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De la subjectivité au travail des migrants internationaux au Canada : le rapport au travail des originaires d’Haïti de la région d’Ottawa-Gatineau

Constant, Herold 18 November 2020 (has links)
Jusqu’à date, les sociologues du travail étudient le phénomène de la subjectivité au travail sans considération du paramètre de l’expérience migratoire. Dans une perspective qualitative, cette thèse part des bases théoriques et méthodologiques posées par Abdelmalek Sayad et se donne pour but de rendre compte des liens existant entre la condition migrante et le rapport au travail des migrants internationaux, à partir du cas des Haïtiens vivant au Canada. Comment la condition migrante influe-t-elle sur le rapport au travail des individus ? Telle est sa préoccupation centrale. Pour y répondre, la sociologie clinique est couplée à l’approche biographique et la technique d’enquête priorisée consiste en des entretiens semi-dirigés réalisés auprès de dix migrants d’origine haïtienne vivant dans la région d’Ottawa-Gatineau. Cette enquête empirique révèle que l’imaginaire migratoire dominant en Haïti et les réalités qui constituent la condition migrante sont les facteurs qui structurent les modes d’engagement et d’identification au travail, les vécus et les représentations du travail, et aussi les trajectoires socioprofessionnelles post-migratoires. À cause de la déqualification et des pratiques de discrimination systémique, le travail en contexte de migration produit ce que Marcelo Otero appelle « l’épreuve dépressive », que ces migrants surmontent grâce à la force de leur résilience et une logique de (re)construction identitaire et de reconnaissance sociale. Néanmoins, cette logique bouleverse les rapports familiaux pré-migratoires, particulièrement les rôles sociaux de sexe, la structure de la famille et la place que l’enfant y occupait avant. Vues les responsabilités morales attachées au statut de « diaspora » dans la société haïtienne et la perception (de soi) du migrant, le travail revêt d’une éthique de devoir. Si le travail permet à certains de surmonter la désaffiliation communautaire causée par l’émigration, pour ceux en situation de déqualification et de précarité socioprofessionnelle, il n’a qu’une fonction instrumentale en servant de moyen pour parvenir à d’autres fins comme l’accomplissement de la parentalité, la solidarité familiale et intergénérationnelle et la procuration des biens symboliques. La condition migrante est donc le principal facteur qui structure le rapport au travail de ces individus.
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L'epos migratoire : expression, concentration et intériorisation du transfert de mémoire à l'âge du témoignage

Goyer, Nicolas January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Lived Diversities: Space, Place and Identities in the Multi-Ethnic City

Husband, Charles H., Alam, M. Yunis, Huetterman, J., Fomina, J. 24 September 2014 (has links)
No
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Prédire le temps de trajet à l'aide des méthodes d'apprentissage profond

