• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 22
  • 5
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 47
  • 12
  • 12
  • 10
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

Le design comme fabrique de l'altérité : trajectoires sino-américaines et vêtements en devenir à New York / Fashioning otherness through design : chinese-American Trajectories and Clothes in the Making in New York

Belkaid, Leyla 17 March 2015 (has links)
Basée sur une enquête de terrain à Manhattan, cette thèse appréhende le design en tant qu’arène transnationale de formation de la différence à partir de l’analyse des expériences, des pratiques créatives et de la production des designers de mode sino-américains nés en Asie orientale. Elle scrute les objets vestimentaires créés par un groupe de designers indépendants de la diaspora chinoise pour expliquer les cohérences et les dissonances des logiques identitaires et des processus mnémoniques qui influent sur leurs performances subjectivantes. Les récits de vie des designers et le contexte historique et social qui conditionne leurs parcours biographiques et artistiques sont examinés dans la première partie de l’essai. La seconde partie porte sur l’analyse comparative des traits stylistiques singularisants d’artefacts qui composent une sélection de collections de prêt-à-porter, selon la méthode des degrés du fait de Leroi-Gourhan. Les itinéraires sociaux hétérogènes de vêtements en circulation au moment de l’enquête à travers les réseaux commerciaux et médiatiques qui orientent leurs trajectoires de marchandises sont interrogés dans la troisème partie de la thèse. L’étude se poursuit par l’investigation des modes d’incorporation de la dynamique des innovations conçues par les designers diasporiques dans les styles de vie, les conduites sensori-motrices, les attitudes corporelles et les apparences des consommateurs. L’exploration des mécanismes par lesquels le capitalisme global opère sur les identités, les imaginaires, les objets, les techniques du corps et les techniques de soi des sujets met en lumière l’émergence de nouveaux “cosmopolitismes vernaculaires” associés à la conception, à la diffusion et au port du vêtement de mode contemporain. / Based on a fieldwork in Manhattan, the dissertation deals with design as a transnational arena for the formation of otherness through the analysis of the experiences, the creative practices and the production of Chinese-American fashion designers born in Eastern Asia. It scrutinizes the creative work of a group of independant designers from the Chinese diaspora to explain the coherences and the dissonances of the identity logics and the mnemonic processes which impact their subjective performances. The designers’ life stories and the historical and social context which determines their biographical and artistic pathways are examined in the first part of the dissertation.The second part addresses the comparative analysis of the stylistic distinguishing features of the artefacts which make up a selection of ready-to-wear collections, according to Leroi-Gourhan’s “fact degrees” method. The heterogeneous social routes of clothing items in circulation at the time of the inquiry through the commercial and media nets which drive their trajectories as commodities are questioned in the third part of the dissertation. The essay also investigates the modes of incorporation of the innovations fashioned by the diasporic designers in the lifestyles, the sensorial and motor behaviours, the bodily conducts and the appearances of the consumers. The exploration of the mecanisms through which global capitalism operates on the subjects’ identities, imaginaries, objects, bodily techniques and “technologies of the self” sheds light on the emergence of new “vernacular cosmopolitanisms” associated to the design, the dissemination and the display of contemporary dress.
42

Le vêtement, outil d’inclusion sociale pour femmes baby-boomers en situation de handicap, potentiellement en situation de handicap et en processus de vieillissement : le manteau d’hiver

Grenon, Ghislaine 02 1900 (has links)
No description available.
43

L'autre Louvre : la société du Louvre (1855-1939) / The other Louvre : the Louvre Society (1855-1939)

