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La bataille du Long-Sault et la place des Amérindiens dans l'identité québécoise /Groulx, Patrice. January 1997 (has links)
Thèse (Ph. D.) -- Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. [500]-551. Publié aussi en version électronique.
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Mer mère noir, théâtre poème : suivi de Réflexions sur la réécriture de la " fable ", à partir de La soif de la montagne de sel de Marin SorescuMontescu, Cristina January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Enfance et Tropismes de Nathalie Sarraute : pour une poétique de la lectureRobert, Véronique January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mythes et violence dans l'oeuvre de Sony Labou Tansi / Myths and violence in Sony Labou Tansi 's novelHenry, Alain-Kamal 30 March 2012 (has links)
Notre étude du roman de Sony Labou Tansi aborde les notions de violence et des mythes dans leurs fonctions littéraire et sémiologique. Elle les envisage comme les sources fondatrices de l'écriture romanesque.C'est dans ce sens que la violence est assimilée à l'action des états postcoloniaux représentés par la fiction. Dans une interaction entre l'imaginaire et le réel, l'auteur évoque la confrontation des identités, des mémoires collectives et des territoires en résistance contre une autorité postcoloniale liberticide.Une autre forme de violence dite scriptuaire poursuit, avec audace, cet élan initié par les premières œuvres africaines de langue occidentale, elle s'exerce sur le langage littéraire déstructuré et dont les bases narratologiques sont éclatées. Le roman sonyen amène les mots à leur limite pour réinventer un langage néologique qui instaure, dans le roman, le domaine de « la tropicalité » sonyenne, une hétérogénéité littéraire et une hybridation du roman francophone.Notre étude du mythe exploite deux axes majeurs, en tant que parole et récit des origines, la mythologie structure une vision du monde basée sur l'ethno-religieux, dans sa fonction sémiologique, le mythe est lui-même signe et symbole, il appelle à l'analyse des langages littéraire, artistique et mythique démystifiés et débridés par un univers où l'humour et l'ironie participent d'une démythification du pouvoir et des traditions. / Our study of the novel of Sony Labou Tansi approaches the notions of violence and myths in their literary and semiological functions. It envisages them as the founder sources of the romantic writing.In this sense that violence is assimilated to the postcolon states action represented by the fiction. In a correlation between fiction and reality, the author recalls iditities conflicts, collectives memories and territories in resistance against the postcolon authority oppression.nother forms of said violence scriptuaire follow, with boldness, this impulse initiated by the first Africain writings of western language, it's on the literary language destruction and narratologiques foundations of which are burst.The sonyen novel brings words to their border to reinvent a neological language which institutes, in the novel, the domain of " the sonyenne tropicalité ", a literary heterogeneity and a hybridization of the French-speaking novel.Our study of the myth exploits two major axles, as word and tale of origins, mythology structures a vision of the world based on the ethno-monk, in its semiological function, the myth is itself sign and symbol, he calls to the analysis of literary, artistic languages and mythical dispelled the illusions and unbridled by a world where humour and irony participate in demythologization of power and traditions.
