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La variabilité du droit du travail

Claude, Nadège 07 December 2010 (has links) (PDF)
L'étude de la variabilité du droit du travail consiste à mesurer la capacité de cette discipline à se transformer au gré des évolutions économiques, sociales et politiques. Dans cette matière, le législateur tente de répondre aux attentes de la société française, mais ses initiatives demeurent particulièrement impuissantes à atteindre le plein emploi. Dès les années 1980, il s'est vu reprocher des maux mettant en cause sa légitimité à équilibrer les rapports de force qui se manifestent au sein de la relation de travail. D'une manière générale, les modes d'élaboration de la règle sont dévoyés au prix d'un changement du rôle des acteurs : le gouvernement outrepasse son domaine de compétences, le juge s'aventure sur le terrain de la création des normes, quand le législateur n'incite pas lui-même les partenaires sociaux à négocier. Et le contrat de travail n'est pas non plus épargné par cette variabilité des modes de production normative. La mise en oeuvre des règles du droit du travail en est alors rendue difficile. Chaque acteur a la possibilité de faire varier le périmètre de l'ordre public. La hiérarchie classique des normes, déjà contrariée par l'apparition du principe de faveur, se trouve même renversée par la conclusion d'accords dits dérogatoires. À rebours d'un tel système pyramidal en perte de vitesse, prendrait place un autre système juridique prenant en compte les effets de la mondialisation de l'économie. Désormais, l'entreprise est davantage repensée dans sa dimension internationale, notamment sur le plan financier. Toutefois, une approche exclusivement globale est insuffisante à traduire la culture locale des entreprises. Une prise de conscience est par exemple apparue dans le sens d'une responsabilisation plus forte de l'employeur et de ses salariés, ainsi que de la part des États qui se voient incités à faire respecter les normes européennes et internationales. D'où la tentation de conceptualiser l'ordonnancement des règles du droit du travail sous le vocable de " glocalisation ".
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Rendre l'entreprise néolibérale responsable. Rôle des logiques institutionnelles et des experts fonctionnels. Etude de la gestion du risque accident du travail dans le secteur de la construction.

Daudigeos, Thibault 25 November 2009 (has links) (PDF)
Comment les managers fonctionnels experts des enjeux sociaux participent-ils, dans les entreprises néolibérales, à l'institutionnalisation de la politique de Responsabilité Sociale de l'Entreprise (RSE) ? Nous faisons l'hypothèse que la conversion à la RSE est la manifestation d'une exigence exacerbée de la société sur les grandes entreprises capitalistes. Nous suivons l'émergence de cette logique institutionnelle pour le cas des accidents du travail dans le BTP. L'analyse de contenu, à l'aide du logiciel Alceste, d'articles du Moniteur du BTP depuis 1906, montre que la période 1997-2007 se caractérise par un traitement managérial du risque accident. Nous formulons des propositions quant aux activités de ces experts, par la mise en regard historique du fonctionnement des organisations bureaucratiques et néolibérales. Puis, nous analysons les activités de responsables sécurité au travail dans des filiales d'une entreprise de construction et vérifions quatre rôles majeurs : ajustement mutuel avec les parties prenantes internes, travail à la frontière de traduction et de diffusion des rationalisations, organisation d'un circuit d'informations et mise en œuvre de la contrainte douce. L'observation révèle une distance critique vis-à-vis de cette philosophie gestionnaire, un découplage entre performances réelles et communiquées et des luttes politiques fondées sur le contrôle de l'information. Les dimensions culturelles et politiques du travail institutionnel imbriquent institutions et routines organisationnelles. Nous mettons à jour les modèles de la Corporate Social Responsiveness et soulignons les limites de l'entreprise néolibérale en situation d'incertitude.
