Egyptian painter and critic Ramses Younan which deals with the topics of art criticism and theory. It examines and analyzes main topics of his work and offers their interpretation in the art-history and art-theory contexts. It also discusses its meaning in the wider perspective of Egyptian modernity and modern art and its possible value for reevaluation of the art theory field in the Middle East. The paper consists of three main chapters and appendix. The appendix contains a collection of selected essays of the author, translated from Arabic to Slovak. The first chapter deals with the art- historical background of author's theoretical production. The second one concentrates around the text analysis. The third chapter presents critical reactions on author's work by theorists of different geographical and cultural background. It suggests different ways of reading and understanding of the cultural and art-history impact on the local and global modern art history.
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Le Surréalisme-Révolutionnaire et Cobra à l'épreuve de la violence: contribution à l'histoire des représentations

Debrocq, Aliénor 12 June 2012 (has links)
Créé le 8 novembre 1948 à Paris par huit peintres et écrivains belges, hollandais et danois, Cobra est l’acronyme de Copenhague, Bruxelles, Amsterdam. Le mouvement se propose rapidement de devenir un lien souple entre artistes et poètes de différents pays, par le biais d’un certain nombre de publications et d’expositions. Son existence officielle sera brève, puisqu’elle prend fin en 1951 avec le dernier numéro de la revue éponyme. Si les premières tentatives d’analyse historique et de synthèse sont venues des artistes et des poètes membres du mouvement, plusieurs études abouties ont vu le jour depuis les années 1970.<p>S’appuyant sur un certain nombre d’affirmations émanant des acteurs de Cobra comme des historiens ayant écrit sur le sujet, l’auteur s’est penché sur la question de la violence picturale et théorique au sein de ce mouvement. Picturale, par la propension des artistes à brouiller la lisibilité de la composition et des figures, par leur volonté de « faire brut » et enfantin, de « mal peindre », de maltraiter le sujet en le rendant méconnaissable, hybride, défiguré. Théorique, par un certain nombre de déclarations (pour la plupart, parues dans la revue Cobra) véhémentes, engagées, politiques, relatives au climat sociopolitique de l’après-guerre comme au contexte artistique et culturel contemporain.<p>Au cours des recherches, il est apparu que la violence de Cobra était plus ambiguë que ce qui avait été imaginé initialement. Elle relève en réalité d’une forme d’instrumentalisation émanant des acteurs, qui ont multiplié les effets rhétoriques, les attitudes et les déclarations allant dans ce sens, conduisant Cobra à user d’une violence « décorative » nettement instrumentée :un outil utilisé par les artistes dans la construction de leur image, de leur identité individuelle et collective. Cette piste a ainsi débouché vers d’autres résultats que ceux imaginés au préalable mais n’en a pas moins permis de réévaluer le mouvement sur le plan de l’histoire des représentations, en étudiant les stratégies développées par ses membres dans les œuvres et les discours. La mise en perspective critique de ceux-ci a permis de cerner la capacité rhétorique de certains membres de Cobra, qui ont valorisé l’image d’un mouvement artistique résolument « moderne », c’est-à-dire violent et revendicateur, tout en puisant leur inspiration dans certaines formes d’art primitives et brutes.<p>La thèse s’articule de façon thématique, autour de quatre pôles révélateurs des formes et du sens de la violence détectée dans les œuvres et les discours des Cobra :<p>Répondre à la guerre – Cobra face au siècle<p>Une violence générationnelle<p>Le primitif ou le jeu de la violence<p>Aspirations libertaires<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Continuité et métamorphoses du surréalisme bruxellois : la poétique de l’illisible chez Christian Dotremont