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Le rêve, la magie et la métaphore : pour une sociologie de l'homme éveillé / Dream, magic & the metaphor : for a sociology of the awaken manDandrieux, Michaël V. 25 June 2014 (has links)
En 1967, dans la revue Diogène, Roger Caillois écrivit un article sur le prestige et les problèmes du rêve. Il écrivit que, par le passé, dans un monde qui lui accordait un crédit démesuré, il y avait une correspondance entre le rêve et le sentiment quotidien que tout, même les choses les plus intimes, peut être éprouvé en commun. Mais l’intuition que plusieurs rêves se vérifient ou se contrôlent mutuellement était une manière de civiliser le rêve. Inversement, aujourd’hui, dans un monde où il n’est plus une source de pouvoir politique, où il ne constitue plus un témoignage authentique, considéré comme un phénomène étanche, rétif à tout partage, dont le rêveur seul peut se souvenir, le rêve porte cette nostalgie communautaire. La même année, Roger Bastide réfléchit à ce que serait une sociologie du rêve, une étude du rêve comme phénomène social. Il pensait que la sociologie ne s’intéressait qu’à l’homme éveillé, comme si l’homme endormi était un homme mort. Il se demandait si la sociologie pouvait ignorer cet homme couché et rêvant. Cette thèse se propose de penser le quotidien à partir de l’intuition de Roger Caillois, qui cherche moins à penser l’homme couché et rêvant que l’homme debout, dans son quotidien, son travail, sa famille, son rapport aux objets de tous les jours, empreinte à ce tiers de sa vie où il dort. Il ne s’agit cependant pas de faire l’interprétation de rêves, ou d’en tirer les contenus latents. Leur contenu n’est pas le terrain de cette thèse. Chaque fois, la visée est de savoir comment le rêve est-il vécu en tant que mythe, c’est-à-dire dans quelle mesure l’attention que le rêveur a prêtée à la structure étrange du rêve, ou à son contenu, a influencé sa relation à la communauté ; comment le phénomène du rêve est-il utilisé comme clef de lecture pour donner du sens à la quotidienneté de l’homme au sein de la société. En un mot : comment le rêve se déverse et contamine le réel. La magie et la métaphore seraient deux expressions de la manière dont le rêve se répand dans la vie quotidienne. La magie, comme lecture sociale des phénomènes dans lesquels la cause est sans relation apparente à la conséquence, cependant que les phénomènes étudiés ont une efficace propre : cette relation sans cause et qui pourtant rassemble deux termes distincts du paysage est l’un des fondements essentiels de la pensée symbolique. La métaphore, enfin, qui est l’expression littéraire et linguistique où deux symboles que rien de connecte cohabitent néanmoins harmonieusement, une stratégie de discours par laquelle le langage se dépouille de sa fonction de description directe pour accéder au niveau mythique. Cela est une proposition : alimenter une sociologie de l’homme éveillé, comme voulait l’appeler Bastide, qui ne rechigne pas à voir que « les états crépusculaires » et « la moitié obscure et sombre de l’homme prolongent le social », une sociologie qui ne peine pas à accepter que nombre des moteurs qui président aux comportement des sociétés humaines trouvent leur source dans les mêmes logiques saltatoires, ou acausales, en toutes les manières dénuées du lignage et des filiations déterministes, que l’on retrouve dans le rêve, dans la magie et dans la métaphore. Une sociologie qui s’autorise à penser que le lien social visible, quotidien, structurant des civilisations, puisse être atteint par une transformation profonde de la manière dont nous envisageons le lien en général. Une sociologie qui se propose de questionner l’inconséquence de l’invisible. / In 1967, in the review Diogène, Roger Caillois wrote an article on the prestige and the problems of dreams. He wrote that, in the past, in a world where dreams had excessive credit, there was a connection between the act of dreaming and the everyday feeling that all things, even intimate ones, could be experienced collectively. Yet, quite ironically, the intuition that dreams could cross-verify, or control one another, acted as a way to civilise them. Conversely, nowadays, in a world where they are no longer source of political power, where they can’t be taken as authentic testimonies, where they are considered impervious phenomena, reticent to be shared, dreams carry a sort of community nostalgia. On the same year, Roger Bastide gave a thought about what a sociology of dreams would be. A study of dreams as social phenomena. He thought that sociology had only interest for the awaken Man, as if the Man asleep were a dead man. He wondered how sociology could ignore this lying, dreaming man. The present thesis offers a framework to think the everyday life through this intuition of Roger Caillois. Consider Men in society not as occasional lying, dreaming bodies. But look at the structures of work, family, and the realm of objects throughout the ways this third of our life we spend sleeping affect them. The interpretation of dreams is not the subject of this thesis, nor is the “latent contents” they might hold. Our purpose is to find out how dreams are experienced and lived as myths. That is to wonder: to which extend the attention given by the dreamer to the weird structure of his dreams, or to its content, have positively influenced his relationship to the community. How does the phenomenon of dreaming can be used as a key to read and make sense out of the everyday life of Men in society. In a word: how dreams overflow and contaminate reality. Magic and the metaphors could be two expressions of this contamination. Magic as a social interpretation of phenomena in which causes remain in seemingly decorrelation with their consequences, whereas the studied phenomena have an effectiveness of their own. This relationship without determinism which yet connect two distinct terms is an essential core of symbolical thinking. The metaphor, finally, the literary and linguistic expression where two symbols that nothing links, nevertheless cohabit harmoniously. A strategy of discourse through which language strips of of its descriptive function, to reach a mythical aspect. This would be the thesis: contribute to a sociology of the awaken Man, as Bastide wanted to call it. A human science which wouldn’t turn its back to the fact that “twilight states of mind” and “an obscure, sombre, half of Man extends the social life”. A sociology that wouldn’t disregard the many drivers of humain societies relying on saltatory logics, indirect causality, and all the human ways escaping determinism, all of which could be found in dreams magic and the metaphor. A sociology which would consider that the invisible, everyday link that structures civilisations, could benefit from an inquiry on the very way we think of the social link in general. A sociology which would question the inconsequence of what is not visible.
