• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 88
  • 63
  • 50
  • 41
  • 22
  • 15
  • 8
  • 4
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 301
  • 161
  • 160
  • 156
  • 155
  • 155
  • 73
  • 68
  • 36
  • 28
  • 27
  • 24
  • 20
  • 20
  • 20
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
291

Biodiversité et caractéristiques physico-chimiques des sols de jardins associatifs urbains français / Biodiversity and geochemical characteristics of French urban vegetable garden soils

Joimel, Sophie 09 March 2015 (has links)
Les jardins associatifs (p.ex. familiaux) connaissent aujourd’hui un regain d’intérêt en France et sont souvent associés à de nombreuses fonctionnalités et services au sein des systèmes urbains (p.ex. alimentation, support de biodiversité). A ce titre, les sols de jardins représentent un enjeu majeur et leur caractérisation, aussi bien physicochimique que biologique nécessite d’être mieux appréhendée. Quelle est la relation entre les caractéristiques physicochimiques et les pratiques de jardinage ? Quelle est l’influence de ces propriétés sur la biodiversité fonctionnelle et taxonomique ? Pour répondre à ces questions, des investigations ont été menées au sein de jardins potagers choisis pour être représentatifs de la variabilité de ces systèmes sur le territoire national français. Les travaux ont porté sur les propriétés agronomiques et toxiques des terres de surface. La végétation et les microarthropodes du sol ont aussi été caractérisés. A l’aide de plusieurs bases de données, des comparaisons avec d’autres usages de sols ont permis de replacer les sols de jardins étudiés au sein de la couverture pédologique française. Ainsi, en dépit de teneurs totales élevées en métaux, les sols de jardins présentent une fertilité physicochimique indéniable et sont le support d’une biodiversité du sol élevée. En revanche, pour la végétation, une homogénéisation biotique croissante au sein des villes est observable avec la sélection d'espèces ayant des traits adaptés au milieu urbain. Les sols de jardins, pourtant situés dans un contexte urbain fortement anthropisé, ne doivent donc pas être considérés comme des écosystèmes dégradés, mais au contraire comme une ressource à préserver / Community gardens (e.g. allotments, shared gardens) currently experience a renewed interest among the French and are often associated with many functions and services within urban ecosystems (vegetable supply, biodiversity). As such, garden soils are a major concern and their characteristics (physico-chemical as well as biological ones) need to be better understood. What connection is there between the functional quality of garden soils and the alteration of their physico-chemical characteristics by gardening practices? What influence do these properties in garden soils have on functional and taxonomic biodiversity? In order to answer these questions, investigations were conducted in vegetable gardens chosen as representative of the ecosystemic variability within French territory. On one hand work was done on the topsoil's agronomical properties and toxicity. On the other hand these soils were characterised using several biological indicators, such as vegetal species and soil microarthropods. With the help of several databases, we were able to place these garden soils among other french topsoils by comparing them to other land uses. Despite having high total metallic contents garden soils show an undeniable physico-chemical fertility, and support a high level of soil biodiversity. In contrast, an increasing plant biotic homogenisation can be observed within cities. Indeed, there is a selection of species with traits that are particularly adapted to urban environments. In conclusion, even though garden soils exist in a highly anthropised urban context they are not degraded ecosystems, but rather a precious resource
292

Opposizioni: Il Memoriale Italiano ad Auschwitz, «Oppositions» e la nascita della Scuola di NY

Carboni Maestri, Gregorio 03 March 2015 (has links)
info:eu-repo/semantics/nonPublished
293

