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Analyse comparative des vertus morales particulières dans l'Éthique à Nicomaque et l'Éthique à EudèmeRodrigue, Louise January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Analyse comparative des vertus morales particulières dans l'Éthique à Nicomaque et l'Éthique à EudèmeRodrigue, Louise January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Philosophie et gymnastique dans la philosophie grecque classique / Philosophy and gymnastike in classical Greek philosophyGkaleas, Konstantinos 12 December 2014 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’étudier le rôle et la fonction de la gymnastique dans la tradition de la pensée classique. En établissant le contexte, dans lequel Platon et Aristote travaillent et développent leur avis sur la gymnastique, on comprend qu’il y a trois types de gymnastique dans la tradition grecque. Ces trois types sont la gymnastique militaire, qui s’associe aux épopées homériques, la gymnastique athlétique, qui s’associe aux odes pindariques et la gymnastique médicale, qui s’associe au corpus hippocratique. Platon et Aristote reprennent les catégories déjà existantes, en élaborant le concept de chaque catégorie reprise. Platon incorpore la gymnastique dans le programme éducatif, mais il rejette la gymnastique athlétique. Hippocrate influence la pensée du philosophe athénien, qui utilise bien des éléments de la gymnastique médicale. La gymnastique possède le pouvoir de fortifier le thymique. Platon condamne chaque excès à propos de la gymnastique, parce que ce manque de modération cultive le thymique, provoquant des déséquilibres psychologiques et civiques. La gymnastique joue un rôle essentiel dans le processus vers la Forme du Beau, dans la mesure où elle s’associe directement à la beauté corporelle qui déclenche ce processus d’ascension vers l’Idée du Κάλλος. Aristote incorpore aussi la gymnastique dans le programme de formation de « la cité la meilleure ». Aristote prend grand soin de la condition corporelle des enfants, montrant en quelque sorte les résultats négatifs de la gymnastique immodérée. Il critique ainsi la gymnastique athlétique, tandis qu’il souligne que la gymnastique militaire excessive conduit à la détérioration sociopolitique. / The purpose of this thesis is to study the role and the function of gymnastike in the tradition of Classical Greek thought. Studying the context in which Plato and Aristotle developed their ideas concerning gymnastike, we comprehend that there are three types of gymnastike in Greek tradition, the military gymnastike (related to the Homeric epics), the athletic gymnastike (related to the Pindaric odes) and the medical gymnastike (related to the Hippocratic corpus). Plato and Aristotle revisit and elaborate these categories. Plato incorporates gymnastike into his educational program, but he rejects the athletic gymnastike. Hippocrates influences Plato, who seems to utilize many elements of this type (medical gymnastike). It seems that gymnastike has the ability to fortify the thymic part of the soul, nevertheless, Plato condems every excessive use of gymnastike, since this lack of moderation cultivates the thymic part, provoking psychological and civic imbalances. Gymnastike is an important factor regarding the “ascension” towards the Form of Beauty (Κάλλος). Equally, Aristotle incorporates gymnastike in his educational program. He takes great care to protect children’s physical condition, indicating in a way the negative aspects of immoderate gymnastike. Thus, he criticizes the athletic gymnastike. Aristotle underlines that the excessive use of military gymnastike leads to a socio-political deterioration.
