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La soutenabilité de l’accumulation du capital et de ses régimes : Une approche macroéconomique en termes de soutenabilité forte / The sustainability of capital accumulation and its regimes : A strong sustainability macroeconomic approach

Cahen-Fourot, Louison 13 October 2017 (has links)
Le sujet de la présente thèse est La soutenabilité de l’accumulation du capital et de ses régimes : une approche macroéconomique en termes de soutenabilité forte. Elle s’articule en deux parties. Deux chapitres composent la première : le chapitre 1 s’inscrit dans le débat sur la possibilité d’un capitalisme stationnaire. Il analyse l’absence des rapports sociaux spécifiques du capitalisme dans les travaux de certains économistes écologiques au moyen d’exemples historiques de crise écologique et des théories éco-marxistes. Le chapitre 2 discute les analyses monétaires de certains économistes écologiques selon lesquelles un état stationnaire est incompatible avec un système dans lequel la monnaie est créée comme une dette portant intérêt en adoptant un point de vue post-keynésien. La deuxième partie est plus empirique et se compose de trois chapitres. Le chapitre 3 examine la relation sociale à l’exergie au sein du régime d’accumulation fordiste et du capitalisme financiarisé et mondialisé. L’approche en termes d’énergie est intégrée à un cadre théorique régulationniste informé par l’approche en termes de démocratie carbone. L’objectif est d’identifier des ruptures dans les modalités d’usage de l’énergie qui accompagnent les transformations observées dans d’autres domaines. Le chapitre 4 prolonge le précédent au moyen d’une analyse économétrique de la relation PIB-CO2 pour la France de 1950 à 2013 en tenant compte de la rupture dans les régularités de l’accumulation du capital entre le régime d’accumulation fordiste et le régime d’accumulation néolibéral ainsi que des possibles asymétries. Le chapitre 5 analyse les ambitions nationales en matière de réduction de gaz à effet de serre, dénommées volontarisme carbone, replacées dans le contexte du capitalisme globalisé et financiarisé contemporain. / The subject of my PhD is The sustainability of capital accumulation and its regimes : a strong sustainability macroeconomic approach. It is composed of two parts. The first one is composed of two chapters that review the literature on two aspects : The first chapter tackles the debate on stationary capitalism. It reviews the way capitalism is taken into account by ecological economists and analyzes it in light of historical examples of ecological crises and of insights from eco-marxist theories. Chapter 2 tackles the debate about the so-called monetary growth imperative analysed from a post-Keynesian point of view. The second part is a more empirical one and is composed of three chapters. Chapter 3 attempts at framing the exergy-useful work approach into a régulationnist theoretical framework informed with insights from the Carbon democracy approach. It investigates the social relationship to energy in the Fordist and Neoliberal accumulation regimes. The fourth chapter attempts at furthering the third chapter by investigating the CO2 - GDP relationship through econometric means taking into account structural breaks between accumulation regimes and possible asymmetries. Chapter 5 investigates the commitment of countries to reduce their greenhousegas emissions within the context of globalized finance-led capitalism.
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Biographie d'une vision du monde : les relations entre science, philosophie et politique dans la conception marxiste de J.B.S. Haldane

Gouz, Simon 15 September 2010 (has links) (PDF)
Biologiste reconnu, notamment, pour sa contribution à la fondation de la génétique des populations, J.B.S. Haldane (1892-1964) est également membre du Parti Communiste de Grande-Bretagne entre 1942 et 1950 et, à partir de 1937, il défend avec force l'opinion que le marxisme est utile au travail scientifique. Notre étude porte sur les idées marxistes de Haldane et sur la manière dont elles sont historiquement produites. Elle examine d'abord son parcours intellectuel et propose de comprendre son adoption du marxisme dans le cadre d'une dynamique de recherche d'unité entre des conceptions des sciences, de la philosophie et de la politique. L'étude porte ensuite sur la manière dont fonctionne ce qui est caractérisé comme une vision marxiste du monde, c'est-à-dire un mode de production et de circulation de concepts. En particulier, l'assertion que fait Haldane d'un usage du marxisme dans son travail scientifique est confrontée à certains de ses travaux en génétique des populations, ainsi qu'aux idées qu'il émet concernant l'eugénisme. Cette confrontation permet de confirmer et de généraliser, contre Sarkar (1992) et Shapiro (1993), le résultat proposé par Hammond (2004) d'une effectivité du marxisme de Haldane dans ses sciences, et de préciser la manière dont elle se réalise. Finalement, nous proposons une compréhension du marxisme de Haldane comme un cas particulier de processus historiques plus généraux. Nous examinons l'histoire des idées marxistes sur les sciences et le phénomène d'engagement politique de scientifiques britanniques à cette époque, et interrogeons par là les racines politiques et sociales du marxisme de Haldane.
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Les intellectuels et le caractère antipolitique de la culture en RDA

