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Éducation et post-conflit : l’intervention des acteurs de l’aide humanitaire et du développement en Côte d’Ivoire / Education and post-conflict : interventions of humanitarian and developpement aid in Côte d'Ivoire

Triplet, Anne-Charlotte 30 November 2016 (has links)
Les crises politiques qui ont secoué la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouët-Boigny n'ont pas manqué d'impliquer directement l'éducation, et ce à plusieurs niveaux. Dans le même temps, l'éducation fut un enjeu politique direct et un lieu d'affrontement. Cette thèse s'intéresse à la perception qu'ont les acteurs de la demande et de l'offre en éducation sur le rôle de l'éducation et de l'intervention de l'aide internationale et locale dans le secteur. La démarche empirique adoptée repose sur la méthode de la triangulation qui combine l'analyse secondaire de données, les entretiens et les questionnaires récoltés entre avril 2013 et octobre 2014 à Abidjan, au centre et à l'ouest du pays. Les résultats de ces enquêtes montrent que les acteurs ayant été les plus affectés dans leur scolarité envisagent davantage l'École comme espace de socialisation et participent ainsi au processus de résilience. Par ailleurs, la présence des organisations internationales légitime les actions du gouvernement actuel. Ainsi, l'aide internationale est le plus souvent recherchée et même valorisée. La reconstruction du système éducatif, son développement et sa transformation se font donc sous influence internationale, sans que celle-ci soit perçue comme de l'ingérence par les acteurs de la demande et de l'offre en éducation. / The political crisis that disrupted the country since Houphouët Boigny's death directly involved education on a number of levels. At the same time, Education also became a major political issue, opposing rival factions, and a collateral target of the actors of the conflict. This thesis focuses on the supply and demand education stakeholders'perception on the role of education as well as their representations on the international and local assistance in this domain. The chosen empirical approach uses the triangulation method which combines interviews, questionnaires and existing databases. All these elements were collected from April 2013 and October 2014 in Abidjan and in central and western Côte d'Ivoire. The results of this analysis show that the stakeholders who were the most affected through their schooling are considering School more like a socialisation space and thus participate to the process of resilience. Results also reveal how the presence of international organizations legitimizes the current government's actions. International aid is frequently sought out and highly valued. The education system has been rebuilt, developed and transformed under the influence of international organizations. The public authorities do not perceive this as a form of interference, and nor do demand and offer education actors.
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« Osu », « baraques » et « batiman » : redessiner les frontières de l'urbain à Soolan (Saint-Laurent-du-Maroni, Guyane) / Redrawing the boundaries of urbanity through the interactions : houses, housing and removals by the Maawina river (Saint-Laurent-du-Maroni, Guyane).

Léobal, Clémence 08 June 2017 (has links)
Cette thèse porte sur la rencontre entre des politiques urbaines françaises et des modes d'habiter de l'Amazonie guyanaise, à Saint-Laurent-du-Maroni, à la frontière avec le Surinam. Cette vie urbaine est menée par des habitants de classes populaires souvent non francophones, confrontés à des normes d'urbanité concrétisées par les démolitions de « bidonvilles » et la construction de logements sociaux. Il s'agit d'analyser les interactions entre les acteurs en jeu dans cette situation postcoloniale impliquant habitants, élus communaux et professionnels de la ville, dans un contexte d'Outre-Mer aux hiérarchies sociales propres, croisant classe, nation, et race. Alliant une perspective historique et ethnographique, ce travail met en lumière les rapports d'habitants originaires de l'amont du Maroni aux administrations et à leurs agents. Ces derniers sont racialisés par le terme 'bakaa', qui renvoie à une blancheur postcoloniale spécifique, associée à l'urbanité, par opposition à une affirmation renouvelée de leur identification en tant que « personnes des pays de la forêt » ('bushikonde sama') - appartenance héritée du passé du marronnage des plantations surinamaises. Mises en lumière par l'ethnographie réalisée à leurs côtés, les démarches quotidiennes des habitants témoignent de leur progressive socialisation institutionnelle, tandis que certains agents des administrations adaptent les politiques publiques et les procédures administratives aux pratiques d'une population racialisée comme « Bushinenguée ». L'analyse passe des logements, catégorie de l'action publique, aux maisons, espaces vécus inscrits dans des configurations de parenté, des mobilités et des modes d'habiter de part et d'autre du Maroni. Les maisons sont appropriées par les habitants de manière dialectique : tout en se conformant aux normes d'urbanité 'bakaa' matérialisées par les logements sociaux, et sanctionnées par les bailleurs, les habitants transforment la ville par leurs modes d'habiter incorporés qui reflètent l'usage stratégique de ressources issues de la maîtrise d'un territoire transfrontalier. Les interactions asymétriques entre habitants et professionnels ont donc des effets sur les modes d'habiter et sur les politiques