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Infrastructures de transport et dynamiques spatiales. Le rôle des aéroports dans le développement économique et l’aménagement des territoires environnants : le cas de Dakar / Transport infrastructure and spatial dynamics. The role of airports in the economic development and development of the surrounding territories : the case of Dakar

Danfakha, Sira 12 December 2017 (has links)
Cette thèse de doctorat se veut comme objectif d’analyser les rapports qui lient l’infrastructure aéroportuaire à son environnement. Elle s’appuie sur l’exemple des aéroports de Dakar et de Diass au Sénégal. Le travail se réfère à deux niveaux. D’abord une étude de la zone aéroportuaire de Dakar-Yoff qui montre comment l’infrastructure a contribué à l’émergence de la métropole internationale. Les communes limitrophes de l’aéroport (Yoff, Ouakam et Ngor), situées dans l’arrondissement des Almadies, ont vu leur territoire évoluer physiquement et économiquement depuis son installation dans la banlieue nord-ouest de Dakar. L’analyse des cartes géographiques, depuis les années 1940 jusqu’à nos jours, témoigne d’une réelle dynamique spatiale dans cette partie de la région de Dakar. En partant des caractéristiques de l’aéroport et des dynamiques économiques et urbaines qui ont accompagné son évolution, l’analyse révèlera que la non maitrise de l’urbanisation à ses abords et le mépris des réglementations conduiront à des problèmes multiples et par conséquent à la décision de l’état du Sénégal de transférer l’équipement sur un nouveau site, à une quarantaine de kilomètres de Dakar. La construction de la nouvelle plateforme et les différents projets qui y sont associés placent les nouvelles communes d’accueil, Diass et Keur Moussa, situées en zones rurales, au centre des enjeux politiques et économiques du pays et affectent leur développement futur. L’émergence de l’aéroport comme acteur du développement économique et territorial, en particulier pour les territoires environnants, montre les liens qui peuvent exister entre l’infrastructure aéroportuaire et son environnement. Ces liens se traduisent par plusieurs aspects visibles qui sont discutés dans cette contribution. / This doctoral thesis aims to analyze the relationships that link the airport infrastructure to its environment. It is based on the example of Dakar and Diass airports in Senegal. The work refers to two levels. First, a study of the Dakar-Yoff airport zone, which shows how the infrastructure contributed to the emergence of the international metropolis. The municipalities bordering the airport (Yoff, Ouakam and Ngor), located in the district of Almadies, have seen their territory evolve physically and economically since its installation in the northwestern suburbs of Dakar. The analysis of geographical maps, from the 1940s to the present day, testifies to a real spatial dynamic in this part of the Dakar region. Based on the characteristics of the airport and the economic and urban dynamics that accompanied its evolution, the analysis will reveal that the lack of mastery of urbanization in its surroundings and the disregard of regulations will lead to multiple problems and consequently to the decision of the state of Senegal to transfer the equipment to a new site, about forty kilometers from Dakar. The construction of the new platform and the various projects associated with it place the new host municipalities, Diass and Keur Moussa, located in rural areas, at the center of the country's political and economic challenges and affect their future development. The emergence of the airport as an actor of economic and territorial development, especially for the surrounding territories, shows the links that can exist between the airport infrastructure and its environment. These links translate into several visible aspects that are discussed in this contribution.
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Quand les albums parlent d'Espace. Espaces et spatialités dans les albums pour enfants / When Picture Books Speak of Space. Spaces and spatiality in children’s picture books

