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Paene Socratico genere : figures de Socrate dans la littérature et la philosophie à Rome de Plaute à Sénèque / Paene Socratico genere : Socrates’ figures in Literature and Philosophy in Rome, from Plautus to Seneca

Lucciano, Mélanie 01 June 2013 (has links)
Lorsque, au IVe siècle, les Romains rendirent hommage à la sagesse, ils érigèrent une statue de Pythagore. Pline l’Ancien s’en étonne : pourquoi n’a-t-on pas plutôt choisi Socrate ? Cette interrogation reflète l’intégration progressive de la figure du philosophe athénien à Rome, depuis le IIe siècle av. J.C. jusqu’à l’œuvre de Sénèque qui intériorise le modèle socratique d’enseignement.Est d’abord réuni le corpus exhaustif des occurrences de Socrate dans une perspective diachronique. Les passages sont contextualisés dans l’économie de l’œuvre, son genre et les objectifs de chaque auteur. La source grecque est, si possible, identifiée : la présence de Socrate sert alors de marqueur de la lecture des textes de Platon, de Xénophon, mais aussi d’autres Socratiques comme Eschine.Dans un second temps, les textes sont étudiés selon des regroupements chronologiques et thématiques : est alors définie une double réception de Socrate, entre valorisation et mépris, qui s’articule autour de sa grandeur, son rôle fondateur pour les écoles de pensée hellénistiques, sa mort courageuse et, à rebours, sa dénonciation de la rhétorique ou le caractère inutile des propos des Socratiques pour lutter contre les passions. Au mode de vie philosophique qu’incarne Socrate s’oppose parfois celui défini par le mos maiorum, ou encore par le poète élégiaque. Se dévoilent différentes interprétations de Socrate, ancêtre du cynisme et du stoïcisme, probabiliste ou transcendantaliste, ouvrant ainsi la voie à un transfert culturel des œuvres, mais aussi de leurs exégèses. Que ce soit dans une perspective historiographique, philosophique ou littéraire, Socrate devient peu à peu un exemplum, un modèle de vie. / When, in 343 B.C., the Romans paid tribute to wisdom, they built a statue of Pythagoras. Why was not Socrates chosen instead ? Pliny the Elder wonders. This interrogation reflects the progressive integration of the figure of the Athenian philosopher in Rome, from the second century B.C. until the work of Seneca which internalises the Socratic teaching model.At first, the exhaustive corpus of the occurrences of Socrates is gathered in a diachronic perspective. The passages are contextualized in the entire work, its genre and the purposes of every author. The Greek sources are, when possible, identified : the presence of Socrates serves then as a marker for the reading of the texts of Plato, Xenophon, but also other Socratics like Aeschines.Secondly, the texts are studied according to chronological and thematic groupings : a double reception of Socrates is then defined, between praise and contempt, which articulates around his greatness, his founding role for the Hellenistic philosophic schools, his courageous death and, on the contrary, his denunciation of rhetoric or the fact that Socratics’ theories are useless to fight against passions. The philosophic lifestyle embodied by Socrates sometimes contrasts with the one defined by the mos maiorum, or by the elegiac poets. Various interpretations of Socrates come to light, as an ancestor of Cynicism and Stoicism, as a sceptic or a transcendentalist, paving the way for a cultural transfer of the Greek philosophical works but also of their exegeses. Whether it be in an historiographic, philosophic or literary perspective, Socrates gradually becomes an exemplum, a model of life.
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Jacques Linard, Une nature morte de 1640, marqueur de son temps

Joseph, Johanne 12 1900 (has links)
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Quel soi ? : une réflexion comparative sur l'idée de soi dans le stoïcisme et dans le bouddhisme zen / What self ? : a comparative study of the idea of self in stoicism and zen buddhism

