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Les frontières de la justice sociale : les théories de la justice mondiales au prisme de l'Union Européenne / The boundaries of social justice : theories of global justice through the lens of Europeanl Union

Unger, Mathilde 08 December 2016 (has links)
Pouvons-nous maintenir la justice sociale à l'intérieur des frontières étatiques, malgré l'intensification des flux transnationaux? La thèse part des théories cosmopolitiques de la justice mondiale, qui entendent transposer les principes de justice rawlsiens à l'échelle du monde sur la base de deux arguments: l'universalisation de la position originelle et l'observation des rapports d'interdépendance tissés par la mondialisation. Cependant, en découplant les garanties sociales de la reconnaissance de l'égalité politique entre les citoyens -dont elles sont les corollaires au sein des institutions démocratiques -ces théories sortent la justice sociale de son cadre de justification normatif. Nous tentons au contraire de prendre en compte les injustices singulières produites par le commerce transnational, sans pour autant renoncer à l'ancrage politique de la justice. À ce titre, l'Union européenne offre un exemple fécond: bien que les citoyens européens bénéficient de protections sociales lorsqu'ils circulent dans un autre État membre, la politique sociale demeure essentiellement de la compétence des États. En revanche, c'est la Cour de justice de l'Union qui veille au respect des quatre libertés de circulation. Le décalage entre ces deux niveaux de protection nous permet de définir des contextes où les injustices sont de second ordre, car la concurrence entre les normes nationales dans un marché ouvert affecte le sens et l'application de la justice sociale à l'intérieur des États. Les raisons de vouloir harmoniser les politiques sociales et fiscales des États sont ainsi solides et néanmoins indépendantes du cosmopolitisme. / Should social justice be contained within state borders when, in the global context, borders themselves have become increasingly fluid? This research takes as its starting point the theories of global justice that apply Rawlsian principles at the global scale. They are based on the idea that the original position can be universalised, and that globalisation has given rise to the increased interdependence of peoples. However, the domain in which social guarantees apply is hereby conceived separately from the domain in which democratic institutions instantiate political equality. Social justice is thus made separate from its political context of justification. As an attempt to overcome this problem, this project examines the particular injustices caused by cross-border trade. The European Union (EU) provides a particularly fruitful example. On the one hand, although EU citizens are entitled to social benefits while circulating in another Member State, social policies still fall within the competence of the Member States. On the other, the "Four Freedoms" of movement are subject to judicial review by the European Court of Justice. The gap between these two layers of protection allows us to define what this project calls a "second-order injustice," whereby competition between the social norms of each state in the single market affects the meaning and application of social justice within the states themselves. This dissertation concludes that while there is a serious justification to expect harmonization between the social and fiscal policies of Member States, it does not have necessarily to depend on cosmopolitan grounds.
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La question du meilleur régime politique à l'epreuve des relations internationales dans la pensée de Raymond Aron. / The question of the best regime as viewed through an international relations lens in the political thought of Raymond Aron