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L'impact de la publication de nouvelles médiatiques sur les investisseurs du secteur minier

Casault, Karine 06 1900 (has links) (PDF)
Les entreprises minières canadiennes font régulièrement la manchette, notamment pour leurs actions de responsabilité sociale ou environnementale. Les compagnies de ressources naturelles, comme les compagnies minières, sont clairement plus surveillées et scrutées pour leur performance sociale et environnementale que les entreprises d'autres secteurs, parce qu'elles concernent un secteur sensible (Deegan et Gordon, 1996). Bien que les précédentes études empiriques portant sur la relation entre la performance environnementale (PE) et la performance financière (performance financière) rapportent dans l'ensemble une relation positive entre ces deux variables (Margolis et Walsh; 2001, Bouslah et al. 2010), certaines critiques demeurent, notamment du fait des incohérences méthodologiques liées à l'échelle de mesure de la performance sociale et des corpus d'entreprises disparates. Peu d'études empiriques ont analysé la réaction des investisseurs du secteur minier face à la couverture médiatique de responsabilité sociale des entreprises. La présente recherche utilise ISO 26 000 comme cadre d'analyse de la responsabilité sociale des minières à l'étude. L'objectif de cette recherche vise à évaluer la relation entre la performance de responsabilité sociale, telle que mesurée par l'analyse de contenu médiatique de RSE effectuée à l'aide de la méthode Morin Chartier et la performance financière approchée par des variances des cours boursiers à l'étude (bid, ask, spread, closing price, quote). Notre question centrale investigue le lien entre la performance de responsabilité sociale des entreprises minières canadiennes et la fluctuation des cours boursiers. En d'autres mots, les entreprises subissent-elles une appréciation ou une dépréciation de leur performance boursière selon que leur couverture médiatique témoigne de leur responsabilité ou de leur irresponsabilité sociale? Pour répondre à cette question, nous avons utilisé une méthode d'analyse de contenu de presse issue de la recherche scientifique, soit la méthode Morin Chartier, et nous avons croisé ces résultats avec ceux de la fluctuation des cours boursiers via des corrélations et une régression pour les résultats plus significatifs. Nous avons scruté la réaction des investisseurs d'entreprises minières face à leur couverture médiatique de RSE telle que définie par la norme reconnue internationalement ISO 26000. Les résultats de notre étude démontrent que les investisseurs sont prêts à payer moins pour l'action d'une entreprise minière canadienne dont la responsabilité sociale a été traitée avec une partialité négative dans les médias (résultats significatifs à 5%). Cette partialité négative réduit également l'écart bid-ask, signifiant ainsi que la couverture médiatique de RSE aide à réduire le fossé informationnel entre différents acteurs en bourse. Cela revient à énoncer que plus les médias couvrent négativement et de façon partisane les activités minières environnementalement et socialement sensibles, plus le cours de l'action s'effondre en bourse et la valeur de l'entreprise s'en trouve diminuée. Ces montants peuvent s'avérer très significatifs sur les cours si l'on regarde les montants de la baisse des cours attribuable à la partialité négative de la presse. Ces baisses oscillent en effet entre -22,99$ et -35,75 $ par action si les autres facteurs modifiant le cours sont isolés. Ce résultat porte à croire que la responsabilité sociale des entreprises minières a un impact positif sur la performance financière, ce qui supporte l'argument en faveur d'une relation positive entre performance financière et performance sociale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : responsabilité sociale, performance financière, performance sociale, médias, impact couverture médiatique, ISO 26 000, fluctuation des cours boursiers, bid, ask, spread.