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Réalisation première : puissance et réalisation dans la psychologie d'Aristote / First realization : power and realization in Aristotle's psychologyYücefer, Hakan 14 December 2015 (has links)
Les lecteurs du traité De l’âme d’Aristote pensent souvent que la véritable contribution du Stagirite en ce domaine consiste dans l’application de l’hylémorphisme à la relation de l’âme et du corps. Le rôle que jouent les notions de puissance et de réalisation dans la psychologie aristotélicienne est relativement négligé au profit de celui des notions de matière et de forme.L’objectif de cette étude est de mesurer les contributions respectives des deux couples conceptuels fondamentaux de l’ontologie aristotélicienne à l’étude de l’être animé. Quelles sont la portée et les limites de l’hylémorphisme psychologique ? Quel rôle joue la distinction des niveaux de puissance et de réalisation dans le DA et dans d’autres traités consacrés à l’être animé ? Par quels moyens conceptuels Aristote parvient-il à définir l’âme, à résoudre les problèmes de la relation de l’âme et du corps, à unifier ses recherches psychologiques et zoologiques ? A travers l’examen de ces questions, cette étude cherche à préciser la place qu’occupe le notion de « réalisation première » dans l’étude aristotélicienne de l’âme et de l’être animé. / Readers of Aristotle’s De anima often hold that the tenor of his account consists in the application of hylomorphism to soul-body relations. The part played by potentiality and actuality in Aristotle’s psychology has been somewhat overlooked while hylomorphic analyses prevail in the literature. The objective of our study is to assess the respective contributions of these two basic Aristotelian ontological couples to the study of animate beings. What are the scope and limitations of psychological hylomorphism? What role does the distinction between different levels of potentiality and actuality play in the DA and in the other treaties that deal with animate beings? What are the conceptual means that enable Aristotle to define the soul, to disentangle problems relative to soul-body relations and to bring together his psychological doctrine with his zoological research? Through an examination of these questions, the present study seeks to spell out how the so-called “first realization” fits in with the Aristotelian study of the soul and the animate.
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Traduction commentée du Grand commentaire d' Averroès aux livres petit Alpha, grand Alpha, Gamma et Epsilon de la Métaphysique d' Aristote / Commented translation of Averroes' Great commentary on the books Alpha Small, Alpha, Gamma and Epsilon of Aristotle's MetaphysicsKaddour, Karim 01 December 2018 (has links)
L’objet de ce présent travail consiste dans une traduction commentée du Grand commentaire d’Averroès de la Métaphysique d’Aristote à partir du texte arabe établi par le père Maurice Bouyges. Cette traduction concerne principalement les livres Grand Alpha, Petit Alpha ; Gamma ; Epsilon. Ce travail s’inscrit dans l’intérêt que nous portons à la transmission de la pensée grecque chez les auteurs musulmans du Moyen Âge, et plus particulièrement à la restitution de la pensée métaphysique d’Aristote chez Averroès. À travers cette traduction, les enjeux sont multiples : traduire le texte arabe de la Métaphysique avec ce qu’il contient et ce qu’il exclut afin de déterminer la nature du texte arabe commenté par Averroès et voir s’il existe une réelle correspondance avec le texte que nous connaissons d’Aristote. En outre, permettre aux hellénistes d’accéder au texte qui a servi de support pour toutes les métaphysiques musulmanes, notamment celle d’al-Kindi, d’al-Fârâbî et d’Avicenne, car c’est le même texte qui a été utilisé par ces derniers, alors que chaque auteur a interprété différemment le contenu doctrinal de ce traité. Et enfin, suivre pas à pas le commentaire d’Averroès afin de déterminer si ce dernier demeure fidèle à Aristote en l’interprétant sans aucune considération extérieure, ou bien si son interprétation s’en éloigne volontairement, rejoignant ainsi le cercle de la plupart des philosophes néoplatoniciens. Quelques résultats de recherche ont été exposés dans les Appendices. Ils concernent essentiellement les différentes variantes que le texte soulève. Tout d’abord, une première étude consacrée à examiner la structure et le contenu de l’ensemble du traité d’Aristote dans sa version arabe. Ensuite, une deuxième étude consacrée à examiner toutes les corruptions relatives aux quatre livres traduits et leur conséquence sur l’unité doctrinale de la pensée d’Aristote. Et enfin, une troisième étude dans laquelle sont examinées les différentes erreurs de traduction et leur conséquence sur le commentaire d’Averroès. / The object of this