Meunier, Christophe 04 December 2014 (has links)
Le travail présenté dans cette thèse s’inscrit dans le champ de la géographie culturelle et veut participer à prouver qu’il existe un tournant spatial tel qu’il a été défini par Edward Soja en 1996, qui permet de porter un regard autre sur les sociétés en les analysant à partir des objets culturels qu’elles produisent. Les albums pour enfants, ces livres conçus pour le jeune public qui combinent images, supports et très souvent textes dans un rapport d’interdépendance, constituent les objets de ce travail de recherches. Envisagés comme des produits culturels géographiques, ils interrogent, disent, représentent et mettent en scène espaces et spatialités. S’intéressant à un corpus d’albums iconotextuels narratifs édités en France entre 1919 et 2012, ce travail s’emploie à démontrer qu’il existe une interdépendance entre trois instances narratives (textuelle, iconique et plastique) et que cette interdépendance génère et imagine non seulement de l’espace pour le lecteur mais également une intentionnalité spatiale, une transmission d’un habiter tel qu’il est pensé par l’auteur-illustrateur. La dernière partie de ce travail, plus exploratoire, propose de voir dans l’album pour enfants un lieu de communication dans lequel l’intentionnalité spatiale aiderait le lecteur-enfant à agir sur de l’espace. La réception, l’expérience esthétique, la lecture performative de l’album permettraient à l’enfant de se construire un capital culturel spatial dans lequel il pourrait puiser pour « faire avec » l’espace qu’il habite ou qu’il aura à habiter. / The work presented in this dissertation fits in the field of cultural geography and hopes to prove that there exists a spatial turning point as defined by Edward Soja in 1996, which will allow a further look into societies, analyzing them by means of the cultural objects that they produce.Children’s picture books, these books conceived for the young public which combine images, props, and very often text in a relationship of interdependence, constitute the objects of this research work. Considered as geographic cultural products, they question, state, represent, and stage spaces and spatialities.Drawing from a body of narrative, iconotextual picture books published in France between 1919 and 2012, this work intends to demonstrate that there exists an interdependence among three narrative instances (textual, iconic, and plastic) and that this interdependence generates and imagines not only space for the reader but also a spatial intentionality, a transmission of living such as envisioned by the author-illustrator.The last part of this work, more exploratory, proposes seeing in children’s books a place of communication in which the spatial intentionality would help the child-reader to act on the space. The reception, the esthetic experience, the performative reading of the picture book would allow the child to construct for himself a spatial cultural capital in which he could delve to “play with” the space in which he lives or that he will have to live.
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Les territoires du Hip-Hop à Bruxelles: marqueurs des transformations contemporaines d'un mouvement culturel populaire / Hip-Hop territories in Brussels: illustrating the contemporary transformations of a popular cultural mouvment.

Quittelier, Benoît 23 June 2014 (has links)
Au travers de ce travail, la culture Hip-Hop est approchée au travers de son rapport à l'espace de la ville de Bruxelles. Après avoir montré le décalage entre les lieux de pratique et les lieux de revendications symboliques de la culture Hip-Hop, les différents transformations contemporaines de celle-ci sont étudiées, notamment son institutionnalisation./ Trough this research, Hip-Hop culture is approached by its relation to the Brussels city space. After analysing the differences between the practical and the symbolic space of Hip-Hop culture, its contemporary transformations are studied, especially the relation between Hip-Hop and cultural policies / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les rugosités de Bruxelles: ethnographie politique d'un milieu culturel d'intervention urbaine :entre ville des possibles et ville par projet

