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LA MEMOIRE ET L'OUBLI A ARTAS : UN ELEMENT DE L'HISTOIRE RURALE DE LA PALESTINE, 1848-1948

Ida Falestin, Naili 13 October 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de la mémoire et de l'oubli des habitants d'Artas, un village situé dans une vallée fertile proche de Bethléem. Elle porte plus particulièrement sur les récits mémoriels à propos de cent ans d'histoire du village et à propos de la présence occidentale plus précoce dans ce village qu'ailleurs en Palestine ottomane. La liste des Occidentaux qui ont marqué par leur présence le village d'Artas inclut des colons millénaristes européens et nord-américains, la famille d'un missionnaire alsacien, un couvent catholique, des colons sionistes, des chercheurs spécialisés en études bibliques et en folklore, ainsi que l'anthropologue finlandaise Hilma Granqvist. L'attrait d'Artas pour ces personnes tenait généralement à son lien avec les jardins de Salomon nommés Etham et mentionnés dans l'Ancien Testament, mais au-delà de cet attrait, ces individus et ces groupes ont suivi des projets différents à Artas et ont entretenu des rapports différents avec la population locale. L'histoire de cette présence occidentale et la manière dont elle a été intégrée à la mémoire collective des villageois est analysée dans un va-et-vient entre sources archivistiques et sources orales et ceci à l'aide d'une méthodologie qui combine l'histoire sociale et l'anthropologie. Des entretiens menés auprès de réfugiés originaires d'Artas résidant aujourd'hui principalement à Amman, en Jordanie, et aussi auprès de descendants du missionnaire alsacien, font émerger les significations attribuées à cette histoire partagée d'une rencontre interculturelle. Les habitants contemporains d'Artas et les réfugiés originaires d'Artas qui résident aujourd'hui à Amman semblent avoir écarté la mémoire des colons millénaristes alors qu'ils ont soigneusement préservé la mémoire de deux Européennes qui ont vécu au village pendant de nombreuses années, au début du 20e siècle : Louise Baldensperger, fille d'un missionnaire alsacien, et Hilma Granqvist. Granqvist a même inspiré de manière posthume un habitant du village à créer un centre du patrimoine à Artas basé sur une conception nationaliste du patrimoine paysan et une volonté de mettre ce patrimoine au profit de projets de développement, notamment dans le domaine du tourisme.
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'art

Mainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'art

Mainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Le film de famille, héritier de la tradition orale

Lecompte, Élise 09 1900 (has links)
Ce mémoire veut démontrer que le film de famille ainsi que ses conditions de réception empruntent, et ce de façon instinctive, au fonctionnement communicatif et rassembleur de la tradition orale. La parole, l’oralité, devrait être considérée comme le catalyseur de la mise en commun du souvenir que le film de famille suscite. Elle est le véhicule de l’interprétation du message du film de famille en tant que discours familial. D’ailleurs, si l’on compare l’influence des deux registres sensoriels présents dans le médium cinématographique (le visuel et l’oralité), le film de famille reprend davantage les modalités de l’oralité. Conséquemment, son contenu, sa forme et sa finalité correspondent à la définition d’un cinéma de l’oralité, un cinéma de la parole défini par Germain Lacasse. En raison d’une absence de travaux portant spécifiquement sur le sujet, l’objectif de cette recherche est de rapprocher et de définir davantage ces liens qui se sont tissés entre la tradition orale et le film de famille. Dans ce dessein, l’approche théorique développée est basée sur les théories de la tradition orale, sur la théorie de la mémoire collective de Maurice Halbwach et sur les rapports entre le cinéma et l’oralité. Ainsi, les aspects suivants sont abordés : Le rôle de l’oralité dans la constitution de la mémoire familiale, l’apport de l’oralité dans les médias stimulateurs de mémoire familiale et finalement, la forme et le contenu du film de famille en tant qu’aspects distinctifs du cinéma oral. Quatre extraits de films de famille québécois des années 20 à aujourd’hui y sont également analysés. / This research wants to demonstrate that the home movie and his reception context seem to be deeply marked by oral tradition and it’s communicative and social system. Orality should be considered as the family remembrance catalyst in home movies. This spoken word is the main transporter of the interpretation of home movie message as the family discourse. In fact, if we try to evaluate which one of the sensory mediums is more important for family communication (visual or oral medium), we would find out that orality plays a bigger part. Consequently, its form, content and finality correspond to the “oral cinema” definition of Germain Lacasse. Because of an actual lack of literature on this specific subject, the purpose of this study is to connect and define theories of oral tradition and home movie. The theoretical approach developed is based on oral tradition theory, Halbwach’s collective memory theory and on the relations between cinema and orality. Therefore, several aspects will be discussed : the contribution of orality in domestic memory constitution, the orality involvement in family memory stimulators or medias, and finally, the analysis of home movie’s form and content as an oral cinema. In addition, four sequences of Quebec made home movies since the twenties until our days are studied.
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Ni Juifs ni Arabes en Israël. Dialectiques d'identification et négociations identitaires d'une minorité dans un espace en guerre. Le cas des Tcherkesses (Adyghéens) de Kfar Kama et de Reyhaniya

