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Bloody Sunday et l'enquête Saville : vérité, justice et mémoire / Bloody Sunday and the Saville Inquiry : Truth, Justice and Memory

Barcat, Charlotte 03 December 2016 (has links)
Le 30 janvier 1972, dans la ville nord-irlandaise de Derry/Londonderry, treize personnes furent tuées par des soldats britanniques alors qu’elles participaient à une manifestation pour les droits civiques. Ce « Bloody Sunday » provoqua immédiatement des polémiques : les soldats affirmaient avoir répliqué à des tirs, ce que contestaient vigoureusement les civils. Le verdict de la première enquête publique, qui conclut en 1972 que les soldats avaient agi dans les règles, ne fut jamais accepté par les familles des victimes, qui lancèrent en 1992 une campagne réclamant une nouvelle enquête. En 1998, dans le contexte du processus de paix, le gouvernement britannique accéda à cette requête et créa l’enquête Saville. Le défi était grand : comment réécrire la mémoire officielle d’un événement aussi symbolique, alors que celui-ci avait déjà été intégré dans des mémoires collectives antagonistes et fortement enracinées ? Ce travail étudie l’enquête Saville à la lumière de trois grands concepts : la vérité, la justice et la mémoire. La vérité, car la découvrir était l’objectif premier de l’enquête. La justice, car une enquête publique, bien que n’étant pas un procès, la sert en rétablissant la confiance en l’Etat de droit et en accordant aux victimes une reconnaissance officielle. Enfin, la mémoire, car une tentative de réécrire la version officielle d’un tel événement se heurtait forcément aux mémoires collectives existantes : celles des communautés nationaliste et unioniste, mais aussi de l’Etat. Cette enquête chargée d’oeuvrer pour la réconciliation a donc du gérer les difficultés nées de ces relations étroites mais parfois conflictuelles entre vérité, justice et mémoire. / On January 30th, 1972, in the Northern Irish city of Derry/Londonderry, thirteen people who had been taking part in a civil rights demonstration were shot dead by British soldiers. This ‘Bloody Sunday’ immediately sparked controversy: the soldiers claimed they had fired in retaliation, which civilian witnesses categorically denied. In 1972, the conclusion of the first public inquiry that the soldiers had acted within the rules was rejected by the victims’ families, who launched a campaign demanding a new inquiry in 1992. In 1998, as the peace process was under way, the British government granted a second public inquiry, to be chaired by Lord Saville. This inquiry faced a major challenge: how could they rewrite the official memory of such a symbolic event, which had already been integrated into deeply entrenched, antagonistic collective memories? Three main concepts were used to study the Saville inquiry in this work: truth, justice and memory. Finding the truth was announced as one of the inquiries’ main objectives. Justice is also highly relevant, for even though the inquiry is not a trial, it does serve justice by restoring confidence in the rule of law and providing official recognition for the victims. Finally, the importance of memory is paramount, as any attempt to rewrite the official narrative of an event was bound to clash with existing collective memories: the collective memories of the nationalist and unionist communities, but also the official memory of the British state. Truth, justice and memory thus appear to be closely linked, but may also collide, making it difficult for the inquiry to reach the objective of bringing about reconciliation.
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Le « cas » Marianne Oswald et la critique musicale : la construction du personnage artistique depuis ses multiples perspectives

Tessier, Eugénie 11 September 2019 (has links)
Fondée sur l’approche proposée par Philip Auslander (2004), cette thèse est centrée sur la construction du personnage artistique de la chanteuse française Marianne Oswald (1901-1985), la relation dialogique qu’elle entretient avec ses publics et sa présence à travers la mémoire et l’histoire culturelle. Aujourd’hui méconnus, son non-conformisme, son style vocal parlé-chanté, sa nature engagée et sa force polarisante inspirent une importante élite artistique à Paris et lui valent le titre d’artiste la plus discutée des années 1930 dans la presse. À travers les concepts d’authenticité et de féminités, tels que relevés dans la presse artistique, l’autobiographie de la chanteuse et son répertoire musical, cette recherche explore l’incidence des rapports de réciprocité qui s’exercent entre le personnage, le public et la mémoire sur la réception et la création d’une multiplicité de représentations du personnage artistique et suggère que Marianne Oswald a tenu un rôle transformationnel dans l’histoire musicale et culturelle française.
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De la réconciliation franco-allemande à la guerre des dieux. Analyse cognitive et discursive d'une politique publique volontariste d'éducation à la cause de la paix: l'Office franco-allemand pour la jeunesse