Citizens of the garden : the meaning and significance of community gardening

Tian, Hui 04 1900 (has links)
La recherche qui suit porte sur l’expérience du jardinage communautaire à Montréal à partir de l’exemple de l’un des arrondissements. Au cours des dernières années, à l’échelle globale, la popularité des jardins communautaires est allée en grandissant. Comment interpréter cela à partir du point de vue des participants? Quelle est l’expérience vécue par les jardiniers communautaires et quelle signification accordent-ils à ces pratiques sociales? Afin de répondre à ces questions, j’ai fait appel à une démarche qualitative, combinant l’observation et entretiens en profondeur avec des participants. Les résultats de l’étude découlent de 30 entretiens semi-directifs. Des participants avec des profils sociaux divers ont été recrutés. En faisant appel à la théorie ancrée, la recherche met en lumière des contextes spécifiques à partir desquels les jardiniers communautaires fournissent des significations à leur engagement dans ce type de jardinage. Considérée à partir de trois dimensions – économique, sociale et culturelle – cette étude met en lumière le fait que les significations que les acteurs accordent à leurs pratiques dépendent du contexte, mais découlent aussi de leur subjectivité. Ressort aussi l’importance de la dimension émotionnelle. Le jardinage communautaire est décrit sous l’angle d’une pratique transformatrice – en convergence avec d’autres formes d’action collective – qui permet aux citoyens en tant que jardiniers de mieux faire face aux défis de la vie quotidienne, que ce soit sur le plan financier, social, culturel ou environnemental. Par le biais du jardinage, les participants soutiennent qu’ils approfondissent leur identité personnelle, tout en construisant de nouvelles relations avec les autres ainsi qu’avec la nature. La recherche confirme qu’en ce qui concerne l’expérience subjective de jardinage, les participants parlent de retombées positives. / The present research addresses the subjectivity of the community gardening experience in the case of a Montreal borough. Community gardens have regained popularity worldwide. How to interpret this phenomenon from the perspective of participants? And how do they experience (community) gardening and make sense of their social practices? To answer these questions, this study takes a qualitative approach that combines observations and in-depth interviews. The findings drawn from this study are based mainly on 30 semi-structured interviews. Participants from diverse social strata were recruited. Guided by grounded theory, this research stresses the specific contexts under which community gardeners generate meanings from their community gardening experience. Examined from three dimensions – economic, social, and cultural – this study reveals that meanings and significance are context-sensitive, personalized, and fluid. The emotional dimension emerges as of particular importance. Community gardening is viewed as a transformative practice – converging with diverse forms of collective action – that allows citizen gardeners to address everyday life challenges, whether financial, social, cultural, or environmental. Through gardening, participants claim that they are reconnecting with themselves, with other people, and with nature. This research confirms that with respect to the subjective experience of gardening, participants generally claim positive outcomes.
294

Diversité, organisation spatiale et fonctionnelle des communautés de papillons (lépidoptères, rhopalocères) en milieu urbain et périurbain : Rôle des espaces artificialisés en terme de conservation et de connectivité