present work is a commented translation of Averroes’ Great commentary on Aristotle’s Metaphysics from the Arabic text prepared by father Maurice Bouyges. This translation mainly concerns the books Alpha, little Alpha, Gamma and Epsilon. This work is a part of our interest in the transmission of the Greek knowledge among Muslim authors of the Middle Age, and particularly the restitution of the metaphysical thought of Aristotle in Averroes.Through this translation, the stakes are multiples: translating the Arabic text of the Metaphysics with what it contains and what it excludes in order to determine the nature of the Arabic text commented by Averroes and to see if there is a real correspondence with the text we know of Aristotle. In addition, allowing the Hellenists to access the text that has served as a support for all Muslim metaphysics, including that of al-kindi, al-Fârâbî and Avicenne, as it the same text that was used by the latter, while each author has interpreted the doctrinal content of this treatise differently. And finally, following step by step the commentary of Averroes to determine if the latter remains faithful to Aristotle by interpreting it without any external consideration, or if its interpretation deviates voluntarily, joining the circle of most of Neo-Platonist philosophers.Somme research results are exposed at the end of the translation. They mainly concern the different variants that the text raises. First, a primary study devoted to examine the structure and content of the entire Aristotle treaty in its Arabic version. Then, a second study devoted to examine all the corruptions relative to the four translated books and their consequences to the doctrinal unity of Aristotle’s thought. And finally, a third study in which are examined the various translation errors and their consequences on the commentary of Averroes.
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EMPEIRIA. La querelle de l'expérience (Aristote, Platon, Isocrate) / EMPEIRIA. The quarrel of experience (Aristotle, Plato, Isocrates)Ribas, Marie-Noëlle 20 November 2015 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie la manière dont Aristote, Platon et Isocrate font du recours à la notion d’empeiria et de la promotion d’une certaine conception de l’expérience, le moyen de se défendre contre l’accusation d’inexpérience qui les vise et de polémiquer entre eux sur la question de l’excellence, dans les domaines théorique, technique et pratique. Cet examen permet d’éclairer sous un jour nouveau la question de l’empirisme antique, en considérant, d’une part, la critique que Platon et Aristote adressent à une certaine conception empirico-sophistique des savoirs et de la pratique, en reconsidérant de l’autre, le supposé empirisme d’Aristote. Si la notion d’empirisme n’a pas d’équivalent en grec, Platon fait de la notion d’empeiria, désignant une forme de pratique non-technique ignorant les causes, un instrument polémique permettant de souligner le défaut de technicité des différentes techniques, que les sophistes se font forts de transmettre. En mettant l’accent sur « l’expérience de la vérité », Platon remet en question l’empirisme de ceux qui ignorent la valeur théorique et pratique de la connaissance des réalités intelligibles. Aristote poursuit la réflexion, en reconsidérant le rôle positif, cognitif et pratique, de l’empeiria comme connaissance acquise à partir de la sensation. Aristote poursuit la critique d’un certain empirisme, dont se rendent coupables tous ceux qui échouent à s’élever à la connaissance de l’universel, tout en déplorant le défaut d’empeiria de ceux dont le savoir est purement théorique. Si comme Platon, Aristote n’est pas un empiriste, parce qu’il refuse de faire de la sensation le principe de la connaissance et le critère du vrai, son rationalisme diffère de celui de Platon, par le rôle reconnue à la sensation et l’expérience dans les domaines théorique, technique et pratique. Cette étude entend révéler l’urgence de distinctions en philosophie de la connaissance dans le cadre des études anciennes, comme la distinction entre le rationalisme logique de Platon et le rationalisme empirique d’Aristote, par exemple, permettant de mesurer l’originalité des doctrines antiques sur des problèmes aussi fondamentaux que l’origine et le principe de la connaissance et de l’action bonne. / This dissertation investigates how Aristotle, Plato and Isocrates use the notion of empeiria and promote a certain conception of experience, in order to defend themselves from the charge of inexperience made against them, and also in order to debate about the question of excellence in the theoretical, technical and practical fields. This study sheds some new lights on ancient empiricism, by investigating, on one hand, Plato’s and Aristotle’s criticism against an empiricist sophistic approach of