Delori, Mathias 23 June 2008 (has links) (PDF)
Le traité de l'Elysée du 22 janvier 1963 a institué un organisme qui existe encore à l'heure actuelle : l'Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ). La marginalisation progressive de cette organisation ne doit pas faire oublier qu'un fort volontarisme politique présida à sa création. Au cours des années 1960, l'OFAJ mit en œuvre une politique de rencontres de masse entre jeunes Français et Allemands. Bien qu'elle se concrétisât à l'échelle binationale, cette politique publique rappelle le rêve des fédéralistes : la construction, par la socialisation des jeunes, d'un « demos » européen. La thèse analyse les soubassements intellectuels de ce programme et explore une question plus précise : les acteurs croyaient-ils véritablement en la légitimité et la faisabilité de leur projet ? Croyaient-ils vraiment que la multiplication de rencontres de quelques jours permettrait de mettre un terme au vieil antagonisme franco-allemand ? Les outils théoriques de l'approche cognitive de l'analyse des politiques publiques permettent de répondre de manière positive à la question posée et d'illustrer ses implications politiques. Au lendemain de sa création, l'OFAJ diffusa dans son espace d'intervention un certain nombre de normes politiques légitimées par une structure de sens. Cet organisme contribua par ailleurs à la construction du sens à l'échelle des relations franco-allemandes en dessinant un horizon utopique pour ces relations : le fantasme d'une fusion entre les deux pays. Ce mythe, qui est également alimenté par d'autres constructions symboliques comme la métaphore du « couple franco-allemand », pèse encore aujourd'hui sur la définition de la plupart des politiques franco-allemandes.
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SUR L'ESPACE-TEMPS DIDACTIQUE ETUDES DU DIDACTIQUE, EN SCIENCES DE L'EDUCATION

Mercier, Alain 07 January 1999 (has links) (PDF)
Le texte est organisé en deux parties : Parcours personnel dans un champ de questions, et Synthèse des problèmes d'un domaine de recherches. La première partie présente mon parcours biographique en didactique des mathématiques, depuis l'entrée dans la problématique : Didactique d'un corps de savoirs, puis l'identification des dimensions principales du didactique : L'espace-temps didactique scolaire, et la recherche de leurs déterminations institutionnelles : La relation didactique et l'institution scolaire. L'exposé permet une première acculturation avec les systèmes conceptuels les plus lar-gement utilisés et débattus en didactique des mathématiques francophone, la théorie des situations didactiques, TSD, et l'approche anthropologique du di-dactique, TAD. On montre le développement de l'approche biographique, une méthode de recherche originale qui permet l'intervention pour l'observation et appartient donc aux méthodes cliniques. Cette méthode produit des questions relatives au savoir dans les institutions, et des questions relatives aux sujets dans les insti-tutions. La question de la mémoire collective est la clé du lien entre ces deux dimensions. La deuxième partie interroge la consistance des questions produites et des résultats obtenus. Pour travailler cette question on reprend les notions centra-les de " situation " et de " adidacticité ". Deux grands types de questions sont alors étudiés : l'étude et son organisation, le savoir comme mémoire collecti-ve. La méthode clinique comme évolution de l'approche biographique est alors mise en place comme l'outil central des études à venir.
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Les engagements politiques de la presse des expulsés de Silésie : l'exemple du Grafschafter Bote

Picard, Lionel 07 December 2012 (has links) (PDF)
Les millions d'Allemands expulsés des territoires de l'est à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se sont pas intégrés rapidement dans leur nouvel environnement. Les nombreux journaux qu'ils ont publiés en RFA témoignent de leur identité particulière. Ce secteur de la presse constitue un miroir d'un important groupe social. On y trouve à la fois les difficultés liées à l'intégration, mais aussi les revendications politiques des expulsés. Le Grafschafter Bote est un journal qui s'adresse aux Allemands expulsés du Comté de Glatz (pol. Ziemia Kłodzka) en Silésie. Journal indépendant des grandes associations (Landsmannschaften), il paraît chaque mois sans interruption depuis 1950. L'étude de son contenu permet de mieux comprendre l'interprétation de l'histoire et les aspirations politiques des expulsés. Elle éclaire d'un jour nouveau les orientations politiques d'un groupe que l'on a souvent considéré comme extrémiste ou passéiste.
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L'appropriation de la mémoire collective dans deux romans des Amériques : Le premier jardin, d'Anne Hébert et Los Niños se despiden, de Pablo Armando Fernández