urbaines. Impliquant plusieurs normes d'urbanité, elles concrétisent leurs différences, constamment réitérées, dans les formes urbaines d'une ville ségréguée. Elles redéfinissent en permanence les frontières des personnes, des maisons, et des lieux. / This thesis deals with the encounter between French urban policies and Amazonian ways of dwelling in Saint-Laurent-du-Maroni, by the Marowijne river, the border with Suriname. The inhabitants from working classes, mostly not francophone, are confronted with urbanity norms materialized through the removals of "shantytowns" and the building of social housing. My research analyses the interactions between the different actors involved in this postcolonial situation: inhabitants, local politicians and urban professionals, in the context of a French oversea department divided by specific social boundaries of class, nation, and race. Using archival and ethnographic methods, I highlight the relations of inhabitants coming from upriver Marowijne to the administrations and their agents. The latter are racialized as 'bakaa', term qualifying a local form of postcolonial whiteness, associated with urbanity, as opposed to the renewed affirmation of their belonging to the upriver territories as 'bushikonde sama' ("people from the lands of the forest"). This identification, in constant renewal, refers to the legacies of their Maroon ancestors from the Surinamese plantations. As a an ethnographer, I went with some of those inhabitants through the offices. The observation of their daily administrative quests reveals their progressive institutional socialization, whereas some agents adapt their practices and policies to a population racialized as 'Bushinenge'. The analysis moves from housing, as administrative category, to houses, as lived spaces included in kinship configurations, mobility and transborder ways of dwellings. Houses are appropriated by their inhabitants in a dialectical manner: while they conform to 'bakaa' norms of urbanity materialized by social houses and sanctioned by the social landlords, they also transform their houses through embodied ways of living, reflecting their strategic uses of ressources coming from their mastery of a transborder territory. Asymmetrical interactions between inhabitants and agents thus impact on ways of dwelling and urban policies. Involving different norms of urbanity, they concretize their differences, constantly reiterated, through the segregation of the town. They thus redefine the boundaries of people, houses and places.
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Montréal : une planification climatique influencée par des structures administratives complexes

Daoust, Gabrielle 04 1900 (has links)
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Des grandes machines et des petites personnes : les impacts des projets miniers sur les parcours de vie des habitants de deux villes de l’Abitibi

Simões Lasevitz, Rafael 08 1900 (has links)
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La gouvernance de proximité en contexte interculturel : villes et intégration des immigrants au Québec

Larouche-LeBlanc, Stéphanie 08 1900 (has links)
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Des décisions publiques « médiatiques » ? : sociologie de l’emprise du journalisme sur les politiques de sécurité sanitaire des aliments / Policy Decisions Shaped by the Media? : media-oriented Food Safety Policies : a Sociological Approach

Nollet, Jérémie 07 December 2010 (has links)
Les médias font-ils les décisions publiques ? Cette conception d’un pouvoir du journalisme sur les politiques publiques est répandue parmi les « décideurs ». Elle est aussi présupposée par les théories de l’agenda et de la construction sociale des problèmes. La réalité du phénomène est cependant plus complexe : ce pouvoir n’est ni uniforme ni unidirectionnel. Il repose sur la contribution active et variable des agents politiques et administratifs qui produisent ces décisions. La question s’en trouve alors reformulée : dans quelle mesure la production des décisions publiques peut-elle se faire en fonction du champ journalistique ? Pour y répondre, la thèse propose une sociologie des logiques spécifiques de prise en compte de la médiatisation dans les activités décisionnelles au sein des champs politique (dans les cabinets ministériels et au Parlement) et administratif (dans les administrations centrales des ministères). L’élaboration de ce cadre théorique, au croisement de la sociologie du journalisme et de celle de l’action publique, s’appuie sur l’analyse de la gestion politico-administrative de la maladie de la « vache folle » en France dans les années 1990. Il s’agit de restituer l’importance que les responsables de l’exécutif (en particulier les ministres de l’Agriculture, de la Consommation, de la Santé, mais aussi le Premier ministre et le président de la République), les parlementaires et les hauts fonctionnaires ont pu accorder aux enjeux médiatiques jusque dans leurs pratiques décisionnelles. Il apparaît ainsi que les décisions les plus « médiatiques » sont le produit de la prise en charge des dossiers les plus emblématiques selon les logiques d’action des agents les plus dépendants des enjeux de légitimation dans le champ journalistique : les principaux ministres et leurs conseillers / Are public policies made by the media? This would-be influence of journalists over public decisions is common place among “decision-makers”. It is also assumed by Agenda-setting as well as social problems theorists. Yet, the real nature of the phenomenon