Guigo, Michèle 16 December 2019 (has links)
Les Grands Magasins du Louvre naissent en 1855 à l’ombre du Grand Hôtel du Louvre, dans un quartier en expansion suite aux travaux de Haussmann, deux ans seulement après la création du Bon Marché. Leur création est fortement liée au projet et au réseau des frères Pereire qui souhaitent développer le commerce et le tourisme de luxe à Paris. Les Grands Magasins du Louvre s’imposent rapidement comme l’un des principaux grands magasins, voire même le plus important par le chiffre d’affaires dans les années 1870-1880, ainsi que par l’espace occupé. En effet, d’abord enclavé par l’hôtel, le magasin conduit par ses deux gérants, Chauchard et Hériot, va engloutir toutes les boutiques environnantes, et s’emparer de l’hôtel en 1875. Ils adoptent ainsi le slogan les « plus vastes magasins du monde ». Ce premier pied dans l’hôtellerie va inciter ses dirigeants à poursuivre leur expansion dans ce domaine en exploitant trois hôtels supplémentaires, le Terminus Saint-Lazare, l’hôtel d’Orsay et le Crillon. Les Grands Magasins du Louvre sera donc le seul grand magasin à avoir investi dans un autre secteur que le commerce pour diversifier ses activités. A la fin du XIXème siècle, le magasin semble connaître son apogée étendant son influence sur le territoire national comme à l’étranger et s’approvisionnant en marchandises du monde entier. Mais la Première Guerre mondiale et surtout la crise économique des années 1930 lui porte un coup dur dont il ne se relèvera pas. En 1939 il dépose une première fois le bilan, avant que cette fermeture soit interrompue par la guerre. Il continuera à survivre après le Second conflit mondial, avant de disparaître définitivement en 1974. / The Grands Magasins du Louvre was born in 1855 in the shadow of the Grand Hôtel du Louvre, in an expanding area following the works of Haussmann, only two years after the creation of the Bon Marché. Their creation is strongly linked to the project and the network of the Pereire brothers who wish to develop trade and luxury tourism in Paris. Louvre shops are quickly becoming one of the leading department stores, and even the most important by turnover in the 1870s and 1880s, as well as occupied space. Indeed, at first locked by the hotel, the store led by its two managers Chauchard and Hériot will engulf all the surrounding shops, as well as the hotel in 1879. They adopt the slogan of "the largest stores in the world". This first foot in the hotel industry will encourage its leaders to continue their expansion in this area by operating three additional hotels, the Terminus Saint-Lazare, the hotel d'Orsay and Crillon. The Grands Magasins du Louvre will therefore be the only department store to have invested in a sector other than commerce to diversify its activities. At the end of the nineteenth century, the store seems to know its heyday extending its influence on the national territory and abroad and sourcing goods from around the world. But the First World War and especially the economic crisis of the 1930s brought him a hard blow which he will not recover. In 1939 it first filed the balance sheet, before the closure was interrupted by the war. It will continue to survive after the Second World War, before finally disappearing in 1974.
44

L'impact de la mondialisation sur les structures, les stratégies et les institutions de négociation collective : le cas de la négociation coordonnée dans l'industrie du vêtement pour hommes au Québec