Lizée, Marie-Hélène 13 December 2011 (has links)
Au regard de la variété d’enjeux (économiques, sociétaux et environnementaux) que recouvrent les espaces de nature soumis au développement humain, il apparait urgent de comprendre les déterminants de leur fonctionnement. En effet, même si elles ne constituent pas des lieux prioritaires de conservation pour les espèces rares et menacées, les zones urbanisées sont loin d’être dépourvues de biodiversité. Cependant, cette biodiversité et les processus écologiques en œuvre demeurent mal connus. Il s’agit ici d’utiliser les communautés de Rhopalocères (papillons de jour) comme grille de lecture des paysages urbains et périurbains. A partir de l’étude des communautés de papillons (et accessoirement d’oiseaux) en région PACA, l’objectif principal de ce travail est ainsi de mettre en évidence les patrons d’organisation de ces communautés afin comprendre les facteurs conditionnant les assemblages d’espèces en milieu urbain et périurbain. Situé en région méditerranéenne qui constitue un espace original d’un point de vue biogéographique, ce travail a porté sur des terrains d’étude permettant d’aborder deux expressions différentes du processus d’urbanisation touchant le territoire provençal : (i) le village de Lauris (84), caractéristique d’un arrière-pays méditerranéen « en voie de métropolisation » ; et (ii) l’agglomération marseillaise (13), 2ème ville la plus peuplée de France. A partir de l’analyse des assemblages d’espèces de quatre habitats (friches, jardins privés, vignes, forêts), les travaux menés sur la commune de Lauris se sont intéressés à la réponse des communautés de Rhopalocères face aux changements de la disponibilité en habitats dans une mosaïque paysagère en mutation. Les résultats ont ainsi révélé des variations en termes de structure et de composition fonctionnelle, soulignant tant l’influence du contexte paysager que du type d’habitat sur l’organisation de ces communautés. Cette étude a également soulevé l’intérêt du compartiment jardin en tant que réservoir de biodiversité. Les travaux ont ensuite été orientés sur la question de la biodiversité hébergée par les espaces artificialisés en ville. Pour cela 24 parcs publics de la ville de Marseille ont été étudiés. Il a été possible de démontrer comment les traits fonctionnels des espèces (papillons et oiseaux) permettaient de prédire leur répartition le long d’un gradient d’urbanisation. Les différents travaux menés sur l’agglomération marseillaise ont également révélé l’importance de l’échelle paysagère et des dynamiques spatiales régionales (dispersion et colonisation) sur l’organisation des assemblages d’espèces. Les communautés de Rhopalocères apparaissent fortement conditionnées par le degré d’isolement des parcs vis-à-vis des massifs semi-naturels, soulevant l’idée d’une alimentation des assemblages intra-urbains par un pool d’espèces régional situé en périphérie. Cette hypothèse est d’ailleurs appuyée par la distribution imbriquée des espèces (nested subsets) entre les parcs, où les sites les plus pauvres en termes de composition spécifique constituent des sous-échantillons des sites les plus riches, sans que cela ne soit relié à l’existence d’une relation aire-espèce significative. Enfin, l’étude de l’aménagement des parcs et de leur gestion a permis de souligner l’effet d’interactions plus locales sur l’organisation des communautés. Cependant, le contexte paysager semble fortement conditionner la composante végétale autour, mais aussi dans les parcs, notamment par le biais de sa gestion par les services municipaux. / Given the wide range of issues (economic, social and environmental) that are concerned by natural environments under the impact of human development, it is a matter of urgency to understand the factors that determine their functioning. Even if they do not constitute priority areas for the conservation for rare and endangered species, urban areas are by no means devoid of biodiversity. This biodiversity and the ecological processes involved remain poorly known.The approach here is to use the communities of Rhopaloceres (butterflies) as a framework for reading the urban and outlying suburban landscapes. On the basis of a study of butterfly communities (and secondarily those of birds) in the PACA (Provence Alpes Côte d’Azur) region, the main aim of this study is to provide evidence of the patterns of organisation of these communities in order to understand the factors that control the assemblages of species in the urban and outlying suburban environment.Focused on the Mediterranean area, which constitutes an original site from the biogerographical point of view, this investigation has focused on two study sites in order to offer two different expressions of the process of urban development affecting the territory of Provence: (i) the village of Lauris (84), characteristic of a Mediterranean hinterland ‘in the process of metropolisation’; and (ii) the Marseille conurbation (13), the 2nd most populous city in France.On the basis of an analysis of the assemblages of species of four habitats (fallow land, private gardens, vineyards, forests), the investigations carried out in Lauris are focused on the response of the communities of Rhopaloceres in the face of rapid changes in land use. The results provide evidence of variations in terms of structure and functional composition, underlining the influence both of the landscape context and of the type of habitat on the organisation of these communities. This study also highlights the interest of the garden compartment as a reservoir of biodiversity.Then, the investigation has focused on the question of the biodiversity accommodated in the man-made areas of the city. To this end, 24 public parks in the city of Marseille have been studied. It has been possible to show how the functional traits of species (butterflies and birds) can be used to predict their distribution along a gradient of urban development. The various studies carried out on Marseille have also shown the importance of the landscape scale and of the regional spatial dynamic (dispersal and colonisation) with regard to the organisation of assemblages of species. The communities of Rhopaloceres appear to be strongly conditioned by the degree of isolation of parks with regard to the semi-natural massifs, raising the idea of the strengthening of the intra-urban assemblages by a regional pool of species situated around the outskirts. This hypothesis is further supported by the overlapping pattern of distribution of the species (nested subsets) between the parks, where the poorest sites in terms of species composition constitute sub-samples of the richest sites, without this being linked to the existence of a significant species-area relationship. Finally, the study of the development of parks and their management has enabled us to highlight the impact of more local interactions on the organisation of the communities. Nevertheless, the landscape context would appear to strongly condition the plant component in the surroundings, but also in the parks, in particular via the management practices of the municipal departments.
295

Phytoremédiation par Jardins Filtrants d'un sol pollué par des métaux lourds : Approche de la phytoremédiation dans des casiers végétalisés par des plantes de milieux humides et étude des mécanismes de remobilisation/immobilisation du zinc et du cuivre