is more complex: it follows different paths along several directions. It rests on the active and variable engagement of the politicians and high civil servants who produce decisions. Thus, the question needs to be rephrased: to what extent does the production of public decisions depend on the journalistic field? In order to elucidate this question, this doctoral thesis offers a sociological analysis of the specific logics which lead decision-makers (i.e. ministers’ personal staff, and representatives aswell as high civil servants,) to pay attention to media coverage in decision-making processes. The elaboration of this theoretical framework, at the crossroads of the sociologies of journalism and public action, is based on ananalysis of the handling of the mad cow disease by French officials during the 1990s. The ambition is to account for the very attention the holders of the executive power (namely, the Ministers of Agriculture, Consumption,Health, but also the Prime Minister and the President), the members of Parliament and high civil servants paid to media-related challenges within the practice of decision-making. Thus, it appears that the most “media dependent”decisions are the result of the handling of the most symbolic issues according to the logics of action of the most dependent agents on legitimization stakes in the journalistic field: the principal ministers and their advisers
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L'état et la culture au Chili, 1989-2008 : les enjeux et défis d'un processus de construction d'une catégorie d'intervention publique / The state and culture in Chile, 1989-2008 : the issues and challenges in the process of the construction

Muñoz Del Campo, Norma 12 May 2011 (has links)
Cette recherche porte sur le processus de constitution de la culture au Chili comme catégorie d’intervention publique entre 1989 et 2008.Ce processus s’amorce dans un contexte historique et socio-politique particulier caractérisé par la fin de la dictature annoncée par le plébiscite de 1988 et confirmée lors des élections démocratiques de 1989. La culture acquiert alors un rôle fondamental dans le développement social et politique du Chili. Son institutionnalisation cherchait en effet à ordonner un domaine d’intervention fragmenté et institutionnellement fragile et qui n’avait jusqu’alors jamais été doté d’une institution supérieure.Cette étude propose ainsi d’envisager le processus d’émergence de la culture comme un problème public pour ensuite analyser son institutionnalisation qui déboucha sur la création,en 2003, du Conseil National de la Culture et des Arts. La compréhension de ce processus et l’étude de la mise en œuvre du CNCA conduisent à mieux identifier les enjeux qui caractérisent et déterminent l’action publique culturelle dans le Chili d’après dictature. Cette recherche s’inscrit ainsi dans les débats posés par l’analyse des politiques publiques et en reprendra les principaux outils théoriques afin de mieux aborder le processus de constitution d’une catégorie d’intervention publique à travers trois axes centraux, les idées, les acteurs et les institutions, qui permettront d’articuler les approches cognitives de politiques publiques aux approches néo-institutionnalistes et d’instrumentation de l’action publique.L’analyse se développe alors autour de deux plans, l’un centré sur l’articulation entre les concepts et les valeurs et le repositionnement et le rôle des acteurs au sein d’un cadre institutionnel particulier. L’autre plan considère plus spécifiquement les enjeux de la mise en œuvre de l’institution culturelle et les tensions propres à ce processus relatives à la construction d’un idéal culturel national, à la récupération et à la recomposition d’espaces de pouvoir et à un cadre institutionnel flou et profondément marqué par les enclaves autoritaires héritées du passé. / This research deals with making culture a Public Intervention Category in Chile, from1989 to 2008.The process began in a particular historical and socio-political context characterized bythe democratic transition heralded by the 1988 plebiscite and consolidated by the 1989elections. At this time culture began to gain a fundamental role in the social and politicaldevelopment in Chile. Previously denied a formal organizational structure, the newinstitution’s cultural interventions were fragmented and fragile.This dissertation analyzes the National Council on Culture and Arts (NCCA) created in2003 and its work in the context of culture emerging as a public matter. In doing this we areable to identify the different issues in cultural policymaking that arose since the end ofauthoritarian rule. This investigation is a contribution to the debates on the analysis of publicpolicy, utilizing its main theoretical tools to dissect the process of establishing a category ofpublic intervention through three central themes: ideas, actors and institutions. Hence, thiswould connect the cognitive approaches of public policy marked by neo-institutionalism andinstrumentalist policymaking focuses.The analysis approaches the issue on two levels. The first one centers on the articulationbetween concepts and values with the realignment of policy actors within a specificinstitutional framework. Secondly, we will focus on the issues that arose in theinstitutionalization of culture, and the tensions involved in this process. We will especiallystress the deadlocks generated by the construction of a national cultural ideal under aninstitutional order characterized by “authoritarian enclaves” inherited from the former rule.