Andrei, Laurentiu 08 February 2016 (has links)
Cette étude de philosophie comparée propose une herméneutique de l’idée de soi à partir d’une analyse de la dimension ascétique de la question « quel soi ? », qui se manifeste à travers les disciplines de libération mises en place par les traditions du Portique et du Zen. Déclinée sous différentes formes, cette question constitue la pierre angulaire des pratiques de soi propres aux deux traditions. Il apparaît que sa principale fonction est celle d’orienter l’idée de soi, eu égard à une polarité soi ↔ non-soi, afin de parvenir à la condition du sage, celle d’un accord libérateur avec une nature originelle commune à tous. Ainsi, au lieu de désigner simplement un fondement ontologique – réel ou supposé – l’idée de soi joue alors bien plutôt un rôle de vecteur, qui, selon son orientation,permet ou non d’actualiser cet accord. Par la prise en compte comparative du rôle de la négation (détachement) de soi, cette étude cherche donc à élargir le spectre des processus de subjectivation ou des pratiques de soi et, ainsi, de mettre au jour un aspect assez négligé par l’histoire occidentale de la subjectivité. Par là même, cette thèse permet de mieux comprendre comment une (méta)physique stoïcienne du plein peut être à même de penser la négation (détachement) de soi et, inversement, comment une métaphysique bouddhiste de la vacuité peut développer une pensée de la subjectivité morale et de la responsabilité / This study in comparative philosophy offers a hermeneutics of the idea of self. It explores the ascetic dimension of the question “what self?” apparent across the various disciplines of liberation developed by the Stoic and Zen traditions. In its diverse guises, this question is the cornerstone of specific practices of the self within these traditions. As such, its main function is to guide the idea of self, with regard to the polarity self ↔ non-self, in order to achieve the status of the sage, which represents a kind of harmony with an original nature that is common to all individuals. Therefore, rather than simply designating an ontological foundation – real or alleged – the idea of self has the role of a vector, which, depending on its orientation, allows one to actualise (or not) this harmony. Through comparative analysis of the role of negation (detachment) of the self, this study seeks to broaden the spectrum of the processes of subjectification or practices of the self and, thus, to bring to light an aspect that has been somewhat neglected by the Western history of subjectivity. In doing so, this thesis enables better understanding of how the full-bodied (meta)physics of the Stoics is able to think the negation (detachment) of the self and, conversely, of how the Buddhist metaphysics of emptiness can develop an idea of moral subjectivity and responsibility
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Poésie et pédagogie dans l'oeuvre d'Aratos de Soles / Poetry and pedagogy in Aratus of Soli’s work

Lorgeoux-Bouayad, Laetitia 21 June 2014 (has links)
Au-delà d’être un poème didactique, les Phénomènes d’Aratos sont un poème pédagogique qui unit étroitement le fond et la forme. On y trouve une conscience méthodique de la construction d’un savoir ; l’analyse du vocabulaire, pourtant issu de la poésie homérique, révèle une réflexion sur la transmission scientifique déjà définie comme un processus dynamique, à une époque où les écoles et leurs méthodes sont encore jeunes : percevoir, délimiter, nommer, et enfin assurer la conservation d’un objet de science. Cette idée de transmission prouve la préoccupation pédagogique d’Aratos, qu’il met en scène dans le poème à travers des figures de maîtres et d’élèves. Il s’y lit, notamment dans le mythe de l’Âge d’Or, une foi en la collaboration entre tous les vivants, fondée sur un respect qui tranche avec la dureté des poèmes didactiques archaïques. La pédagogie devient dans les Phénomènes un enjeu poétique : Aratos définit le poète comme un des membres de cette collaboration universelle, derrière laquelle il doit s’effacer, dans une éthique et une esthétique de l’anonymat qui remettent en question le kléos archaïque. La tradition poétique peut désormais être bousculée au nom de la transmission scientifique, et cette nouvelle conception n’est pas sans rappeler les récentes critiques opérées par Platon. Tout se passe comme si Aratos avait voulu relever le défi que Platon a lancé aux poètes de son temps : chanter le Dieu et sa création selon le Vrai ou le Vraisemblable, et devenir par son chant l’éducateur de la cité idéale. C’est probablement la réussite de cette gageure qui a assuré la gloire des Phénomènes dans les siècles où la philosophie de Platon a été suivie et admirée. / The Phaenomena by Aratus are not only a didactic, but also pedagogical poem, in which form and content are tightly bound. One may find in it a methodical conscience of how knowledge is built; the analysis of vocabulary, although taken from Homeric poetry, shows that scientific transmission is already understood as a dynamic process, in a time when schools and their proceedings were still young : to perceive an object of science, to delimitate it, to name it, and at last to guarantee his preservation. This idea of transmission proves that Aratus is concerned with pedagogy, which is illustrated in the poem through different figures of masters and pupils. We can observe, especially in the myth of the Golden Age, all his faith in the collaboration between all kinds of living being bound together by a respect that is really different from the harsh tone of archaic didactic poetry. In the Phaenomena, pedagogy becomes a poetic matter: Aratus defines the poet as a member of this universal collaboration, behind which he has to fade because of an ethic and an aesthetic of namelessness; so is the archaic kleos questioned. Poetic tradition can be shaken up in the name of scientific transmission, and this new conception may remind us of Plato’s recent criticism. Apparently, Aratus did want to take up Plato’s challenge to the poets of his time: to sing the God and his creation according to Truth or Verisimilitude, and to become the teacher of an ideal state, thanks to his song. In all likelihood, Aratus’fame came from the success of this wager, during all the centuries when Plato’s philosophy was followed and admired.
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L'itinéraire antihésychaste de Jean de Cyparission, le Sage, XIVe s. héritages et transformations