Cohen, Frederic 10 January 2018 (has links)
Cette thèse cherche à comprendre pourquoi Aron juge essentiel d’étudier la question du meilleur régime politique à l’épreuve des relations internationales. Il s’agit de s’interroger sur l’ampleur et le sens politique de ce que Raymond Aron appelle le drame humain, en précisant la nature de la distinction entre l’intérieur et l’extérieur, entre la politique domestique et les affaires étrangères qu’il juge essentiel, tout en examinant les rapports complexes qui se nouent entre ces deux domaines de la vie politique. Nous tâchons d’éclairer la signification que revêt aux yeux d’Aron la primauté de la politique dans l’organisation des choses humaines, alors que pourtant l’organisation politique des sociétés modernes lui apparaît essentiellement indéterminée. Ceci nous amène à nous interroger sur la conception aronienne singulière de la démocratie et du libéralisme, au regard des tensions fondamentales de la vie politique entre les réquisits du bon gouvernement et les contraintes du jeu international. L’étude des antinomies de l’action politique, nous conduit à revenir sur les principaux débats entre réalistes et idéalistes au sujet du problème de la guerre et de la paix, qu’Aron examine à travers ses réflexions sur le « problème machiavélien » et « le « problème kantien ». Il s’agit de préciser le sens de la prudence politique selon Aron, en s’interrogeant sur les limites inhérentes à la recherche du meilleur ordre politique qui soit et en tenant compte du défi que représente la menace thermonucléaire. / This dissertation explores the reasons why Raymond Aron deems it essential that the question of the best regime be framed in the context of international relations. In doing so, it seeks to draw out the full scope and political meaning of what Raymond Aron calls "the human drama" by specifying the distinction he makes between domestic politics and foreign affairs, whilst also examining the complex interactions through which he connects these two essential domains of political life. I take as a starting-point the apparent dissonance between Aron's belief in the primacy of politics as an organising principle for human affairs and his perception of modern political societies as essentially indeterminate. From there, I move on to question the singular nature of the Aronian conception of democracy and liberalism in light of the fundamental tension between the imperatives of good governance and the constraints imposed by the international system. The study of the antinomies of political action leads me to revisit the main debates between realists and idealists on the problem of war and peace, as addressed by Aron in his reflections on the Machiavellian problem and the Kantian problem. The aim here is to clarify the meaning Aron gives to political prudence by taking account of the limits inherent to the search for the best possible political order, especially in light of the existential threat raised by the prospect of thermonuclear warfare.
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Le processus de construction des droits sociaux en France et au Pérou : sources et influences européennes en Amérique andine / The construction of the social rights system in France and Peru : european sources and influences in Andean America

González-Palacios, Carlos 02 July 2018 (has links)
Les droits sociaux se construisent en plusieurs temps à partir d’évolutions du système juridico-politique qui sont la conséquence de phénomènes sociaux encouragés par des courants philosophiques, religieux, idéologiques ou de mouvements sociaux. En ce sens, bien que les droits sociaux soient récents, les idées qui constituent leur socle fondamental sont assez anciennes. Dans le cas de l’Europe occidentale elles datent de l’Ancien régime ; dans le cas de l’Amérique andine, elles ont une origine précoloniale. D’ailleurs certains de ces principes précoloniaux semblent se manifester encore de nos jours, comme c’est le cas au Pérou ; et ont été mis en avant avec le nouveau constitutionnalisme latino-américain du début du XXIème siècle. Cela signifierait donc que la source idéologique des droits sociaux n’est pas forcément républicaine ni occidentale, même si l’époque de son développement le plus important surgit durant des périodes républicaines. Il est donc intéressant d’observer comment depuis l’indépendance des États andins, les idées européennes ont eu une influence prépondérante dans la construction (organique et axiologique) des systèmes juridiques de ces nouveaux États ; mais qu’il subsiste, sinon un modèle social originel, du moins quelques piliers d’un système juridique inhérent à la culture andine. / Social rights are constructed in several stages from changes in the legal-political system that are the consequence of social phenomena encouraged by philosophical, religious, ideological or social movements. In this sense, although social rights are recent, the ideas that constitute their basic foundation are quite old. In the case of Western Europe, they date from the Old Regime; in the case of Andean America, they have a pre-colonial origin. Moreover, some of these precolonial principles seem to be still present today, as is the case in Peru; and have been put forward with the new Latin American constitutionalism of the early twenty-first century. This would mean that the ideological source of social rights is not necessarily republican or western, even if the time of its most important development arises during republican periods. It is therefore interesting to observe how, since the independence of the Andean States, European ideas have had a preponderant influence in the construction (organic and axiological) of the legal systems of these new States; but that there remains, if not an original social model, at least some pillars of a legal system inherent to the Andean culture.
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Raymond Aron. De la philosophie critique de l'histoire à l'analyse politique / Raymond Aron. From the critical philosophy of history to the political analyses / 雷蒙•阿隆:从历史哲学批判到政治分析