Archambault, Héloïse January 2009 (has links) (PDF)
Ce travail consiste en une étude comparative de deux romans des Amériques, Le premier jardin, d'Anne Hébert, et Los niños se despiden, de Pablo Armando Fernández, sur la problématique de l'appropriation de la mémoire collective chez les protagonistes. L'objectif du travail est d'analyser les différentes stratégies narratives employées par les auteurs pour mettre en scène l'imaginaire collectif et sa fonction dans l'oeuvre québécoise et dans l'oeuvre cubaine. Le premier chapitre aborde la mémoire sous les angles historique, sociologique, et littéraire. D'une part, l'étude porte sur les formes générales, d'appropriation de la mémoire collective chez les nations québécoise et cubaine, ce qui constitue la mémoire d'un peuple. D'autre part, le travail porte sur l'intertextualité et son traitement, ce qui relève de la mémoire du texte. Ces deux formes de mémoire mettent en lumière l'importance du temps-zéro chez Fernández et de l'inscription dans la tradition européenne chez Hébert. Comme la mémoire collective s'articule selon des composantes spatiales et temporelles, le deuxième chapitre est entièrement consacré à l'étude de ces paramètres. Le recours à la notion de chronotope sert à établir les liens pertinents entre temps et espace, entre mémoire personnelle et mémoire collective. Les systèmes chronotopiques diffèrent pour chaque oeuvre, mais indiquent chaque fois une dynamique particulière des forces mnémoniques en présence et contribuent à dégager les manifestations et les fonctions particulières de la mémoire. L'étude de l'ailleurs au troisième chapitre complète le travail amorcé sur les relations entre spatialité et temporalité. L'exil hébertien et l'utopie fernandienne constituent deux modalités de l'ailleurs. Bien que ces hors-temps et hors-lieux se déploient différemment dans les deux romans, ils témoignent chaque fois de l'importance que les protagonistes accordent à la mémoire de leur collectivité. L'étude de l'intertextualité, des formes d'appropriation de l'imaginaire collectif, de la spatio-temporalité et de l'ailleurs confirment une constante qui se dégage de l'étude de ce corpus multiculturel : un même désir des protagonistes de s'approprier l'imaginaire de leur collectivité, mais dans un dessein différent. Chez Hébert, le désir d'inscription dans une longue généalogie justifie le recours à une histoire peuplée de femmes glorieuses; chez Fernández, construire des assises solides à une nouvelle société plus équitable nécessite une appropriation massive d'éléments constitutifs d'une mémoire collective. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Américanité, Anne Hébert, Chronotope, Cuba, Exil, Intertextualité, Mémoire, Mémoire collective, Pablo Armando Fernandez, Québec, Utopie.
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Le rapport à l'histoire des franco-québécois de souche canadienne-française : reconnaître la communauté d'histoire dans la société de droit : analyse de contenu de mémoires déposés auprès de la Commission Bouchard-Taylor

Lemire-Lafontaine, Emilie January 2010 (has links) (PDF)
Les défis qu'entraîne la reconnaissance du pluralisme dans les sociétés modernes avancées sont nombreux: cohabiter dans un pluralisme culturel et religieux, reconstruire les identités collectives, faire face à une tendance à la judiciarisation du politique, ... Dans les sociétés de droit minoritaires, ces défis se présentent de manière différente. L'articulation entre communauté d'histoire et communauté de droit, dans l'aménagement d'une culture publique commune ne se fait pas sans difficulté. Le récent débat québécois quant aux pratiques d'accommodements culturels, souvent pour des motifs ethno-religieux en est un exemple. En effet, lors d'une vaste commission de consultation publique sur les pratiques d'accommodement liées aux différences culturelles qui s'est tenue entre les mois de septembre 2007 et avril 2008, les Québécois ont pu se prononcer sur ces pratiques d'accommodement. Ils ont également tenté de définir les fondements de l'identité québécoise. Plusieurs des mémoires, rédigés par des membres de la majorité franco-québécoise de souche canadienne-française, qui ont été déposés devant les commissaires Gérard Bouchard et Charles Taylor faisaient mention de l'histoire du Québec. Mais quel est le rapport particulier qu'entretiennent les Franco-québécois de souche canadienne-française avec leur propre histoire lorsque vient le temps de circonscrire l'identité québécoise? C'est à travers vingt-sept mémoires de divers groupes, associations et partis politiques déposés à la commission que nous avons sélectionnés que le discours des Franco-québécois de souche canadienne-française sur l'histoire a été étudié. Nous avons tenté de saisir la tendance qui traverse le rapport à l'histoire chez la majorité francophone. Il s'agit d'un rapport à l'histoire qui se présente sous la forme d'un argument d'autorité et de légitimité culturelle, tout particulièrement lorsque le « destin canadien-français » a été remis en cause. Les références au patrimoine religieux servent à la fois à ancrer le parcours singulier de la majorité dans l'histoire, mais aussi à refuser toute forme de fanatisme religieux. Le Droit est présenté comme vecteur de la transformation sociale au Québec, mais ce dernier ne doit pas prendre le pas sur des décisions qui doivent être débattues publiquement. Le thème du respect de la communauté d'histoire du Québec traverse également l'ensemble des mémoires. En somme, les membres de la majorité rappellent, autant à leurs dirigeants qu'aux nouveaux arrivants, que l'aventure franco-québécoise est un « train en marche ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pluralisme, Québec, Société minoritaire, Histoire, Accommodements culturels.
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Mémoire et performance : analyse de la commémoration de la Révolution kuna à Uggubseni, Panama

