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Le lieu mis à l'épreuve dans le récit contemporain français : Maylis de Kerangal, Jean-Philippe Toussaint, Jean Echenoz

Alarie, Julien 09 1900 (has links)
Prenant acte de la primauté de l’espace dans quelques-uns des récits contemporains de Maylis de Kerangal, Jean-Philippe Toussaint et Jean Echenoz, cette thèse analyse le traitement des lieux dans ces fictions. Elle propose ainsi une géographie de ces œuvres récentes à partir des deux composantes intimement liées que sont le récit et l’espace. Dans des textes qui entendent se saisir d’un monde en proie à une intense perturbation des repères et du sens, la représentation spatiale, centrale, est particulièrement complexe. Ce travail repose sur l’hypothèse que l’indécidabilité et la polyphonie qui caractérisent, dans les textes du corpus, le renouvellement de la forme romanesque répondent à la porosité et à l’instabilité de l’espace évoqué. Après un retour critique sur les principales approches du lieu en littérature, cette thèse s’attache à la primauté du registre visuel dans les textes étudiés et à l’influence du cinéma qui se traduit notamment par la conception de lieux-décors. L’analyse du point de vue et des perceptions mises en scène dans les textes fait apparaître une pulsion panoptique reconduisant les impératifs de visibilité et de transparence de nos sociétés. Des personnages nomades traversent des non-lieux provisoires, en chantier, saturés par les images, les écrans, les lumières et les couleurs. Cependant, en dépit de la tension panoptique du point de vue et de la saturation des espaces évoqués, selon des modalités différentes et à des degrés divers, entre autres par un nivellement qui tend à gommer les différences et les caractéristiques des lieux, c’est le vide qui prédomine dans l’espace que représentent ces récits ; la mise à l’épreuve des lieux consistant finalement à tenter d’habiter l’inhabitable. / Taking note of the primacy of space in contemporary fictions by Maylis de Kerangal, Jean-Philippe Toussaint and Jean Echenoz, this thesis focuses on the treatment of places in these texts. Its goal is to outline a geography of the three authors’ recent works based on the two inextricably linked components of these “spatial stories”: the space and the story. In these fictions that intend to capture a world plagued by a disruption of landmarks and meaning, the representation of space, though central, is particularly complex. This thesis’ general hypothesis is that the undecidability and the polyphony which characterize the contemporary narrative renewal in these texts respond to the porosity and the instability of the evoked space. After a review of the main spatial approaches in literature, this thesis discusses the preeminence of the visual dimension and the influence of cinema in the studied texts. The analysis of the narrative point of view in the works of Kerangal, Toussaint and Echenoz reveals a panoptic impulse in line with the visibility and transparency injunctions of our societies. Nomadic characters visit temporary non-places, under construction, and saturated by images, screens, lights, and colors. However, despite the panoptic tension of the point of view and the saturation of the places represented, a sense of spatial vacuity, expressed in the works of the three authors in diverse ways and to varying degrees, prevails, reinforced by the homogenization that tends to neutralize the characteristics of places. The problematization of space consists in trying to inhabit the uninhabitable.
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À l’ère du numérique, où est le magazine? : déambulation et écologie médiatique urbaine du magazine imprimé contemporain

Gladu, Hugo P. 12 1900 (has links)
Dans ce mémoire, je défends l’idée que le magazine contribue à l’aménagement des lieux qui constituent l’espace public urbain et qu’il fait partie intégrante de « textures » (Adams et Jansson, 2012) qui construisent socialement et culturellement les lieux. J’étudie le magazine imprimé comme un objet physique et situé et m’intéresse aux infrastructures qui le rendent visible. Par une écologie médiatique urbaine, je propose d’ériger un pont entre l’objet médiatique « exceptionnel » (Abrahamson, 2007) qu’est le magazine imprimé et ses lieux afin de considérer le magazine autrement que par les analyses de contenu qui ont dominé les études sur le magazine. En déambulant dans les rues de Montréal, je suis allé à la recherche du magazine pour témoigner de sa présence continue à l’ère du numérique. / In this thesis, I argue that the printed magazine contributes to the planning of the places that make up urban public space and that it is an integral part of the 'textures' (Adams and Jansson, 2012) that socially and culturally construct places. I study the printed magazine as a physical and situated object and I am interested in the infrastructures that make it visible. Through an urban media ecology, I propose to build a bridge between the 'exceptional' (Abrahamson, 2007) media object that is the printed magazine and its places in order to consider the media differently from the content analyses that have long dominated magazine studies. Wandering the streets of Montreal, I went in search of the magazine to highlight its continued presence in the digital age.
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Révéler le potentiel des lieux publics à travers les pratiques subversives de Lynne Cohen et du Péristyle Nomade