Li, Lan 08 December 2012 (has links)
Notre idée principale est d’essayer de comprendre la pensée politique de Raymond Aron à partir de sa théorie sur l’histoire. Pour nous, derrière sa proclamation d’une politique raisonnable ou progressive existe un support épistémologique, à savoir la proposition d’un déterminisme de probabilité concernant la vérité historique, proposition qui ne peut se constituer que dans le cadre d’une critique de la philosophie spéculative de l’histoire. Dans l’Introduction à la philosophie de l’histoire, Aron tente de surmonter l’antinomie du devenir humain entre unité totale du modèle hégélien-marxiste et pluralité irréductible du modèle d’Oswald Spengler, mais sans tomber dans le piège du relativisme absolu. Plus précisément, sa propre critique de la philosophie de l’histoire se constitue à double niveau : au niveau méthodologique, il essaye de réinterpréter la relation entre la compréhension et l’explication pour établir l’objectivité historique. Et au niveau ontologique, pour éviter une conclusion relativiste, il réintroduit l’idée d’une société humanisée au sens kantien, mais d’une manière moins téléologique et plus régulatrice. Dans le domaine politique, corrélativement, il rejette tout type de messianisme garanti d’avance, car, à ses yeux, ce n’est que par choix et décision instantanée que l’homme fait son histoire, tout en gardant l’espoir de la liberté. Et son libéralisme se différencie du libéralisme purement économique et apparaît à la fois conservateur vis-à-vis de la tradition et essentiellement politique. Notre recherche consistera à montrer comment s’est élaboré, en surmontant les philosophies dogmatiques de l’histoire, ce déterminisme de probabilité ; comment il a su appliquer cette conviction historique à son analyse de la société, notamment en tant que libérale et quel rôle doit jouer, selon lui, un intellectuel face à la politique ; nous reprendrons ensuite sa critique vis-à-vis des intellectuels français, pour l’appliquer au débat entre les intellectuels chinois. / Our main intention is to present the philosophical background of Raymond Aron’s political point of view by way of his theory on historical philosophy. For us, behind his proclamation of a reasonable politics, exists an epistemological support, known as determinism of probability as far as the historical truth is concerned. And this determinism is only possible when it is based on a critique of the speculative philosophy of history. In the book named introduction to a philosophy of history, Aron tries to surpass the antinomy of historical becoming, between total unity of the hegelian-marxiste model and the irreducible plurality of the Oswald Spengler model, and meanwhile without falling into an absolute relativism. More precisely, the historical philosophy of Raymond Aron is dedicated to a two-dimensional constitution. On the epistemological level, he tries to reinterpret the relation between explication and comprehension, by way of circle between these two methods, and aim to, in the end, establish the limit of historical objectivity by introducing a certain determinism of probability; on the ontological level, in order to avoid the relativist conclusion, he keeps the Kantian notion of truth, but in a less teleological and more regulative sense. Correlatively, in the domain of politics, he declines all kind of Messianism who claims to possess in advance the historical truth, because for him, it is only via instant choice and decision based on the liberty that can man creates his history. His liberalism essentially political is different from the neoliberalism, and maintains a conservative attitude towards the tradition. Generally speaking, our research consists of presenting how this determinism of probability is possible, and how Aron applies this philosophical point of view to the political practice, and according to him, what should an intellectual do facing the politics. And we will also discuss his critiques to the idealism of the french intellectual, in order to analyze the debate among the chinese intellectual. / 本文旨在从雷蒙•阿隆的历史观入手来了解其政治观点形成的背景。我们认为,他在政治上主张的一种“合理的政治观”始终是基于他的历史哲学观,即“或然决定论”展开的,而后者,在其博士论文《历史哲学批判导论》一书中得到了很好的阐明。从破除历史理性的二律背反开始,即黑格尔-马克思传统的作为统一体的历史观和以斯宾格勒为代表的不可还原的多样性的历史观,阿隆构建起一种既超越实证主义,又不陷入相对主义(通过引入康德意义上的“真理”概念)的或然决定论。具体言之,他的历史哲学批判基于一种双层面的建构,一方面,在认识论层面,他试图重新阐释说明和理解的关系来维护历史的客观性;在形而上学层面,为了避免相对主义的结论,他引入了康德意义上的“人道主义社会”的概念,并将其视为一种更少目的性而更多调节性的概念。就政治领域而言,与此相对应的,他拒斥任何先定的救世福音说,并且坚信人类的历史只能由每个自由的个体的当下的选择和决定中被创造。他所主张的自由主义,不同于经济自由主义,一方面对传统秉持保守的态度,另一方面,本质上又是一种政治的自由主义。我们的研究将从阿隆对传统的教条的历史哲学的批判起步,揭示其“或然决定论”的观点的形成过程;及其历史观如何影响其政治观的过程,尤其反映于他作为一名知识分子,对历史的态度问题;我们也将讨论他对法国知识分子弊病的批判,并且将这一批判引入对中国知识分子的讨论当中。
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Structure de culture et minimalisme : l’enjeu politique du minimalisme sémantique