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Imaginaires nationaux et mythes fondateurs ; la construction des multiples socles identitaires de la Corse française à la geste nationaliste / National imagery and founding myths; The construction of the multiple identity bases of French Corsica to the nationalist gesturePietrera, Ange-Toussaint 23 October 2015 (has links)
Depuis plusieurs décennies, la question nationale a ressurgi de façon spectaculaire sur les scènes politiques et scientifiques. Plutôt que de définir la nation, la recherche s’est intéressée à ses armatures, évoquant désormais ses « imaginaires nationaux » (Benedict Anderson) ou encore ses « inventions de tradition » (Eric J. Hobsbawm). Cette thèse propose d’appliquer ces concepts, complétés néanmoins des travaux d’une génération d’historiens apparue durant les années 1990 (Gérard Noiriel, Anne-Marie Thiesse…) et des armes de l’histoire culturelle, vis-à-vis de l’histoire contemporaine de la Corse. Après la conquête française (1769), l’île n’échappe pas au XIXe siècle, et à son cortège d’exaltations nationales. Tout en demeurant au sein du strict cadre français, une poignée d’élites n’en exalte pas moins les vertus de la Corse, loue ses figures illustres, instaurant déjà quelques paradigmes patriotiques. Afin de livrer la meilleure exhaustivité possible à notre propos, plusieurs sources ont été mobilisées durant ce travail, notamment la littérature, les actes administratifs, la presse ou encore l’image, dont une première pensée tarde à voir le jour. Dans le but de délimiter un cadre thématique précis à notre travail, nous avons orienté nos prospections vers trois axes. Tout d’abord, celui de l’histoire, une des plus importantes « inventions » du XIXe siècle. En marge des histoires nationales qui se développent au même moment sur le Vieux Continent, la discipline sera abordée dans ses expressions littéraires et illustratives sans oublier son facteur institutionnel, qui reste le meilleur support d’enracinement des mythes fondateurs. Le deuxième axe que nous avons choisi de traiter est celui du héros, nous menant à la constitution de l’« assiette héroïque » composée de Sampiero, Paoli et Napoléon. La construction de ce propos observera un développement analogue à la partie précédente, où à la sphère des représentations succèdera celle du figement, marqué par la fonte statuaire.Enfin, ce travail se terminera par l’évocation d’un phénomène que nous avons appelé la « geste nationaliste » prenant pour cadre l’autonomisme de l’entre-deux-guerres. Au moyen de publications phares (A Muvra), celle-ci propose un remodelage complet du système de représentation précédemment édifié, modifiant l’« assiette héroïque » et investissant à son tour les scènes mémorielles. Ayant fait des éléments linguistiques et littéraires leurs forces de créations, cette mouvance se démarquera par les enjeux de palimpseste et de mimesis qu’elle met en place, où à l’exaltation d’une vérité autre répond l’imitation d’un modèle existant. / For several decades, the national question has reappeared in the political and scientific spheres in a spectacular way. Rather than defining the nation, the research was interested in its framework, evoking from now on its “national imagination” (Benedict Anderson) or even its “inventions of tradition” (Eric J. Hobsbawm). This thesis suggests applying these concepts, which are nevertheless completed by both the works of a generation of historians that appeared during the 1990s (Gérard Noiriel, Anne-Marie Thiesse…) and the weapons of cultural history, towards the contemporary history of Corsica.After the French conquest (1769), the island does not escape the 19th century and its procession of national ecstasies. While strictly remaining within the French context, a small elite exalts the virtues of Corsica nevertheless, praises its illustrious figures, already establishing some patriotic paradigms. In order to deliver a completeness as good as possible about our subject, several sources were gathered during this work, especially some sources from literature, administrative acts, the press or even related to the image, the first thought of which takes a long time to emerge. With the aim of defining a specific thematic setting in our work, we steered our research towards three axes. First of all, that of history which is one of the most important “inventions” of the 19th century. Outside the national histories that develop on the Old Continent at the same time, this discipline will be approached on its literary and illustrative expressions, not forgetting its institutional