Lupu-Onet, Raluca 11 1900 (has links)
Cette thèse pose la question de la fortune remarquable du surréalisme en Belgique et porte particulièrement attention à la poétique de Christian Dotremont qui, après une période surréaliste, trace le premier logogramme en 1962. La partie initiale de notre recherche interroge ses rapports avec le groupe surréaliste bruxellois (Paul Nougé et René Magritte), préoccupé par le refus de l’œuvre. Cette démarche subversive se transforme dans l’art expérimental du groupe Cobra (communauté artistique fondée en 1948 par Dotremont). Nous nous intéressons à cette évolution d’une préoccupation logocentrique (où le mot compte pour le contenu qu’il véhicule : il s’agit de la poétique « primitive » de Nougé et des objets bouleversants de Magritte) vers l’exploration du mot comme trace, comme scription et, par là même, comme source de poésie. La deuxième partie de notre recherche traite de l’époque Cobra où se forge ce que nous appelons la poétique du visible chez Dotremont dont le résultat est la découverte du pouvoir créatif du mot en tant que matière, en tant que trace manuscrite. Ces expérimentations centrées sur la matérialité du langage préparent le cheminement artistique de Dotremont vers l’invention du logogramme (objet d’analyse de la troisième partie de la thèse). Dans l’idée d’une légitimation du logogramme en tant que nouveau genre poético-pictural, nous relevons ses invariants créateurs : sans pour autant se soumettre au modèle pictural, celui-ci n’est ni peinture des mots, ni mot-tableau, il exploite la matérialité de la lettre comme source poétique : genre transfrontalier qui ne cesse de mettre en question et d’inclure dans sa cinétique la métamorphose de sa réception. / The main focus of our research points out the noteworthy longevity of the Belgian surrealist group. Thus, we have chosen to analyze the poetic and artistic works of one of its most important representative, Christian Dotremont. His interartistic poetics (beginning with a surrealist phase and continuing until the invention of the logograms in 1962) is in fact symptomatic for the complete transformation of the Belgian movement. Consequently, the first part of our research examines Dotremont’s contacts and collaborations with the surrealist group (Paul Nougé and René Magritte), mainly interested by subversive creative works. Their negative technique is transformed by Dotremont into experimental art along with his own group founded in 1948, Cobra. The second part of this research would particularly like to draw attention to this evolution from a logocentric artistic point of view in which the word is important for its meaning (Nougé’s “primitive” poetry theory or Magritte’s praxis of “objets bouleversants”) toward Dotremont and Cobra’s discovery of the word as materiality, as scription, and as poetic source. This is the object of the second part of our thesis, where we explore Cobra “poetics of visible”: the pictorial and poetic importance of painted not written texts, words or letters. Cobra collective inventions investigate the aesthetic results of in-between artistic techniques and also emphasize Dotremont progression from a subversive surrealist literary point of view to the invention of logograms. This hybrid creation, the logogram, is examined in detail in the third and last part of our thesis.
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Ross Caudill MFA Sculpture 2006

Caudill, Ross Steven 01 January 2006 (has links)
This thesis overviews my experience during graduate school making tangible,object oriented sculpture. I have been working formally to compose space in a way that develops a narrative between parts. The work is also a bridge between the fields of painting and sculpture, in terms of drawing with form and both painted and local, material color. My palette has mostly consisted of bronze casting, steel fabrication, fiberglass and epoxy resin, paint, the found object, woodworking, and mold making. This work is also conceptually based in showing the hand worked qualities of the materials, the transfer of meaning through casting, and my emotional relationship with the various parts of the sculptures. The three major themes of the work are: divine love and the complex of the apocalypse, the complexities and psychology concerning the relationship between a man and a woman, and the intrigue, potential energy, and beauty of the systems mankind hasinvented to harness the atom. The major artistic influences for this body of work have been: Jasper Johns, Marcel Duchamp, Constantine Brancusi, Alberto Giacommetti, Reg Butler, Henry Moore, Lynn Chadwick, Kenneth Armitage, Jeff Koons, Terry Winters, William DeKooning, Richard Diebenkorn, David Smith and Charles Long. I retain a strongrelationship with the movements of Dada, Surrealism, Futurism, and Assemblage, and amalso currently involved in solidifying the Manifesto of Raubeaux with a small group ofesteemed colleagues.
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Les dents de sagesse du bestiaire inquiétant, suivi de Le détournement du mythe « femme-enfant » dans les contes fantastiques de Gisèle Prassinos