Boileau, Xavier 08 1900 (has links)
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Les limites souhaitables et légitimes au pluralisme : une perspective constructiviste

Paradis-Simpson, Françoise 06 1900 (has links)
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Thomas Babington Macaulay et la Révolution française : la pensée libérale whig en débat / Thomas Babington Macaulay and the French Revolution : The Issue of Whig Liberal Thought

Attuel-Hallade, Aude 12 December 2014 (has links)
Le « père de l'histoire whig » Thomas Babington Macaulay a été dès son vivant, et après sa mort, traduit dans nombre de pays, en Europe (Allemagne, France, Pays-Bas), comme hors des frontières européennes (Mexique). Incarnant à partir de la fin du XIXe siècle une histoire libérale progressiste et surtout non scientifique, attaquée par les historiens « professionnels », il n'en demeure pas moins très présent dans les manuels scolaires et universitaires jusqu'après la Seconde Guerre mondiale voire jusque dans les discours politiques contemporains. En 1931, puis en 1944, Herbert Butterfield tente de définir son interprétation de l'histoire. Ce dernier veut démontrer comment action politique et vision de l'histoire whigs incarnent un modèle, pragmatique, réformiste, à l'antithèse du modèle révolutionnaire français, qui explique l'exceptionnelle stabilité politique anglaise, britannique voire impériale du Royaume-Uni, depuis la Glorieuse Révolution. Dès lors les successeurs de Butterfield, en premier lieu J. G. A. Pocock et John Burrow, éclairent cette tradition libérale whig, devenue nationale, bientôt synonyme d'interprétation burkéenne de l'histoire. Pourtant, en s'appuyant sur le dialogue entre libéraux britanniques (whigs comme Millar, Mackintosh, utilitaristes comme les Mill, père et fils) et libéraux français (comme Constant, Guizot et Tocqueville), illustrant par ailleurs les riches échanges entre Royaume-Uni et France au XIXe siècle – avant que l’oeuvre de Macaulay ne soit que très épisodiquement traduite et commentée au XXe siècle en France –, et sur une étude minutieuse des écrits de Macaulay portant sur la Révolution française, cette thèse entend démontrer qu'au - delà de la division politique du parti whig lors de la période révolutionnaire, l'histoire whig de Macaulay incarne une pensée politique, une interprétation des révolutions anglaises et françaises et une philosophie libérale de l'histoire nouvelles rompant avec Hume et avec Burke. En mettant au coeur de l'histoire l'émancipation politique et religieuse des individus, Macaulay défend la démocratisation et la laïcisation des sociétés et illustre une histoire libérale post-Révolutionnaire, un nouveau paradigme whig, qui ne peuvent être qualifiés de conservateurs ni de contre-Révolutionnaires. / The "father of Whig History", Thomas Babington Macaulay, was, during his lifetime and after his death,translated in numerous European countries ( Germany, France, The Netherlands ) as well as outside Europe(Mexico). Embodying, from the end of the nineteenth century, a liberal, progressive and especially nonscientifichistory, denounced by "professional " historians, he remained no less highly present in school anduniversity textbooks up to the Second World War, and even in contemporary and current political speeches.In 1931, and then in 1944, Herbert Butterfield attempted to define his interprétation of history and sought todemonstrate how political action and historical vision embody a pragmatic and reformist model, theantithesis of the French revolutionary model, which explains the exceptional English, British, even imperial,political stability of Great Britain since the Glorious Revolution. Since then, Butterfield's successors, andfirst among them, J. G. A. Pocock and John Burrow, have been shedding light on this liberal, becomenational, whig tradition, soon to be synonymous with the Burkean interpretation of history. However, basedon the dialogue between British liberals ( Whigs such as Millar and Mackintosh, Utilitarians such as theMills, father and son ), and French liberals ( such as Constant, Guizot and Tocqueville), while illustrating inother respects the fruitful exchange between Great Britain and France during the nineteenth century - beforeMacaulay's work was only very episodically translated and commented on in the twentieth century in France- and on a thorough exploration of Macaulay's work on the French Revolution, this study intends todemonstate that beyond the political division of the Whig party during the revolutionary period, Macaulay'sWhig history sanctions a new line of political thought, a new interprétation of the English and FrenchRévolutions and liberal philosophy of history, breaking with Hume and Burke. By placing the political andreligious emancipation of individuals at the heart of history, Macaulay defended the democratization and thesecularization of society and illustrated a post-Revolutionary liberal history, a new Whig paradigm, thatcannot be called conservative nor counter- revolutionary.
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La dimensión ética de la organización escolar : un estudio semi-inductivo en tres colegios de Lima Metropolitana