Jamar, David 20 April 2012 (has links)
Depuis le milieu des années quatre-vingts-dix, Bruxelles comme enjeu d’actions collectives, apparaît sous des formes inédites. Ce sont des lieux dés-affectés, des friches ou des lieux discontinus qui font, avant la constitution d’un quelconque programme politique, l’objet de mises en scène artistiques ou culturelles. Depuis celles-ci se nouent des alliances plutôt que des fédérations représentatives, se produisent des groupes et émergent des énoncés, bref se tisse un milieu culturel d’intervention urbaine au contact des hésitations d’autres milieux urbains plus institutionnalisés. Une Bruxelles rugueuse et fissurée tant d’un point de vue physique, social qu’institutionnel et politique y devient ressource de sens et d’action contre une ville dès lors qualifiée de lisse. Ces constructions de possibles s’appuient sur des figures d’Usager, de Créativité voire de Métropole, et se distancie ainsi d’une ville héritée des premières luttes urbaines, que des urbanistes-artisans auraient à rapiécer autour des Quartiers et des Besoins d’Habitants.<p>Cette thèse propose une description de l’émergence, de la constitution, des modes de stabilisation, de rigidification, de fermeture et de solidification de ce milieu à partir des situations hétérocilites qui le font autant diverger que tenir. Ces situations sont autant des actions culturelles, des actions de dénonciation, des plate-formes émergentes visant à peser sur le développement urbain, que des projets urbanistiques et architecturaux. Elle décrit les capacités dont se dotent des collectifs – parfois qualifiés d'alternatifs – à mettre la ville en problèmes ainsi que les effets de la capture de ces expériences sur la production de nouveaux dispositifs publics d'action urbaine. <p>C’est alors qu’est interrogée la constitution, à partir de nouvelles zones d’interventions publiques à Bruxelles, d’un nouveau pli institutionnel au sein de couches préexistantes héritières des premières luttes urbaines. Ce pli s’appuie sur une requalification des rapports entre créativité, attractivité urbaine, participation et action politique. Architectes et urbanistes jouent alors un rôle central dans la constitution d’un urbanisme par projet qui suppose à la fois une planification plus procédurale sensible à la spécificité des nouveaux pôles de développement et une nouvelle échelle de référence visant à situer Bruxelles comme métropole internationale. <p>Le milieu décrit oscille – et parfois se fragmente – entre des expérimentations de villes des possibles et constitution d’une ville par projet. Entre les deux, ce sont les effets de ce milieu qui font enjeu. Les frictions urbaines, les formes de créativité, les usagers, les interstices que ces deux acceptions partagent peuvent constituer de nouveaux mots d’ordre, des présupposés destinés à être digérés dans de nouvelles généralisations utopiques – une ville créative à appliquer sur des espaces pour des publics cibles à éduquer – ou alors devenir l’occasion de cultures interstitielles favorisant des reprises usagères de co-constructions de localités. L’engagement propositionnel de cette thèse consiste, à partir des réussites et des échecs partiels du terrain, à rechercher certaines des conditions de possibilité de cette dernière acception.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Aux abords de la sépulture méroïtique: les approches du monument funéraire à l'époque méroïtique

Quertinmont, Arnaud 10 January 2012 (has links)
Bien que la littérature scientifique relative aux nécropoles méroïtiques, royales ou privées, soit assez abondante, force est d’admettre qu’aucune étude globale concernant le mobilier associé au monument funéraire méroïtique bâti n’a jamais été effectuée. Ce matériel considérable n’a, en effet, été traité que sommairement dans les diverses publications, que ce soit dans le cadre général de monographies relatives à un site en particulier ou d’une façon éclectique dans des ouvrages de synthèse, des articles transversaux ou autres catalogues d’expositions temporaires.<p><p>Le but du présent travail n’est pas d’opérer un recensement de tous les objets liés aux superstructures connus à ce jour, ni même de dresser une carte des traditions funéraires méroïtiques au Soudan, de nombreux travaux inédits étant toujours en cours sur plusieurs sites archéologiques, mais bien de réunir les informations disponibles sur le mobilier archéologique relatif à ces structures spécifiques. Par le biais d’une approche méthodologique multiple (archéologique, architecturale, chronologique, stylistique, typologique et religieuse) et au moyen de la restitution des objets dans leur contexte physique, nous tenterons de reconstituer une gestuelle particulière, de même que de déterminer une évolution de ces pratiques et préciser ainsi la symbolique liée aux objets concernés. Nous chercherons à comprendre quels furent les actes et les démarches pratiqués par les acteurs de la cérémonie funéraire, membres de la famille et prêtres, visant à célébrer le souvenir du défunt dans la mémoire collective. En effet, il ne faudrait pas offrir une vision réductrice du complexe funéraire et des différents rites pratiqués, comme s'il ne s'adressait qu’au défunt. Ces différents actes et gestes sont également destinés aux vivants, en modifiant les relations qu’ils entretiennent avec le disparu, changeant ainsi son statut dans le maillage social de la société. Les différentes actions réalisées dès le scellement de la chambre funéraire sont autant d’indices sur la façon dont les Méroïtes accomplissaient leur deuil. <p><p>Il conviendra tout d’abord de s’intéresser aux traditions royales et de déterminer ensuite quand et de quelle façon ces traditions ont été adoptées par les élites de l’empire de Méroé, tant au niveau de la capitale que dans le reste de l’empire.<p><p>Un dépouillement des archives de fouilles, notamment celles de G.A. REISNER, nous a permis de découvrir des photographies inédites de certaines étapes de la fouille révélant ainsi des informations de première importance quant à l’emplacement originel de certains objets, ou illustrant d’autres objets qui ne figuraient dans aucune publication parce que jugés sans réelle importance à l’époque. La présente étude, dont de nombreuses approches sont inédites, permet d’établir un état de la question, de conforter certaines idées précédemment avancées dans la littérature scientifique et pose à nouveau la question de « l’égyptianisation » des élites de Méroé et de la perception de la civilisation égyptienne qu’en ont les cultures limitrophes et ce, dans les différentes couches sociales.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Recherches sur l'administration de la Thébaïde à l'époque ptolémaïque, 323-30 av. n. è.