Huard, Alexandre 08 1900 (has links)
La problématique de ce mémoire a pour point d’ancrage la conception antipolitique de la culture en Allemagne présentée par le sociologue allemand Wolf Lepenies. L’appel à la culture au-delà de la politique en RDA aurait bien survécu chez les intellectuels « officiels » est-allemands, d’où la survivance d’une tradition humaniste ancrée dans l’idéalisme allemand du 18ième siècle. Ce mémoire défend à titre d’hypothèses que le primat de la culture sur la politique en RDA n’était pas aussi omniprésent que ne le croit Lepenies, d’une part, et qu’il y a eu d’autre part instrumentalisation de la culture par le parti au pouvoir (SED), qui donna lieu à une idéologisation de l’héritage humaniste des classiques allemands et à une moralisation de la politique. En prenant en compte les intellectuels « inofficiels » est-allemands que Lepenies laisse dans l’ombre et à partir de la confrontation des idéaux-types de l’humanisme politique des Lumières, représenté par les groupes d’opposition qui œuvrèrent de concert avec les Églises protestantes, et de l’humanisme réel, compris comme un prolongement de l’idéologie matérialiste du marxisme qui inspira les politiques du SED et qui concorda avec une ritualisation du travail en RDA, ce mémoire explore l’antithèse de la démocratie et du totalitarisme à la lumière de deux types opposés d’Aufklärung : l’Aufklärung du citoyen et l’Aufklärung de l’homme. / The focus of this study is based on the antipolitical conception of culture in Germany presented by the German sociologist Wolf Lepenies. The appeal to culture beyond politics would have well survived amongst “official” East-German intellectuals, hence the survival of a humanist tradition anchored in the German idealism of the 18th century. This study argues by means of hypotheses that the supremacy of culture over politics in the GDR is not as omnipresent as Lepenies believes it is, on the one hand, and that there is on the other hand an instrumentalization of culture by the party in power (SED), which gave way to an ideologization of the humanist heritage of the German classics and to a moralisation of politics. By considering “inofficial” East- German intellectuals left aside by Lepenies and starting from the confrontation of the ideal-types of political humanism of the Enlightenment, represented by opposition groups which worked along with the protestant Churches, and real humanism, understood as an extension of the materialist ideology stemming from Marxism, which inspired SED politics and which corresponded with a ritualization of labour in the GDR, this study explores the antithesis between democracy and totalitarianism under the light of two types of Aufklärung : the Aufklärung of citizen and the Aufklärung of man.
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Les intellectuels et le caractère antipolitique de la culture en RDA

Huard, Alexandre January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'intelligibilité de la pratique : entre Foucault et Sartre

Oulc'hen, Hervé 20 November 2013 (has links) (PDF)
Partant d'un questionnement sur la logique de la pratique comme enjeu central de la vie intellectuelle française des années 1960, ce travail propose d'articuler une rencontre entre les pensées de Foucault et de Sartre. Sans minimiser leurs divergences, par quoi on a coutume de les opposer dans le cadre de la querelle de l'humanisme, il s'agit de faire apparaître un enjeu commun aux deux auteurs : la proposition d'une mise en intelligibilité de la pratique, entée sur un matériau historique dûment circonscrit. Cette rencontre permet de revisiter les notions de praxis, de généalogie, de politique de la vérité. Cela implique tout un renouvellement du geste théorique du côté d'une pensée en situation commune à l'intellectuel universel et à l'intellectuel spécifique, d'une pratique " historico-philosophique " soucieuse de saisir à bonne distance son objet - les " ensembles pratiques " - sans le déréaliser ni le surplomber, dans un rapport complexe entre passé et présent. L'espace théorique ainsi ouvert entre Foucault et Sartre sur cette question de l'intelligibilité de la pratique est également l'occasion d'une confrontation avec Marx et les marxismes (Althusser principalement), ainsi qu'avec les sciences sociales (Bourdieu surtout).
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Le statut de la liberté dans l’existentialisme, par-delà la théorie critique