Diaz Bazo, Carmen 16 April 2007 (has links)
Actualmente, la organización escolar se constituye en un elemento importante de las diversas reformas educativas y el espacio en donde se genera el cambio en educación. Ello nos hace volver la mirada a estudiar en profundidad a esta organización particular y compleja. Los estudios sobre las organizaciones escolares han girado en investigar sus dimensiones estructural, política o cultural, y muy pocos estudios han ayudado a comprender la dimensión ética de la organización escolar. Aspecto que hoy resulta de vital importancia ante la crisis de valoración, las situaciones de corrupción, injusticias o desigualdades ante las cuales la educación, y en particular, la escuela debe responder. En este trabajo de investigación nos propusimos levantar información que permitiera comprender y caracterizar la dimensión ética de la organización escolar y sus relaciones con las otras dimensiones. Es así que tres preguntas fueron el hilo conductor de nuestro trabajo: ¿desde qué orientación ética se construye cada una de las dimensiones de la organización escolar?, ¿qué caracteriza a la dimensión ética de la organización escolar?, ¿cómo la orientación ética de la escuela configura un tipo de organización escolar? La investigación se realizó desde un enfoque semi-inductivo, cualitativo e interpretativo pues nos interesó descubrir los significados que otorgan los sujetos a la escuela para construir una teoría sustantiva sobre la dimensión ética. Para ello utilizamos la grounded theory (Glaser y Strauss, 1967; Strauss y Corbin, 1990) como procedimiento metodológico para teorizar a partir de la palabra de los sujetos informantes. Desde las posturas éticas del debate liberalismo – comunitarismo en la filosofía política y particularmente en la educación, analizamos la realidad de tres escuelas ubicadas en un barrio popular de Lima Metropolitana (Perú). A partir de los discursos recogidos en las entrevistas semi-estructuradas y los focus groups realizados a los directivos, profesores, auxiliares, alumnos y padres de familia de cada escuela hemos descubierto las principales categorías que configuran la dimensión estudiada y sus relaciones con aspectos estructurales, culturales y políticos de la organización escolar. Además, abordar el estudio desde el debate del liberalismo – comunitarismo ha permitido identificar y comparar las diversas opciones éticas presentes y asumidas por cada escuela desde su particular posición de escuela confesional, escuela pública no confesional y escuela privada y proponer una tipología que nos revela la convivencia de escuelas que se configuran como comunidades de valores, con otras más orientadas a la ética liberal; pero con matices que nosotros llamamos escuela liberal estratégica y escuela liberal fragmentada. Sin embargo, en el estudio no hemos encontrado una escuela orientada a una ética deliberativa que constituya una escuela democrática en un sistema educativo como el peruano que señala en sus documentos oficiales la opción por la formación de ciudadanos en democracia.
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Jean-Charles Harvey, défenseur des libertés et promoteur de la modernité : le jour (1937-1946)