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Développement durable, enjeux et problématiques autour de la grande entreprise minière : le cas de la province de Cajamarca-Pérou

Abanto Florida, Andrés 06 1900 (has links) (PDF)
Sans aucun doute, l'économie péruvienne repose sur l'industrie extractive, car 61,25% des exportations correspondent aux exportations minières. Ainsi, grâce à ce secteur, le Pérou a eu une croissance économique soutenue au cours des dernières années. Parmi ce commerce extérieur des minéraux, l'or représente 35,70% des exportations. D'ailleurs, la mine Yanacocha (MY), qui s'est établie à Cajamarca depuis 1992, devient la principale entreprise aurifère au Pérou avec une participation de l'ordre de 24,64% parmi le reste des mines aurifères installées au Pérou. De sorte que, Cajamarca, la charmante ville traditionnelle des plateaux andins, a changé sa vocation touristique et historique pour devenir une espèce d'enclave minière. Cette amélioration de l'économie péruvienne durant les dix dernières années n'a aucun rapport avec le haut niveau de précarité et de pauvreté des communautés riveraines des mines et MY ne peut pas s'exclure de ce constat. À Cajamarca, ce paradoxe de la croissance économique avec la précarité sociale a été à la source des conflits et révoltes dantesques qui ont mis en danger la gouvernance de l'État et ses pouvoirs. En même temps, ces émeutes ont remis en question les stratégies de responsabilité sociale (RSE) et de développement durable (DD) de MY, de sorte que les organisations de la société civile (OSC) sont en train de changer les dynamiques des relations communautaires de MY. Ces constats nous ont motivés à en savoir davantage sur ces transformations dans l'interface sociétale de cette mine (ISMY). Ainsi, cette thèse permet d'avoir une meilleure compréhension sur les différentes logiques d'action et de pensée des organisations de la société civile (OSC) dans ISMY. En conséquence, notre étude cherche à en savoir davantage sur la formation et les justifications des logiques de pensée et d'action au sein de ces organisations. D'ailleurs, tablant sur le fait de l'existence des logiques de pensée et d'action différentes, notre étude aide à expliquer comment ces logiques se positionnent et coordonnent face aux démarches de MY tout en utilisant des justifications pour mettre en place des accords, conventions et même des ordres négociés en présence des enjeux dans l'ISMY. Finalement, notre étude permet de mieux saisir la problématique et les dynamiques qui suivent les rapports sociaux des OSC au sein des arènes dans l'ISMY. En outre, pour parvenir à mener cette thèse, nous avons articulé un cadre conceptuel composé de trois théories : la Social Worlds/Arenas Theory de Strauss, la théorie « des économies de la grandeur » de Boltanski et Thévenot et la théorie des parties prenantes. D'ailleurs, quant au cadre méthodologique qui a soutenu notre démarche en tant que chercheur, nous nous sommes basés sur une recherche qualitative fondée sur le « paradigme socio-constructionniste », où nous avons fait appel à quelques éléments de la théorie enracinée de Strauss et Corbin, les systématisations pour la collecte et l'analyse des données proposées par Miles et Huberman (1994) et l'approche contextualiste de Pettigrew, A. M. (1985). Dans notre démarche de recherche, nous nous sommes placés comme chercheur à l'extérieur de MY pour essayer de comprendre comment les politiques et les stratégies de RSE et de DD de cette mine étaient perçues par les OSC et le reste des acteurs de l'ISMY. Ainsi, cette « posture externe du chercheur » nous a permis d'agir avec une totale autonomie et indépendance pour porter un jugement impartial en l'absence des loyautés personnelles, fonctionnelles, politiques ou financières qui auraient pu biaiser nos raisonnements. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Responsabilité sociale de l'entreprise, développement durable, organisations de la société civile, interface sociétale de l'entreprise, parties prenantes, industrie minière, légitimité de l'entreprise, gouvernance, performance sociale de l'entreprise, conflits sociaux, arènes, participation citoyenne, logiques de pensée, mécanismes de coordination, rapports sociaux, conventions, ordres négociés.
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De la légitimation d'une partie prenante intermédiaire à la construction d'une Responsabilité Sociétale d'Entreprise : le partenariat sociétal comme levier d'action stratégique ?