knowledge and action, and, on the other hand, the so-called Aristotelian empiricism. Although the concept of ‘empiricism’ has no equivalent in Greek, Plato uses the notion of empeiria to designate a non-technical form of action, in order to underlie a lack of technicality and to question the value of what some sophists claim to teach under the name of technai. While insisting on a philosophical kind of experience of truth, Plato criticizes what appears to be the empiricism of those who ignore the theoretical and practical value of the knowledge of intelligible realities. Aristotle goes beyond this stance by re-evaluating positively the role of empeiria, both in its cognitive and practical aspects, as a specific kind of knowledge, derived from sense-perception. He still criticizes the empiricism of those who fail to reach a certain kind of knowledge, namely the knowledge of universals, but also adds a criticism against those who lack the knowledge of particulars acquired through sense-perception and experience.If Aristotle is no more an empiricist than Plato, since he does not recognize sense-perception as the principle of knowledge and as the criterion of the truth, his rationalism is quite different from Plato’s, because of the important role he gives to sense-perception and experience in all areas. This study intends to break through in the direction of some distinctions in ancient philosophy, such as the distinction between Plato’s logical rationalism and Aristotle’s empirical rationalism, which would enable us to re-evaluate the originality of the Ancients on some fundamental issues like the problem of the origin and principle of knowledge and of good action.
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Équité et bonne foi : perspectives historiques et contemporaines sur les distinctions fondamentales entre ces deux outils de justice contractuelleGiroux-Gamache, Claudia 06 1900 (has links)
La théorie classique du contrat et ses corollaires, l’autonomie de la volonté des parties et le principe de la stabilité des contrats, ont longtemps régné en droit des obligations. Depuis l’introduction du Code civil du Québec, la notion de bonne foi a été l’objet de plusieurs textes de doctrine et de plusieurs décisions judiciaires phares. La notion est considérée comme l’outil de prédilection des juristes pour assurer une meilleure justice contractuelle, parfois pour développer des théories allant à l’encontre du principe de la stabilité des contrats. Or, le récent arrêt Churchill Falls nous enseigne que la bonne foi a ses propres contours et ne peut donc pas être utilisée en dehors des limites qui lui sont intrinsèques. Dans ce travail, la notion de bonne foi est revisitée conjointement avec la notion d’équité afin de présenter leurs paramètres fondamentaux initiaux, leurs mutations et leurs portées actuelles en droit civil québécois. Bien que ces deux outils contribuent à assurer une meilleure justice commutative dans les échanges, la bonne foi a ce l’équité n’a pas : une synchronicité avec les principes de stabilité des contrats et d’autonomie de la volonté. Cette constatation peut expliquer la mise au placard de
l’équité à titre d’outil de justice dans le régime général des obligations. Ainsi, en filigrane, il appert que la stabilité des contrats demeure une valeur prédominante du législateur malgré les allures d’une nouvelle moralité du droit des obligations. / The classical theory of contract and its corollaries, the autonomy of the parties' will and the principle of the stability of contracts, have ruled the law of obligations for long. Since the introduction of the Civil Code of Québec, the notion of good faith has been the subject of several doctrinal texts and landmark judicial decisions. The notion is considered as the preferred tool of jurists to ensure a better contractual justice, sometimes to develop theories that run counter to the principle of the stability of contracts. However, the Supreme Court in its judgment Churchill Falls decision teaches us that good faith has its own contours and therefore cannot be used outside its intrinsic limits. In this paper, the notion of good faith is revisited in conjunction with the notion of equity to present their initial fundamental parameters, their mutations, and their current scope in Quebec civil law. Although both tools contribute to ensuring better commutative justice in exchanges, good faith has what equity does not: synchronicity with the principles of stability of contracts and autonomy of the will. This observation may explain the shelving of equity as a tool of justice in the general regime of obligations. Thus, it appears that the stability of contracts remains a predominant value of the legislator despite the appearance of a new morality in the law of obligations.
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