Bieganski, Nicolas 30 September 2011 (has links)
Au début de l’époque ptolémaïque, la Thébaïde constitue un ensemble original tant géographiquement que structurellement :elle s’étend de Syène à Lykopolis et est administrée comme un nome depuis Thèbes qui est sa métropole, avec un stratège et un nomarque (thébarque) établis à sa tête. Le règne des Lagides est marqué par une normalisation de cette administration, qui s’effectue au rythme des troubles politiques (sécession de 206-186, guerre civile de 132-124, révolte thébaine de 88-85) ;au Ier siècle et suite à des évolutions successives, le nome canonique est redevenu l’unité territoriale de base de l’administration thébaïque. Cette restructuration ne peut être comprise qu’au regard de l’histoire de la région dans les derniers siècles de l’époque pharaonique :les Lagides ont hérité d’une désorganisation née de la Troisième Période intermédiaire et de la Basse Époque, au cours desquelles les temples ont occupé une place prépondérante dans le gouvernement méridional, se substituant souvent à un pouvoir central défaillant. Les souverains grecs se sont appuyés sur ces institutions religieuses pour installer leur administration en Thébaïde, suivant en cela la tradition égyptienne ;les constructions religieuses, nombreuses dans le sud, sont à mettre en parallèle à cet effort d’ « administralisation »./At the beginning of the Ptolemaic period, the Thebaid is an original set both geographically and structurally :it stretches from Aswan to Lykopolis and is administered as a nomos from Thebes which is his metropolis, headed by a strategos and a nomarch (thebarch). The reign of the Ptolemies is characterized by a normalization of this administration, which fluctuated with the political unrest (secession of 206-186, civil war of 132-124, Theban revolt in 88-85) :in the 1st Century BC and after successive developments, the canonical nomos is again the basic territorial unit of the southern administration. This restructuring can be understood only in the light of the history of the region in the last centuries of the Pharaonic era :the Ptolemies had inherited a disruption created by the Third Intermediate Period and the Late Period, during which temples have occupied a prominent place in the southern government, often replacing a failing central power. The Greek rulers have relied on these religious institutions to set up their administration in the Thebaid, in line with Egyptian tradition ;religious buildings, many in the South, are set parallel to this effort of “administralization”. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La production des espaces publics dans la ville contemporaine: enjeux, acteurs et logiques de gestion et d'aménagement dans trois communes de la Région de Bruxelles-Capitale

Dessouroux, Christian 05 July 2006 (has links)
La production des espaces publics dans la ville contemporaine - Enjeux, acteurs et logiques de gestion et d'aménagement dans trois communes de la Région de Bruxelles-Capitale / Doctorat en sciences, Spécialisation géographie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lorsque les nouvelles populations rurales rencontrent les plus anciennes : l’expérience géographique au cœur de la nouvelle ruralité au Québec