Palaiologou, Polytimi-Maria 10 May 2010 (has links)
La présente recherche doctorale porte sur la contribution philosophico-théologique de Jean de Cyparission(XIVe s.). Opposé aux interprétations théologiques et ecclésiologiques d'une grande partie du courant hésychaste, le penseur nous propose un commentaire favorable à l'union ecclésiale, ainsi qu'à la bonne organisation spirituelle de l'Église orientale. L'élaboration des textes inédits et l'étude codicologique de divers manuscrits qui conservent la littérature antihésychaste de Jean, sont accompagnées d'une recherche prosopographique sur l'auteur, ainsi que d'un commentaire sur son appropriation des sources aristotéliciennes, néoplatoniciennes, stoïciennes, patristiques et byzantines. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Je résiste, donc je suis : la figure du Sage comme vecteur expressif de la résistance vitaliste au cinéma et dans le jeu vidéo

Kollasch, Stanley 04 1900 (has links)
L’immense panoplie d’ouvrages et de travaux consacrés tant au cinéma qu’au jeu vidéo s’évertue très souvent à examiner une œuvre quelle qu’elle soit dans son ensemble, ou à relier des motifs similaires entre plusieurs cas pour en dégager des concepts, des notions et des lignes théoriques. Plus rarement la question des plans, des segments bien spécifiques d’un film ou d’un jeu a été abordée, en particulier les fragments ou les détails se plaçant en porte-à-faux par rapport à la continuité habituelle du reste de l’œuvre. Soudainement, ce personnage d’apparence statique en avant-plan contemple une temporalité affolée en arrière-plan, ou une section de ce film génère de la curiosité vis-à-vis du reste de sa narration. Ces points spéciaux étonnent, surprennent, et attirent l’attention en se demandant quelle est leur fonction aussi bien narrative qu’esthétique. La philosophie antique et ses synthèses contemporaines inspirent un terme, celui de « résistance vitaliste » qui ne frictionne qu’avec une section de la structure sans en chambouler les fondations, dans le seul but de manifester son existence, mue par la volonté de se déclarer au grand jour. Les conséquences sur les protagonistes de l’histoire n’en sont pas moins négligeables, car ces segments spéciaux requièrent également une attention de leur part, et alimentent leur désir de résister à leur tour, tantôt dans l’alignement esthétique de ce point de l’œuvre, tantôt contre. La même philosophie antique désigne dans pareil cas de figure une démarche de délibération, de jugement du pour et du contre, première phase essentielle pour entrer en résistance. Le héros devient alors Sage – également d’inspiration antique –, un être apte à éclairer les zones obscures et à percer l’apparente stabilité de l’autorité en place en s’attaquant à ces nœuds névralgiques. La présente thèse s’accordera à déplier cette analyse sur quatre chapitres qui l’emmèneront du particulier au général, en considérant la matière filmique même et l’entité enregistreuse (la caméra) en première instance, avant de passer aux relations entre la matière du médium et le personnage qui s’en délie, puis aux fragmentations des univers diégétiques en présence, pour enfin questionner le contexte global dans lequel l’œuvre est nécessairement saisie, fournissant les clefs de la résistance par « guérilla ». La délibération, le Sage et la résistance seront constamment au cœur des préoccupations, dès lors que le Diable se cache dans les détails. / The tremendous amount of academic papers dedicated both to cinema and video games often examine any work through its general structure, or link similar motives between several examples in order to conceptualize notions or theoretical frames. The problem of shots, or of specific fragments in a film or a video game, has been rarely questioned, particularly some peculiar details that stick out and go against the overall flow of the work involved. For instance, a static-looking character in the foreground of a picture gazes at another kind of temporality in the background (in slow or fast motion, for example), or a section of a film seems aesthetically odd compared to the rest of the narration it is inserted in. Those special bits tend to surprise the viewer, and attract their attention whilst the latter wonders about both the narrative and aesthetic role of those fragments. The antic philosophy and its modern synthesis inspire the concept of “vitalist resistance”, designating a contradictory element (even a counter-element) in one or a couple of parts of the whole structure without intending to make its foundations collapse, for the sole purpose of manifesting itself, motivated by the desire to exist in plain sight. The consequences on the protagonists of the story are far from being insignificant, since those particular segments call out to their attention as well, and incite them to resist, either alongside the aesthetic involved, either against. In such case, the same philosophy points out the necessity of making decisions, judging the pros and cons as the essential first step to resisting. The hero thus becomes a Sage – inspired by the antic philosophy as well –, in other words, an individual capable of enlightening obscure parts of the world and shaking the apparent stability of the present authority, by mincing onto those delicate bits. This thesis spreads out its analysis over four chapters that will develop the actual subject from the particular to the general, first by considering the film matter itself and the recording entity (the camera), before examining the connections between that matter and the character who unbinds himself from it, the shattering of diegetic universes, and finally the global context in which the work (film or video game) is inevitably set in, leading a “guerilla” kind of resistance. The process of decision making, the Sage and the resistance will all be at the very heart of the present work, since the Devil lurks in the details.

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