Daudin, Laure 18 January 2012 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse de doctorat répond à la problématique : le partenariat sociétal peut-il être un levier d'action stratégique pour la mise en pratique de la Responsabilité Sociétale d'Entreprise ? En approfondissant le phénomène de collaboration entre l'entreprise et l'association, cette recherche permet de légitimer le rôle d'une partie prenante peu connue, la société civile. La recherche action, mobilisée dans ce travail, vise la coopération entre chercheurs et praticiens. Deux études de cas ont été menées, l'une en France, à Grenoble et l'autre aux Etats-Unis, à New York, pour éclairer de façon transversale le partenariat sociétal. La première perspective illustre le processus de partenariat sociétal du point de vue de l'entreprise française et la seconde perspective explique ce processus du point de vue de l'organisation à but non lucratif américaine. Les onze partenariats sociétaux étudiés sont décomposés en quatre phases : 1°) l'initialisation et la définition de la stratégie ; 2°) la sélection du partenaire approprié ; 3°) les dynamiques récurrentes ; 4°) l'interdépendance relationnelle. Nous avons observé les phénomènes suivants. La société civile joue un rôle d'interface entre les citoyens et l'entreprise. L'entreprise convoite chez l'association des expertises sociales et écologiques tandis que l'association espère de l'entreprise des ressources financières. En dépassant leurs objectifs organisationnels respectifs, les parties prenantes de l'alliance s'engagent pour trouver une solution à un problème commun. Toutefois, lors de la réalisation du projet collaboratif, l'entreprise tend à imposer ses volontés à l'association. Les salariés sont souvent les catalyseurs des projets collaboratifs. Cette tendance ascendante de type bottom-up souligne le caractère émergent de la stratégie mise en pratique par les salariés. Ce processus de partenariat sociétal concrétise la responsabilité sociétale de l'entreprise. Pour finir, la maturité du projet s'illustre par l'expression du sentiment collectif des partenaires d'appartenance à une même équipe. La finalité du processus offre des créations de valeurs sociale et/ou environnementale pour les parties prenantes et pour la Société. L'intérêt économique est complémentaire et non prioritaire. La thèse défendue est la suivante : Le partenariat sociétal peut créer des valeurs sociale(s) et/ou environnementale(s) et économique(s) pour les acteurs impliqués. Les parties prenantes locales et associatives peuvent ainsi participer à la co-construction des stratégies de Responsabilité Sociétale de l'Entreprise. En termes de contribution managériale nous considérons que le partenariat sociétal est un levier d'action stratégique et innovant pour la mise en œuvre d'une stratégie de RSE.
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La présentation des exigences de profitabilité, de responsabilité sociale et de leur articulation dans les messages des dirigeants : le cas Carrefour

Badran, Jana 10 January 2011 (has links) (PDF)
La présentation des exigences de profitabilité, de responsabilité sociale et de leur articulation dans les discours des dirigeants : le cas Carrefour. Notre recherche a pour objet d'analyser comment les dirigeants -au nom de leur entreprise- présentent et articulent, dans leurs discours, les deux exigences majeures du capitalisme d'aujourd'hui : celle de maximisation de la valeur pour l'actionnaire et celle de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). La première, portée par les investisseurs institutionnels dans le cadre d'un " capitalisme financier ", s'est constituée à l'adresse des entreprises cotées et de leurs dirigeants, et semble s'imposer au modèle français de gouvernement d'entreprise. La seconde, l'exigence de RSE -portée par les acteurs de la société civile- pousse les entreprises et leurs dirigeants à se préoccuper des dimensions sociales et environnementales de leur activité. Dans cette perspective, une étude empirique longitudinale a été menée sur les messages des Rapports Annuels et des Rapports de Développement Durable du Groupe Carrefour sur la période 1993-2007. Elle a permis d'observer une domination de plus en plus totale des critères du capitalisme financier sur les discours des dirigeants et de renforcer les thèses de la concomitance de l'émergence du discours de la maximisation de la valeur pour l'actionnaire et de la RSE et de la faible articulation des deux discours.
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De la légitimation d'une partie prenante intermédiaire à la construction d'une Responsabilité Sociétale d'Entreprise : le partenariat sociétal comme levier d'action stratégique ? / From the legitimization of an intermediary stakeholder to the construction of CSR : the cross-sector social partnership as a strategic lever of action ?