Audet-Cayer, Philippe 08 1900 (has links)
Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo? / n Sartre’s existentialist philosophy existence precedes essence. This means that it is the life being lived that defines man, and not an abstract essence that precedes him. The essence of human life is thus not reachable with a philosophy that would want to posit an essence that transcends human reality. Sartre considers this attempt to establish an essence vain. Man is not simply, but rather has to be. Sartre sees in this the only true possibility for liberty: liberty is precisely the nothingness that is at the heart of man and compels the human reality to make itself instead of just being. This notion of absolute liberty for man is a strong one and has indeed been criticized. Among critics, Sartre met with the disapproval of the thinkers of Frankfurt School. They accused him of not seeing the specific determinations that the historical, social and material world imposes on man. His notion of liberty dissociates the horizon of possibilities from the processes that establish them, which make him tacitly encourage the status quo, because he prevents liberty from being used as a criterion to criticize the existing domination. Is an existentialist philosophy still possible beyond this critic? Can the belief in the absurd nature of human life and in the necessity of making oneself to give sense to existence still hold without postulating absolute liberty? Or must liberty necessarily be circumscribed by a critical social theory, without which existentialism will clandestinely encourage the status quo?
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La philosophie politique de l'empirisme logique : Otto Neurath et le "Cercle de Vienne de gauche" / Politics of logical empiricism : Otto Neurath and the "Left Vienna Circle"

Aray, Basak 18 September 2015 (has links)
Malgré sa condamnation post-positiviste et sa réception négative par la gauche, l’empirisme logique regagne en intérêt. Cette thèse est une contribution à la littérature émergente du «Cercle de Vienne de gauche» (CVG). Autour de Neurath et quelques autres personnalités de l’aile gauche du Cercle (Carnap, Frank, Hahn, Zilsel), nous proposons de repenser la relation de l’empirisme logique avec le marxisme. Ces deux courants se rejoignent dans leur défense d’une «conception scientifique du monde» et leur sécularisme radical. Les critiques communistes et néo-marxistes (l’École de Francfort, l’épistémologie féministe) adressées à l’empirisme logique sont recensées et leur pertinence questionnée à travers les données de l’historiographie du CVG. La politique de l’empirisme logique est examinée à travers les textes économiques de Neurath et son œuvre d’infographiste. Son engagement pour l’économie socialiste planifiée et ses efforts en graphisme pour la popularisation des méthodes quantitatives (la méthode Isotype pour la visualisation des statistiques sociales) sont présentés en vue d’une évaluation politique du CVG, ainsi que les connexions de l’empirisme logique avec le mouvement pour une langue auxiliaire internationale. / Despite logical empiricism’s dismissal by ambient postpositivism in academia as well as by the Far Left, a growing interest in its previously unknown socialist origins has resulted in a new topic in the history of philosophy of science : «Left Vienna Circle» (LVC). This thesis dedicated to LVC studies aims to clarify the politics of European logical empiricism. A presentation of its major critics from the Left (from communist parties to neo-Marxist trends like Frankfurt School and feminist epistemology) is followed by more recent arguments about its socialist politics. The «scientific world conceptions» of logical empiricism and Marxism will be compared through the work of Neurath and some other representatives of LVC (Carnap, Frank, Zilsel, Hahn). Alongside the connections of logical empiricism to the movement for an international auxiliary language, Neurath’s economical writings and his efforts to popularize quantitative methods in social sciences (the Isotype method of visual statistics) will be presented in an attempt to evaluate the politics of logical empiricism.
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Le concept d’aliénation de Rousseau à Marx : continuités et transformations / The concept of alienation from Rousseau to Marx : continuities and transformations