Mallette, Sophie 05 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la modification de notre perception de la ville par l’intermédiaire de pratiques artistiques. À travers l’analyse de la performance Cellule R-134 du collectif montréalais Péristyle Nomade et de la photographie Untitled (Astroturf) de la photographe étasunienne-canadienne Lynne Cohen, nous examinons le rôle que peuvent jouer certaines pratiques sur notre façon de percevoir autrement la ville – sans changer la ville elle-même. Ce changement de perception peut mener à une réappropriation de l’espace urbain par la révélation de son potentiel. La définition de certaines notions clefs, comme celles d’espace public, de lieux et de non-lieux, permet d’interroger le caractère paradoxal des lieux publics qui, malgré leur fonction « publique », n’encouragent pas la présence humaine. Ce sont les espaces publics, ou semi-publics, que nous sommes porté.e.s à fréquenter régulièrement en milieu urbain qui sont abordés ici. En effet, bien que la ville occupe une place déterminante dans la vie des personnes qui y vivent, elle n’est pas réellement conçue pour leur bien-être mais plutôt, pour servir des intérêts politiques et économiques. La ville contribue dès lors à générer un sentiment d’aliénation. Cette aliénation est alimentée, entre autres, par les dispositifs de sécurité déployés dans l’espace public. Ces mesures dissimulent bien souvent des motifs de contrôle et d’assujettissement tout en servant à justifier, et à maintenir, l’exclusion de certains groupes marginalisés. Les problèmes de circulation locale en milieu urbain ainsi que l’aspect peu accueillant, voire hostile, de nombreux lieux publics, attestent eux aussi du fait que le bien-être de la population n’est que très rarement une priorité. Les œuvres Cellule R-134 et Untitled (Astroturf), en se réappropriant et détournant les codes des stratégies de surveillance et de contrôle employés dans l’espace public, ou encore, en soulignant les manques d’infrastructures ou d’attention portée dans celui-ci, en révèlent leur absurdité et leur violence. Ces constats confirment la nécessité de percevoir la ville autrement et de se la réapproprier. Ce changement de perception est abordé à travers l’exploration des possibilités qu’offrent deux types d’expériences urbaines : collective, axée sur les échanges et les rencontres, et individuelle, faisant plutôt appel aux sens et aux émotions de façon intime. L’art favorise ces expériences et permet ainsi d’humaniser ces (non-)lieux fréquentés au quotidien. Les œuvres Cellule R-134 et Untitled (Astroturf) proposent ainsi des outils réalistes pour se réapproprier la ville plutôt que de la subir passivement. Elles encouragent l’agentivité dans un contexte où celle-ci est justement limitée et démontrent le pouvoir que nous avons sur notre capacité à faire sens. / This dissertation focuses on artistic practices as means of changing our perspective on the city. Through the analysis of the performance Cellule R-134 by the Montreal collective Péristyle Nomade and the photograph Untitled (Astroturf) by American Canadian photographer Lynne Cohen, we examine the role that certain practices can play on perceiving the city differently – without changing the city itself. This change of perspective can lead to a reappropriation of urban space by revealing its potential. The definition of certain key notions, such as public space, places and non-places, allows us to question the paradoxical character of public places which, despite their “public” function, do not encourage human presence. It is the public, or semi-public, spaces that we tend to frequent daily in an urban environment that are discussed here. Indeed, although the city plays a determining role in the lives of its inhabitants, it is not designed for their well-being but rather, to serve political and economic interests. The city therefore participates in generating a sense of alienation. This alienation is fueled, among other things, by the security measures implemented in public spaces. These measures, often concealing motives of control and subjugation, also serve to justify, and maintain, the exclusion of marginalized groups. Local traffic problems in urban areas as well as the unwelcoming, even hostile, appearance of many public places also attest to the fact that the well-being of the population is rarely a priority. The works Cellule R-134 and Untitled (Astroturf), by reappropriating and hijacking the codes of surveillance and control strategies used in public space, or by highlighting the lack of infrastructure or attention paid to them, reveal their inherent violence and absurdity. These observations confirm the need to perceive the city differently. This change of perspective is approached by exploring the possibilities offered by two types of urban experiences: collective, centered on exchanges and encounters, and individual, engaging the senses and emotions in an intimate way. Art encourages these experiences, humanizing the (non-)places we frequent daily. The works Cellule R-134 and Untitled (Astroturf) offer realistic tools for reappropriating the city rather than passively enduring it. They promote agency in a context where it is precisely limited and demonstrate the power we have over our ability to make sense.
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(en) revenir suivi de Josée Yvon et ses Filles-commandos bandées : le potentiel révolutionnaire des marginales