Lassakeur, Imad Eddine 07 June 2024 (has links)
Avec l'urbanisation croissante et l'augmentation des flux de trafic, les villes font face à des défis majeurs de congestion, de pollution, et de réduction de la qualité de vie. Comprendre et prédire les durées de trajet devient donc essentiel pour optimiser la mobilité urbaine et améliorer l'expérience quotidienne des citadins. Dans ce projet, nous avons adapté et expérimenté une méthode novatrice pour la prédiction des temps de trajet, combinant l'apprentissage automatique avec une analyse approfondie des données de circulation. Notre étude a débuté par un état de l'art des méthodes existantes, passant des modèles empiriques aux techniques d'intelligence artificielle avancées, et a mis en évidence les avantages des modèles hybrides. Nous avons conçu un processus détaillé qui commence par la collecte de données diverses, y compris des historiques de trafic, des informations structurelles des routes, et des conditions météorologiques. Ces données ont été traitées et analysées par segments pour souligner la nécessité d'approches localisées dans la prédiction. Notre application pratique sur le terrain urbain complexe de la ville de Québec a utilisé des données issues de Google Maps, OpenStreetMaps et WeatherEnvironment. Elle a prouvé l'efficacité d'un modèle hybride combinant des réseaux de neurones récurrents (GRU) et XGBoost. Ce modèle a démontré des performances supérieures par rapport aux méthodes traditionnelles, offrant des prédictions de temps de trajet plus précises et fiables. Les résultats ont également validé l'importance de l'analyse segmentée des parcours et la pertinence de sélectionner des caractéristiques influentes. Cette recherche contribue significativement au domaine de la gestion de la mobilité urbaine, ouvrant des perspectives pour l'optimisation des systèmes de navigation intelligents et la planification efficace du trafic. L'extension de cette méthodologie à d'autres contextes urbains et l'intégration de données en temps réel offrent des avenues prometteuses pour des recherches futures, visant à rendre nos villes plus intelligentes, durables et agréables pour leurs résidents. / With increasing urbanization and rising traffic flows, cities face major challenges including congestion, pollution, and reduced quality of life. Understanding and predicting travel times is thus crucial for optimizing urban mobility and enhancing the daily experience of city dwellers. In this project, we adapted and experimented with an innovative method for predicting travel times, combining machine learning with a thorough analysis of traffic data. Our study began with a state-of-the-art review of existing methods, ranging from empirical models to advanced artificial intelligence techniques, highlighting the benefits of hybrid models. We designed a detailed process starting with the collection of various data, including traffic history, road structural information, and weather conditions. These data were processed and analyzed by segments to underscore the need for localized approaches in prediction. Our practical application in the complex urban terrain of Quebec City used data from Google Maps, OpenStreetMaps, and WeatherEnvironment. It proved the effectiveness of a hybrid model combining recurrent neural networks (GRU) and XGBoost. This model demonstrated superior performance compared to traditional methods, providing more accurate and reliable travel time predictions. The results also validated the importance of segmented analysis of routes and the relevance of selecting influential features. This research significantly contributes to the field of urban mobility management, opening perspectives for optimizing intelligent navigation systems and efficient traffic planning. Extending this methodology to other urban contexts and integrating real-time data offers promising avenues for future research aimed at making our cities smarter, more sustainable, and more enjoyable for their residents.
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Growing Up in Exile : An Ethnography of Somali Youth Raised in Kakuma Refugee Camp, Kenya