Daudin, Laure 18 January 2012 (has links)
Ce travail de thèse de doctorat répond à la problématique : le partenariat sociétal peut-il être un levier d'action stratégique pour la mise en pratique de la Responsabilité Sociétale d'Entreprise ? En approfondissant le phénomène de collaboration entre l'entreprise et l'association, cette recherche permet de légitimer le rôle d'une partie prenante peu connue, la société civile. La recherche action, mobilisée dans ce travail, vise la coopération entre chercheurs et praticiens. Deux études de cas ont été menées, l'une en France, à Grenoble et l'autre aux Etats-Unis, à New York, pour éclairer de façon transversale le partenariat sociétal. La première perspective illustre le processus de partenariat sociétal du point de vue de l'entreprise française et la seconde perspective explique ce processus du point de vue de l'organisation à but non lucratif américaine. Les onze partenariats sociétaux étudiés sont décomposés en quatre phases : 1°) l'initialisation et la définition de la stratégie ; 2°) la sélection du partenaire approprié ; 3°) les dynamiques récurrentes ; 4°) l'interdépendance relationnelle. Nous avons observé les phénomènes suivants. La société civile joue un rôle d'interface entre les citoyens et l'entreprise. L'entreprise convoite chez l'association des expertises sociales et écologiques tandis que l'association espère de l'entreprise des ressources financières. En dépassant leurs objectifs organisationnels respectifs, les parties prenantes de l'alliance s'engagent pour trouver une solution à un problème commun. Toutefois, lors de la réalisation du projet collaboratif, l'entreprise tend à imposer ses volontés à l'association. Les salariés sont souvent les catalyseurs des projets collaboratifs. Cette tendance ascendante de type bottom-up souligne le caractère émergent de la stratégie mise en pratique par les salariés. Ce processus de partenariat sociétal concrétise la responsabilité sociétale de l'entreprise. Pour finir, la maturité du projet s'illustre par l'expression du sentiment collectif des partenaires d'appartenance à une même équipe. La finalité du processus offre des créations de valeurs sociale et/ou environnementale pour les parties prenantes et pour la Société. L'intérêt économique est complémentaire et non prioritaire. La thèse défendue est la suivante : Le partenariat sociétal peut créer des valeurs sociale(s) et/ou environnementale(s) et économique(s) pour les acteurs impliqués. Les parties prenantes locales et associatives peuvent ainsi participer à la co-construction des stratégies de Responsabilité Sociétale de l'Entreprise. En termes de contribution managériale nous considérons que le partenariat sociétal est un levier d'action stratégique et innovant pour la mise en œuvre d'une stratégie de RSE. / This PhD thesis work addresses the following problem: can Cross-Sector Social Partnerships (CSSP) be a strategic lever for the implementation of Corporate Social Responsibility? Going beyond the phenomenon of collaboration between the company and the nonprofit organization, this research helps legitimize the role of a little known stakeholder, civil society. This work relied upon action research methodology. In cooperation with researchers, action research aims to create knowledge for and with practitioners. The CCSPs are presented from two different perspectives as one action research was developed in Grenoble, France, and the other was made in New York City, United States. The first analysis explains the phenomenon from the perspective of the company and the second shows the view of the non-profit organization. To understand the CSSP process, the eleven societal partnerships studied are broken down into four phases: 1) initialization and definition of strategy; 2) selecting the right partner; 3) recurrent dynamics; and 4) relational interdependence. The purpose of this phenomenon is the social and/or environmental value creation; economic interest is complementary and not a priority. Exceeding their respective organizational goals, the collaborative project's stakeholders work together to find a solution to a common problem. This process of CSSP embodies corporate social responsibility. The phase of trial and error between deliberate strategy and emergent strategy tends to increase as part of a CSR strategy. Civil society acts as an interface between citizens and the business. As a member of a local area network, civil society provides access to new resources and skills. The company benefits from its association with social and environmental nonprofits organizations, while the nonprofit organization hope the company provides financial resources. However, the organizational culture of a company and an association differ. To work together, stakeholders of the project have to go beyond their own interests to exceed their respective organizational goals. However, during the collaborative process, the company tends to impose its will on the partnership. Finally, the maturity of the project is perceived by a collective sense of belonging to the same team. The purpose of the process is to provide value creation for stakeholders, but for society as a whole it may be varied.