Laroche, Mélanie 12 April 2018 (has links)
Cette thèse cherche à analyser les impacts de la mondialisation sur les stratégies d'acteurs et les institutions. Elle se concentre plus particulièrement sur l'acteur patronal et ses préférences en matière de structures de négociation collective. Les nouvelles réalités économiques, conjuguées aux nouvelles stratégies organisationnelles et étatiques, conduiraient les employeurs dans bon nombre de pays à vouloir décentraliser les structures de négociation. Il y a toutefois des cas d'exception. Notre principale préoccupation était d'expliquer un cas de maintien d'une structure de négociation coordonnée à la lumière de l'approche de la différenciation et des théories néo-institutionnalistes. Nous avons construit un cadre analytique qui réunit quatre types de facteurs susceptibles de modifier les préférences des employeurs pour des structures de négociation centralisées ou décentralisées : économique, organisationnel, institutionnel et stratégique. Cette thèse présente les résultats d'une étude auprès des employeurs de l'industrie du vêtement pour hommes au Québec où prévaut toujours la négociation coordonnée. Puisque la configuration d'une structure de négociation s'explique à la lumière de certains facteurs historiques, nous avons appliqué le cadre analytique à trois phases distinctes : d'abord, la phase d'implantation du régime de négociation coordonnée (1875 à 1934); ensuite, la phase de reproduction du régime (1934 à 1990) ; enfin, la phase contemporaine où la survie de la structure de négociation coordonnée dans l'industrie étudiée semble incertaine. L'étude s'appuie sur une méthodologie qualitative, et plus particulièrement, sur une méthode adaptée de la théorisation ancrée. À partir des entretiens avec les principaux responsables des entreprises, les représentants syndicaux et gouvernementaux et d'une analyse documentaire, nous avons identifié ou induit les facteurs qui influencent la propension des employeurs à poursuivre la négociation regroupée pour les trois phases historiques de l'étude. Au plan empirique, même si l'influence respective des différents types de facteurs du cadre analytique est source de tension, nous avons observé une certaine volonté partagée de poursuivre une négociation coordonnée. Les facteurs économiques et organisationnels ont imposé des pressions grandissantes sur les employeurs, mais les facteurs institutionnels et stratégiques ont permis d'amoindrir leurs effets et le maintien de la structure coordonnée. Au plan théorique, nos résultats démontrent que la mondialisation est un processus qui influence significativement les acteurs, mais qu'il n'est pas surdéterminant. En fonction du contexte institutionnel en place, différentes réponses peuvent être offertes par les employeurs en regard du type de structure de négociation à privilégier. Malgré l'influence déterminante du poids historique dans l'évaluation des coûts et des bénéfices liés à chaque type de structure de négociation, les acteurs conservent une marge de manœuvre pour susciter le changement institutionnel. / The purpose of this thesis is to analyse the impact of globalization on actor strategies and institutions. The particular focus is on employers and their preferences with regard to collective bargaining structures. The combination of new economic realities and changes in organizational and state strategies has led employers in many countries to decentralize bargaining structures. However, there are exceptions and that is why this thesis examines a case of sustained coordinated bargaining structures. Drawing on differentiation as opposed to convergence theses as well as recent developments in neo-institutionalist theories, the thesis constructs an analytical framework incorporating four types of factors (economic, organisational, institutional and strategic) likely to modify employer preferences with regard to the bargaining structures. The thesis presents the results of a study conducted with employers from the Québec men's clothing industry, where coordinated bargaining still prevails. Since the particular configuration of a bargaining structure is largely explained by certain historical factors, we have applied our analytical framework to three distinct phases in the history of the industry: first, the implementation of the coordinated bargaining regime (1875-1934); second, a long phase of institutional continuity where the regime was maintained (1934-1990); finally, the contemporary phase in which the survival of this coordinated bargaining regime appears uncertain. This study is based on a qualitative methodology and, more particularly, on an adaptation of grounded theory. On the basis of interviews with company CEOs and senior managers, union and government representatives as well as documentary analysis, we identify or infer the factors that have influenced the propensity of employers to pursue coordinated bargaining in each of the three historical phases investigated. In empirical terms, even though there are tensions observed in the interaction between the different types of factor mobilized in the analytical framework, we observed a willingness to pursue coordinated bargaining. There were growing pressures on employer coordination because of economical and organizational factors but institutional and strategic factors mitigated these pressures allowing for the coordinated structure to be sustained. In theoretical terms, our results show that globalization is a process that significantly influences the actors but is not over-determinant as regards bargaining structure choices. Different strategies may be pursued in regards to preferred bargaining structures but they must offer a degree of coherence with the prevailing institutional context. While historical factors certainly affect the evaluation of the costs and benefits for different types of bargaining structure, actors maintain a margin of manoeuvre to pursue institutional change.
45

Les codes de conduite sont-ils effectifs ? le cas de la maquiladora du Guatemala

Saulnier, Anne-Marie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
46

Union et désunion de la noblesse en parade. Le rôle des Pas d'armes dans l'entretien des rivalités chevaleresques entre cours princières occidentales, XVe-XVIe siècles (Anjou, Bourgogne, France, Saint-Empire) / Union and disunion of the Nobility. The role of Passages of Arms in games of rivalries in princely courts during the fifteenth and sixteenth century (Anjou, Burgundy, France, Empire)