Guimond, Laurie January 2012 (has links)
Mobilité, désir d’accéder à une meilleure qualité de vie, attraction de la campagne s’accélèrent depuis une trentaine d’années au Québec, comme ailleurs en occident. La campagne et les usages que l’on en fait se diversifient et se complexifient, à l’instar des populations qui l’habitent. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur l’expérience géographique de la campagne, en tant qu’espace social. Elle met en lumière l’expérience géographique des ruraux, plus particulièrement les modalités de leur rencontre dans divers lieux qui marquent leur quotidien. Le matériel empirique de la thèse consiste surtout en des témoignages recueillis lors d’entrevues qualitatives menées auprès de nouveaux résidents et des ruraux de longue date dans deux municipalités régionales de comté (MRC) contrastées au Québec : Brome-Missisquoi et Arthabaska. La démarche privilégiée et les principales contributions qui en découlent se déclinent en trois temps. D’abord, une comparaison directe des deux populations rurales étudiées fait ressortir que leurs pratiques de mobilité et leurs sens des lieux se rejoignent dans une certaine mesure, mais affichent aussi des différences. Par exemple, elles partagent toutes deux un sentiment d’appartenance marqué à leur milieu de vie, mais pas nécessairement avec la même intensité et pour les mêmes raisons. En outre, leurs pratiques d’engagement local convergent, favorisées par un même désir de contribuer au bien-être de leur milieu. La thèse démontre aussi que certains lieux de sociabilité rapprochent ces deux groupes au quotidien, quoique subsistent des tensions notamment liées à leurs origines rurale ou urbaine, leur classe sociale, leurs expériences antérieures des lieux, la durée vécue dans leur milieu de vie, leur historique familial, leurs représentations et usages de la campagne... Se décèle aussi un effet de milieu entre les deux MRC à cet égard. Dans l’ensemble, leur rencontre s’avère timide et surtout réservée à l’espace public. Enfin, en se basant sur leurs représentations de l’avenir, la thèse illustre que l’espace de leur rencontre représente un espace d’opportunités pour le dialogue sur la campagne, bien que celui-ci ne se produise pas sans affrontements et heurts. Ainsi, au-delà du binarisme traditionnel et antagonique lié aux statuts de « nouveaux » et « anciens » ruraux, l’espace de rencontre, celui à l’intérieur duquel s’opèrent à la fois tensions, négociations, compromis et nouvelles alliances, participe à construire la nouvelle ruralité contemporaine.
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Political Identity in Nairobi’s Central Business District (CDB) : an æsthetic critique / La manifestation spatiale de l'identité politique dans le centre de Nairobi (Kenya) (1899-1995)

Muthuma, Lydia Waithira 14 January 2013 (has links)
Cette étude se penche sur la façon dont le pouvoir politique se est imaginé et imagée dans le centre-ville de Nairobi. Il examine comment l'environnement bâti de la ville a transformé l'ubiquité en place-de-appartenance. Construit culture est considérée comme un outil (mais non exclusif) pour forger une relation entre la société et un contexte spatial donné; un support pour la société de «personnaliser» son espace. L'accent est mis bâtiments emblématiques situées dans l'espace central, public et symbolique et est en outre délimitée à leur style architectural. L'autorité politique, mais pas singulièrement responsables de l'identité collective, a été choisi comme point de départ, car sa contribution est décisive. Par conséquent, il est aussi un produit de la performance politique Nairobi est interrogé. Une exploration des connotations et les nuances des styles utilisés pour ériger ses bâtiments emblématiques possibles sont esquissées. Gouvernement colonial de Nairobi utilisé un style néo-classique. Kenyatta, le premier président indigène, se est éloigné de cette tradition néo-classique. Sa préférence était une déclaration stylisée-africaine. Et, en plus de choisir un style différent, il réorienté la dynamique spatiale dans City Square ainsi ré-articuler son identité. Pour un examen plus complet de Nairobi, elle est comparée à Dar es-Salaam (la capitale commerciale de la Tanzanie) voisin. Dar es Salaam dispose d'une plus grande variété dans les styles architecturaux: arabo-swahili, classique européenne avec des fonctionnalités omanais-arabes et les Sarrasins compositions décoratives. Pendant ce temps, la variété architecturale à Nairobi coloniale, où les Britanniques avaient plus de six décennies undisturbed- pour élaborer leur image, est carrément néo-classique. Présenté avec plus (ou moins) polarisée images coloniales, les présidents autochtones du Kenya et de la Tanzanie ont réagi différemment. L'image postcoloniale de Nairobi est ouvertement «africaine» peut-être une réponse au classicisme néo aussi manifeste des coloniaux. Dar es Salaam, d'autre part, est dépourvu de stridente de va-et-vient dans ses discours stylistiques. En conclusion, il semble que le plus fougueux du concours sous-jacente de posséder une ville, plus articuler son image spatiale; plus contesté un espace a été, le plus spectaculaire de l'image qu'il porte. Nairobi a connu un concours de propriété plus intense par rapport à Dar es-Salaam. Une concurrence intense nécessite un style architectural décisive tout pluralisme stylistique prospère où le concours est moins intense. Cela peut ne pas se applique à toutes les villes en Afrique, mais ce est la vue en gros plan, l'identité imagé dans l'espace central de Nairobi. / This study looks at how political power has imagined-and-imaged itself in Nairobi’s city centre. It examines how the city’s built environment has transformed ubiquity into place-of-belonging. Built culture is considered as a tool (though not an exclusive one) for forging a relation between society and a given spatial context; a medium for society to ‘personalise’ its space. The focus is iconic buildings sited in the central, public and symbolic space and is further delimited to their architectural style. Political authority, though not singularly responsible for collective identity, has been selected as the point of departure because its contribution is decisive. Therefore, it is as a product of political performance that Nairobi is interrogated. An exploration of possible connotations and nuances of the styles employed to erect its iconic buildings are sketched out. Nairobi’s colonial government used a neo classical style. Kenyatta, the first indigenous president, distanced himself from this neo-classical tradition. His preference was a stylised-African statement. And, in addition to selecting a different style he re-oriented the spatial dynamics in City Square thus re-articulating its identity. For a fuller scrutiny of Nairobi, it is compared to neighbouring Dar es Salaam (the commercial capital of Tanzania). Dar es Salaam features greater variety in architectural styles: Arab-Swahili, European classical with Omani-Arab features and the decorative saracenic compositions. Meanwhile, architectural variety in colonial Nairobi, where the British had over six decades–undisturbed– to craft their image, is bluntly neo-classical. Presented with more (or less) polarised colonial images, the indigenous presidents of Kenya and Tanzania reacted differently. Nairobi’s postcolonial image is overtly ‘african’ perhaps as a response to the equally overt neo classicism of the colonials. Dar es Salaam, on the other hand, is devoid of strident back-and-forth in its stylistic discourses. In conclusion, it appears the more spirited the underlying contest to own a city, the more articulate its spatial image; the more contested a space has been, the more spectacular the image it bears. Nairobi has experienced a more intense ownership contest compared to Dar es Salaam. Intense competition necessitates a decisive architectural style while stylistic pluralism thrives where the contest is less intense. This may not apply to all the cities in Africa but it is the close-up view, the imaged identity in Nairobi’s central space.
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La mobilité urbaine à Marrakech : enjeux et perspectives / Urban mobility in Marrakesh : issues and prospects