Kirpichtchikova, Tatiana 29 September 2009 (has links) (PDF)
De nombreuses études en phytoremédiation visent à accroître le prélèvement des métaux par les plantes pour dépolluer les sols. Ce travail porte sur une nouvelle approche de phytoremédiation appelée Jardins Filtrants qui consiste à traiter le sol dans des casiers végétalisés par des plantes de milieux humides (Phragmites australis, Iris pseudacorus et Salix viminalis) et irrigués de manière à imposer une alternance des conditions hydromorphie-assèchement afin d'accroître la solubilité de métaux dans le sol et de les extraire par lixiviation. Dans une expérience pilote de seize mois, cette approche a été appliquée pour la phytoremédiation de Zn, Cu et Pb d'un sol agricole fortement pollué par l'épandage d'eaux usées. Le bilan de masse des métaux dans les systèmes sol-plante a montré que seule une quantité non-significative des métaux a été accumulée dans la biomasse des plantes. Une quantité importante des métaux a été éliminée du sol via la phytolixiviation résultant de l'interaction de l'activité racinaire avec l'irrigation. Un traitement chimique complémentaire au citrate permet d'augmenter la lixiviation. Les mécanismes de transformations de Zn et Cu impliqués dans cette phytoremédiation ont été mis en évidence par combinaison des techniques analytiques sur la source synchrotron à micro- (µXRF, µXRD, µEXAFS) et macro-échelle (EXAFS) couplée aux analyses chimiques, permettant d'identifier et quantifier les formes des métaux dans le sol. Dans le sol initial, le zinc a été majoritairement sous formes de minéraux secondaires (Zn-ferrihydrite, Zn-phosphate et Zn-phyllosilicate modélisé par Zn-kérolite) et le cuivre a été associé essentiellement à la matière organique. L'activité racinaire dans les conditions hydromorphie-assèchement a profondément modifié la spéciation des métaux. Zn-ferrihydrite, une des formes majoritaires de Zn, a été complètement dissoute. La dissolution réductive de cet oxyhydroxyde de fer, favorisée par les conditions d'hydromorphie, a induit la lixiviation de Zn. Une partie de Zn solubilisé a coprécipité avec Fe en un autre oxyhydroxyde de fer zincifère moins soluble, Zn-goethite substituée, dans les conditions oxydantes et avec assistance des racines formant des plaques de goethite en défense contre l'excès de métaux dissous. De plus, les nouvelles particules de Zn métallique et ZnO ont été découvertes dans la rhizosphère, en faible quantité. L'oxydation de la matière organique a induit l'excès de Cu cationique toxique. En réponse au stress oxydant, ce cuivre a été biotransformé par les racines en association avec des mycorhizes en nanoparticules de Cu métallique, en quantité importante. Ce nouveau mode de biominéralisation peut être typique des plantes de milieux humides. Cette nouvelle voie de phytoremédiation implique principalement la phytolixiviation induisant la solubilisation des métaux et leur lixiviation et la phytotransformation, due pour une part à la phytodétoxication, conduisant la conversion des métaux toxiques en formes peu solubles.
296

Les enclaves résidentielles introverties dans la communauté métropolitaine de Montréal, une étape ultime vers la fermeture résidentielle.