Özmekik, Duygu 04 1900 (has links)
Ce mémoire en recherche-création débute par un récit intitulé Les dents de sagesse du bestiaire inquiétant, qui est formé de dix contes où prennent place dans un monde fantastique les aventures d’un bestiaire. Ce texte qui met en scène l’histoire d’animaux hybrides cherche également l’expérimentation textuelle par l’écriture automatique des surréalistes. Il pratique l’hybridité des genres comme la lettre, l’essai, le poème et la chanson. Ainsi, la nature hybride des créatures des contes s’appuient sur l’esthétique formelle de l’œuvre. La deuxième partie intitulée Le détournement du mythe « femme-enfant » dans les contes fantastiques de Gisele Prassinos, propose une réflexion sur les contes fantastiques de l’auteure surréaliste Gisèle Prassinos, choisie par les surréalistes comme symbole du mythe de la « femme-enfant » quand elle avait quatorze ans. Pourtant, l’auteure rejette ce mythe dans ses écrits (Les mots endormis et Trouver sans chercher) tout en gardant la pratique de l’écriture automatique des surréalistes et le ludisme textuel. Cet essai étudie le détournement de la « femme-enfant » dans les contes de Prassinos grâce à une lecture plus profonde de ceux-ci. / This M.A. Thesis combines both research and creative writing. It starts with a narrative story entitled Les dents de sagesse du bestiaire inquiétant which contains ten tales. These tales take place in a fantasy world of bestiary adventures. This text about hybrid beasts is also an experimental text of the automatic writing process used by surrealists. It merges genres, such as letter, essay, poem and song. Thus, the hybrid nature of creatures in these tales justifies the formal aesthetic of this literary work. The second part entitled Le détournement du mythe « femme-enfant » dans les contes fantastiques de Gisele Prassinos proposes a critical reading of the fantasy tales of surrealist author Gisèle Prassinos, who was chosen by surrealists as a symbol of the "femme-enfant" myth, when she was only 14 years old. However, the author firmly rejects this myth in her own writings (Les mots endormis and Trouver sans chercher), even though she engages in the surrealistic automatic writing process and ludic texts. Through a detailed reading, this essay analyses the deconstruction of the "femme-enfant" myth in Prassinos’ tales.
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Dánsko - Československo 1947-1957, Umění a architektura za hranicemi funkcionalismu, surrealismu a Bauhausu / Denmark - Czechoslovakia 1947-1957, The Art and Architecture Beyond Functionalism, Surrealism and Bauhaus

Ištok, Radoslav January 2014 (has links)
! The thesis is exploring art and architecture in Denmark and Czechoslovakia in the period 1947-1957. The main interest was to see how the interwar avant-garde movements such as Functionalism and Surrealism, as well as the legacy of Bauhaus, developed after the WWII. Yet, Functionalism and Surrealism can also be seen not only as mere artistic styles but as two different attitudes towards life, Rational and Romantic respectively. The latter, which is a passionate protest against the status quo, can especially in its revolutionary or utopian dimension serve as a form of engagement free of the simplifying Cold War binaries.
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Les signes en jeu : surgissement et opacification dans les créations poétiques et plastiques de Ghérasim Luca / Signs at stake : emergence and opacification in Ghérasim Luca’s poetic and plastic creations