Grayson-Courtemanche, Catherine-Lune 06 1900 (has links)
La violence chronique qui caractérise la Somalie depuis plus de deux décennies a forcé près de deux millions de personnes à fuir. Cette ethnographie étudie l’expérience de l’asile prolongé de jeunes Somaliens qui ont grandi au camp de Kakuma, au Kenya. Leur expérience est hors du commun, bien qu’un nombre croissant de réfugiés passent de longues années dans des camps pourtant conçus comme temporaires, en vertu de la durée des conflits et de la normalisation de pratiques de mise à l’écart de populations « indésirables ». Nous explorons la perception qu’ont ces jeunes de leur environnement et de quelle façon leur exil structure leur perception du passé et de leur pays d’origine, et de leur futur. Ce faisant, nous considérons à la fois les spécificités du contexte et l’environnement global, afin de comprendre comment l’expérience des gens est façonnée par (et façonne) les dynamiques sociales, politiques, économiques et historiques. Nous observons que le camp est, et demeure, un espace de confinement, indépendamment de sa durée d’existence ; bien que conçu comme un lieu de gestion rationnelle des populations, le camp devient un monde social où se développent de nouvelles pratiques ; les jeunes Somaliens font preuve d’agentivité et interprètent leur expérience de manière à rendre leur quotidien acceptable ; ces derniers expriment une frustration croissante lorsque leurs études sont terminées et qu’ils peinent à s’établir en tant qu’adultes, ce qui exacerbe leur désir de quitter le camp. En effet, même s’il existe depuis plus de 20 ans, le camp demeure un lieu de transition. L’expérience de jeunes Somaliens qui ont grandi dans un camp de réfugiés n’a pas été étudiée auparavant. Nous soutenons que cette expérience est caractérisée par des tensions entre contraintes et opportunités, mobilité et immobilité, isolation et connexion ou victimisation et affirmation du sujet – et des temporalités contradictoires. Cette étude souligne que des notions comme la convivialité ou la pluralité des appartenances développées dans la littérature sur la cohabitation interethnique dans les villes ou sur l’identité des migrants aident à appréhender le réalité du camp. Cette ethnographie montre également que, loin d’être des victimes passives, les réfugiés contribuent à trouver des solutions à leur exil. / Chronic violence has characterized Somalia for over two decades, forcing nearly two million people to flee. This ethnography studies the experience of protracted exile of Somalis who were raised in Kakuma refugee camp, in Kenya, and are now young adults. Their experience is relatively uncommon, although increasing numbers of people spend long periods in camps conceived as temporary, due to the length of conflicts and the normalization of excluding populations deemed undesirable. I explore how young people perceive their living environment and how growing up in exile structures their view of the past and their country of origin, and the future and its possibilities. In doing so, I regularly shift perspectives from the specificities of the context to the global environment, to understand how people’s experience is shaped by (and shapes) the social, political, economical and historical dynamics in which it is embedded. My observations can be summarized into a few broad statements: regardless of how long it has existed, the camp is and remains a space of containment; conceived as a rationally organized space to manage populations, the camp becomes a messier social world where new practices develop; young Somalis display agency and interpret their experience in a way that makes the present bearable; frustration grows when Somali youth complete their education and struggle to establish themselves as adults, catalyzing their determination to leave Kakuma. Indeed, although refugees have been living there since the early 1990s, the camp remains a space of transition. Although there have been a number of studies on refugee camps in Kenya, no study has focused on the experience of Somali youth raised in a refugee camp. I argue that this experience is traversed and shaped by tensions between constraints and opportunities, mobility and immobility, isolation and connectedness, victimization and affirmation of the subject, citizenship and refugeeness – and by conflicting temporalities. This ethnographic study highlights the fact that notions such as conviviality or the multiplicity of people’s belongings developed in the literature on interethnic cohabitation in cities or the ethnic identity of migrants, help us to understand the camp experience. This research also shows that, far from being powerless victims, people actively contribute to finding solutions to their exile.
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Histoire des migrations, dynamiques et créolisation dans les corpus du Mahabharata ou Barldon à la Réunion de 1672 à 2008 / History of Indian migrants, dynamic and creolisation in the corpuses of Mahabharata or Barldon in La Reunion from 1672 to 2008