Bouguessa, Abdelhak 03 1900 (has links)
Ce projet de recherche s'articule sur la validation de notre hypothèse qui affirme que l’introversion résidentielle dans la communauté métropolitaine de Montréal (CMM), ce n’est qu'une étape ultime vers la fermeture résidentielle. Ainsi, que ces lotissements prennent d’autres formes d’enclosure, qui diffèrent du modèle des Gated Communities (GCs) étatsuniennes. Ce dernier se caractérise par la clôture, la gouvernance privée, le marquage d’entrée par les portails et le flicage à travers la vidéosurveillance. Cette enclosure introvertie se réalise par la forme urbaine ̶ semi-fermée ̶ des ensembles résidentiels. Cependant, ces enclaves montréalaises se dirigent vers le modèle d’enclavement francilien; qui se caractérise par le passage doux (inaperçu) vers la fermeture résidentielle (Paquot, 2009). Précisément, nous viserons à étudier la typo-morphologie du phénomène des GCs et ses impacts par la rupture physico-spatiale, et par la ségrégation socio-spatiale sur le territoire urbain et suburbain. Notre champ d’expérimentation est la CMM. Cependant, une revue critique de la littérature sur le phénomène dans quatre territoires des pays suivants : au Canada, dans l’Ouest canadien, en France, dans l’Île-de-France, au Mexique, dans la région métropolitaine de Puebla et aux États-Unis à Los Angeles, nous a permis de tirer des conclusions en matière de définition et de divergence. La définition des GCs selon la littérature actuelle est très restreinte, elle exclut d’autres types enclos qui ne se renferment pas avec leurs clôtures, mais beaucoup plus avec leurs formes urbaines semi-fermées. Ces derniers types nous l’avions destinée à une nouvelle désignation : enclaves résidentielles introverties (ERI). Cela est après avoir réfuté la désignation d'« enclave résidentielle » utilisée par les auteurs francophones. Cette dernière n’est pas précise, elle inclut notamment tous les ensembles résidentiels qui se distinguent avec leur style individualisé par apport à leurs alentours, voire même si leur forme urbaine est ouverte. En outre, nous voulons démontrer que ces formes urbaines semi-fermées sont vraiment des lacunes au niveau des ententes conclues entre la ville (autorité locale) et les promoteurs au Québec. Ces formes urbaines sont en antinomie avec les principes du développement durable. Elles rendent la possibilité d’offrir un transport écologique impossible, leur structure est irréversible sauf si l'on va recourir à la démolition de certaines maisons pour désenclaver l’ensemble. Ces lotissements semi-fermés empêchent la circulation en éliminant la connexion de leurs rues intérieures avec le reste des voies passantes qui tissent le tissu urbain toutes autour. Parfois le panneau « cul-de-sac » garantit l’exclusivité des rues intérieures de l’ensemble résidentiel. Cette forme urbaine encourage les déplacements massifs en automobile vers les lieux de travail, étant donné qu'elle est localisée souvent loin des voies desservies par le transport en commun. En outre, cette forme semi-fermée complique l’intervention des pompiers en cas d’incendie. / This research focuses on the validation of our hypothesis which states that residential introversion in the metropolitan community of Montreal (MCM) is only the last step of residential closure. These developments are taking other forms of enclosure which differ from the design of American gated communities (GCs). These communities are characterized by the enclosure, private governance, policing through video surveillance and the marking of entry by gates. The introverted enclosure is achieved by the urban form semi-closed of residential development. However, these enclaves are like the model of closed developments in Île-de-France. This later is characterized by the uncontrolled progression to closed residential development (Paquot, 2009). Precisely, we shall study the typo-morphology of the phenomenon of GCs and their impacts of physical rupture and social-space segregation of urban and suburban territory. Our area of experimentation is the MCM, however, a criticized review of literature that analyses the phenomenon in four countries (the Canadian West; Île-de-France, France; Puebla, Mexico; and Los Angeles, United States of America) allowed us to draw conclusions regarding the divergence of definitions. The definition of GCs according to the current literature is very limited. It excludes other types of residential closing that are not characterised by their fences, but more with their semi-enclosed urban forms. So, we have refuting the label of "residential enclave" used by French authors, and then we have assigned these types a new designation: introverted residential enclaves (IRE). Our resentment is that the term of enclave residential is not precise: it includes the residential development that stands out with individual style by contributing to its surroundings, even if the urban form is open. Furthermore, we show that these semi-enclosed urban forms are indeed gaps in conventions between the local authorities and developers in Quebec. These urban forms are in contradiction with the principles of sustainable development. They imped the possibility of providing an ecological transport. Their structure is irreversible, without the demolition of certain houses in order to open up the whole. These shapes prevent also pedestrian traffic. Sometimes the panel "cul-de-sac" guarantees exclusivity of internal streets to their resident. / Plusieurs logiciels utilisés dans la réalisation des pièces graphiques incluses dans ce mémoire : ArcGIS 10; Autocad 2012; GIS Consortium de la Ville de Chicago; PowerPoint 2010, Photoshop... etc. Notre recherche est la première et la seule qui aborde le phénomène de l'introversion résidentielle au Québec. Elle se focalise sur le postulat de la représentation du phénomène de l’introversion résidentielle autant qu’une forme urbaine fermée ou semi-fermée d’une descendance accouplée aux GCs étatsuniennes. De la gated community américaine vers l’enclave francilienne, à l’introversion résidentielle montréalaise. À l'aide de notre analyse typo-morphologique, basée principalement sur la théorie de Rossi (1966), nous avons dévoilé sur un nouveau fait urbain qui existe dans la communauté métropolitaine de Montréal. Nous l'avions désigné par : enclaves résidentielles introverties (ERI).
297

Les enclaves résidentielles introverties dans la communauté métropolitaine de Montréal, une étape ultime vers la fermeture résidentielle