Orlandi, Sibylle 06 November 2015 (has links)
Notre travail interroge les différentes pratiques de création de Ghérasim Luca (livres-objets, albums, portfolios, plaquettes, poèmes-tracts et poèmes-affiches, récitals scéniques et télévisuels, cubomanies, dessins au point) à l’aune des expériences sémiotiques qu’elles engagent. Dire des signes qu’ils sont mis en jeu, c’est insister sur la dimension matérielle et éminemment sensible des mouvements de production et de réception. La question du sens est indissociable de celle du médium, dès lors que les signes se donnent à éprouver comme corps (corps sonores, corps graphiques ou typographiques) par des corps. La notion de surgissement permet de rendre compte de cette spatialité, qui a partie liée avec des phénomènes théâtraux, ceux d’apparition et de disparition : la page blanche, la bande sonore, l’écran, le panneau de bois peint, sont autant de lieux où peut s’inventer et se déployer une pensée incarnée. Quant à la notion d’opacification, employée en linguistique pour décrire certains phénomènes métadiscursifs, elle mérite d’être réévaluée et déplacée : nous nous efforçons de passer du domaine strictement verbal à un champ plus largement sémiotique.Notre parcours s’organise en quatre étapes solidaires, qui manifestent l’intrication des approches historiques, sémiotiques, linguistiques, médiologiques, stylistiques, mais aussi scientifiques et philosophiques. La première partie consiste en une exploration des créations plastiques, graphiques, sonores, qui intègre les diverses collaborations auxquelles Ghérasim Luca a pris part en Roumanie puis en France. La deuxième partie dégage un imaginaire linguistique, nourri de diverses traditions (l’atomisme de Lucrèce, l’alchimie, la Kabbale), qui fait du vide un principe structurant, et de l’écriture un travail d’agencement. Cet imaginaire, qui relève d’une pensée de la langue dans la langue, est lui-même volontiers mis à distance : il ne s’agit pas d’adhérer à ce qui serait une théorie, mais de circuler librement entre des conceptions apparemment inconciliables. La troisième partie décrit les jeux de perturbation du sens à partir du statut tout à fait singulier accordé aux autonymes, aux néologismes et aux noms propres dans les recueils de la période française : les divers types de trouble sémiotique et l’invention d’un hors-lexique participent d’un mouvement de déstabilisation. La quatrième et dernière partie est consacrée au geste de reprise, qui se décline sous de multiples formes, parmi lesquelles on compte le collage et le détournement. / This work questions the different practices of Ghérasim Luca (book-objects, albums, portfolios, booklets, pamphlet-poems, poster-poems, scenic and audiovisual recitals, cubomanies, drawings) in light of the semiotic experiences they initiate. Asserting that signs are at stake means insisting on the material and highly perceptible dimension of both production and reception. From the moment that signs are perceived as bodies (audible bodies, graphic and typographic bodies) by other bodies, the question of meaning is linked to the question of medium. With the notion of emergence, we can analyse spatial phenomena, linked to theatrical ones, such as appearance and disappearance : the white page, the audiotape, the screen, the wooden panels are places where an embodied thinking can arise and expand. The notion of opacification, which is used by linguists to describe metadiscursive phenomena, can be reconsidered and redefined : we try to exceed the verbal domain and to adopt a global semiotic perspective, which includes non-verbal matters.This study is composed of four interdependent parts, which show the interpenetration of historical, semiotic, linguistic, mediologic, stylistic but also scientific and philosophical approaches. The first part explores the plastic, graphic and audio creations of Ghérasim Luca, including collaborations with several artists in Romania and France. The second part identifies what we could call a linguistic imaginary, fuelled by three different traditions (Lucretius’ atomism, alchemy, Kabbalah), which considers void as a founding principle, and writing as a layout. This imaginary, which inquires the possibility of thinking about language within the language, is playfully held at a distance by Ghérasim Luca : the point is not to adopt a theory, but to circulate freely between apparently incompatible approaches. The third part describes various phenomena of meaning disruption and focuses on the specific status given to autonyms, neologisms and proper nouns in his French period : the different kinds of semiotic troubles and the invention of a lexicon beyond the lexicon take part in the destabilisation process. The fourth part is about the activity of re-creation, which takes several forms, including collage and ‘détournement’.
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Max Schoendorff (1934-2012) : l’atelier, laboratoire de l’œuvre / Max Schoendorff’s Workshop as a Creative Laboratory