Merza, Eléonore 12 December 2012 (has links) (PDF)
Cette recherche porte sur le dialogue entre minorités et État, en particulier les stratégies d'alliance, les mesures de distinction menées en direction des populations n'appartenant pas au groupe dominant et les politiques d'identité nationale. Tout en interrogeant les identités collectives politiques et les représentations politiques des groupes, cette thèse entend également interroger un champs d'étude encore peu développé par l'anthropologie française, celui de la citoyenneté. Cette anthropologie politique des processus de reconfigurations identitaires, des modalités d'identification et des conditions de citoyenneté, s'appuie sur une étude menée sur la minorité tcherkesse d'Israël. Les spécificités à la fois de ce cadre géopolitique et de cette population sont multiples: Israël est un État jeune, un État en guerre et un État qui se définit ethniquement comme État juif; la minorité tcherkesse qui ne compte que 4500 membres dans ce pays est méconnue et n'a suscité que peu d'intérêt scientifique. Etudier les marges semble être devenu un lieu commun en anthropologie, mais au-delà du fait que ces marges constituent autant de groupe d'acteurs sociaux complexes et intéressants en eux-mêmes, nous souscrivons à l'idée de Clifford Geertz (1999) qui rappelle que " (...) le lieu d'étude n'est pas l'objet de l'étude. Les anthropologues n'étudient pas des villages (ou des tribus, des villes, des quartiers); ils étudient dans les villages ". Ainsi, l'objet d'étude de cette thèse - la minorité tcherkesse d'Israël - sert de focale pour réinterroger des questionnements déjà largement soulevés (la question minoritaire en Israël) tout en proposant une approche nouvelle et originale car cette population ne répond ni aux mêmes attributs catégoriels, ni à un même rapport à l'État, que les autres minorités de l'espace israélo-palestinien. Les Tcherkesses présentent la spécificité de ne se reconnaître dans aucun des deux groupes dominants au prisme desquels la majorité des recherches effectuées questionnent l'identité, l'ethnicité ou la citoyenneté dans l'espace israélo-palestinien: ils ne sont ni Juifs ni Palestiniens. Parallèlement à cette énonciation identitaire en opposition aux deux groupes majoritaires, nous verrons que les Tcherkesses pourraient se reconnaître dans des sphères d'identification communes, cette fois, avec les Juifs et avec les Palestiniens. Ils partagent avec les Palestiniens un religion commune (l'islam) et sont, à ce titre, considérés comme des membres de l'Umma (la communauté des musulmans): les Tcherkesses appartiennent donc, par définition, à la minorité non juive du pays. Cependant, contrairement à leurs coreligionnaires - et en particulier depuis le déclenchement de la seconde Intifada, ils ne revendiquent pas une identité politique palestinienne. Pour les Tcherkesses, la Palestine ne représente ni une patrie historique ni une cause politique à défendre: ils sont Nord Caucasiens, leur terre d'origine - avec laquelle ils entretiennent des liens à la fois symboliques et physiques - est identifiée et loin du Proche-Orient. L'Empire ottoman, puis la Palestine mandataire et enfin l'État hébreu ne sont, pour eux, que des dénominations différentes d'une même société d'accueil, aussi n'éprouvent-ils aucune difficulté à se définir aujourd'hui comme pleinement Israéliens. Or, l'espace israélo-palestinien est un espace en guerre dans lequel les énonciations identitaires sont perçues comme partisanes. En se définissant comme Israéliens, les Tcherkesses bousculent les catégorisations attendues: ils sont Israéliens sans être juifs et ils sont musulmans sans être Palestiniens ou Arabes. En d'autres termes, les Tcherkesses refusent de répondre à l'injonction inhérente au conflit: en étant israéliens et musulmans, ils refusent de choisir entre deux sphères d'appartenance qui ne leur semblent pas être contradictoires. Mais la réalité du terrain est autre: ils se heurtent à des critiques nourries de certains Palestiniens qui voient en eux des " traîtres au service du sionisme " tout en évoluant dans un cadre politique qui a pensé une citoyenneté différenciée qui privilégie une ethnicité spécifique. Autrement dit, et nous empruntons cette phrase à une habitante de Kfar Kama: " Pour les Juifs, nous ne sommes que des musulmans, et pour les Arabes, nous sommes des Israéliens ". À partir d'observations locales de ces interactions, cette recherche souhaitait, et pour reprendre les termes de Claude Lévi-Strauss (1997), extraire les Tcherkesses d'Israël d'un certain mythe d'insularité, pour les faire réintégrer la nation. À travers leur exemple, c'est bien la société israélienne dans son ensemble que cette thèse interroge.
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Jeux d'acteurs et enchevêtrement des vecteurs d'action : sociologie qualitative et approche interdisciplinaire du processus de patrimonialisation de l’usine de Paulilles devenue «site classé»