Govindin, Sully Santa 25 October 2011 (has links)
Ce travail prend appui sur une collecte des données inédites et difficiles, celles d’un corpus complexe du Mahabharata, les textes sacrés de l’Inde, et les corpus de la tradition orale du Barldon, chantés en société créole de La Réunion depuis les présences des migrants indiens dans l’île. Plusieurs corpus de nature différente ont été collectés pour être analysés en synchronie et en diachronie de manière dynamique. Durant les années de recherches, nous avons ouvert une étude dans trois champs disciplinaires conjoints. Nous avons effectué des recherches à Pondichéry et nous avons ramené des documents sur l’esclavage indien et un manuscrit tamoul chanté à La Réunion à l’occasion du rituel de la « marche sur le feu ». Nous avons mené des travaux sur l’histoire de la langue, des cultes, de la culture, et des migrations. Nous avons constitué un appareil critique composé de l’analyse des corpus, des index, des annexes dont l’outillage conceptuel est composé d’un centaine de documents : 8 cartes, 4 croquis, 36 graphiques, 32 tableaux, 5 textes dont une édition tamoule critique, deux textes tamouls et créoles inédits leur traduction, 25 images et une séquence filmique. Nous avons reconstitué des strates de langue et notre travail montre que le Réunionnais a conservé un état de langue bien particulier et exposé au processus de la créolisation linguistique et culturelle, la langue du Barldon, une langue ancestrale que nos prospections n’ont pas permis de retrouver en Inde du Sud. Peut-on parler d’une langue sacrée conservée à la Réunion mais exposée à la dynamique de la créolisation ? Notre questionnement reprend les interrogations formulées par Gillette Staudacher-Valliamee sur la difficulté qu’il y a à poser pour La Réunion une créolisation linguistique et culturelle sans pidginisation, en rappelant que la question de langue est centrale. Notre travail réexamine la place de l’Inde dans la formulation des hypothèses énoncées pour la genèse du créole de l’océan Indien (A.Bollée 2009, R.Chaudenson 2010). / This work is based on a collection of unpublished and difficult data, those of a complex corpus of Mahabharata, the sacred texts of India, and corpus of the oral tradition of Barldon, sung in Creole society of La Réunion ever since the Indian migrants settled in the island. Several corpuses of different types were collected for effective synchronic and diachronic analysis. During our research work, we introduced three new areas in the same research field. We carried out research at Pondichery and brought back documents on Indian slavery and a Tamil manuscript sung in Reunion at the time of the ritual of “walk on fire”. We also worked on the history of language, cults, culture and migration. We established a critical apparatus which includes the analysis of the corpuses, indices, appendices whose conceptual tool consists of over hundred documents: 8 maps, 4 sketches, 36 graphs, 32 paintings, 5 texts of which one is Tamil critical edition, two unpublished translated Tamil and Creole texts, 25 images and a cinematic sequence. We reconstructed layers of language and our work shows that the Réunionnais remained a very special language and exposed to the process of linguistic and cultural creolisation, the language of Barldon, an ancestral language that our surveys have failed to find a place in South India. Can one speak of a sacred language in Réunion but kept exposed to the dynamics of creolisation? Our inquiry shows the queries made by Gillette Staudacher-Valliamee the difficulty of asking for Reunion the linguistic and cultural creolisation without pidginisation, by reminding that the question of language is central. Our work re-examines the place of India in formulating assumptions for the genesis of Creole in the Indian Ocean (A. Bollée 2009, R. Chaudenson 2010).
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Migrants de saison : les camps de travailleurs agricoles étrangers comme problème public : le cas de Saluzzo (Italie) / Season of migrants : agricultural workers' camps as a public problem : the case of Saluzzo (Italy)