Bureaux, Guillaume 20 November 2018 (has links)
Apparus en 1428 en Espagne, le Pas d’armes est un parfait exemple de l’indéniable intérêt porté par la noblesse, de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, aux arts martiaux, littéraires et théâtraux. Il s’agit, en réalité, d’une évolution de la joute et du tournoi au cours duquel un ou plusieurs chevaliers est volontaire pour garder un carrefour, une porte ou tout autre lieux symbolique. Pour différencier ces exercices des joutes, les organisateurs publient des chapitres, ou lettres d’armes, plusieurs mois en avance. Ils sont souvent constitués de deux parties, la première venant placer les chevaliers assaillants et défenseurs dans un univers magique et fantastique, le seconde présentant les règles du jeu. Notons également que la majeure partie des Pas plonge les chevaliers dans un monde fictionnel, en particulier inspire de la légende arthurienne, grâce aux chapitres, aux décors et, naturellement, aux costumes. Témoignages des contacts transculturels existent entre les cours d’Anjou et de Bourgogne avec celles d’Espagne, les Pas d’armes sont organisés à des moments décisifs pour les cours, qu’il s’agisse de mariages, de traités de paix ou d’un temps d’après-guerre ; et tous remplissent un rôle commun : mettre en lumière l’unité chevaleresque autour du Prince et de son pouvoir. Invariablement, c’est le Prince qui sort vainqueur des événements qui ont lieux au sein de sa cour. Il s’agit essentiellement pour le prince de mettre en scène son pouvoir dans ce « jeu-mimique » où l’important n’est pas tant le combat que le spectacle et la mise en lumière du pouvoir princier, tant culturel, financier que militaire. / Appearing in 1428 in Spain, the Pas d’Armes are a real example of the undeniable interest held by the nobility of the end of the Middle Ages and the beginning of the Renaissance in the arts of warfare, in literature, and theater. It is in reality an evolution of the joust and tournament in which one or several knights volunteer to keep a crossroad, a door or another symbolic place. To differ from the joust, the organizers publish chapters, or letters of weapons, several months in advance. They consisted of two parts, the first one coming to place the knights defenders and aggressors in a magic and fantastic universe, the second containing rules to be followed. It is also necessary to note that the great majority of Pas place the knights in a fictional world, in particular regarding Arthurian legend, by means of chapters, present scenery around the lists and, naturally, costumes. Testimonies of transcultural contacts between the Valois ‘courts of Anjou and Burgundy and Spanish courts, the Pas d’armes are organized at courtly decisive moments like marriages, treaties of peace or just after a war, all the Pas d’armes had a common role : to highlight the unity of knighthood around the Prince and his power. On each occasion is the Prince who emerges victorious from all the entertainment organized at his court. Essentially, it is a way for the prince to dramatize his power in this “game – mimicry” where the important thing was not so much the fighting but the scenery and the highlighting of cultural, financial and military power of the court.
47

Naissance d'une culture des apparences: le vêtement en Occident, XIIIe-XIVe siècle

Bartholeyns, Gil 22 March 2008 (has links)
Cette recherche propose une histoire immatérielle du vêtement en Occident et plus particulièrement autour des XIIIe et XIVe siècles. Que signifie s’habiller dans les sociétés occidentales où le christianisme apparaît, à l’origine, puis dans son principe, comme une contre-culture inversant le système de valeurs de la sociabilité matérielle historique.<p><p>Le développement s’attache au changement radical d’attitudes à l’égard du vêtement dans les communautés chrétiennes du Bas-Empire romain du IIe au IVe siècle ;à l’institutionnalisation des apparences chrétiennes au haut Moyen Age ;à la métaphore du vêtement comme grande figure explicative des mythes chrétiens ;au statut anthropologique du vêtement dans la pensée et les pratiques médiévales ;à l’histoire de la valeur de l’objet technique et corporel ;aux modèles de consommation des biens de luxe ;au gouvernement politique par les apparences à la fin du Moyen Âge ;aux causes de la transformation des formes du vêtement jusqu’à la naissance du phénomène de mode. Toutes les sources (théologie, littérature populaire, comptabilité, archives judiciaires, images) sont convoquées, parfois de manière quantitative. Lorsque c’est possible le raisonnement procède par inversion :mettre en lumière des situations ponctuelles par l’arrière-plan normatif ou affectif, comprendre les phénomènes de longue durée ou les contradictions internes à une société au moyen de cas précis (une controverse, par exemple). Une expérience de description « intégrée » du récit historique est donc tentée, séparant le moins possible les « univers » (le social, l’économique, le symbolique, l’esthétique…) qui forment d’un seul tenant une culture. Si l’on souhaite faire une histoire du vêtement médiéval, il n’est pas dit que les moments, les pratiques ou les auteurs interrogés appartiennent à ce que l’on appelle couramment le Moyen Âge.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0431 seconds