Roy, Daphnée 10 February 2024 (has links)
(en) revenir (roman) (en) revenir est un roman autofictif rédigé à la première personne du singulier, composé d’un enchaînement d’épisodes anecdotiques permettant d’en connaître davantage au sujet de sa narratrice, Véronique. Dans le début de la vingtaine, la jeune femme raconte avec recul, introspection et humour son passage de l’adolescence à l’âge adulte, en y évoquant les rencontres marquantes qu’elle a effectuées durant ces années charnières de sa vie. Parmi celles-ci se trouvent Max, son ancien copain et premier amour, dont la narratrice est encore amourachée, et Amélie, meilleure amie excentrique et collègue de travail au Café Beausoleil à Saint-Roch, où une grande partie de l’action prend place. De ce fait, la Basse-Ville tient également un rôle central au sein du récit, puisque c’est dans ses environs que l’histoire de Véronique se déploiera, avec ses hurluberlus et cette ambiance particulière caractéristique d’un quartier défavorisé en pleine gentrification. Ce récit, malgré ses touches ironiques, relate avant tout l’histoire d’une jeune femme désillusionnée, blasée par l’université, le travail à temps partiel et les relations à sens unique. Sa quête naïve d’amour absolu la poussera dans ses derniers retranchements. Josée Yvon et ses Filles-commandos bandées : le potentiel révolutionnaire des marginales (essai). Filles-commandos bandées, publié en 1976, est le premier recueil de poésie de Josée Yvon, poétesse issue de la contre-culture québécoise. Sans compromis, cet ouvrage suit la publication de « La poche des autres » à La Barre du jour, revue intellectuelle dirigée par Nicole Brossard. Ce pamphlet datant de l’automne 1975 laissait déjà entrevoir les visées de la démarche poétique yvonienne : celle de faire sortir de l’ombre les figures de femmes marginales – de la mère de famille vivant toujours sous l’hégémonie patriarcale à la prostituée travaillant dans les ruelles du Centre-Sud montréalais – et celle d’y parvenir en rejetant radicalement les codes établis par les institutions littéraires et sociales. Filles commandos bandées témoigne de ce désir de renouveau et de rébellion à travers différentes stratégies touchant le fond et la forme, lesquelles donnent à voir le processus de réhabilitation des marginalisées mis en place par Yvon. C’est par la nomination des femmes sans nom et la normalisation des figures trans, quarante ans avant que la transsexualité ne perde son titre de maladie mentale et à une époque où même les féministes refusaient que les femmes transsexuelles leur soient associées, que Josée Yvon a su graduellement les doter d’une dignité longtemps refusée par le système. L’emprunt au genre du manifeste, suffisamment prégnant pour considérer Filles-commandos bandées comme un « manifeste poétique », permettra à Yvon d’évoquer la nécessité d’une prise de conscience des femmes au sujet de leur condition. De celle-ci résultera l’instauration d’une solidarité nouvelle et la formation d’une communauté de femmes déchues, creuset idéal où pourront germer l’idée puis l’action révolutionnaires.
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Étude et essai expérimental sur les costumes antiques : exemples de formes et de couleurs provenant de la peinture de la Villa des Mystères à Pompéi

Boissonneault, Jeanne D'Arc 11 April 2018 (has links)
Les peintures de Pompéi ont été très souvent étudiées surtout celle de la Villa des Mystères. Les vêtements que portent les femmes de cette peinture sont d'un attrait particulier. Une description très détaillée des six principaux vêtements étudiés comparés à des exemples similaires quant à leurs formes et, si possible, quant à leurs couleurs nous permet de noter plusieurs problèmes. C'est pourquoi nous avons approfondi nos connaissances sur les textiles, sur les différentes colorations utilisées à cette époque et sur les diverses techniques connues dans l'Antiquité pour permettre la réalisation de certains de ces vêtements. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Au sujet de certaines fortifications de la Cisalpine romaine