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Responsabilité sociale et risque financier de l'entreprise / Corporate Social Responsibility and Financial Risk

Sandwidi, Blaise 01 December 2015 (has links)
Cette thèse examine les relations, et particulièrement les interactions, entre la responsabilité sociale des entreprises et leur risque financier. Elle propose un schéma conceptuel de ces relations et 4 études empiriques. La première examine les relations entre la performance sociétale, mesurée par les scores Vigeo, et le risque financier de 544 entreprises de l'indice Stoxx Europe 600, de 2004-2011. Elle montre que les entreprises les plus performantes du point de vue sociétal ont un risque spécifique et total faible, et une volatilité du taux de rentabilité (Roa) moindre, notamment pour les ressources humaines. La relation est positive et fortement significative si l'on considère le bêta du titre et la dispersion des prévisions des analystes. La deuxième étude porte sur la réaction des marchés financiers européens à l'émission d'alertes sociétales. Elle analyse l'apport informationnel de ces alertes par rapport à l'annonce publique des évènements qui les ont déclenchées. L'analyse de 480 alertes émises par Vigeo de 2004 à 2011 montre que les investisseurs réagissent positivement à la première alerte pour une entreprise donnée. L'alerte réduit l'asymétrie d'information entre managers et investisseurs ; en limitant le risque d'estimation des investisseurs, elle diminue leur incertitude. Les alertes relatives à l'environnement constituent un cas particulier, dans la mesure où elles ont un impact négatif sur les cours. La troisième étude teste et valide la théorie du management du risque : en cas d'occurrence d'un risque RSE (référencé par Vigeo) les entreprises les plus performantes du point de vue sociétal enregistrent des rentabilités anormales moins importantes et leur volume anormal est plus faible. La quatrième étude examine l'interaction entre risque financier et engagement RSE. Elle dépasse l'échelle européenne en considérant 23 194 observations d'Asset4 au sujet de 3 787 entreprises dans 67 pays. Elle montre que de bonnes performances ESG réduisent significativement le risque financier, spécifique et total, ainsi que la volatilité du Roa, et que les performances ESG sont positivement associées au risque si l'on considère le bêta du titre et la dispersion des prévisions des analystes. Elle met en évidence un cercle vertueux entre performance ESG et risque financier. Les pratiques sociales et de gouvernance réduisent le plus fortement ce risque. Un faible risque financier incite l'entreprise à investir en priorité dans des mesures environnementales et de gouvernance, puis dans le social.Mots clés: Risque financier de l'entreprise, responsabilité sociale de l'entreprise (RSE), Risque RSE, performance sociétale, interaction. / This dissertation examines the relations between Corporate Social Responsibility and financial risk, with a particular focus on their interactions. It proposes a conceptual scheme of these relations and 4 empirical studies. The first study examines the relation between the corporate social performance, measured by Vigeo scores, and the financial risk of 554 companies pertaining to the Stoxx Europe 600 Index, from 2004-2011. It shows that companies with higher corporate responsibility have lower specific and total risks, and lower volatility of return on assets (Roa), particularly in human resources. The relation is positive and strong when we consider the investments' beta and the analysts' forecasts dispersion. The second study examines the reaction of the European stock market to CSR alerts. It examines the alerts' informational contribution compared to the public announce¬ments of the triggering events. Based on a sample of 480 alerts released by Vigeo over the period 2004-2011, we find a positive stock market reaction to the first alert for the affected company. The alert reduces the information asymmetry between managers and investors. It limits the investors' estimation risk and thus their uncertainty. Environmental alerts are a specific case, as they affect negatively the stock prices. The third study tests and confirms the risk management theory: when a CSR risk occurs (referenced by Vigeo), higher CSR performers have lower abnormal returns and lower abnormal trading volumes. The fourth study examines the interaction between financial risk and CSR commitment. It goes beyond Europe by considering 23,194 Asset4 scores related to 3,787 companies in 67 countries. It shows that prior aggregate ESG scores are associated with reduced subsequent specific and total risks and Roa volatility, thus confirming that high ESG performers have lower financial risk. CSR performances are positively associated with the risk if we consider the investments' beta and the analysts' forecasts dispersion. The study evidences a virtuous cycle between financial risk and ESG performance. Social and governance performances contribute more significantly to reduce this risk. Prior low financial risks incite firms to invest in CSR, first in environmental and governance, then in social policies or activities.Keywords: Financial risk, corporate social responsibility, corporate social performance, corporate social responsibility risk, interaction.