Alarie-Labrèche, Maude 04 1900 (has links)
En 1925, les Kunas (Gunas), autochtones du nord-est du Panama, se soulevèrent en armes afin de contrer les politiques assimilationnistes du gouvernement national. Première étape dans un long processus d’affirmation identitaire et de revendications territoriales, ce soulèvement est aujourd’hui connu sous le nom de Révolution kuna (Revolución Dule). Considéré de nos jours comme un symbole des luttes autochtones pour l’autodétermination et l’autonomie politique, cet épisode historique est grandement célébré dans le territoire de Kuna Yala (Gunayala). À Uggubseni, scène principale du soulèvement de 1925, la commémoration prend la forme d’une reconstitution historique où, pendant plus d’une semaine, les villageois reconstruisent le scénario révolutionnaire. Cette commémoration particulière est l’objet du présent travail de recherche, par lequel nous tentons d’analyser comment est remémorée et interprétée aujourd’hui la Révolution kuna. Pour ce faire, nous nous sommes d'abord penchés sur l’événement même de la commémoration. Une analyse de sa forme nous amena à considérer l’ensemble commémoratif comme un nouveau rite au sein de la ritualité kuna. Nous argumentons que par sa forme carnavalesque, la commémoration permet aux villageois de repenser la relation dialectique entre l’État panaméen et l’autonomie kuna, de même qu’elle sert d’exutoire aux tensions internes. Ensuite, nous nous sommes intéressés aux diverses interprétations de cette étape de l’histoire kuna et panaméenne afin de cerner les différents intérêts impliqués dans la commémoration du soulèvement kuna. Enfin, le cœur de ce travail porte sur le rôle de la mémoire collective dans la construction et la réitération d'un discours identitaire, et ce, en analysant comment la mémoire de la révolution est transmise, reçue, interprétée et utilisée aujourd'hui. / In 1925, the Kunas (Gunas), an aboriginal group in northeastern Panama, rose up in arms to fight the assimilationist policies of the national government. First step in a long process of identity recognition and land claims, this uprising is now known as the Kuna Revolution (Revolución Dule). Considered today as a symbol of the indigenous struggles for self- determination and political autonomy, this historic episode is the centre of important festivities in the territory of Kuna Yala (Gunayala). In Uggubseni, where the uprising of 1925 mainly took place, the commemoration takes the form of an historical reconstruction where, for nearly a week, the villagers re-enact the revolutionary scenario. This commemoration is the subject of my research, where I examine how the Kuna Revolution is remembered and interpreted in Uggubseni today. The first question addressed in this thesis concerns how the revolution is commemorated. An analysis of its form leads us to look at the commemoration as a new Kuna ritual. I argue that, by taking a carnival form, the commemoration allows villagers to rethink the dialectical relationship between the Panamanian state and Kuna autonomy, and at the same time serves as an outlet for internal tensions in the community. I then raise the question of to what exactly is being commemorated in this ritual. In doing so, I analyse the different interpretations of this episode in Kuna and Panamanian history and identify the various interests involved in the commemoration of the Kuna uprising. Finally, I examine the role of collective memory in the construction and reiteration of a discourse of ethnicity, analyzing how the memory of the revolution is transmitted, received, interpreted and used today. / En 1925, los Kunas (Gunas), indígenas del noreste de Panamá, se levantaron en armas en contra de las políticas asimilativas del gobierno nacional. Primera etapa de un largo proceso de afirmación identitaria y de reivindicaciones territoriales, ese levantamiento se conoce hoy en día como la Revolución Kuna (o Dule). Partiendo de considerar ese evento como símbolo de las luchas indígenas para el reconocimiento, la autodeterminación y la autonomía política, en este proyecto de investigación se propone estudiar cómo se celebra, se recuerda y se interpreta hoy en día tal etapa histórica. Concretamente, enfocamos nuestro estudio en la comunidad de Uggubseni, que fue la escena principal de la insurrección de 1925 y donde cada año los comuneros representan su historia, celebrando el aniversario de la Revolución Kuna en forma de una reconstitución histórica. Proponemos acercarnos primero al evento mismo de conmemoración. A través del análisis de la forma hemos llegado a considerarlo como un nuevo rito dentro de la ritualidad kuna. Sostenemos que por su forma carnavalesca, la conmemoración permite a los comuneros repensar la relación dialéctica entre la autonomía kuna y el estado panameño y a la vez resolver tensiones internas en la comunidad. Nos hemos interesado luego por las diversas interpretaciones de la Revolución Kuna, etapa importante de la historia kuna y panameña, para entender los distintos intereses implicados en los eventos conmemorativos. En fin, la preocupación principal de este trabajo se centra en el papel de la memoria colectiva en la construcción y reiteración de un discurso identitario, analizando cómo el recuerdo de la Revolución Kuna se transmite, recibe, interpreta y utiliza hoy en día.
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Raconter à la radio : la narration radiophonique chez Walter Benjamin