Massa, Gabriella A. 25 April 2018 (has links)
Les villes de la Cisalpine romaine sont le témoignage de l'esprit pratique des Romains. Aquileia, Rimini, Vérone (à l'est), Aoste et Turin (à l'ouest) qui ont été construites comme têtes de pont de la conquête romaine, sont des exemples uniques d'architecture militaire, à la fois solide, monumentale et d'harmonie de formes. Nous avons voulu étudier leurs structures et à l'aide des vestiges nous avons comparé les modes de constructions et les analogies avec les conseils que donnent les architectes anciens, au sujet de la fortification. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les productions céramiques égyptiennes en région thébaine du 8e au 6e siècle avant notre ère: traditions, influences et innovations / Egyptian ceramic production in the Theban Area from the 8th to the 6th century BC: traditions, influences and innovations

Boulet, Stéphanie 03 April 2015 (has links)
L’étude des productions céramiques thébaines des 25e et 26e dynasties (c. 750-525 avant notre ère) a longtemps été négligée en raison d’un manque incontestable de contextes archéologiques stratifiés. Cette thèse a pour objectif l’étude de cette industrie par un examen rigoureux du matériel céramique de la chapelle d’Osiris Ounnefer Neb-Djefaou à Karnak (IFAO – sous la direction de L. Coulon) et du secteur du temple de Ptah à Karnak (CFEETK – sous la direction de Chr. Thiers). A cela s’ajoutent les données extraites des fouilles récentes des tombes TT 29 et TT C3 à Cheikh Abd el-Gourna (ULB / MANT – sous la direction de L. Bavay et D. Laboury). <p><p>En plus d’une définition précise de cette industrie par de l’établissement d’une analyse typologique fine, ce travail vise à associer les changements politiques de la ville de Thèbes avec les développements des productions céramiques locales. <p>Vers le milieu du 8e siècle avant notre ère, des évolutions techniques et morphologiques majeures se produisent dans l’industrie céramique thébaine, donnant naissance à un nouveau répertoire spécifique de cette région, se distinguant clairement des productions de la Basse-Egypte. Cette différenciation semble être le reflet des tensions politiques entre le nord et le sud du pays. Cette industrie va se développer au cours de la Basse Epoque avec des formes devenant plus sinueuses, complexes et carénées. Un nouveau traitement de surface se développe grâce au tour rapide :les stries plates, éléments caractéristiques des productions thébaines de la Basse Epoque. <p>Sous la dynastie nubienne, les produits vraisemblablement originaires de la région thébaine sont diffusés en Egypte et en Nubie. Cette diffusion a pour conséquence quelques phénomènes d’interactions en Egypte, mais surtout en Nubie où se développe un nouveau répertoire formel inspiré des productions céramiques thébaines, en parallèle aux productions locales.<p><p>Ce travail s’articule en trois parties. La première reprend une présentation des différents sites et contextes archéologiques exploités dans cette analyse. La deuxième correspond à une étude typologique des productions céramiques thébaines alors que la troisième partie se penche sur une synthèse reprenant une définition complète de la production thébaine. <p>Cette thèse a pour objectif d’utiliser l’objet céramique comme un élément datant et le témoin d’un savoir-faire, mais également comme un marqueur de changements politiques et économiques./<p><p><p>The study of the Theban ceramic production from the 25th to the 26th Dynasty (c. 750-525 BC) has been neglected for a long time because of a lack of stratified archaeological context. The aim of the thesis is to analyse the ceramic material coming from the chapel of Osiris Wennefer Ned-Djefau at Karnak (IFAO – Dir. L. Coulon) and from the temple of Ptah at Karnak (CFEETK – Dir. Chr. Thiers). The study of the pottery from the tombs TT 29 and TT C3 at Cheikh abd el-Gourna broadens our knowlegde on this production (ULB-ULg – MANT – Dir. L. Bavay et D. Laboury). <p><p>In addition to the formulation of a precise definition of this industry by the establishment of a new ceramic typology, this work aims to associate the political changes occurring in Thebes at that period with the evolution of the local ceramic production. <p>In the mid-8th century BC, technical and morphological changes are observed in the Theban ceramic industry, defining a specific industry in the region, a pottery repertoire which is easily distinctive from the ceramic production from the North of Egypt. This distinction is the reflection of political tensions between the North and the South at this time. The above-mentioned industry developed during the Late Period with more complex, marked and carinated shapes; a new surface treatment appeared thanks to the use of the kick-wheel: ribbed surface, which is a specific element of the Theban production in the Late Period. <p>Under the Nubian Dynasty, pottery from the Theban area is spread through Egypt and Nubia. This distribution caused some interaction phenomenas in Egypt, but also in Nubia where a new ceramic repertoire developed alongside the local ceramic industry. <p><p>This work has been divided in 3 parts. The first part corresponds to a presentation of archaeological sites and contexts used for the study. The second part presents a typological analysis of the Theban production. The last part is a synthetic analysis of the Theban pottery production. <p>The thesis tends to prove that the ceramic object is certainly a dating data and the testimony of a savoir-faire, but also the testimony of political and economical changes.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Organisation administrative du bureau de l'agriculture d'Umma à l'époque de la Troisième Dynastie d'Ur