Bouguessa, Abdelhak 03 1900 (has links)
No description available.
298

Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nation

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
299

Habitats coralliens dans les canyons sous-marins du Golfe de Gascogne : distribution, écologie et vulnérabilité / Coral habitats in submarine canyons of the Bay of Biscay : distribution, ecology and vulnerability

Van den Beld, Inge 20 February 2017 (has links)
Les habitats de coraux d’eau froide formés par des scléractiniaires coloniaux, des gorgones, des antipathaires et des pennatules sont des hotspots de biodiversité et de biomasse. Ils fournissent des fonctions importantes, comme des refuges et des zones d’alimentation, pour d’autres organismes. Mais, ils sont également vulnérables aux activités humaines, parce qu’ils sont fragiles, croissent lentement et atteignent des records de longévité. Dans les canyons sous-marins, le relief tourmenté, l’hydrodynamisme et l’hétérogénéité des substrats offrent des conditions environnementales propices au développement des habitats coralliens. Dans le Golfe de Gascogne, les coraux d’eau froide sont connus depuis la fin du 19e siècle, mais leur distribution, leur densité et leur rôle fonctionnel avaient été très peu étudiés.Pour augmenter cette connaissance, 24 canyons sous-marins et 3 sites sur l’interfluve/haut de pente contiguë aux canyons adjacents ont été visités par un ROV et une caméra tractée pendant 46 plongées au cours de 7 campagnes océanographiques. Les habitats coralliens définis par le système de classification CoralFISH ont été cartographiés à partir des images prises par les engins sous-marins puis la faune associée, les types de substrat et les déchets ont été annotés.Onze habitats coralliens et 62 morphotypes de coraux ont été observés dans les canyons sous-marins du Golfe de Gascogne hébergeant 191 morphotypes de faune associée, dont 160 morphotypes uniques. Les patrons de distribution à l’échelle locale et à l’échelle régionale pourraient être liés aux régimes hydrodynamiques et sédimentaires. Le type de substrat était important pour les assemblages de coraux et leurs faunes associées, distinguant les habitats biogéniques, sur substrat dur et sur substrat meuble. Les assemblages de coraux étaient similaires entre habitats biogéniques et habitats sur substrat dur, mais la faune associées était plus abondante et diversifiée sur les habitats biogéniques. La diversité-alpha, -beta et –gamma étaient étonnement élevée sur les habitats coralliens sur substrat meuble, égalant ou dépassant la diversité des habitats biogéniques.Les déchets marins étaient abondants et principalement composés de plastiques et de matériels de pêche. Ces déchets pourraient impacter les habitats coralliens : ils ont été trouvés à des profondeurs similaires et les déchets étaient piégés par des reliefs créés par des structures biologiques et géologiques. L’ocurrence des récifs de coraux préférentiellement sur les pentes plus abruptes des canyons sous-marins tandis que les débris de coraux sont plus fréquents sur des aires plus plates de l’interfluve ou du haut de pente, pourraient indiquer un impact de la pêche.Cette étude a contribué à l’initiative en cours de création d’un réseau Natura 2000 qui protégera à terme l’habitat « récif » dont les habitats coralliens biogéniques et sur substrat dur, mais pas les habitats coralliens sur substrat meuble. Pour ces derniers, un complément d’étude et d’autres stratégies de préservation seront nécessaires. / Cold-water coral (CWC) habitats formed by colonial scleractinians, gorgonians, antipatharians and sea pens are biodiversity and biomass hotspots that provide important functions, such as shelter and feeding grounds, to other organisms. But, they are also vulnerable to human activities, because they are long-lived, grow slowly and have a low resistance. Submarine canyons may offer the environmental conditions needed for CWC habitat development, due to their steep topography, complex hydrodynamics and substrate heterogeneity. In the Bay of Biscay, which margin is incised by hundreds of canyons, CWCs are known to exist since the late 19th century, but their distribution, density and functional role remained largely unknown, which impaired their preservation.To increase this knowledge, 24 canyons and three locations between adjacent canyons were visited with an ROV and a towed camera system during 46 dives on 7 cruises. Images were analysed for CWC habitats using the CoralFISH classification system. Within these habitats, corals, associated fauna were identified and substrate cover measured. Litter was identified in 15 out of 24 canyons.Eleven coral habitats constructed by 62 coral morphotypes were observed in the canyons of the Bay of Biscay hosting 191 associated megafaunal morphotypes, including 160 unique morphotypes. The distribution patterns at regional and local scales could be linked to hydrodynamics and sedimentary regimes. Substrate type was an important driver for coral and associated faunal assemblages, distinguishing biogenic, hard substrate and soft substrate habitats. Coral assemblages were similar between biogenic and hard substrate habitats, but the associated fauna was more abundant and diverse on biogenic habitats. The alpha, beta and gamma diversity was surprisingly high on soft substrate habitats, equalling or exceeding that of biogenic habitats.Marine litter was abundant and was mainly composed of plastic items and fishing gear. Litter could co-occur with CWCs and impact them: litter and most CWC habitats were observed at similar water depths and litter was more abundant in areas with a seafloor relief created by biological or geological features. Observations of coral reefs on steeper areas in the canyons and coral debris on flatter areas on the interfluve/upper slope may indicate a potential impact of the fishing industry. This study supports the ongoing effort to create a Natura 2000 network that will protect biogenic and hard substrate habitats, but also points out the need to develop a framework for the preservation of coral habitats on soft substrate.
300