Simard, David Éric January 2007 (has links) (PDF)
Notre essai critique se penche sur la contribution de Jean-Charles Harvey à la lutte pour les libertés et la modernisation du Canada français, et cela tout au long de l'existence de son journal de combat, Le Jour, qu'il dirigea de 1937 à 1946. Libre penseur aux idées empreintes de l'esprit des Lumières, Harvey fut le principal porte-voix du libéralisme moderne du Canada français durant une époque marquée par l'influence de l'idéologie traditionaliste et cléricale. Nous soulignons notamment le contexte et la nature des combats d'Harvey contre les tenants du traditionalisme, parmi lesquels nous avons pu identifier Lionel Groulx en tant que l'un des principaux adversaires idéologiques d'Harvey. Notre recherche nous a permis de constater que l'idéologie traditionaliste constituait un frein à l'avènement de la modernité au Canada français, devant quoi nous avons voulu cerner le rôle d'aiguillon que jouait Jean-Charles Harvey en tant que précurseur important de la modernisation que le Québec a fini par embrasser lors de l'avènement de la Révolution tranquille. Nous entendons également mesurer la contribution de Jean-Charles Harvey vis-à-vis les principaux enjeux et causes dont il fit du Jour un véhicule privilégié: l'éducation laïque, gratuite et obligatoire, le suffrage féminin, la laïcité, la lutte contre le traditionalisme -y compris le type de nationalisme instillé par ce dernier, la participation canadienne à la Deuxième guerre mondiale et l'unité canadienne. Nous abordons donc globalement l'héritage de Harvey en tant que précurseur de la modernisation de la société québécoise, de même que les interprétations émises par certains auteurs quant à l'oeuvre d'Harvey durant l'époque du Jour. Enfin, nous livrons l'évaluation que l'ensemble de notre recherche nous a permis de tirer quant à son bilan et à son impact sur la société québécoise telle qu'elle aura évolué après l'époque du Jour.
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Au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur le social, le biopouvoir et la gouvernementalité

St-Pierre, Émilie January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire effectue une lecture critique du libéralisme au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur les concepts de l'avènement du social, du biopouvoir et de la gouvernementalité. En misant sur la complémentarité des analyses arendtienne et foucaldienne, cet essai cherche à démontrer que le libéralisme est à l'origine du recul de la politique qui caractérise nos sociétés occidentales modernes. Ce mémoire traite de la valorisation moderne de la vie pensée comme une forme d'instrumentalisation de l'être humain pour le développement économique; il traite de l'importance accordée à la sécurité comme étant la manifestation d'une logique de «défense de la société» qui vise le déploiement du libéralisme, la société étant le corrélat du libéralisme. En lien avec ces sujets, il traite de la politique moderne pensée selon le registre de l'administration; il s'intéresse à la vision arendtienne et foucaldienne qui présente le libéralisme comme une domination de l'économie sur la politique. En posant le primat de l'agir politique comme a priori tel que le conçoit Hannah Arendt, cet essai conclut que le libéralisme est impolitique parce qu'il renforce l'autorégulation et le contrôle des individus dans une logique de domination économique qui mine l'agir politique el la liberté politique. Par l'individualisme, l'autonomie el l'autorégulation qu'il demande pour fonctionner, il engendre un repli sur soi et favorise la perte d'un monde commun, rapprochant nos sociétés des sociétés de masse amorphes et apolitiques décriées par Arendt parce qu'elles préparent le sol au totalitarisme. Le présent mémoire est un essai en théorie politique qui jongle aux abords des conceptions du pouvoir, de la politique, de l'économie et du social telles que pensées par Hannah Arendt et Michel Foucault. Il s'inscrit à l'intérieur des limites «spatiales» et «temporelles» de la pensée politique occidentale et de la modernité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Avènement du social, Biopouvoir, Gouvernementalilé, Libéralisme, Impolitique.

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