Nakhli, Abdelghani 24 March 2015 (has links)
A Marrakech, circuler dans la ville relève du défi. La ville connaît plusieurs problèmes en termes de mobilité, de stationnement et de transports publics. Les déplacements urbains posent également la question de la fluidité des mouvements, de la sécurité des usagers, de la qualité de vie et de la maîtrise des pollutions sonores et atmosphériques. La mobilité urbaine constitue donc un enjeu actuel et à venir pour la ville de Marrakech. Par ailleurs, la mobilité est un bon indicateur du comportement d’une ville. Comment les Marrakchis se déplacent-ils au quotidien dans leur ville ? Qui se déplace et pour quels motifs ? A quelle fréquence et à quel prix ? Marrakech enregistre 5 millions de mouvements par jour. Sur l’ensemble des déplacements, 60% se font à pied, 21% en deux roues, 15% en voiture et 4% par les transports en commun. Paradoxalement, cette répartition pose déjà des problèmes de congestion et d’insécurité du trafic. Pour quelles raisons Marrakech est-elle arrivée à ce constat ? Quelles sont les mesures mises en place pour améliorer la mobilité urbaine ? D’autres propositions d’amélioration peuvent-elles être apportées en termes de stationnement, de circulation et de transports ? / To drive and to walk in Marrakesh is very demanding. Main issues concerns mobility, parking and public transport. The global approach on urban transportation also concerns the freely flowing, the safety of the users, the quality of life as well as the sound and air pollutions. Therefore, urban mobility is a current and a future issue in the city of Marrakesh. Moreover, the concept of urban mobility is a relevant indicator of the urban policy of a city. How do the unhabitants daily move in their city? More precisely, who moves and what are the reasons that lead people to move? What is the frequency of these moves and what is the price to pay for moving? Five millions of daily trips are counted in Marrakesh. These daily trips share out like this way: 60% are on-foot trips, 21% are two-wheels trips, 15% are car trips and 4% are public transport trips. The paradox consists in this sharing already causes problems of traffic jam and insecurity of the roads. How Marrakech has led to this point? What kind of measures have been chosen to improve urban mobility in Marrakesh? Are there other suggestions that could make the parking, the driving and the transportation to get better?

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