factor which remains the best medium to implant the founding myths.The second axis we chose deals with the theme of the hero and leads us to the creation of what is called the “heroic plate” composed of Sampiero, Paoli and Napoleon. The construction of this subject will follow a development similar to that of the previous part, in which to the sphere of the representations will succeed that of the materialisation marked by the statuary cast iron.Finally, this work will end with the evocation of a phenomenon that we called the “nationalist gest” developing in the context of the interwar period separatism. By means of key publications (A Muvra), this gest proposes a complete reshaping of the previously built system of representation, modifying “the heroic plate” and flooding in its turn the memory scenes. Having drawn its strength of creation from the linguistic and literary elements, this movement will stand out by the stakes oof palimpsest and mimesis that is sets up, and in which, to the ecstasy of another truth answers the imitation of an existing model.
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Imaginaire mythique de l’Afrique subsaharienne à l’âge classique / The imaginary mythical sub-Saharan Africa of the classical ageAlves Vaz, Paulo 29 November 2013 (has links)
Différents voyageurs ont décidé de leur fait ou de par leurs obligations gouvernementales, religieuses ou commerciales de visiter et d’explorer l’Afrique. Ce qu’ils ont pu observer de la population des côtes va être généralisé aux peuples de toute l’Afrique. Dès leur arrivée, les voyageurs sont frappés par la différence qui existe, entre la population africaine, la faune et la flore et celle du reste du monde. La découverte d'un monde différent est très certainement à la source de la fascination pour l’Afrique. L’Afrique est seule capable, de produire des prodiges au niveau de la nature, des royaumes et de leurs souverains, ainsi que des animaux et des hommes. C’est de l’observation et de l’écriture que naissent les mythes. Alors que l’Afrique est décrite comme un continent avec des peuples pauvres, ignorants, superstitieux, de sauvages et d’anthropophages, les auteurs font part de terres où les pierres précieuses et l’or poussent à même le sol, quand ils ne sont pas transbordés après la pluie par les fleuves en crue. Dans les terres inconnues, au-delà de la domination de l’Islam, se conçoit l’existence de régions fabuleusement riches en or, authentiques paradis terrestres. Là est localisé l’Ophir de Salomon, mais aussi le royaume de la Reine de Saba, riche en or et encens. C’est là que se trouve, quelque part, l’Empire du Royaume du Prêtre Jean, symbole d’une chrétienté idéale, mais aussi le fabuleux royaume du Monomotapa, dirigé par le Mwenemutapwa, où habitent les Amazones. / Different travellers decided to visit and explore Africa either on their own or because of government, religious or commercial obligations. They had various motivations : some were really interested in this continent and wanted to know more about it, others went there to satisfy a desire of discovery and to share unknown lands for trade. As soon as they arrived visitors were struck by the difference - in physionomy - between the African population and the rest of the world. Travel stories - reports of bygone days - bring back the African peoples who were seing white people for the first time. The discovery of a new world, its exploration and literature are the root of the fascination for Africa. In this context the representation and the enchantment - that Sub-Saharan Africa aroused in the collective imagination of the Classical Age travellers - will be studied. Africa has become over the centuries a name which sounds mysterious, suggesting to the minds of men a stream of unusual landscapes. Myths were born from the observation of unknown lands through writing. In fact thanks to different travellers from previous centuries Africa shows in the collective imagination of Europeans from the 16th, 17th and 18th centuries two mythical and real pictures, opposed but complementary. This continent is described as a huge desert territory filled with fabulous beings where precious stones and gold grow or are washed away by the rivers flooded after rain. Africa is then described as a contintent with poor, ignorant, superstitious peoples : savages and cannibals. Everything looks different for travellers : men, civilisations, plants and lands so myths linked with Africa sprouted from them. The symbolic value of the myth is transferred in travel books and provide a common background of marvellous pictures.