Quintane, Audrey 08 1900 (has links)
Cette thèse repose sur une analyse empirique du processus de patrimonialisation de l'ancienne dynamiterie Nobel située dans le département des Pyrénées orientales, en France, devenue site classé ouvert au public depuis le 28 juin 2008. La fermeture de l'unité de production de dynamite, en 1984, a laissé le site à l'abandon et ses ouvriers sans emploi. De plus, cette situation a provoqué de nombreuses convoitises de promotion immobilière et engendré de nombreuses controverses. La recherche effectuée explore les différentes étapes ayant mené à l'acte public de classement au titre de la loi française du 2 mai 1930, elle analyse les jeux d'acteurs divers (associations, ouvriers, médias, collectivités territoriales, agents publics, etc.) et met en évidence les différents vecteurs du processus de patrimonialisation résultant. / This thesis proposes an empirical study of the patrimonialization of the Nobel dynamite factory in southern France. This factory is now a public-open site since June 28th 2008. When it stopped its production in 1984, the company abandoned the factory and left its employees jobless. This situation had many consequences and created numerous controversies, partly because of the real estate interest that was shown for the territory on which the old factory was built. This thesis explores the different steps that led the authorities to declare the Nobel factory a public territory, according to a 1930 French law. This study also analyses the role played and the positions taken by different actors (associations, workers, medias, public agents, territorial communities, etc.) form 1984 to 2008, when the factory was made a public site. By doing so, the author wishes to trace the different processes that led to the patrimonialization of the Nobel dynamite factory. / Thèse réalisée en cotutelle avec l'Université de Perpignan Via Domitia (UPVD), France.
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'art

Mainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Élites commémorantes et mise en scène de l’histoire dans la construction de l’identité lachinoise à l’époque du maire Anatole Carignan (1933-1939 et 1944-1952)

Gravel, Denis 04 1900 (has links)
No description available.
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Le développement du culte de Laurent à Rome aux IVe et Ve siècles

Corriveau, Jean-Matthieu 12 1900 (has links)
Constantin, grâce à sa prise de pouvoir au début du IVe siècle, permettra l'essor d'un nouveau type de dévotion, consacré aux hommes et aux femmes ayant rendu l'âme en défendant leur ferveur pour le Christ et son Père. Ainsi, Laurent, persécuté à Rome en l'an 258, deviendra au siècle suivant la figure prédominante du martyre dans la ville éternelle. Ce mémoire cherche à comprendre comment se développera son culte et quelles sont les raisons qui mèneront son martyre à la primauté dans la capitale romaine. En étudiant les sources littéraires et épigraphiques, notamment sous la plume de Damase, Ambroise, Prudence et Augustin, ainsi qu'en explorant les informations archéologiques sur la construction d'églises dévouées à Laurent, nous en sommes venus à la conclusion que le martyr romain a contribué à la création d'une mémoire collective chrétienne qui correspondait au besoin identitaire de l'Urbs, dans ce passage d'un empire « païen » à un empire chrétien. Cette création d'une mémoire collective repose sur la sacralisation du territoire par l’empereur Constantin et l’évêque romain Damase, l’introduction de nouveaux rituels et dans la foulée, de l’instrumentalisation de Laurent et du culte des saints par les auteurs anciens dans leur élaboration de l’identité chrétienne de la ville de Rome. / Constantine, with his seize of power in the early fourth century, has allowed the growth of a new form of devotion dedicated to the men and women tormented because of their beliefs in Christ and his Holy Father. Thereby, Lawrence, persecuted in 258 A.D. in Rome, has become the main figure of martyrdom in the Eternal City during the following century. This master's thesis aims at comprehending how the cult of Lawrence's unfolded and why it became the predominant martyr cult in the Roman capital. By studying literary and epigraphic sources, especially Damasus, Ambrose, Augustine and Prudence, as well as the archaeological data on the construction of the churches dedicated to Lawrence, we came to the conclusion that the Roman martyr helped establish a Christian collective memory corresponding to the identity needs of the Urbs in this period characterized by the passage of a "pagan" empire to a Christian empire. This creation of a collective memory is based on the sacralisation of the roman territory by the emperor Constantine and the roman bishop Damasus, on the introduction of new rituals and on the instrumentation of Lawrence and the cult of the saints by the ancient writers in their elaboration of a Christian identity for the city of Rome.
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'art

Mainguy, Jacinthe January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.

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