Zeraffa, Martine 07 December 2018 (has links)
L’œuvre plurielle de Max Schoendorff (1934-2012) est approchée au regard du lieu de sa création : l’atelier de l’artiste. Ce lieu foisonnant de matériel, d’images, d’objets et de livres est emblématique de sa pensée. Il livre les traces de ses multiples activités. La monographie de l’artiste est fondée sur l’archéologie de ce laboratoire. Formé à la littérature classique,imprégné de culture allemande, rompu à la transgression, Schoendorff s’engage dès le milieu des années 1950 à Lyon aux côtés de Roger Planchon et d’un petit groupe d’intellectuels et de créateurs. Il s’affirme en tant qu’initiateur d’une décentralisation de la culture. Il trouve ensuite dans la peinture matière à se forger son propre langage, nourri de l’imaginairesurréaliste, de Max Ernst, des tourments métamorphiques d’une matière essentiellement organique. Sa pensée singulière s’exprime dans une œuvre protéiforme qui traverse les champs de la peinture, de la gravure, du livre et de la scénographie de spectacle. Libertaire et utopiste quant à ses convictions sociales et politiques, il s’engage en fondant la MAPRA, Maison des arts plastiques Rhône-Alpes, et l’URDLA, Centre international estampe et livre à Villeurbanne. / The study of MS’s multivocal work is carried out through an on-site investigation of his workshop. The place, which reflects his philosophy, is full of materials, images, objects, and books. It bears testimony to his numerous activities. Indeed writing a monograph of the artist amounts to performing archeological fieldwork and excavation in his studio. Schoendorff studied classical literature, was well-versed on the subject of German culture, and enjoyed transgressing boundaries. As early as 1950, he was labelled as a committed artist together with RP and a small group of intellectuals and creators/designers from Lyon. Heconsidered himself as the initiator of cultural decentralization. He later devoted himself to painting and managed to create his own artistic language based on the surrealist imaginary world, Max Ernst’s production, and the metamorphic alteration of predominantly organic matter. His personal conception of art is expressed in his protean works which include paintings, engravings, books, and spectatorial scenography. A socio-political libertarian and utopian, he founded the MAPRA (Maison des arts plastiques Rhône-Alpes), the R-A Fine Arts Agency and the URDLA, the International Book and Lithography Centre (Centreinternational estampe et livre) in Villeurbanne.
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La collaboration au féminin : les livres surréalistes de Lise Deharme

Beauchamp Houde, Sarah-Jeanne 03 1900 (has links)
No description available.
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Rimbaud et le rimbaldisme. XIXe-XXe siècle / Rimbaud and rimbaldism. 19th century-20th century

Cavallaro, Adrien 18 November 2017 (has links)
Notre thèse a pour but de refonder les études de réception rimbaldiennes en substituant à la notion négative de mythe, forgée par Étiemble dans les années 1950, la notion positive de rimbaldisme. Alors que le mythe envisage la réception rimbaldienne comme une erreur d’interprétation collective et veut séparer l’œuvre de Rimbaud de sa réception, le rimbaldisme entend évaluer ce qui unit l’œuvre et sa réception, en adoptant un point de vue avant tout poétique. Notre corpus comprend les auteurs de réception les plus importants de la fin du XIXe siècle, moment de la réception symboliste de Rimbaud, au début des années 1950, au moment où la critique universitaire prend le relais d’une critique d’écrivains : Aragon, Breton, Claudel, Jacques Rivière, Léon-Paul Fargue, Max Jacob, Gustave Kahn, Verlaine notamment en sont les figures les plus importantes. Les enjeux d’une telle réflexion (historiographiques, herméneutiques, poétiques) sont rimbaldiens et extrarimbaldiens. L’approche littéraire de la réception permet de penser le devenir de l’œuvre rimbaldienne au XXe siècle, tout en livrant des enseignements sur cette œuvre elle-même. Elle permet aussi d’envisager une langue de la modernité poétique, une grammaire mentale selon laquelle la poésie moderne elle-même est théorisée sur notre période. / The aim of this thesis is to reforge the rimbaldian reception studies by substituting rimbaldism, a positive notion, for the negative notion of myth, invented by Étiemble in the early 1950’s. While myth is described as a collective error of interpretation and distinguishes between Rimbaud and the reception, rimbaldism is a way to pay attention to the links between these two fields ; the point of view is strictly poetical. The corpus includes the most important rimbaldian authors from the end of the 19th century, at a time when a symbolist reception was promoting Rimbaud’s works, to the middle of the 20th century, at a time when the writers criticism is progressively overwhelmed by universitary criticism : Aragon, Breton, Claudel, Jacques Rivière, Léon-Paul Fargue, Max Jacob, Gustave Kahn, Paul Verlaine are the most important authors of this corpus. The issues of such an analysis (historiographical, hermeneutical and poetical) are rimbaldian and extrarimbaldian. The literary approach of reception is a way to think about what becomes of Rimbaud’s poetry during the 20th century, and at the same time it is an original way to study this poetry. But the main issue is the approach of an original modern language, a sort of collective mental grammar according to which modern poetry itself is theorized during the period.

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