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Environnement des entreprises, responsabilité sociale et performance : analyse empirique dans le cas du Maroc / Firm's environment, social responsability and performance : an empirical analysis in the case of Morocco

Malki, Tarik el- 13 December 2010 (has links)
Ce travail de recherche a pour objectif global d’étudier le lien potentiel existant entre les différents environnements des firmes manufacturières marocaines –externe (institutionnel et réglementaire) et interne (relations avec ses parties prenantes) –et leur performance économique et financière mesurée par un certain nombre de ratios de rentabilité. Le contexte général de l’étude est l’ouverture, en 2012, des frontières du Maroc aux produits européens, et la signature, en 2008, du Statut avancé entre le Maroc et l’UE en conséquence duquel les firmes marocaines devront respecter un certain nombre de critères en termes de développement durable notamment. Aussi, la conjugaison de ces deux évènements bouleversera durablement l’environnement des affaires des firmes, impactera leur compétitivité et donc leur performance globale. Aussi, la première partie a été l’occasion de vérifier l’existence potentielle d’une relation entre le climat de l’investissement (CI) et la performance économique et financière des firmes, et de déterminer le cas échéant les éléments du CI qui exercent une influence sur leur performance. Les résultats indiquent qu’au plan du climat de l’investissement, l’impact de la fiscalité (mise en conformité) est très significatif sur la performance des firmes, alors que l’iniquité fiscale est négativement associée à la performance. La concurrence déloyale du secteur informel exerce également un impact négatif sur la performance. Au plan réglementaire, le niveau de contrainte à l’activité des firmes est négativement associé à la performance, alors que le niveau de contrainte administrative à l’export l’est positivement. En revanche nous n’avons pas établi de lien significatif entre le financement et la performance.Dans la seconde partie, nous mesurons l’engagement réel des firmes marocaines en matière de responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) au moyen d’une mesure de performance sociale (PSE) adhoc, et vérifions si cette PSE se traduit par un quelconque impact (positif, négatif ou neutre) sur la performance financière des firmes (PF). Les résultats indiquentqu’aucun consensus autour d’une théorie n’émerge : la théorie des parties prenantes et celle des ressources disponibles se vérifie pour la dimension « employés » de la PSE ; la théorie dite « classique » pour les autres dimensions (environnement, etc.). En tout état de cause, il semblerait que l’engagement social des firmes marocaines en faveur des employés soit une dimension importante de la RSE, alors que les autres dimensions semblent ne pas l’être. / This research aims to study the potential link existing between the different environments of Moroccan manufacturing firms, external (institutional and regulatory) as well as internal (relationships with stakeholders), and their economic and financial performance measured by profitability ratios. The general context of the study is the openness of Moroccan’s borders to European’s products in 2012, and the signature of the “Advanced statute” with European Union (EU) in 2008. In consequence of this, Moroccans firms will have to compete with European firms, which will impact their competitiveness, profitability and efficiency. The investment climate (IC) can therefore play an important role. In addition to that, Moroccanfirms will have to comply with European norms in terms of sustainable development and corporate social responsibility (CSR). In the first part of our study, we aim to identify the determining factors of the IC that impact the economic and financial performance of Moroccan firm. The results show that the taxation (in term of conformity) has a positive impact on performance while the fiscal’s iniquity has a negative effect. In addition, the disloyal informal sector competition has a negative impact on firms’ performance. The regulatory environment plays a role in a sense that firm’s performance is negatively associated with firm’s activity constraints, but positively related to firm’s export administrative constraints. Our results show also non significant link with the financing. In the second part, we measure the social and environmental engagement of Moroccan’s firms based on a measure of corporate social performance (CSP) created from perceptual data. We verified then the potential link existing between this CSP measure and the financialperformance. The results show that no consensus toward a theory is emerging: the stakeholder’s theory is validated for the social dimension (relation with employees) of CSP while the “classic” theory is validated for the other dimensions (environment, etc.). At last, the social commitment of Moroccan’s firms toward their employees seems to be an important dimension of the CSR, while the other dimensions are not.