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L’État et ses pauvres : la naissance et la montée en puissance des politiques de transferts conditionnels au Brésil et au Mexique / The State and its Poor : the birth and rise of conditional cash transfer programs in Brazil and Mexico / O Estado e seus pobres : origem e ascensão das políticas de transferências de renda condicionadas no Brasil e no México

Guerra Tomazini, Carla 29 March 2016 (has links)
Les années 1990 ont vu naître de nouvelles politiques sociales, les « transferts monétaires conditionnels » : allocations attribuées aux familles pauvres à condition qu’elles incitent leurs enfants à poursuivre leur scolarité ou qu’elles les conduisent dans les centres de santé, avec pour objectif de réduire la pauvreté et d’assurer un meilleur avenir aux « pauvres » de demain. Avec leur développement, ces politiques ont créé un nouveau champ de protection sociale, dont les principes et les manières de faire s’éloignent du fonctionnement traditionnel de l’assistance. Ces politiques ont fait leur apparition au Brésil et au Mexique dans les années 1990. L’analyse de leur genèse met en évidence une structuration progressive, marquée par des contextes institutionnels et des trajectoires distincts qui se soldent néanmoins par des résultats semblables. Comment expliquer ce parallélisme ? L’objectif de cette étude a consisté à dégager une ou plusieurs variables permettant d’expliquer l’émergence et l’expansion des programmes de transferts monétaires conditionnels dans ces pays et à mettre en évidence la manière dont l’évolution de ces politiques a pu susciter des oppositions plus ou moins fortes de la part de certains acteurs, ainsi que les contraintes institutionnelles auxquelles ces politiques se sont confrontées. On peut observer la structuration de groupes défendant des causes diverses autour de ces politiques, et qui ont déterminé largement leur élaboration et mise en oeuvre, rentrant tantôt en concurrence tantôt en alliance. C’est, notamment, la coalition dominante « pro-capital humain » qui entend définir et encadrer l’ensemble des politiques menées. L’apport de cette recherche est donc de nuancer l’idée d’une réforme consensuelle des politiques de lutte contre la pauvreté au Mexique et au Brésil, sans pour autant nier l’ampleur des transformations intervenues. Il en résulte que le changement institutionnel au Brésil s’est opéré par l'ajout de nouveaux dispositifs aux institutions existantes ; et au Mexique, en première instance, le processus de changement et de consolidation de la politique de transfert monétaire s’est produit sous la forme d'un déplacement et, par la suite, afin de maintenir le statu quo, les acteurs défenseurs des institutions ont modifié de façon marginale le programme pour maintenir leurs intérêts. Les instruments monétaires qui visent à lutter contre la pauvreté sont, en effet, l’objet d’un consensus ambigu, plusieurs acteurs issus de différentes coalitions finissant par le revendiquer. Enfin, la variable intérêt, nécessaire à différents moments, s’est constituée comme une variable essentielle pour comprendre la permanence de ces politiques par l’intermédiaire des phénomènes de verrouillage. / The 1990s saw the birth of so-called 'conditional cash transfers', assistance programs for poor families on the condition that they encourage their children to seek education and attend health centers. In order to reduce poverty and ensure a better future for tomorrow's « poor », these policies represent a new type of social protection with different principles and modes of operation for traditional programs. The analysis of their origins reveals a progressive structuring marked by institutional contexts and different paths that have generated similar results. The objective of this study is to identify one or more variables that might explain their emergence and expansion in Brazil and Mexico in the 1990s and 2000s and to highlight how the evolution of these policies could generate more or less strong opposition from some actors as well as the institutional constraints these policies face. We can observe group structures centred on "causes" - notably the cause of human capital - that have largely determined the development and implementation of these policies. This paper seeks to show the nuances of the idea of consensual