Boucher-Paré, Léandre 08 1900 (has links)
No description available.
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Construction difficile d’une mémoire commune de la RDA dans l’Allemagne unifiée (1990-2006) : traitement public du passé à l’occasion de commémorations / The problematic construction of a common memory of the GDR in United Germany (1990-2006) : coming to terms with East Germany’s past on the occasion of commemorations

Renaudot, Myriam 07 December 2010 (has links)
Le présent travail a pour objet le traitement du passé de la RDA dans l’espace public à l’occasion des commémorations du 17 juin 1953, du 9 novembre 1989 et du 3 octobre 1990, dans les discours officiels et dans la presse. Son objectif est d’étudier le processus de construction d’une mémoire commune de ce passé, mémoire qui participe à l’élaboration d’une identité allemande commune. L’analyse porte d’une part sur les commémorations en tant qu’initiatives politiques de traitement du passé dans l’espace public. Elle met en évidence le traitement « anhistorique » du passé de la RDA dans les discours officiels prononcés lors de ces commémorations. L’étude de leur couverture par la presse montre le rôle de ce média dans le traitement du passé de la RDA.Les commémorations correspondent d’autre part à une focalisation de l’espace public sur le passé de la RDA. L’étude du traitement du passé par la presse à ces occasions met en évidence les réactions de citoyens de l’ancienne RDA à la mémoire « officielle ». Elle révèle la pluralité des mémoires de la RDA telles qu’elles s’expriment dans la presse. Le caractère particulier de la presse régionale est-allemande dans ce traitement du passé est également analysé, à travers l’exemple de la Sächsische Zeitung. Il se dégage de la confrontation et interprétation des sources une nette fragmentation de la mémoire de la RDA en Allemagne, qui s’articule en particulier autour d’une opposition entre mémoire « d’en haut » et mémoire « d’en bas ». Cette opposition souligne la nécessité de négociations entre responsables politiques et citoyens pour passer d’une mémoire événementielle à une mémoire culturelle de la RDA. / The present study explores how the GDR’s past is remembered on the occasion of the commemorations of 17th June 1953, 9th November 1989 and 3rd October 1990, in official speeches and in the press. Its purpose is to investigate the construction of a common memory of this past, which participates in the elaboration of a common German identity.First, it analyses commemorations as a voluntary act of the political management of memory in the public space. It points out how “ahistorical” the official memory of the GDR expressed in official commemoration speeches is. The way the press covers these speeches indicates the role of this media in dealing with the GDR’s past.But commemorations are also an opportunity for discussing and debating about the past in the public space. Citizens of the former GDR react against the “official” memory imposed by politicians through commemorations, which explains why commemorations reveal other types of memories. The thesis examines different aspects of collective memory expressed in the press. Specificities of the East German local press (especially the Sächsische Zeitung) in these processes are also analysed.The confrontation and the interpretation of different sources highlight the fragmentation of GDR memory in Germany, especially the opposition between a memory coming “from the top” (politicians) and a memory coming “from the bottom” (citizens). This opposition underlines the necessity for negotiations in order to operate a transition from an event-oriented memory of the GDR to a cultural one.

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