Brovia, Cristina 28 May 2018 (has links)
Ce travail de recherche s’intéresse aux processus de construction d’un problème public à une échelle locale, en partant des différentes questions nées autour de campements de travailleurs saisonniers migrants dans des régions d’agriculture intensive en Italie. Il est principalement basé sur une recherche empirique menée entre 2013 et 2017 dans la zone rurale de Saluzzo (Piémont) avec une méthodologie qualitative croisant entretiens sociologiques, observation participante au sein de collectifs militants et à l’intérieur des campements de migrants et analyse d’articles de presse locale. L’objectif principal était celui d’étudier la façon dont la présence de migrants dans ce contexte spécifique est perçue comme un problème public, de quelle manière ce dernier est défini et construit dans un jeu de mobilisations et contremobilisations par une multitude d’acteurs aux intérêts divergents, puis d’analyser les conséquences de ces dynamiques sur les actions mises en places pour tenter de le résoudre. La thèse démontre en particulier comment la construction du problème se focalise progressivement sur le caractère temporaire de la présence des migrants, au détriment d’autres possibles cadrages, en justifiant la mise en place de dispositifs d’accueil provisoires et précaires, conduisant au confinement spatial et temporel des migrants. On verra également comme la création de camps de plus en plus institutionnalisés et contrôlés, gérés par une association humanitaire bénéficiant d’un large consensus, a favorisé un apaisement des conflits autour de cette question et un éloignement du problème au sein du débat politique public. D’une façon plus générale, ce travail, en analysant une question inhérente aux faits migratoires par le prisme de la sociologie politique, invite à une réflexion plus ample sur le traitement politique des migrants et sur la construction collective de la place qu’ils occupent aujourd’hui au sein de la société italienne. / This thesis examines how the presence of seasonal migrant workers’ camps in intensive agricultural areas in Northern Italy is framed and addressed as a public problem. It draws on fieldwork carried out between 2013 and 2017 in the rural area of Saluzzo (Piedmont). The qualitative methodology includes sociological interviews, participant observation with organizations and in migrants’ camps, and the analysis of the local press. The thesis aims to understand how the presence of seasonal migrants is defined and constructed by a range of actors with divergent interests. In particular, it examines a set of public mobilisations and counter-mobilisations, analysing how they have influenced the actions undertaken to solve “the problem” of migrants’ camps in the Saluzzo area. The main argument is that the problem has been progressively constructed around the temporariness of migrants’ presence in the area. This has justified the setting up of temporary and precarious reception systems, leading to the spatial and temporal confinement of the migrants. In particular, the thesis shows how the organisation of institutionalised and controlled camps, managed by a major humanitarian organization and benefiting from wide public consensus, resulted in a decrease of conflict around seasonal labour migration, and to the sidelining of the issue in the political debate. Contributing to literature on migration in the field of political sociology, the monograph represents a timely intervention in highly topical debates on the politics of migrants’ presence in the Italian society. / Questa ricerca riguarda i processi di costruzione di un problema pubblico ad un livello locale, partendo da diverse problematiche scaturite intorno ad accampamenti di lavoratori migranti stagionali in alcune zone di agricoltura intensiva in Italia. Lo studio è principalmente basato su una ricerca empirica svolta tra il 2013 e il 2017 nell’area rurale di Saluzzo (Piemonte) utilizzando una metodologia qualitativa che comprende interviste sociologiche, osservazione partecipante con associazioni militanti e all’interno degli accampamenti di migranti e l’analisi di articoli della stampa locale. L’obiettivo principale era quello di studiare il modo in cui la presenza di lavoratori migranti, in questo contesto specifico, è percepita come un problema pubblico, in che modo quest’ultimo è definito e costruito da una serie di attori animati da interessi contrastanti in un gioco di mobilitazioni e contro-mobilitazioni, poi di analizzare le conseguenze di tali dinamiche sulle azioni messe in atto per la risoluzione del problema. La tesi dimostra in particolare che la costruzione del problema si è progressivamente focalizzata sul carattere temporaneo della presenza dei migranti, a scapito di altri possibili frame, andando a giustificare la messa in atto di dispositivi di accoglienza precari e provvisori, finalizzati al confinamento spaziale e temporale dei migranti. Inoltre, l’instaurazione di campi sempre più istituzionalizzati e controllati, gestiti da un’organizzazione umanitaria riconosciuta, ha favorito la riduzione dei conflitti intorno alla questione e un accantonamento del problema sul piano del dibattito politico pubblico. Più in generale, questo lavoro, analizzando una questione inerente a dinamiche migratorie attraverso il prisma della sociologia politica, invita ad una più ampia riflessione sul trattamento politico dei migranti e sulla costruzione collettiva della posizione che essi occupano all’interno della società italiana di oggi.
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Migration as adaptation in ‘Disappearing states’ : examining socio-political adaptation strategies in the sinking islands of the Pacific

Munoz, Sarah 08 1900 (has links)
No description available.
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Les pratiques politiques médiatisées des migrants marocains : entre écriture de soi et écriture du pays d'origine / The mediatized political practices of Moroccan migrants : between self-writing and writing the homeland