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L'influence du développement durable sur la gestion des risques dans l'entreprise : un cas dans le BTP / The influence of sustainable development on risk management in a corporate environment : a case in the CPW field

Cere, Arnaud 13 September 2012 (has links)
L’objet de cette thèse est d’analyser l’influence du développement durable sur la gestion des risques dans l’entreprise dans la perspective de la responsabilité sociale de celle-ci. Dans l’abondante littérature sur ce thème, une distinction est faite entre la conception utilitariste et la conception déontologique qui peuvent se compléter pour éclairer la gestion des risques en lien avec la RSE. L’analyse de la littérature a porté ensuite sur les déterminants de la gestion des risques modernes, avec l’importance de la coordination dans la fiabilité des organisations. Dans cette perspective, une attention particulière a été accordée aux travaux de Weick mettant en évidence la notion de culture et les interrelations entre les acteurs comme déterminantes pour la fiabilité. L’éclairage de l’économie des conventions permet de concevoir l’intégration du développement durable comme une transformation des conventions constitutives de l’entreprise, des représentations de ses acteurs, et non pas seulement des règles de l’entreprise, opérant au niveau de la sphère des actions. Cela conduit à la mobilisation de la théorie des représentations sociales (Moscovici, Vergès, etc.) dans une perspective instrumentale conjointement aux économies de la grandeur de Boltanski et Thévenot afin de rendre intelligible les formes de dépassement des conflits d’intérêt qui définissent un bien commun et permettent d’établir des modalités de coordination stables.Nous avons choisi comme terrain une entreprise appartenant au secteur du BTP, filiale d’un groupe français, implantée sur les trois régions Aquitaine, Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon et qui compte environ 3600 collaborateurs au moment de l’étude. Notre démarche de recherche empirique est basée sur une méthode combinant approche qualitative et approche quantitative dans une perspective de renforcement de la validité de la recherche. Une analyse des représentations sociales effectuée à partir d’une enquête par questionnaire, et d’entretiens en face à face avec certains membres du personnel, le travail permet de proposer une grille de lecture originale des apports d’une stratégie de développement durable à la maîtrise des risques, au-delà de la mise en place de systèmes de management classiques. Notre travail apporte une contribution à l’analyse des formes d’apaisement des conflits auxquelles peut contribuer le développement durable en matière de gestion des risques sociétaux. Nous mettons en évidence des éléments de compréhension de l’influence de l’intégration du développement durable sur la coordination des acteurs face aux risques. / The aim of this thesis is to analyse the influence of sustainable development on risk management within a company, regarding the social responsibility of the latter. The rich literature about this topic establishes a distinction between the utilitarian and the deontological conception that can complete each other to know better about the risk management linked to the CSR. The analysis in the literature has then focused on the determinants of the modern risk management and the importance of the coordination in the reliability of companies. In this perspective, a particular attention has been paid to Weick’s work, highlighting thus the notion of culture and the interrelations between people as determinatives of reliability. The thoughts on the economy of conventions enables to see sustainable development as a transformation of the constituent conventions of the company, the representations of its employees, and not only the rules of the company, operating at the level of the sphere of actions.This leads to the consider the theory of the social representations (Moscovici, Vergès...) in an instrumental way, and to associate it the economies of worth of Boltanski and Thévenot, with the aim to make understandable the ways that enables to go beyond the conflicts of interests that define a common good and enable to establish stable modalities of coordination.We have chosen for the study a company of the CPW field. This is a subsidiary company of a French group, located in the three following regions: Aquitaine, Midi-Pyrénées and Languedoc-Roussillon. At the time of the study, around 3600 persons were working in it.Our empirical research approach is based on a method combining qualitative and quantitative approaches in order to strengthen the validity of the research. An analysis of the social representations has been led through a questionnaire and face to face interviews with members of the workforce. This work offers an original interpretative framework of the contribution of a sustainable development strategy to the control of risks, beyond the implementation of classical management systems.Our work contributes to the analysis of means that can ease conflicts and that can be brought by the sustainable development regarding the social risk management. We highlight understandable elements of the influence of the integration of sustainable development on the coordination of people facing risks.

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