reforms in Mexico and Brazil, without denying the extent to which these transformations have occurred. This means that institutional change in Brazil is operated by adding new features to existing institutions; while in Mexico, in the first instance, the process of change and consolidation of conditional cash transfer programs has occurred as an institutional shift and then the defenders of the status quo actors marginally modified the program to keep their interests. As monetary instruments to combat poverty, these programs are the subject of an ambiguous consensus and actors from different coalitions end up supporting them. Finally, "interests", necessary at different times, were constituted as a key variable to understand the permanence and strengthening of these policies through locking phenomena. / A década de 1990 assistiu ao nascimento das chamadas « transferências condicionadas de renda » : programas assistenciais para famílias pobres à condição de que elas incentivem seus filhos a prosseguirem os estudos e que frequentem centros de saúde. Com o objetivo de reduzir a pobreza e assegurar um futuro melhor para os « pobres » de amanhã, essas políticas representam um novo tipo de proteção social com princípios e modos de operaçäo diferentes dos programas tradicionais. A análise de suas origens revela uma estruturação progressiva marcada por contextos institucionais e trajetórias distintas que geraram resultados semelhantes. O objetivo deste estudo é identificar uma ou mais variáveis que possam explicar a emergência e expansão no Brasil e no México nas décadas de 1990 e 2000, examinando a maneira como suas evoluções suscitaram oposições mais ou menos fortes de atores e os constrangimentos institucionais enfrentados. Nós podemos observar uma estruturação de grupos reunidos em torno a « causas » - notadamente a causa do capital humano - que influem na elaboração e na implementação dessas políticas. Esse trabalho busca matizar a ideia de reformas consensuais no México e no Brasil, sem negar a dimensão das transformações ocorridas. A mudança institucional no Brasil é operada por meio da adição de novos recursos às instituições existentes; e no México, em primeira instância, o processo de mudança e consolidação da política de transferência de renda ocorreu como um deslocamento institucional e, posteriormente, os atores defensores do status quo modificam marginalmente o programa para manter os seus interesses. Assim, esses programas são objeto de um consenso ambíguo, uma vez que atores de diferentes coalizões passam a reivindicar eventualmente esses instrumentos. Finalmente, os « interesses » constituíram-se como uma variável chave para entender a permanência e o reforço das condicionalidades dessas políticas por meio de fenômenos de lock- in.
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Le relogement à Annaba : un paradoxe entre normes, politiques d'aménagement et réalités urbaines / Relocation to Annaba : a paradox between norms, planning policies and urban realities

Ouzerdine, Amir 05 November 2018 (has links)
La ville algérienne subit depuis ces dernières décennies de profondes transformations de ses territoires suite à une urbanisation galopante, une mobilité croissante, une recomposition socio-spatiale et une diversification des enjeux collectifs et individuels. La recomposition de ces territoires urbains, centraux et périphériques, est soumise à des normes d’habitation et à des règles d’urbanisme, qui ont une dimension universelle et qui s’appliquent à l’ensemble des tissus urbains. Ces normes et ces règles visent à la réalisation d’une part, de lotissements d’habitat individuel et d’autre part de zones d’habitat collectif pour répondre à une crise de logement et reloger les habitants des tissus précaires et informels. Cependant, Il ne semble pas exister dans les textes réglementaires, ni dans les aménagements proposés, de volonté de prendre en compte les particularités urbaines, or la plus part des grandes villes algériennes possèdent des tissus urbains particuliers dont la morphologie, la typologie et les pratiques ne se conforment pas à celle du lotissement ou des ensembles collectifs. Pire encore le processus et les opérations de relogement évoluent sans concertations entre les différents acteurs du projet. L’exemple de la ville de Annaba a permis à la fois de prendre "à revers" les projets de relogement des aménageurs ainsi que les idéaux qu’ils véhiculent et de révéler le décalage entre les représentations des relogeurs et des relogés (publiques et sociales). Ceci est lié essentiellement à un climat d’ignorance et de méfiance mutuelle. La collaboration entre ces deux acteurs reste très restreinte. Les causes sont multiples et seraient à l’origine de l’image actuelle (dévalorisée) de la ville et des expressions spatiales et sociales souvent à l’opposé du projet urbain de base. La nature des relogements effectués, d’un habitat traditionnel précaire avec ses règles d’usage codifiées et assimilées, à un habitat social de type collectif standard, peut provoquer des réactions problématiques sur le plan social (rapport de voisinage) et/ou sur le plan spatial (détournement des espaces publics, délimitation des espaces privés). Changeant d’horizon spatial, parfois social, ces citadins reformulent leurs manières de voir la ville, mais détournent une opération d’urbanisme unilatéralement échafaudée par les aménageurs. Derrière toute cette expression architecturale et/ou urbaine, individuelle et/ou collective, sous forme de réponse spatiale et/ou sociale, se cache les particularités d’un tissu traditionnel qui perd de son efficacité, de son apport, ainsi que son identité. Les habitants essaient de reproduire (reformuler) certaines pratiques essentiellement issues de la médina traditionnelle, autrefois centre de vie sociale important. Reste à savoir les conséquences de ces nouvelles formes de réponses sociales et spatiales sur les nouveaux aménagements et leurs aspects urbains. / In recent decades, the Algerian city has undergone profound transformations of its territory territories following a rampant urbanization, a growing mobility, a socio-spatial recomposition and a diversification of the collective and individual stakes. The recomposition of these urban, central and peripheral territories is subject to housing standards and urban planning rules, which have a universal dimension and apply to all urban fabrics. These norms and rules are aimed at the realization of a share of individual housing estates and other areas of collective housing to respond to a housing crisis and relocate the inhabitants of old unhealthy and degraded fabrics. However, it does not seem to exist in the regulatory texts, or in the proposed developments, willingness to take into account the urban particularities, but most of the major Algerian cities have particular urban fabrics whose morphology, typology and practices do not conform to subdivision or collective sets. Worse still, the process and the relocation operations evolve without any consultation between the different actors of the project. The example of the city of Annaba has made it possible at the same time to "reverse" the relocation plans of developers and the ideals they convey and to reveal the gap between the representations of relocators and relocated. This is essentially linked to a climate of ignorance and mutual mistrust. The collaboration between these two actors remains very limited. The causes are multiple and would be at the origin of the current (devalued) image of the city and the spatial and social expressions often opposite to the basic urban project. The nature of the relocations carried out, from a traditional urban housing with its codified and assimilated rules of use, to a standard collective type of housing, can provoke problematic reactions on the social level (neighborhood report) and / or on the spatial (appropriation of public spaces, delimitation of private spaces). Changing their spatial horizon, sometimes social, these townspeople reformulate their ways of seeing the city, but divert an operation of urbanism unilaterally scaffolded by the developers. Behind all this architectural expression and / or urban, individual and / or collective, in the form of spatial and / or social response, lies the peculiarities of a traditional fabric that loses its effectiveness, its contribution, as well as its identity. The inhabitants try to reproduce (reformulate) certain practices essentially coming from the traditional medina, other times center of social life important. It remains to be seen what impact these new forms of social and spatial responses will have on new developments and their urban aspects.