El jardí de la Casa-Estudi Benlliure. Anàlisi i caracterització des de l'arquitectura del paisatge

Quintana Seguí, Elisabet 15 July 2024 (has links)
[ES] El objetivo principal de esta investigación es estudiar el jardín de la Casa-Estudio Benlliure para intentar identificar su configuración original, y caracterizar esta configuración desde la perspectiva de la arquitectura del paisaje. El jardín de la Casa-Estudio Benlliure, construido entre 1896 y 1920, es un espacio de interés notable ubicado en el barrio del Carmen de Valencia. Este jardín se adecua plenamente a la definición y caracterización de los jardines históricos que se recoge en la Carta de Florencia, puesto que se trata de un paisaje cultural, en este caso un jardín privado de dimensiones reducidas, que ha sido moldeado por el ser humano y ha perdurado a lo largo del tiempo, adquiriendo una significación social, histórica y artística relevante, dado que pertenece a la residencia y estudio del pintor valenciano José Benlliure Gil (1856-1937) y su familia. A pesar de las diversas publicaciones y estudios dedicados a la Casa-Estudio Benlliure, hasta la fecha actual no se ha realizado ninguna investigación exhaustiva sobre su jardín, que se convierte en un tema de estudio inexplorado. La singularidad de este jardín como uno de los raros ejemplos de jardines burgueses en la ciudad subraya aún más su relevancia en el ámbito de la investigación. Además, su condición de jardín creado por un artista permite explorar la interrelación entre el propio jardín y la obra de José Benlliure. Cabe destacar que el jardín forma parte integrante del con-junto museístico, propiedad del Ayuntamiento de Valencia que comprende la casa y el estudio del pintor, convirtiéndose así en un espacio accesible al público. La investigación realizada sobre el jardín de la Casa-Estudio Benlliure arranca con el análisis de su evolución histórica y su estado actual, junto con la evaluación de la información disponible sobre el diseño original. Esta información nos permitirá realizar un análisis comparativo del estado actual y del estado original del jardín en tiempos de los Benlliure. A continuación, se estudian los referentes para su caracterización, tanto en el campo de la teoría y práctica del diseño del jardín privado en el paisajismo, como en el arte pictórico de finales del siglo XIX y principios del siglo XX, para establecer comparativas con el jardín objeto de estudio. Por último, se realiza una evaluación final e identificación de sus elementos caracterizadores, de la que emerge una interpretación del jardín Benlliure como palimpsesto. El análisis y caracterización realizados desde la perspectiva de la arquitectura del paisaje pueden ser la base para su reconocimiento como Jardín Singular por parte de la administración, y un primer paso por una futura restitución del jardín de la Casa-Museo Benlliure en el contexto actual de una Casa-Museo, permitiendo plantear el futuro del actual jardín desde unas bases fundamentadas en el conocimiento de su pasado. / [CA] L'objectiu principal d'aquesta investigació és estudiar el jardí de la Casa-Estudi Benlliure per intentar identificar-ne la seva configuració original, i caracteritzar aquesta configuració des de la perspectiva de l'arquitectura del paisatge. El jardí de la Casa-Estudi Benlliure, construït entre 1896 i 1920, és un espai d'interès notable ubicat en el barri del Carme de València. Aquest jardí s'adequa plenament a la definició i caracterització dels jardins històrics que es recull a la Carta de Florència, ja que es tracta d¿un paisatge cultural, en aquest cas un jardí privat de dimensions reduïdes, que ha estat modelat per l'ésser humà i ha perdurat al llarg del temps, adquirint una significació social, històrica i artística rellevant, atès que pertany a la residència i estudi del pintor valencià José Benlliure Gil (1856-1937) i la seva família. Malgrat les diverses publicacions i estudis dedicats a la Casa-Estudi Benlliure, fins a la data actual no s'ha realitzat cap investigació exhaustiva sobre el seu jardí, que esdevé un tema d'estudi inexplorat. La singularitat d'aquest jardí com a un dels rars exemples de jardins burgesos a la ciutat subratlla encara més la seva rellevància en l'àmbit de la investigació. A més, la seva condició de jardí creat per un artista permet explorar la interrelació entre el propi jardí i l'obra de José Benlliure. Val a remarcar que el jardí forma