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Étude de l'importance de la dynamique culturelle et des croyances dans la construction des empires : le cas des Romains et des Incas / Study of believes and cultural dynamics on the construction of imperial ideology : the case of the Romans and the IncasSalazar Ferro, Gabriela 23 September 2013 (has links)
Cette étude se fonde sur la comparaison entre l'empire romain et l'empire inca inaugurée par les chroniqueurs espagnols au XVIe siècle. Le symbolisme de Rome est analysé en fonction d'images de Cuzco produites par l'imaginaire européen. L'importance du passé romain dans la définition de l'Autre est rattaché au processus d'acculturation des Incas. L'analyse de symboles universels des mythes, et notamment du rôle des tricksters dans la construction de l'ordre des communautés et du pouvoir, vise à discerner les éléments pouvant être rattachés aux idéologies impérialistes. Le choixdes objets d'étude pousse à conclure sur l'universalisme de certains éléments interprétés de façon différente par chacune des civilisations. / Comparisons between Incas and Romans first started by 16th century Spanish chroniclers. We ail to highlight how Roman past and origins have been the bastion for European power justification and how Roman history and ideals became a cultural pattern. We suggest that Cuzco was stereotyped by European imaginary. As so, we chose to take an interest in mythical tricksters and their part in defining social boundaries. This leads to critical thinking on the way political power was perceived. We conclude that similar but not identical symbols were mobilized by Incas and Romans.
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O ser, tão narrado: o espaço de repouso em Grande sertão: veredas / L’être, tant raconté: l’espace de détente en Grande sertão: veredasAssis Junior, Gilson Carlos de 20 September 2013 (has links)
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Previous issue date: 2013-09-20 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / João Guimarães Rosa estimait que son travail d‟écrivain était de rétablir la liberté de l'homme, ce qui signifiait pour lui rendre à l'homme la possibilité d'utiliser un mot comme si c'était la première fois. Autrement dit, faire que son lecteur, en entrant en contact avec la Parole créatrice de réalités en même temps perçoit la possibilité de se transformer de créature en créateur de mondes. Des lectures que nous avons faites de l‟oeuvre de Guimarães Rosa, ainsi que de sa fortune critique, l'impression laissée est celle que cette conception, c'est à dire la possibilité de récupérer la création rhétorique du monde, n'était pas envisagée. Ou l‟on faisait une lecture mystique des textes, trop marquée par la religiosité populaire, ou une lecture sociologique, fortement régionaliste, entre autres. Ce travail vise à aborder la représentation du sertão dans son seul roman, Grande sertão: veredas. À la lumière de l‟herméneutique symbolique, de la critique de l'imaginaire, en particulier à partir de la Théorie Générale de l‟Imaginaire proposée par Gilbert Durand, nous analysons les relations possibles entre Guimarães Rosa et cet espace du sertão. Nous étudions la façon dont ces relations sont suscitées par la langue et, enfin, suggérons des lectures possibles pour le concept de la métaphysique, comme exposé par Rosa. L‟hypothèse avec laquelle nous travaillons est celle que l'univers (re)créé par Rosa, à savoir le «sertão», reproduit ce que Durand appelle de forme a priori et euphémique de l‟antidestin, ou du repos et de l'espoir. Dans cette perspective, la recherche vise à dévoiler des éléments pré-logiques du discours, à partir d'un corpus principal, le roman Grande sertão: veredas, qui assume, concrètement, la fonction fantastique de l'imagination, dissolvant le régionalisme supposé dans le grand mouvement ancestral des images archétypales qui ont accompagné l‟Homo sapiens. L'espace du sertão, de simple endroit de l‟enfance garçon Joãozito, passe à occuper le centre de l'oeuvre de l'écrivain et à assumer le rôle de véhicule de sa convivialité euphémique avec le Temps, suggérant des mises à jour de plusieurs mythes, comme ceux du Labyrinthe et de Faust. Ainsi, le sertão, pour João Guimarães Rosa, se