Vanderroost, Nicolas 10 December 2012 (has links)
L’objectif de l’étude consiste en l’analyse de l’organisation administrative du bureau de l’agriculture de la province d’Umma à l’époque de la Troisième Dynastie d’Ur. La comparaison avec la situation qui prévaut dans la province méridionale de Girsu-Lagaš montre que le secteur agricole d’Umma est environ cinq fois moins important que de sa voisine.<p>L’étude identifie les districts agricoles de la province d’Umma et leurs responsables. Elle définit en outre le nombre de charrues utilisées pour cultiver les terres arables de l’état ainsi que leur répartition par district.<p>Elle propose enfin dans un deuxième volume une prosopographie des administrateurs de domaines agricoles et des laboureurs. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ville et campagne à l'épreuve des modes d'habiter. Approche biographique des logiques habitantes.

Morel-Brochet, Annabelle 17 November 2006 (has links) (PDF)
Cette étude centrée sur l'habitant analyse les sensibilités géographiques et la valeur des milieux de vie urbains, périurbains et ruraux. La méthode d'enquête par entretien biographique compréhensif a donné lieu à 69 récits de lieux de vie. La « relation habitante » comprend deux dimensions : l'une, concrète, s'exprime spatialement dans les modes d'habiter ; l'autre, plus idéelle, renvoie à l'habiter. Ce travail explore les composantes et les mécanismes de la relation habitante, examine la signification du caractère polytopique des modes d'habiter. Il évalue aussi la place de la matérialité des milieux et du vécu dans la valeur des espaces et le bien-être. Il est apparu que l'emploi des notions de ville et campagne par les habitants vise à différencier physiquement les milieux de vie et à témoigner de leur habitabilité. La multiplicité des lieux de vie au quotidien ou au cours de l'année suit une logique de compensation, de contraste ou de complémentarité en combinant leurs aménités.
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La ville de Rebus : polarités urbaines dans les romans d'Ian Rankin (1987-2007)

Dujarric, Florence 07 December 2013 (has links) (PDF)
La présente étude analyse les représentations de la ville dans la série policière d'Ian Rankin dont l'inspecteur John Rebus est le protagoniste. La polarité étant l'un des principes organisateurs de l'écriture rankinienne, notre analyse s'articule autour de plusieurs couples de notions antinomiques. Nous remettons d'abord en cause la légitimité de l'antinomie qui oppose la littérature à la " littérature de masse ", dans laquelle est souvent classé le roman policier. Cela nous conduit à redéfinir le roman policier, et mettre en perspective la série dans le contexte du monde littéraire et artistique écossais contemporain. Puis nous étudions l'articulation entre topographie réelle et lieu imaginaire dans l'Edimbourg de Rankin. Toute une géographie urbaine se dessine dans les romans ; l'arpentage incessant de l'espace par le protagoniste fournit l'occasion de références très spécifiques à la topographie et à la toponymie, et la sérialité tisse peu à peu un dense réseau de points nodaux ainsi qu'une multiplicité de trajets potentiels que nous avons représentés par des cartes fournies en annexe. Mais dans d'autres cas, l'espace se fait générique, se réfère plus à des conventions cinématographiques qu'à la carte de la ville. Nous envisageons enfin la ville d'Edimbourg comme un personnage ambivalent dans la lignée des personnages du roman gothique. La filiation gothique est perceptible dans l'esthétique de la ville, et la surface de la carte est compartimentée suivant un ensemble d'axes polarisants. Toutefois, cette carte se déploie elle-même par-dessus un double souterrain et non cartographiable d'Edimbourg, à la fois mémoire et inconscient de la ville.

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