Foufas, Nikolaos 12 October 2015 (has links)
La présente étude s’interroge sur le concept d’aliénation, et plus spécifiquement sur sa genèse, son déploiement, son histoire particulière, ses configurations complexes, ses multiples transformations. Trois auteurs sont privilégiés : Rousseau, Hegel, Marx. La tentative d’examiner la notion d’aliénation dans sa forme rousseauiste, hégélienne et jeune-marxienne, a comme point de départ la critique d’Althusser selon laquelle ce concept relèverait d’une vision abstraite, métaphysique, de l’histoire et de l’activité des agents humains. D’après Althusser, l’aliénation est en effet l’expression humaniste d’une philosophie du retour aux origines et de la réunion avec une essence humaine qui se serait perdue. La philosophie de l'aliénation contractuelle (comme fondement de l’institution d’une communauté politique chez Rousseau), la mise en question de la positivité historique dans les écrits du jeune Hegel, et finalement la critique du travail aliéné forgée par le jeune Marx dans ses Manuscrits de 1844, ne seraient-elles toutes au fond que des variations autour d’une même conception essentialiste de l’histoire humaine ? S'écartant d'une telle disqualification indifférenciée, la thèse se propose de mettre en valeur la réflexion originale et singulière que chacun de ces trois auteurs élabore au sujet de l’aliénation, tout en essayant de mettre en lumière ce qu’ils partagent, malgré leurs différences. Car en parlant d'aliénation, il s'agit toujours d'interroger la perte mutilante d’un rapport à soi, à autrui et au monde socialement induite. Et il s'agit toujours aussi de concevoir des conditions historiques jugées dégradantes que l'on doit pouvoir dépasser. En d’autres termes, ce travail se propose de montrer non seulement que l’aliénation ne se réduit pas à une notion abstraite et naïvement humaniste, mais qu’elle forme également un repère incontournable, dès lors qu’elle prend au sérieux la tâche de penser l’impossibilité, pour certains groupes ou certaines classes sociales, de se réaliser et de s'épanouir, sur fond d'une privation durable de ce que peuvent apporter des rapports à soi, aux autres et au monde suffisamment riches et variés. / This study examines the concept of alienation, and focuses more specifically on its genesis, its deployment, its particular history, its complex configurations, its multiple transformations. Three authors are highlighted: Rousseau, Hegel, Marx. The attempt to examine the concept of alienation in the forms that Rousseau, Hegel and the young Marx give it, has as its starting point the criticism of Althusser according to whom this concept rises from an abstract, metaphysical vision of history and from the activity of human agents. According to Althusser, alienation is indeed the humanistic expression of a philosophy of the return to the origins and of a reunion with a human essence that might have been lost. The philosophy of contractual alienation (as the basis for the institution of a political community in Rousseau), the questioning of the historical positivity in the writings of the young Hegel, and finally the critique of alienated labor forged by the young Marx in his Manuscripts of 1844, would they basically all be variations around the same essentialist conception of human history? Diverging from such an undifferentiated disqualification, the thesis proposes to develop the original and singular reflection that each one of these three authors is developing on the subject of alienation, while trying to highlight what they share, despite their differences. Because, speaking of alienation, is always here to question the socially induced mutilating loss of a relation to oneself, to others and to the world. And it is also always a subject to conceive historical conditions considered degrading that must be overcome. In other words, this study intends to not only show that alienation cannot be reduced to an abstract and naively humanist concept, but that it also forms a key benchmark, since it takes seriously the task of thinking of the impossibility for certain groups or certain social classes to achieve self-realization and thrive, amid a sustained deprivation of what can be provided by sufficiently rich and varied relations to oneself, to others and to the world.
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Nelson Werneck Sodré e as interpretações do Brasil moderno (1958-1964) : análise de conceitos e contexto de um intelectual brasileiro