manifeste comme un espace sacré, notamment par la traversée initiatique de Riobaldo, plus qu‟un frère pour Rosa, un écrivain pour qui il ne devrait y avoir aucune distinction entre l'auteur et son oeuvre. / João Guimarães Rosa considerava que seu trabalho de escritor consistia em devolver a liberdade ao Homem, o que para ele significava devolver ao homem a possibilidade de usar uma palavra como se o fizesse pela primeira vez. Ou seja, fazer com que seu leitor, ao entrar novamente em contato com o Verbo criador de realidades, ao mesmo tempo percebesse a possibilidade de se transformar, de criatura, em também criador de mundos. Das leituras que fizemos da obra de Guimarães Rosa, assim como de sua fortuna crítica, a impressão que restou era a que essa concepção, ou seja, da possibilidade de recuperação da criação retórica do mundo, não estava contemplada. Ou se fazia uma leitura mística dos textos, por demais marcada pela religiosidade popular, ou uma leitura sociológica, acentuadamente regionalista, entre outras. Este trabalho visa a abordar a representação do sertão em seu único romance do autor mineiro, Grande sertão: veredas. À luz da hermenêutica simbólica, da Crítica do Imaginário, especialmente a partir da Teoria Geral do Imaginário, proposta por Gilbert Durand, são analisadas as possíveis relações de Guimarães Rosa com esse espaço do sertão. Investigamos de que forma essas relações são mediadas pela linguagem e, finalmente, são sugeridas possibilidades de leitura para o conceito de metafísica, conforme exposto por Rosa. A hipótese com que se trabalha é a de que o universo (re)criado por Rosa, ou seja, o “sertão”, reproduz o que Durand chama de forma a priori e eufemizante do antidestino, ou do repouso e da esperança. Nessa perspectiva, a pesquisa procura desvelar elementos pré-lógicos do discurso, a partir de um corpus principal, o romance Grande sertão: veredas, que assume, concretamente, a função fantástica da imaginação, dissolvendo o suposto regionalismo da obra no grande movimento das imagens arquetípicas que ancestralmente acompanham o homo sapiens. O espaço do sertão, de simples lugar da infância do menino Joãozito, passa a ocupar o centro da obra do escritor e a assumir papel de veículo de sua convivência eufêmica com o Tempo, sugerindo atualizações de vários mitos, como o do Labirinto e o de Fausto. Assim, o sertão, para João Guimarães Rosa, manifesta-se como espaço sagrado, especialmente pela travessia iniciática de Riobaldo, um mais que irmão de Rosa, escritor que reiteradas vezes afirmou que não se deveria fazer distinção entre autor e obra.
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Mythes et intertextes bibliques dans l'œuvre d'Anne HébertGligor, Adela Elena 15 December 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche vise à mettre en évidence l'importance capitale des récits, des personnages, des structures narratives ainsi que des intertextes bibliques dans l'architecture de l'univers mythique hébertien. Après une analyse du contexte social, historique et religieux de l'oeuvre, l'étude se focalise dans un premier temps, sur les mythes ainsi que sur les figures mythiques de l'Ancien Testament ou du Nouveau qui sillonnent les textes de l'auteure, en mettant en évidence l'interprétation parodique de ces mythes et de ces figures. Une deuxième partie est consacrée à la réécriture parodique des citations, réminiscences ou allusions bibliques présentes dans les textes d'Anne Hébert. Le retournement des récits et des intertextes testamentaires aboutit à une réécriture au féminin de ces mythes et de ces récits, à travers les trois incarnations de la féminité mythique, propres à l'imaginaire judéo-chrétien : la mère / séductrice (Eve), la vierge / mère (Marie) et la séductrice / sorcière (Lilith). Le rythme et la densité métaphorique de l'écriture hébertienne révèlent sa nature poétique et la rapprochent de la parole créatrice, du Logos des Ecritures. Enfin, l'influence des modèles d'écriture biblique sur la création romanesque hébertienne se manifeste au niveau des structures narratives de certains texte de l'auteure, comme à travers l'organisation des Fous de Bassan en livres "prophétiques" et en lettres ou "épîtres".
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