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Jovens e mulheres na agenda de políticas públicas para o rural : o problema da reprodução social na agricultura familiar

Coradini, Lucas January 2016 (has links)
À partir du problème de la crise dans la succession des générations en unités productives familières et de la reproduction sociale du mode de production familière, ce travail propose d’examiner les dilemmes affrontés par les populations rurales et les mesures prises par l'État pour répondre à leurs demandes à travers de politiques publiques. Les spécificités du processus de succession dans l’agriculture familière se réfèrent aux questions de genre et de génération, qui mettent au centre de l’analyse les jeunes et les femmes. L’objectif dans un premier moment c’est élaborer un diagnostic détaillé de la situation de la jeunesse et des femmes de la zone rurale et aussi comprendre leurs nécessités et le processus de formation des priorités politiques pour ces segments. Dans un deuxième moment, il vise à caractériser et à analyser les différents programmes et les politiques développés, leurs impacts sur la réalité rurale, les évaluations qu’ils ont sur eux, en plaçant à un niveau supérieur la connaissance sur le progrès et les limites de ses interventions. Pour le diagnostic de la réalité rurale, il fait un examen complet dans les études récentes sur ce sujet, en limitant l'analyse à l'agriculture familière du Rio Grande do Sul, ce qui comprend un travail empirique sur les jeunes agriculteurs de la ville Faxinal Soturno / RS. Pour l'analyse des politiques publiques , il cherche à retracer le parcours historique des actions menées par l'État dans la campagne brésilienne , en donnant une attention particulière à la formation de l'agenda et à l'inclusion de lignes directrices pour les jeunes et les femmes dans l'agriculture familière et en traitant des différentes étapes qui constituent le cycle des politiques publiques. Enfin, les réponses institutionnelles sont mises devant les demandes des populations rurales et ce qui permettent l’évaluation de l’efficacité des mesures prises à ce jour. Particularités de la situation de la jeunesse et des femmes dans les zones rurales, élargissent les facteurs explicatifs de l'évasion du travail agricole et offrent de nouveaux éléments à la compréhension de la reproduction sociale dans l'agriculture familière, cela donc souligne la nécessité des ajustements au centre des politiques publiques à ce secteur. / A partir do problema da crise na sucessão geracional em unidades produtivas familiares e da reprodução social do modo de produção familiar, este estudo lança um olhar sobre os dilemas enfrentados pelas populações rurais e sobre as ações desenvolvidas pelo Estado para o atendimento de suas demandas, através das políticas públicas. As especificidades do processo de sucessão na agricultura familiar remetem a questões de gênero e geracionais, colocando os jovens e mulheres no centro da análise. Objetiva-se, num primeiro momento, traçar um detalhado diagnóstico da situação juvenil e feminina no meio rural, compreender suas demandas e o processo de formação da agenda de políticas para estes segmentos. Num segundo momento, busca-se caracterizar e analisar os diferentes programas e políticas desenvolvidas, seus impactos sobre a realidade rural, as avaliações que se têm sobre eles, elevando o conhecimento sobre os avanços e limites destas intervenções. Para o diagnóstico da realidade rural, realiza-se uma ampla revisão dos estudos recentes nesta temática, delimitando a análise à agricultura familiar do Rio Grande do Sul, o que inclui um trabalho empírico sobre os jovens agricultores familiares do município de Faxinal do Soturno/RS. Para a análise das políticas públicas, busca-se traçar o percurso histórico das ações desenvolvidas pelo Estado para o rural brasileiro, com especial atenção para a formação da agenda e a inclusão das pautas de jovens e mulheres da agricultura familiar, abordando as diferentes etapas que compõe o ciclo de políticas públicas. Ao final, as respostas institucionais são colocadas frente às demandas das populações rurais, permitindo um balanço sobre a efetividade das ações até então desenvolvidas. Particularidades da situação juvenil e feminina no meio rural ampliam os fatores explicativos da evasão do trabalho agrícola, apresentando novos elementos para o entendimento da reprodução social na agricultura familiar, o que aponta para a necessidade de adaptações no foco das políticas públicas para este público. / From the problem of the crisis in the generational succession in family production units and of the social reproduction of family farming, this study takes a look at the dilemmas faced by rural populations and on the actions taken by the state to meet their demands through public policy. The specifics of the process of succession in family farming refer to gender and generational issues, putting young people and women in the center of the analysis. It aims, at first, to draw a detailed diagnosis of juvenile and women's situation in rural areas, to understand their demands and the process of creation of the policy’s agenda for these segments. Secondly, it seeks to characterize and to analyze the different programs and policies that are developed, their impact on the rural reality, the evaluations that we have on them, raising awareness about the progress and limits of these interventions. For the diagnosis of the rural reality, we carried out a comprehensive review of recent studies on this topic, limiting the analysis to the family farm in Rio Grande do Sul, which includes an empirical work on the young farmers of Faxinal do Soturno/RS. For the analysis of public policies, we seek to trace the historical course of the actions taken by the State for the brazilian countryside, with special attention to the formation of the agenda and the inclusion of guidelines for youth and women in family agriculture, addressing the different steps that constitute the cycle of public policies. Finally, the institutional responses face the demands of rural populations, enabling an assessment of the effectiveness of actions hitherto developed. Special features of the youth and women's situation in rural areas expand the explanatory factors of evasion of agricultural work, introducing new elements to the understanding of social reproduction in family farming, which points out to the need for adjustments in the focus of public policies for this audience.

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