Azizi, Asmaa 31 October 2014 (has links)
Cette recherche examine les pratiques politiques médiatisées des migrants marocains. En mobilisant une double approche diachronique et synchronique, on montre dans un premier temps que ces pratiques ne datent pas d’aujourd’hui mais qu’elles sont concomitantes aux premières vagues migratoires marocaines. A travers l’analyse d’un corpus de « presse militante », on approche la façon dont se manifestent les appartenances, les différentes stratégies de représentation d’un soi collectif ainsi que les formes d’expression des identités politiques de ces migrants, pendant la période coloniale et durant le processus de démocratisation du Maroc. On étudie dans un deuxième temps les pratiques politiques qui se construisent, circulent et se donnent à voir dans différents espaces en ligne pour comprendre comment elles participent à la construction et à la réécriture de la marocanité. Toutes ces pratiques politiques médiatisées ne se déroulent pas dans un vide social. Il est primordial de prendre en compte, pour leur appréhension, du cadre sociopolitique dans lequel elles se déroulent mais aussi de la question de la stratification sociale. Au delà de la question de la technique, c’est l’action symbolique d’écriture de la politique qui réunit l’ensemble des acteurs migrants engagés dans ce type de pratiques depuis les années 1930 et jusqu’à nos jours. Le geste d’écriture, comme action performative promettant d’obtenir une existence et une visibilité, est toujours accompagné par cet espoir de reconquérir une parole confisquée par un pouvoir politique dominant. A travers la médiation de l’écriture, ces pratiques médiatisées sont l’expression d’une volonté d’action de quelques groupes de migrants, déterritorialisés et non investis d’autorité, mais qui veulent prendre la parole pour s’exprimer sur ce qui se passe là-Bas, dans leur pays d’origine. / This research examines the mediatized political practices of Moroccan migrants. By mobilizing a double diachronic and synchronic approaches, this paper shows firstly that these practices are not new but concomitant with the first Moroccan migration waves. Through the analysis of an “activist press” corpus, this research shows how memberships, the different strategies of representation of collective, and political identities of these migrants during the colonial period and during the process of democratization in Morocco, are manifested. Secondly, this paper studied political practices, which circulate in different online spaces, to understand how they contribute to the construction and rewriting of the “Moroccaness”. For a better understanding, it is essential to take into account the socio-Political context in which these mediatized political practices are developed, in addition to issues of social stratification. Beyond the question of technology, it is the symbolic action of writing the policy that gathers all migrant actors who have been engaged in such practices since the 1930s until today. The act of writing as a performative action, which holds the promise of achieving existence and visibility, is always accompanied by the hope of regaining a voice, which has been cloaked by the dominant political power. Through the mediation of writing, these practices are the expression of the action of some migrant groups, who are deterritorialized and not invested with any authority, but who want to take the floor to articulate about what is happening in their homeland.
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Three essays on the economic impact of natural disasters / Trois essais sur l’impact économique des désastres naturels

Stephane, Victor 26 June 2018 (has links)
Les désastres naturels ont des conséquences particulièrement dévastatrices dans les pays en développement où les individus sont hautement vulnérables et les institutions inefficaces. Néanmoins, leurs impacts sur le bien être des ménages et le rôle des autorités publiques restent encore mal compris. En outre, alors que la plupart des études se focalisent sur le risque climatique, les désastres géologiques, et les éruptions volcaniques en particulier, restent peu étudiés. Pourtant, même si elles représentent une fraction marginale des désastres naturels au niveau mondial, les éruptions volcaniques sont une menace majeure dans certains pays tels que l’Indonésie ou l’Equateur. La présente thèse tente donc de contribuer à la littérature à travers trois essais empiriques traitant de l’effet à long terme du risque volcanique sur l’accumulation de capital des ménages, de l’impact d’une éruption sur le capital social ainsi que du rôle des autorités publiques dans les décisions de migration. / Natural disasters have particularly devastating consequences in developing countries where people are highly vulnerable and institutions remain inefficient. Nevertheless, their impacts on households’ well-being and the role of public authorities are, yet, not fully understood. In addition, while most studies focus on climatic risk, geological disasters, and volcanic eruptions in particular, are clearly understudied. However, despite representing a marginal share of natural disasters at the global level, volcanic eruptions are a major threat in some countries, such as Indonesia or Ecuador. The present dissertation tries to contribute to the literature by investigating the long-term effect of volcanic hazard on farmers’ capital accumulation, the impact of an eruption on social capital, as well as the potential mitigating role of public authorities on migration decisions.

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