Conte, Daniela January 2010 (has links)
Ce travail a comme objectif de présenter Nelson Werneck Sodré, comme un interprète confirmé du Brésil moderne entre les années 1958 et 1964. Pour ce faire, on analyse les trois oeuvres considérées comme essentielles pour la compréhension de l’auteur (Introduction à la Révolution Brésilienne (1958), Formation Historique du Brésil (1962) et Histoire de la bourgeoisie brésilienne) et débat sur la construction de ses principaux concepts, observant sa logique interne, ses références théoriques et sa relation avec la réalité. Ainsi, nous utilisons les notions de « génération », « réseaux de sociabilité » et « itinéraire intellectuel », conformément à la systématisation développée par Jean François Sirinielli. Par génération, nous comprenons l’ensemble des intellectuels considérés comme des interprètes du Brésil moderne, et qui ont comme référence et acte fondateur le processus d’urbanisation et d'industrialisation du Brésil. Pour les réseaux de sociabilité, nous percevons les institutions les plus importantes pour sa production sur la période d'analyse, c’est à dire, le PCB et l’ISEB. L’itinéraire intellectuel est étudié selon le développement de ses oeuvres dans le processus vécu au Brésil et selon les références faites par l’auteur dans ses notes et citations. De cette analyse nous concluons que l’auteur fait partie du processus de construction du marxisme brésilien, présentant les limites des interprétations possibles par l’analyse des éléments théoriques disponibles et par la relation fondamentale avec la conjoncture qui a soutenu le nationalisme et le développement comme une idéologie massive, si ce n’est de masses. En plus, nous confirmons l'hypothèse initiale selon laquelle Nelson Werneck Sodré est l'un des principaux interprètes du Brésil moderne. Nous croyons que cette catégorisation est indépendante de sa « réussite » ou de son « erreur », mais qu’elle est basée sur l’importance de s tentative d’analyser le passé et le présent du Brésil. / Este trabalho tem por objetivo apresentar Nelson Werneck Sodré como um dos intérpretes do Brasil moderno, nos anos de 1958 a 1964). Para isso, analisa as três obras consideradas essenciais ao entendimento do autor (Introdução à Revolução Brasileira (1958), Formação Histórica do Brasil (1962) e História da Burguesia Brasileira) e debate a construção dos seus conceitos principiais, observando sua lógica interna, suas referências teóricas e sua relação com a realidade. Para isso, parte-se das noções de “geração”, “redes de sociabilidade” e “itinerário intelectual”, conforme sistematizadas por Jean François Sirinielli. Por geração, considera-se o conjunto de intelectuais, nominados intérpretes do Brasil moderno, que tem por referência e fato fundador o processo de urbanização e industrialização do Brasil. Por redes de sociabilidade, compreende-se as instituições determinantes em sua produção no período estudado, quais sejam o PCB e o ISEB. O itinerário intelectual é trabalhado pelo próprio desenvolvimento das obra dentro do processo vivido no Brasil e pelas referências feitas pelo autor em suas notas e citações. Desta análise conclui-se que o autor é parte do processo de construção do marxismo brasileiro, apresentando os limites das interpretações possíveis quando analisados os elementos teóricos disponíveis e a determinante relação com a conjuntura, que propugnava o nacionalismo e o desenvolvimentismo como uma ideologia de massas. Assim como reafirma-se a hipótese inicial de que Werneck Sodré figura como um dos principais intérpretes do Brasil moderno visto que tal categorização independe de seu “acerto” ou “erro”, mas conformase da relevância de sua tentativa de analisar o passado e o presente do Brasil.
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L'aliénation ou l'intelligence de l'autre : l'appauvrissement de l'expérience chez Walter Benjamin / Alienation or in understanding with the other : the impoverishment of experience in Walter Benjamin

Bessat, Caroline 10 December 2013 (has links)
Aux lendemains de la Première Guerre, le bouleversement est social, politique et culturel. Cela se traduit, chez Walter Benjamin, par une pensée de l'appauvrissement de l’expérience. La pensée rationnelle, elle-même, est dans l'impasse. Au regard de la situation, comment dire un monde qui disparaît et celui qui reste ? Nous sommes, avec Benjamin, en présence d'une radicalité qui ne cède rien à la désespérance. Le messianisme est rejoué, à contre-courant du capitalisme et du fascisme qui édictent un sens de l'avenir. C'est une réflexion au gué du temps, qui se tient entre le temps venu d'un changement nécessaire, politique et intellectuel, et le temps où l'on peut dire qu'un changement a eu lieu. Ainsi, à partir de l'appauvrissement de l’expérience, c'est la question des rapports entre théorie et pratique qui est reposée. Il s'agit de penser, et de penser le politique autrement, en faisant intervenir le théologique. Or, le sauvetage de l’expérience demande de retrouver l'étincelle toujours recommencée de la transmission, que nous proposons de dire : être dans l'intelligence de l'autre. / Just after the First World War, political, social and cultural disruptions are in the forefront. In this situation, Walter Benjamin is led to a reflection on the impoverishment of experience. Even rationality has reached deadlock. How to seize by words the world that has disappeared and the one that remains ? With Benjamin, one is confronted with a radicality which concedes nothing to despair. Messianism is reenacted against capitalism and fascism, which both firmly set the direction of the future. One is faced with a‛time-fording’ thought, halfway between the time of an upcoming – both political and intellectual – necessary change, and the time of a new regime of thought. Thus, from the impoverishment of experience arises anew the question of theory and practice. The stake is to think, to think politics in another way, which involves theology. The salvation of experience, nevertheless, demands to revive the ever-rekindling spark of transmission, that is : being in understanding with the other.

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