part integrant del conjunt museístic, propietat de l'Ajuntament de València que comprèn la casa i l'estudi del pintor, convertint-se així en un espai accessible al públic. La investigació realitzada sobre el jardí de la Casa-Estudi Benlliure arrenca amb l'anàlisi de la seva evolució històrica i del seu estat actual, juntament amb l'avaluació de la informació disponible sobre el disseny original. Aquesta informació ens permetrà fer una anàlisi comparativa de l'estat actual i de l'estat original del jardí en temps dels Benlliure. A continuació, s'estudien els referents per a la seva caracterització, tant al camp de la teoria i pràctica del disseny del jardí privat al paisatgisme, com a l'art pictòric de finals del segle XIX i principis del segle XX, per establir comparatives amb el jardí objecte d¿estudi. Finalment, es realitza una avaluació final i identificació dels seus elements caracteritzadors, de la qual emergeix una interpretació del jardí Benlliure com a palimpsest. L'anàlisi i caracterització realitzats des de la perspectiva de l'arquitectura del paisatge poden ser la base pel seu reconeixement com a Jardí Singular per part de l'administració, i un primer pas per una futura restitució del jardí de la Casa-Museu Benlliure en el context actual d'una Casa-Museu, permetent plantejar el futur de l'actual jardí des d'unes bases fonamentades en el coneixement del seu passat. / [EN] The main objective of this research is to study the garden of the Benlliure House-Studio to try to identify its original configuration and characterize this configuration from the perspective of landscape architecture. The garden of the Benlliure House-Studio, built between 1896 and 1920, is a space of notable interest located in the Carmen neighbourhood of Valen-cia. This garden fully complies with the definition and characterization of historical gardens included in the Charter of Florence, since it is a cultural landscape, in this case a small private garden, which has been shaped by humans. and has endured over time, acquiring a relevant social, historical, and artistic significance, given that it belongs to the residence and studio of the Valencian painter José Benlliure Gil (1856-1937) and his family. Despite the various publications and studies dedicated to the Benlliure House Study, no exhaustive research has been carried out on its garden, which has become an unexplored topic of study. The uniqueness of this garden as one of the rare examples of bourgeois gardens in the city further underlines its relevance in the field of research. Furthermore, its condition as a garden created by an artist allows us to explore the interrelationship between the garden itself and the work of José Benlliure. It should be noted that the garden is an integral part of the museum complex, property of the Valencia City Council, which includes the painter's house and studio, thus becoming a space accessible to the public. The research carried out on the garden of the Benlliure House Studio begins with the analysis of its historical evolution and its current state, together with the evaluation of the information available about the original design. This information will allow us to carry out a comparative analysis of the current state and the original state of the garden in the times of the Benlliure family. Next, the references are studied for their characterization, both in the field of theory and practice of private garden design in landscaping and in the pictorial art of the late 19th century and early 20th century, to establish comparisons with the garden under study. Finally, a final evaluation and identification of its characterizing elements is carried out, from which an interpretation of the Benlliure garden as a palimpsest emerges. The analysis and characterization carried out from the perspective of landscape architecture can be the basis for its recognition as a Singular Garden by the administration and a first step towards future restitution of the garden of the Benlliure House-Museum in the context of current nature of a House-Museum, allowing us to propose the future of the current garden from bases based on the knowledge of its past. / Quintana Seguí, E. (2024). El jardí de la Casa-Estudi Benlliure. Anàlisi i caracterització des de l'arquitectura del paisatge [Tesis doctoral]. Universitat Politècnica de València. https://doi.org/10.4995/Thesis/10251/206097

Page generated in 0.0495 seconds